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tmtisfree

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7067 commentaires

Le 01/10/2014 à 14h 32







Tah82 a écrit :



Il n’y a pas de soit ou soit, la bonne réponse c’est les 2 en même temps.



J’ai travaillé 4 mois pour une administration publique (consultant ITSM), je n’accepterai plus jamais une mission pour une administration de l’État français.





Je suis en train de développer une activité au-dessus de locaux appartenant à l’État et j’ai besoin de passer une évacuation de 40mm dans le faux plafond pour une évacuation : après avoir navigué entre au bas mot 15 services différents pendant une grosse semaine, on m’annonce que la procédure pour obtenir le passage (si elle est accordée), peut prendre jusqu’à un an. Autant dire qu’une pompe de relevage sera installée. Toute la réactivité de la bureaucratie française au service de l’activité économique.


Le 01/10/2014 à 14h 17







Citan666 a écrit :



Mutuellement avantageuse : va dire ça aux millions de gens qui bossent dans des conditions de merde pour qu’on puisse se payer nos fringues, électroménager et autres objets plus ou moins utiles (j’en profite aussi hein, donc je prétends pas être un saint, je soulève juste la totale ineptie du propos).



Cela serait vraiment mieux pour eux qu’ils crèvent de faim et reste éternellement dans la misère plutôt que d’avoir une chance de réussir un jour. Corruption de la noble cause.







Citan666 a écrit :



Économique : c’est clair que pousser à la surproduction pour pousser les ventes, au détriment de la qualité et sans se soucier de la réutilisation des matériaux, alors qu’on sait que les ressources sont finies, c’est vachement “économique” (et ne parlons pas des impacts environnementaux qui aggravent encore ces problèmes de ressources)… Tu dois bien galérer dans les jeux de stratégie toi… <img data-src=" />



Quelle est cette ressource que l’on a déjà épuisé, alors que l’univers est vaste, à notre portée et probablement infini, quel est cet environnement qui va en se dégradant, alors il suffit de regarder autour de soi pour s’apercevoir qu’il n’a jamais été aussi sain. Tu ne dois pas dormir la nuit en cauchemardant tous ces non-problèmes.







Citan666 a écrit :



Pacifique : perso, les méthodes de grandes compagnies pour gagner un peu en rentabilité, sans hésiter à ruiner la santé (ou simplement la vie) des gens qu’elles emploient, je qualifierais ça plus de violent que pacifique (dernier ex que je connaisse illustrant l’irresponsabilité profonde de grands patrons : Monsanto et ses plants résistants aux pesticides). Puis bon, c’est pas comme si on parlait de “guerre économique” ayant remplacé la guerre traditionnelle depuis 40 ans…<img data-src=" />



Gagner en rentabilité signifie la plupart du temps produire la même chose moins cher et avec moins de ressource : tu te plains du contraire au § précédent, la cohérence n’est pas ton fort. L’Homme cultive des OGM depuis qu’il a maitrisé les végétaux et les animaux : si tu te figures qu’on va s’arrêter d’en produire et d’en cultiver (ce que je fais tout les ans) parce que des clowns anti-scientifiques millénaristes ont eu quelque bouffée de chaleur extatique en consultant leur boule de cristal biodégradable, tu rêves.


Le 30/09/2014 à 19h 46







paradise a écrit :



Le capitalisme est un choix de société, pas un dogme,



Une société n’existe que par les choix des individus qui la compose, c’est donc d’abord un choix individuel qui s’est multiplié au vu des avantages conférés, et qui a abouti in fine à un choix de société.







paradise a écrit :



et si, on peut obtenir des revenus d’un travail sans capital.



Oui, on appelle cela une économie de disette (cueillette, chasse). Mais ce n’est pas ce qui nous préoccupe.







paradise a écrit :



C’est fou, cette obsession du capital ! <img data-src=" />



C’est vrai : je n’ai jamais compris comment on pouvait rejeter la description empirique de la seule manière connue, volontaire, mutuellement avantageuse, économique (au sens premier) et pacifique de bâtir des relations humaines et favoriser la réalisation des besoins. Il y en a même qui la pratique tous les jours tout en la rejetant haut et fort : la naïveté et l’hypocrisie sont de bien mauvaises maîtresses.


Le 30/09/2014 à 11h 42







ar7awn a écrit :



ce serai avoirs une vision très restreinte.

A l’échelle mondial ça ne peut pas marcher, une entreprise va a l’endroit le plus avantageux, elle ne se dédouble pas. MS Europe est en Irlande seulement et non pas aussi en allemagne, france,italie…

En baissant la fiscalités tu va juste contribuer a amplifier la tendance étatiques au dumping fiscale et donc au finale réduire les revenus du travail et augmenter davantage ceux du capital.



