C’est ce qu’a fait Amazon a ses débuts par exemple.
Plutôt qu’un monopole, c’est surtout rendre captif l’internaute, c’est le maintenir dans son cercle de services afin de capter le maximum de données personnelles. C’est le principe des cartes de fidélité des grands magasins. Le monopole n’est qu’un effet secondaire à la captation de l’audience et donc des revenus (c’est l’effet Monopoly: il y a de plus en plus de chances de tomber sur la case Google que sur la case Figaro et Google construit de plus en plus d’hotels jusqu’à ce que le Figaro n’ait plus aucun revenu publicitaire).
La presse écrite peut heureusement quitter cette course à l’audience.
refuznik a écrit :
[…]
Demander à Google ou Facebook de payer quelque chose qu’ils ont théoriquement pris de l’industrie, c’est confondre l’effet avec la cause. […]
c’est surtout un modèle économique : les maisons de disque et les radios musicales fonctionnent sur ce modèle depuis les années 1980.
Shadowman_2k3 a écrit :
Cela s’appelle un produit d’appel.
Tu n’est pas rentable sur ton service, mais il te permet de proposer une multitudes de produits/services associés qui eux sont rentables.
C’est comme Sony/MS avec les consoles de jeux : la console est un produit d’appel, les marges sont faites sur les jeux.
En ce qui concerne Google, l’intérêt est plus qu’un produit d’appel : les services Google forment une myriade de services qui enferment l’utilisateur dans un écosystème. Un écosystème qui permet de collecter une masse de données personnelles que seul Facebook peut rivaliser. D’ailleurs, Facebook fonctionne sur le même modèle de services imbriqués sur une plateforme.
Pour ce qui est des consoles de jeux, ce ne sont pas des produits d’appel, elles sont nécessaires à l’achat de jeux et à l’utilisation de services. Diminuer le prix des consoles rend le produit attractif et une fois capté, le client est obligé d’acheter les jeux (d’où le prix élevé des jeux).
Tandhruil a écrit :
Pour moi c’est un peu le même principe que les couvertures de magazine affichées sur les kiosques à journaux. La couverture attire le chaland vers le kiosque et elle fait vendre le magazine.
Il ne serait jamais venu aux maisons d’édition de facturer aux kiosques à journaux l’affichage des couvertures.
Et le kiosquier achète la presse pour la revendre. Ce que Google ne fait pas. La nuance est là : est-ce qu’un producteur de cinéma laisse imprimer des affiches de cinéma à n’importe qui au motif que ça fait des entrées de cinéma ? Ben non, ce sont des goodies ou des produits dérivés qui s’ajoutent à l’entrée de cinéma (les salles ayant des affiches gratuitement car elles vendent le film du producteur).
Le
23/10/2019 à
08h
57
La publicité ciblée n’a rien de bidon. Google News fait partie des services imbriqués entre eux de Google. Google récolte des données sur ses utilisateurs pour les profiler. Profiler ses utilisateurs sert à cibler les publicités vendues par Google dans le but de monétiser les activités de Google.
Ce n’est pas bidon de dire que 80% du chiffre d’affaire de Google est de la vente de publicité ciblée.
Ne chipotons pas sur les statistiques. Ce sont des ordres de grandeurs qui correspondent de toute façon à des réalités factuelles.
Le
23/10/2019 à
08h
10
zempa a écrit :
[…]
Car faut-il le rappeler, ils sont dans une quasi majorité déficitaires (de mémoire, seul le Canard Enchaîné est viable économiquement ). Ce sont l’argent publique via les généreuses subventions de l’État et celui de leur richissime propriétaire qui leur permettent de vivre. Sans cela, bon nombre mettrait la clé sous la porte…
La situation de la presse écrite me semble plus complexe (ou plus simple, selon le point de vue) que le seul fait que l’information mainstream serait une activité à perte.
Premièrement, publier de l’information (ou du contenu intéressant) n’est pas l’activité la plus rentable, tout le monde est d’accord (ce qui est rentable, c’est le contenu prémaché, le divertissement, le spectaculaire, le scoop, l’événement inédit qui surprend tout le monde, etc). Pour autant, produire de l’information de qualité n’est pas une activité forcément déficitaire, loin de là.
Deuxièmement, si on veut parler des subventions d’État, elles ne servent qu’à maintenir une distribution de la presse sous format papier alors que tout le monde est d’accord sur le fait que le web a remplacé l’écrit sur papier (comme dans tous les corps de métier et toutes les activités) et que la TV et la radio se transforment en balado-diffusion (podcast) et en réception sur les médias sociaux (parce que les revenus de la publicité ciblée se trouvent actuellement chez Google et chez Facebook) et sur des plateformes de SVOD (Netflix, Salto). L’information, la vraie (les enquêtes, les analyses, les débats, etc) est sur le web et sera de plus en plus sous format numérique.