Les revenus du travail n’existent pas sans revenus du capital. Et supprimer l’impôt sur le capital (qui est aussi in fine un impôt sur le travail) n’empêche pas de supprimer l’impôt sur le travail, bien au contraire : c’est le seul moyen connu de réamorcer un moteur économique calaminé par l’ossification fiscale de l’étatisme rampant, un cercle vertueux dans lequel tout le monde est gagnant (à part le politique et son électorat socialement subventionné, bien sûr).





Sans compter que si par magie les entreprises se mettaient a se développer de partout et les consommateurs a avoirs la possibilités d’acheter tout ces services et produits; il ne faut pas oublier que notre sociétés repose sur une multitudes de ressources a quantités exploitables de plus en plus réduites.

Les substrats naturels n’ont qu’une fonction marginale et leur utilité suspendue à l’ultime ressource : l’imagination humaine. Les malthusiens ont ont toujours été pour leur frais.





Il ne sert a rien de posé des patchs sur notre situation actuelle, il faut refaire une sociétés from-scratch. <img data-src=" />

Les disruptions sociétales se sont rarement faites dans la joie et la bonne humeur. Plutôt prendre exemple sur ce qui fonctionne ailleurs, et apprendre à s’y tenir avec des règles simples et compréhensibles par tous.


Le 30/09/2014 à 10h 46







Northernlights a écrit :



Elle opère un transfert de la prospérité de ses voisins.<img data-src=" />





Pour que cela soit vrai, il faudrait démontrer ceteris paribus qu’une firme équivalente chez ses voisins aurait été aussi prospère (càd aurait créé autant de richesses) qu’en Irelande. L’observation historique et de l’actualité économique suggère que non, et le seul fait que ces sociétés aient choisies une zone à fiscalité non confiscatoire montre qu’elles sont plus à même de décider quel environnement est plus propice au profit (et donc à la prospérité) que n’importe quel clown d’eurocrate payé à l’année par le racket du contribuable.


Le 30/09/2014 à 08h 29

Diminuer voire annuler l’impôt n’est pas un cadeau, mais un retour à une situation économique normale. Les petits bras bolcheviques des Kommissars peuvent bien gigoter compulsivement, quand l’Irlande passe de 14% de chômeurs à 4% en dix ans seulement (1991-2001) elle montre le chemin de la prospérité pour tous. Le marché de la fiscalité est un marché comme un autre : le plus offrant attire le capital (qui est mobile) et le reste suit naturellement.

Le 30/09/2014 à 07h 54

Encore une usine à gaz bureaucratique implémentée dans le plus pur style gradualiste centralisé des politiques comme solution pour régler un problème qu’ils ont eux-mêmes créé : il n’y a pas à dire, le mur de la réalité va bientôt nous rattraper.

Le 30/09/2014 à 07h 36

Le PCC n’est pas stupide en “accordant” le droit de vote à HK, dans 10 ans HK sera comme la France (ou la Chine, ce qui revient au même) : criblée de dettes à 300% du PIB, avec un gouvernement fantoche qui aura mis la main sur toute l’économie et la finance (ils l’ont déjà sur l’immobilier, ce qui fait de HK l’endroit le plus cher de la planète) pour subvenir à son électorat appauvri. L’inflation de politiques n’a jamais enrichi qu’eux-mêmes.





“Liberty and democracy are eternal enemies, and every one knows it who has ever given any sober reflection to the matter. A democratic state may profess to venerate the name, and even pass laws making it officially sacred, but it simply cannot tolerate the thing. In order to keep any coherence in the governmental process, to prevent the wildest anarchy in thought and act, the government must put limits upon the free play of opinion. In part, it can reach that end by mere propaganda, by the bald force of its authority — that is, by making certain doctrines officially infamous. But in part it must resort to force, i.e., to law. One of the main purposes of laws in a democratic society is to put burdens upon intelligence and reduce it to impotence. Ostensibly, their aim is to penalize anti-social acts; actually their aim is to penalize heretical opinions. At least ninety-five Americans out of every 100 believe that this process is honest and even laudable; it is practically impossible to convince them that there is anything evil in it. In other words, they cannot grasp the concept of liberty. Always they condition it with the doctrine that the state, i.e., the majority, has a sort of right of eminent domain in acts, and even in ideas — that it is perfectly free, whenever it is so disposed, to forbid a man to say what he honestly believes. Whenever his notions show signs of becoming “dangerous,” ie, of being heard and attended to, it exercises that prerogative. And the overwhelming majority of citizens believe in supporting it in the outrage. Including especially the Liberals, who pretend — and often quite honestly believe — that they are hot for liberty. They never really are. Deep down in their hearts they know, as good democrats, that liberty would be fatal to democracy — that a government based upon shifting and irrational opinion must keep it within bounds or run a constant risk of disaster. They themselves, as a practical matter, advocate only certain narrow kinds of liberty — liberty, that is, for the persons they happen to favor. The rights of other persons do not seem to interest them. If a law were passed tomorrow taking away the property of a large group of presumably well-to-do persons — say, bondholders of the railroads — without compensation and without even colorable reason, they would not oppose it; they would be in favor of it. The liberty to have and hold property is not one they recognize. They believe only in the liberty to envy, hate and loot the man who has it.”




  • Henry Louis Mencken

Le 24/09/2014 à 20h 15







wanou2 a écrit :



Mon métier c’est d’accompagner les entreprises dans la cadre (entre autre) d’investissement. On réalise des prévi, des études concurrentielles, …



1/ Justement, tu as tout faux la chine tient d’une main de fer le secteur bancaire via un système de licence.



2/ Les autorisations administratives viennent de l’administration et il est anormal qu’elles soient plus lourdes pour les entreprises étrangères qu’une entreprise locale ou chinoise.



3/ C’est bien ce que je te disais pour ouvrir un kebab pas de problème pour ouvrir sur un secteur contrôlé / administré / sensible c’est quasiment impossible (la chine applique de plus en plus la stratégie continentale)



4/ C’est pour ça que j’ai parlé des entreprises publiques qui sont le bras armé de l’état chinois et qui représentent une part non négligeable du PIB hors bancaire.



5/ En France aussi il est très simple d’ouvrir un business c’est d’ailleurs pour ça que la France est un des pays qui reçoit le plus d’investisseur sur son territoire !







1/ Certes, mais cela ne contredit pas le fait que ce sont des entités commerciales qui distribuent librement leur argent. Le régime légal est aussi important.

2/ Tu veux dire qu’une fois enregistrée par un étranger, une entreprise est plus “étrangère” que la même créée par un local ? C’est absurde. J’ai survolé (rapidement, ok) les procédures pour établir une SA à HK, je n’ai pas trouvé de règles a posteriori les différenciant suivant l’origine du créateur. Ou j’ai mal compris ce que tu veux dire.

3/ Les secteurs “contrôlé / administré / sensible”s/s/s le sont comme partout ailleurs : cela ne prouve pas que la liberté d’établissement d’un business est plus faible à HK qu’ailleurs.

4/ Là aussi, cf 3/, certes : évidemment, tout ce qui touche à l’Etat, même à HK, n’a pas de relation de près ou de loin avec la facilité d’établir un business pour une personne normal (B2B, B2C, etc) ; ie les index mesurent la liberté économique pas le poids de l’État ou les manœuvres des chinois pour ‘mettre au pas’ HK.

5/ Le second tableau du lien donné en 1/ (sur les pays les plus accueillants pour les investisseurs) ne donne pas une image aussi réjouissante.


Le 24/09/2014 à 14h 23







wanou2 a écrit :



Basé sur mon expérience professionelle. Si Hong-Kong est plus facile d’accès que la chine, il est très compliqué d’obtenir des financements et diverses autorisations. Le fait d’avoir un partenaire local (à 50% environ…) facilite l’obtention de crédits, supprime certaines démarches administratives extrêmement lourdes et ouvre l’accès aux marchés publics (état+entreprises publiques qui sont quand même important). Mais dans les textes, effectivement il est très simple de s’installer et de developper son business (je parle de développement éco d’une certaine envergure, si c’est pour ouvrir une crèperie bretonne c’est aussi simple qu’à Montparnasse)





(0/ “Basé sur mon expérience professionelle” : j’espère faire de même un jour).

1/ L’“obtention de financement” regarde les relations avec les banques commerciales et n’a rien à voir avec la liberté économique.

2/ Si les “diverses autorisations” concernent là aussi le secteur privé, idem.

3/ Je ne vois pas trace de “démarches administratives extrêmement lourdes” pour l’ouverture d’un business standard.

4/ De même, les “marchés publics” sont loin de représenter une part significative de l’activité économique.

5/ Dans les textes et sur le terrain, “il est très simple de s’installer et de developper son business” à HK, même si, et c’est le cas partout ailleurs, avoir un associé local simplifie beaucoup les choses.



Tout cela pour dire que, même si je comprend ta position que les données semblent plus qualitatives, dans les faits elles sont basées sur des agrégats macroéconomiques. Des chiffres donc. Pour la France par exemple, les données au sujet du respect des droits sont fournies non seulement par l’étude des “textes”, mais aussi par l’observation chiffrée de leur respect (voir pour 2013 Country Reports on Human Rights Practices for 2013).