Troisièmement, et c’est ce que peu de gens veulent voir, la presse écrite mainstream appartient à des industriels, uniquement à des industriels (même Marianne s’est récemment fait racheter par un industriel tchèque)… à part La Croix et les autres publications de Bayard Presse.
En conclusion, Google, Facebook absorbent la valeur publicitaire, mais rien, je dis bien rien, n’empêche un organe de presse de faire des bénéfices avec des journalistes qui enquêtent, qui investiguent comme dans l’après-guerre, comme au XIXe Siècle. lemonde.fr est rentable, il faut seulement que son actionnaire cesse de couper les cheveux en quatre et cesse de licencier le cœur de ses effectifs qui est rentable et qui sert à l’émergence d’une forme de vérité, qui permet alors au lecteur de tirer la substantifique moelle (dixit François Rabelais) de l’information qui l’intéresse (qui l’intéresse vraiment et qui l’aident à comprendre le monde).
zempa a écrit :
[…]
Je souligne simplement que cet épisode illustre le minitel 2.0, même si les “méchants” dans cette histoire sont joués par les titres de presse et le “gentil” par Google.
Le manichéisme ne sert que les intérêts des parties en négociation. Le lecteur a plutôt intérêt à voir au delà des querelles d’intérêts particuliers. Encore une fois, Google et Facebook ne maîtrisent que la publicité ciblée. Quand le lecteur aura compris que l’information se trouve dans des modèles économiques plus sains que la publicité, avec des rédactions payées pour faire du journalisme d’investigation plutôt que des webrédacteurs payés pour pondre des contenus chatoyants et spectaculaires ou qui font peurs (inspirer la peur rend le lecteur et l’électeur plus docile), alors seulement on commencera à voir se généraliser des organes de presse rentables et informatifs à l’image de mediapart.fr, La Croix, et d’autres plus confidentiels mais qui font un excellent travail avec peu de moyens (sans pour autant chercher à vendre du contenu qui occupe le temps de cerveau disponible des lecteurs).
Le
22/10/2019 à
10h
05
RévolutioN a écrit :
Quels sont les 4 retardataires qui risquent la faillite ?
dylem29 a écrit :
Adieu Yahoo News, Orange Actu, La Provence et LePoint. " />
En même temps Yahoo News quoi, le truc tu peux même pas désactiver les cookies.
Orange Actualités et Yahoo! Actualités : ce sont déjà des agrégateurs de contenus concurrents de Google Actualités. Avoir ce dernier comme partenaire ne doit pas représenter une priorité.
Le
22/10/2019 à
10h
01
Arkeen a écrit :
Hein ? Avoir du trafic et le monétiser, ce sont 2 choses bien différentes. J’ai du trafic sur mes sites, mais aucun n’est rentable …
Après, est-ce qu’il y a de la pub, est-ce que les médias peuvent payer pour être mieux référencé ? Perso je pense que c’est “juste” pour affiner les profils publicitaires des comptes Google.
Google et sa publicité ciblée, pas rentable ?
Ricard a écrit :
Rien qu’avec GoogleAnalytics, ça doit lui rapporter pas mal. Faut pas oublier le modèle commercial de Google, c’est de collecter de la data pour vendre de la pub.
Tu n’as pas écrit le contraire mais tu n’as pas apporté la nuance non plus.
Le
22/10/2019 à
19h
32
Ce qui me semble important : je note que l’ANSES est saisie par la Direction générale de la prévention des risques (DGPR) et la Direction générale de la santé (DGS) dont l’objectif (si j’ai bien compris) est de rechercher des preuves d’éventuelles innocuités ou d’éventuelles nocivités dans l’usage des terminaux mobiles.
Comme dit précédemment :
gathor a écrit :
[…] Ce qui ne signifie pas qu’il n’y a pas d’autres effets, juste que les données ne permettent pas de conclure (comme Jean-Claude Dusse)Il n’y a donc pas d’effets “avérés” pour l’instant, mais aussi pas assez d’expériences et/ou avec une méthodologie suffisante pour tirer ce genre de conclusion. […]
Autrement dit, l’innocuité, comme la nuisibilité, n’est pas prouvée : donc, tests complémentaires à réaliser avec des critères plus réalistes, plus précis, et des occurrences plus nombreuses.
Le
22/10/2019 à
17h
57
tmtisfree a écrit :
C’est (en partie et) de moins en moins vrai. Comme l’ont montré des recherches ultérieures, les UV ont aussi des effets bénéfiques directs sur l’organisme et l’absence ou la moindre exposition au Soleil de larges effets négatifs, contrairement au “consensus” habituellement avancé par les croyants (ou désinformés)…
Merci pour les liens, j’en parlerais à ma dermatologue. J’ai un rendez-vous de contrôle début novembre (elle me raconte vraiment n’imp’).
réaction typiquement inpactienne, aussi arrogante que stupide.