Le 24/09/2014 à 12h 43







wanou2 a écrit :



C’est une étude qui est basé sur des données purement théoriques.





Comme celles de la Banque Mondiale ?


Le 24/09/2014 à 12h 23







wanou2 a écrit :



Hong-Kong en est le parfait exemple avec la quasi impossibilité d’ouvrir un business sans joint-venture avec un local…





Ton opinion toute théorique ou basée sur des statistiques crédibles ?


Le 24/09/2014 à 10h 52







wanou2 a écrit :



C’est une étude basé sur des textes par sur la pratique et l’exercice de ceux-ci.



Parce que être au même niveau que l’Arabie Saoudite et le rwanda comment dire..



Et singapour… un petite recherche google sur le coup de canne <img data-src=" />





1/ Je ne vois pas trop ce que tu entends par “textes”. Les méthodes de mesures sont données là en Q3.

2/ Peut-être que les clichés ont la vie dure (le Chili est 7ème par ex., un pays tout à fait attirant de nos jours).


Le 23/09/2014 à 21h 15







carbier a écrit :



J’adore ta définition de la liberté: la Colombie 2x plus libre que la France et je ne parle même pas de Hong Kong N°1 <img data-src=" />





Il est bien connu que chez le collectiviste en captivité idéologique, les a priori réfutent la réalité : les spécialistes appellent ce comportement étrange biais de confirmation. Sans doute pour ne pas déplaire à la meute.


Le 23/09/2014 à 19h 47







carbier a écrit :



Par contre le dénigrement de son pays semble être un sport national pour certains…





Il parlait de liberté, pas de pognon.


Le 23/09/2014 à 21h 21







aldebourg a écrit :



Et dire que j’ai voté Hollande pour sa volonté de supprimer Hadopi (oui chacun voit midi à sa porte hein ! ) <img data-src=" />





La prochaine fois, tu choisiras le bon bulletin.


Le 23/09/2014 à 16h 48







caesar a écrit :



1/ tu me prêtes des propos que je n’ai jamais dit. <img data-src=" />

2/ Au moins tu as le mérite d’aller jusqu’au bout de tes idées.





1/ Certes, puisque c’est moi qui les aie écrit.

2/ Je suis passé à la réalisation depuis longtemps : cela fonctionne du tonnerre.







caesar a écrit :



=&gt; J’admire l’homme/femme qui parle de productivisme et qui vient perdre des heures a argumenter sur un fil d’actu.

Tu te sens plutôt comme le missionnaire parti prêcher en pays païen ou le pauvre gland qui cherche désespérément un quelconque moyen de se rassurer sur ses pauvres idées en les confrontant au camp opposé ? Je te sens pas vraiment comme un missionnaire…





Je suis à mon compte, j’investis mon temps comme bon me semble, un privilège qui ne coûte rien à personne. Tu affabules.


Le 23/09/2014 à 13h 50







caesar a écrit :



<img data-src=" /> je n’ai pas parlé de socialisme, je pointe juste l’erreur dans ton raisonnement.





Ah, on est un pro du sophisme, une particularité pathologique du collectiviste. Je ne m’incline pas devant la fourberie pseudo-intellectuelle.







caesar a écrit :



Moi je suis pas prêt à sacrifier l’être humain sur l’autel du libéralisme. Je me demandais si toi tu était prêt jusqu’à te sacrifier pour tes valeurs de productivisme et capitalisme.





1/ Tu es juste près à le sacrifier pour tout le reste.

2/ Tous les jours, la raison pour laquelle je sais de quoi je parle.


Le 23/09/2014 à 13h 36







gounzor a écrit :



Je pense que tu peux penser tout ça uniquement pour quelques raisons. A toi de choisir.



Tu n’est pas un travailleur pauvre.

Tu fais tes études.

Tu gagnes bien ta vie.

Tu voudrais gagner bien mieux ta vie alors que tu n’es pas dans le besoin.

Tu n’a jamais du te priver de bouffe pendant plusieurs jours après avoir reçu une facture de ton école, de soins, d’edf ou gdf…

Tu ne connais personne qui soit un travailleur pauvre. Et tu n’imagines pas la vie des gens qui galerent dejà pourtant en travaillant, ou tu t’en contrefiche car tu n’as aucune empathie poir eux.



Voilà pourquoi ce que tu dis est disqualifié.





Plutôt que d’essayer maladroitement le terrain émotionnel et personnel, pourquoi ne pas répondre par des arguments rationnels ? Ah tu n’en as pas.


Le 23/09/2014 à 12h 21







JR_Ewing a écrit :



c’est pas toi qui a parlé d’acheter le smartphone dernier cri quand on était au smic? <img data-src=" /> Tu vois, tu renie toi-même ce que tu raconte!





Tu auras projeté : j’ai écris “Évidemment, pour ce prix, il ne faut pas vouloir se payer la norme sociale en vigueur (smartphone).”; “Ce prix” fait référence aux 700 € que tu as toi-même avancé. Le SMIC est le double. Je n’ai pas parlé de pauvres puisque je prenais mon propre exemple. Tu suis ?







JR_Ewing a écrit :







La liberté c’est dangereux seulement pour certains, mais en permanence quand on ne l’a plus. Si tes seuls points de référence, ce sont les désinformations franco-françaises des socialistes de droite ou de gauche (merdias subventionnés et extrêmes compris), alors oui, tu as toutes les raisons de rejeter leurs mensonges et leur incompétence : leur intérêt est de cultiver le statu quo en général et cette propagande très locale en particulier.


Le 23/09/2014 à 11h 39







JR_Ewing a écrit :



Tout de suite la caricature préféré des abr…. de droite: le smartphone dernier cri et la tv écran plat grand format que ces salauds de pauvres achètent avec les aides sociales…. Ca fait longtemps qu’on l’avait pas entendu celle-là! <img data-src=" />





Le réflexe pavlovien mais fallacieux qui consiste à dénoncer une position non prise par son contradicteur est assez comique quand on y pense : un raisonnement suppose un minimum de logique pour se transformer en argumentation, sinon c’est du blabla émotif et superficiel tout juste bon à renforcer ses croyances déconfites. Les zélites le pratiquent assidument (avec la langue de bois de circonstance) pour rassurer les moutons afin d’éviter qu’ils mordent la main qui les nourrit.


Le 23/09/2014 à 11h 10







caesar a écrit :



l’impossibilité de leur réalisation tant qu’il y aura une variable encore humaine dans l’équation.





Le déni de réalité est affligeant (29% d’européens sont aussi persuadés que le soleil tourne autour de la Terre, rien d’étonnant donc). Quelle est le nom du seul mécanisme collectif, efficient et non violent qui permet de satisfaire les “variables humaines” en sauvegardant leurs droits fondamentaux ? Ce n’est pas drapé dans des mythes non sensiques, qui ont été théoriquement déconstruits il y a un siècle et empiriquement abandonnés il y a 25 ans pour le plus grand bien des concernés, que la réalité va disparaitre pour autant. L’hypothèse socialiste est morte et enterrée depuis un quart de siècle, fais-en ton deuil.


Le 23/09/2014 à 10h 42







JR_Ewing a écrit :



abr…. <img data-src=" /> Va travailler pour 700€ par mois voir moins comme ils le font dans ton pays adoré l’Allemagne, éssaie de t’en sortir avec ça et tu reviendras parler ensuite! Encore un qui n’a jamais bossé au smic avec toutes les charges à payer (loyer, bouffe, assurances, eau, gaz, électrictité…) et qui se permet de donner des leçons alors qu’il ne sait même pas ce que c’est que d’en chier dans la vie… <img data-src=" /> <img data-src=" />





C’est largement faisable parce que j’ai commencé avec bien moins. Évidemment, pour ce prix, il ne faut pas vouloir se payer la norme sociale en vigueur (smartphone).


Le 23/09/2014 à 10h 35







wanou2 a écrit :



Sur le fond, il n’a pas tort. Une baisse des prix de l’immobilier améliorerait le pouvoir d’achat des salariés les moins bien payés dans les augmenter. Sauf que la bulle immobilière française n’est pas purement spéculative. Elle est en partie dûe aux acheteurs étrangers et aux institutionels (rendement) donc spéculative, mais également la carence de biens immobiliers en France (la rareté augmente les prix) et enfin la part très importante du logement social qui de façon paradoxale fait monter les prix du logement privée…

L’allemagne bénéficie d’un coût du logement nettement plus faible pour deux raisons. Une démographie nettement plus atone d’un part et une structure familiale plus solide (4 points de divorce de moins)





Ok avec ton analyse, sauf pour la partie carence du logement.


Le 23/09/2014 à 10h 32







levhieu a écrit :



Donc l’emploi ne serait pas le problème principal ?





C’est un faux-problème qu’on ne veut pas résoudre. Quand on crée une barrière fictive dans un marché (ici le SMIC), il y a fatalement une frange de la population qui n’est pas assez compétente pour justifier le salaire minimum imposé, et plus ce minimum augmente, plus la frange augmente (surtout quand l’éducation a priori et la formation a posteriori dépendent d’institutions incapables de connaitre les réalités du marché en général).


Le 23/09/2014 à 10h 22







wanou2 a écrit :



Ah oui quand même… tu confonds règlementation du travail,décisions de l’entreprise ou des groupes et coûts de la fin de contrat!



L’avantage acquis est issu des négoctations entre salariés et direction (grandes entreprise) ou syndicats salariés et patronaux (pour les autres). Les avantages acquis sont très souvents négociés et en ce moment souvent remis en cause contrairement à ce que tu annonces.





1/ Ce n’est pas ce dont je parle, mais idéalement, les avantages et conditions devraient être négociées directement entre parties, pas entre organisations non représentatives adoubées par le pouvoir central pour pousser à des réglementations qui l’arrange, pas vu pas pris.







wanou2 a écrit :



La règlementation du travail. La je suis d’accord avec toi, elle est très lourde en france et du coup incompréhensible (aussi bien pour l’entreprise, le salarié que les juges)



Le coût de la fin de contrat : quand celui-ci est fait dans les règles de l’art il ne coûte pas plus cher qu’en Allemagne ou au Royaume-Uni (même moins cher). Par contre, ce qui découle de la règlementation du travail, l’employeur tombe dans le piège de l’administration et se retrouve en violation du code du travail. Enfin, une rupture conventionnelle (sauf grand groupe) est souvent peu onéreuse (2 à 3 mois de salaire) pour l’employeur et surtout stable juridiquement.





2/ C’est mon point.

3/ Une rupture conventionnelle n’est pas chère si le salarié n’a que peu d’ancienneté. Dans le cas contraire, on peut chiffrer facilement à plus d’une année de salaire (selon convention, cf point 1/) : un salaire qui aurait permis d’embaucher 2 personnes débutantes.


Le 23/09/2014 à 08h 17







levhieu a écrit :



Il faudrait poser la question aux personnes qui ont un emploi et qui dorment dans leur voiture parce que leur revenu insuffisant ne leur permet pas de trouver un logement





Il faudrait poser la question aux politiques qui ont tout fait pour prolonger la bulle immobilière et qui dorment toujours dans leurs palaces parce que leurs électeurs sont trop bornés (ou stupides) pour reconnaître leurs erreurs de jugement passées.


Le 23/09/2014 à 08h 14







wanou2 a écrit :



Ce que tu dis est vrai à un niveau macro économique si et seulement si tu es le seul pays à pratiquer cette politique compétitive. Un exemple tout simple. Depuis que l’Allemagne fait la course au coût, la balance commerciale envers la france s’apprécie. Par contre, avec la mise en place des mesures à l’export et de compétitivité en France, le mouvement de la balance commerciale s’inverse…

Que fera l’allemagne face à cela (la france était son premier marché d’exportation vous savez ses salops de français qui dépensent à tout va…) elle va encore réduire ses coûts. Et la france pour éviter de déraper… un cercle vicieux en somme.

On va constater le même manège qu’il y a eu dans les années 7080 quand il y a eu des dévaluations sauvages des monnaies avec les conséquences que l’ont connait…





Je ne vois pas en quoi appauvrir les français (tes “mesures à l’export et de compétitivité”, qui ne sont de fait que du protectionnisme déguisé avec des subventions publiques qui proviennent directement du porte-monnaie desdits français) va faire autre chose qu’améliorer un agrégat statistique arbitraire économiquement sans intérêt (ta “balance commerciale”). C’est effectivement un cercle vicieux, alors que nos concurrents réduisent leurs coûts et n’ont pas plus de chômeurs.


Le 23/09/2014 à 08h 00







wanou2 a écrit :



Rien a voir avec les avantages acquis et autres conneries du genre qui ne coûte en fait que très peu dans une entreprise.





Tu n’as jamais dû procéder à un licenciement ou à une rupture conventionnelle (qui coute encore plus chère). Les avantages acquis, qui ne dépendent absolument pas des résultats ou de la rentabilité de l’ex-salarié, sont exorbitants, ce qui fait que l’employeur préférera souvent réduire la voilure (ou robotiser) que réembaucher. Dans le contexte français, les coûts sont non seulement imposés par des considérations autres qu’économiques (voir plus haut), mais on a légiféré sans compter pour ossifier le marché du travail et élever des fossés d’embauche (SMIC), ce qui fait qu’une entreprise va réfléchir à 2 fois avant de recruter. Répété à grande échelle, on obtient un chômage persistant.


Le 23/09/2014 à 07h 39







caesar a écrit :



<img data-src=" /> je suis d’accord mieux vaut esclave que chomeur, au moins les esclaves ca rapporte du pognon <img data-src=" />





Tu comptes nous abreuver de toute la panoplie parodique du collectiviste de base ?



Addendum : la réponse est oui.


Le 23/09/2014 à 07h 37







wapamat a écrit :



Une seule réponse à Monsieur Jedereguletout : tant qu à mettre en parallèle des courbes, je vous propose de mettre en parallèle la courbe des dividendes versés en France avec celle du chômage. …





Un peu comme celles-ci ?


Le 23/09/2014 à 07h 34







wanou2 a écrit :



Ce que tu décris ce n’est ni plus ni moins que le modèle Allemand ou US qui s’il permet un quasi plein emploi (moins de 5 points de chomage) permet aussi un emploi très peu rémunérateur. Les emplois d’ouvrier qualifié, de technicien et d’ingénieur dans ces pays ont vu leur rémunération baissé de près de 50%. Pour autant, je n’ai pas l’impression que ces pays ont permis l’exportation de produits manufacturés moins onéreux.





1/ En quoi cette baisse est importante si l’emploi est maintenu (le problème principal est bien l’emploi, non ?) ?

2/ (Le concept de balance commerciale est complétement inutile : un agrégat basé sur une délimitation géographique arbitraire est un non sens à tous les points de vue.) Si les emplois sont maintenus, grâce à des salaires qui baissent, cela indique fortement que les gains de productivité engendrés leur bénéficient aussi. En fait c’est même le principe de base d’une économie qui fonctionne : les baisses de coûts de production favorisent la dissémination de ces gains pour tous.


Le 23/09/2014 à 07h 22







batoche a écrit :



<img data-src=" />





Les autres se sont laissés mourir devant tant d’ineptie, probablement.


Le 23/09/2014 à 07h 15







gounzor a écrit :



Bref…….. Que du bohneur le liberalisme. Une avancée un progrès poir la France !





C’est vrai que la situation actuelle d’ultra-collectivisme débridé à base d’endettement à asphyxie lente (~100% du GDP), de pyramides de Ponzi sociales en cours d’effondrement, de chômage en hausse ininterrompue depuis des décennies nous garantissent un fond électoraliste à même de faire perdurer la main-mise d’une classe de parasites dont la bien pensante zélite a fait ses fonds de programmes anti-économiques.



Qui ne voudrait pas d’un problème facilement soluble quand votre réélection dépend de sa non résolution ?


Le 23/09/2014 à 06h 34



Pour eux, les emplois sont juste une variable d’ajustement





Rectification : au vu des coûts sociaux qui découlent des faux droits acquis en contrepartie de rien, en France le capital humain est devenu LA variable d’ajustement, au lieu d’être un investissement comme un autre. Il suffit d’observer la courbe du chômage pour s’en convaincre. La robotisation a de beaux jours devant elle, et c’est tant mieux pour les consommateurs.

Le 22/09/2014 à 15h 27







gwal a écrit :





  • Encore une fois, l’etat ne touche plus rien … et les benefices integralement caché dans un paradis fiscal puis re-investit dans un fond de pension qui impose 20% de retour sur investissement …





    Entre verser 20% à ses actionnaires-investisseurs créateurs d’emplois et être extorqué 20% par des sangsues collectivistes qui vont le dilapider en pure perte électoraliste, le choix est vite fait : frauder contourner la rapacité fiscale est un acte civique.


Le 22/09/2014 à 15h 22







Fantassin a écrit :



Le truc basé sur la confiance entre l’offre et la demande ne veux pas dire laissé-faire.





Tu voulais certainement dire laisser-aller, parce que “le truc basé sur la confiance entre l’offre et la demande” et qui fonctionne plutôt bien comme tu dis s’appelle réellement laisser-faire.


Le 20/09/2014 à 08h 06

Le tactile a un intérêt limité en milieu pro (sauf applications métier spécifiques), et le format 16:9 n’est pas adapté à une productivité élevée. J’aurais bien renouvelé ma flotte d’écrans en tout genre (4:3 et 16:10 avec une moyenne d’âge de 10 ans), mais au vu de ce qui est proposé, j’ai finalement préféré les démonter, les nettoyer et repeindre les coques avant remontage. VGA forever!

Le 19/09/2014 à 08h 22







Tarpan a écrit :



1 visiteur sur l’un des moteurs marginaux (2% de pdm ?) va influer sur quoi ? Si les clients utilisent à 95% l’autre moteur ? <img data-src=" />





Et comment Google est arrivé à attirer 95% du marché à ton avis ?


Le 18/09/2014 à 19h 51







Tarpan a écrit :



Tu viens de confirmer que t’est complètement barré.

Ou que tu ne comprends pas les questions.

Ou que tu consommes des psychotropes en répondant.



Laissez tomber les gars, il est dans un délire total… <img data-src=" />





La place de mon entreprise va (marginalement, je le concède) remonter dans le moteur concurrent (puisque c’est celui-là que j’aurais choisi), ce qui augmentera son exposition pour ses clients potentiels. Je suppose que c’est la réponse que tu attendais (ou pas).


Le 18/09/2014 à 16h 39

Ce qu’on fait les physiciens.

Le 18/09/2014 à 15h 56







maestro321 a écrit :



Bha justement je ne la rejette pas pour rien, aucune des tentatives de mise en évidence du libre arbitre n’ont abouti, la seule théorie qui tienne vraiment le choc pour expliquer le paradoxe du choix tournent autour du fait que le libre arbitre ne serait qu’une illusion due à notre ignorance des causes qui nous font agir.





Tu vois des paradoxes où il n’y en a pas, et ta non-explication post hoc est du domaine de la magie, pas de la science. Inutile donc. S’il n’y avait pas de libre arbitre, on ne pourrait pas obtenir spontanément de systèmes complexes comme un marché : on aurait simplement des flux browniens dont la valeur sommée serait nulle. Comme on observe que ce n’est pas le cas, on en déduit que… etc.


Le 18/09/2014 à 15h 41







sioowan a écrit :



Ça vous arrive de travailler ?

Moi qui travaille pas je veux bien prendre vos places, ça m’a l’air d’être sympa passer ses journées à philosopher sur le bien fondé du libéralisme et du libre arbitre :p





Je travaille 3 mois dans l’année, maximum. Évidemment, le ROI est fabuleux. Tu remarqueras aussi que la plupart commente du lundi au vendredi, mais pas le WE. Leur intérêt bien compris sans doute.


Le 18/09/2014 à 14h 50







maestro321 a écrit :



On sais ou ça mène <img data-src=" />





La caricature de la propagande est toujours aussi drôle.


Le 18/09/2014 à 14h 49







maestro321 a écrit :



Bha ce n’est pas pour autant qu’il est attribuable à l’homme non plus.





Le contraire est aussi possible : “ce n’est pas pour autant qu’il ne l’est pas”. Vouloir rejeter la possibilité sans la tester relève de la croyance religieuse, ou de la posture idéologique, pas d’un esprit ouvert qui cherche à savoir.


Le 18/09/2014 à 14h 35







maestro321 a écrit :



Mais tu parts du postulat que liberté = libre arbitre, hors il faudrait commencer par prouver ce fameux postulat.





Marionnettiste je ne pense pas, le hasard, plus surement oui.<img data-src=" />





1/ Pas besoin pour une caractéristique axiomatique, elle n’a pas à d’être prouvée a priori : on la pose vrai et on en déduit les nécessaires conséquences. Si les conséquences forment un tout cohérent reflété dans la réalité physique et dans le temps, alors on en conclue qu’elle est vrai (a posteriori donc).

2/ Si c’était le cas, tes commentaires seraient incompréhensibles. Oh wait! (Just kiding!)


Le 18/09/2014 à 14h 24







maestro321 a écrit :



Tu peux avoir conscience du libre arbitre, avoir l’illusion d’exercer ce libre arbitre mais ce n’est pas pour autant que ça le rend réel et effectif.





Je ne le relie pas, je démontre justement qu’il n’y en a pas.





1/ Raisonnement inductif : If it looks like a duck, swims like a duck, and quacks like a duck, then it probably is a duck.

2/ Raisonnement bancal : ce n’est pas parce qu’une flaque d’eau n’a pas comme caractéristique le libre arbitre que celui-ci n’est pas attribuable ailleurs.


Le 18/09/2014 à 14h 15







maestro321 a écrit :



Heu ok, mais quels sont ces faits ?





Je t’en ai donné un au-dessus. Chercherais-tu à montrer que ta participation (en particulier) à ce fil de commentaires n’est en fait que le produit d’un marionnettiste ?


Le 18/09/2014 à 14h 09







maestro321 a écrit :



Si je retire “les autres gens” ça n’aura pas d’influence sur ta vie on est d’accord (puisque tu es autonome par rapport aux autres)?





“Je suis autonome” ne veut pas dire que je n’ai aucune relation avec ceux qui m’entourent. Autonome veut dire que les décisions ou non-décisions que je prends sont le résultat d’une libre choix. Les interrelations (avec du vivant ou non) sont intégrées de ce fait dans mes décisions.


Le 18/09/2014 à 14h 01







maestro321 a écrit :



Je vais te donner un exemple alors.



Imagine une flaque d’eau qui s’évapore (nouvelle liberté de mouvement pour cette eau, et donc élargissement des possibles pour cette eau) ce n’est pas pour autant que le comportement de l’eau évaporée fait preuve d’un quelconque libre arbitre.





Tu supposes que cette flaque d’eau à conscience d’elle-même pour exercer son libre arbitre ? Évidemment non, puisqu’il ne viendrait à l’idée de personne (hum, à part toi) de relier la caractéristique ‘libre arbitre’ à une flaque d’eau : ton ex. n’en est donc pas un. Try again.