J’adore, encore !" />
Il faut savoir : tu viens ici pour voir comment ça s’engueule ou pour lire des réactions arrogantes et stupides ?
transit facilité a écrit :
Il y en aura quand même un qui a compris " />
Tu t’es fait un copain INpactien. Tu es content, tu vas pouvoir blaguer avec un INpactien. Comme quoi…
Le
22/10/2019 à
04h
41
Moi, de 2005 à 2013, j’étais abonné à arretsurimages.net. Daniel Schneidermann a même fait un crowdfunding pour payer un arriéré de TVA parce qu’il militait pour la TVA à 2,1% pour la prese en ligne (comme le taux pour la presse papier) et le fisc lui a demandé de payer le vrai taux avant le changement (ce qui est logique). Moi, j’ai pensé que arrêt sur images était fini. Et bien pas du tout. Toujours à l’équilibre. Équilibre budgétaire précaire mais ça fonctionne encore.
Tout ça pour dire que tes imprécations concernant la fin de nextinpact.com, c’est du vent. Tu peux y croire et peut-être que dans 1 an, dans 3 ans, dans 10 ans, … Next inpact disparaîtra, et tu pourras dire :“je vous l’avais bien dit”. En attendant, tu continue d’avoir tort depuis plusieurs années et tu dépenses ton énergie pour rien.
Le
21/10/2019 à
18h
07
Dire ce qu’on pense est salvateur. C’est juste que le commentaire ne parlait que du contenu du titre et du chapô des articles. À la lecture, il y a tout de même plus de détails… Et non, les 2 articles mentionnés ne sont pas creux, bien que ennuyeux pour qui ne s’intéresse pas au sujet des débats parlementaires.
Et pour tout dire, moi ce qui m’ennuie sur Next inpact, ce sont les articles d’astronomie et les articles “logiciels”, OS mobiles, applications. Mais comme je ne les lis pas, ça ne me dérange pas plus que ça et je n’ai pas besoin de dire que ce sont des articles répétitifs et sans détail à l’intérieur.
Le
21/10/2019 à
18h
00
GTO a écrit :
Oui c’est sûr… mais faudra pas s’étonner que le site doive fermer à la fin faute de visiteurs et de “donnateurs” suffisants… " />
A un moment donné ça va bloquer c’est obligé, c’est pas avec 8000 abonnés fanboys que NXI va pouvoir éponger leurs dettes, à moins d’augmenter significativement le prix des abonnements et des dons mais là même les fanboys commenceront à mettre le hola car ça leur reviendra trop cher, et c’est pas avec la gestion calamiteuse de Teuf que les choses vont s’arranger… " />
Et ce jour là, quand nextinpact.com renverra une erreur d’adresse dans mon navigateur, je repenserais aux commentaires de GTO avec nostalgie en me disant : « GTO nous l’avait bien dit… GTO avait raison… pourquoi ai-je continué à lire Next inpact en m’abonnant régulièrement ? Finalement, Clubic et 01net, c’est tellement mieux. »
Le
21/10/2019 à
17h
51
transit facilité a écrit :
[…] Je ne viens quasiment plus ici que pour voir comment ça s’engueule dans les commentaires…
Tout le reste du commentaire pouvait laisser la chance à un éventuel malentendu de donner de la pertinence et de la bonne foi à votre témoignage. Avec cette conclusion, vous avez ruiné tout espoir de crédibilité. Mais merci de lire mon commentaire, au moins Next inpact aura eu cette utilité de nourrir un peu mon ego.
Le
21/10/2019 à
17h
41
fred42 a écrit :
Pourquoi ? Tu n’aimes pas les articles où l’on annonce des amendements à un projet de loi qui n’ont aucune chance de passer suivis d‘un second article annonçant qu’effectivement, les amendements ont été rejetés ?
ça, c’est du résumé… Et au delà du titre et du chapô de l’article ?
Des “proxi-monnaies” (cf l’actu à propos de la tribune de X.Niel dans lesechos.fr), il y en a à foison dans les start-up hexagonales. Par exemples, Lyra (et sa marque phare Payzen), Lyf Pay.
La force de Libra est le réseau Facebook/Whatsapp/instagram et ses partenaires du monde entier. Mais dans ces caractéristiques, je vois mal le côté “proximité”.
Faudrait déjà savoir qui en fait partie. La seule personne dont j’étais au courant c’était une vieille peau aigrie de 90 balais qui emmerdait tout le monde sur le règlement de copro […]
Le problème des copropriétés dans lesquelles les copropriétaires ne sont pas investis dans la gestion de leur immeuble (ce qui est souvent le cas avec une majorité de bailleurs parmi les copropriétaires de l’immeuble) : tout est maintenu secret, pourtant un bailleur peut très bien mandater son locataire pour agir à sa place, même pour assister à l’Assemblée générale du syndicat de copropriété (ça exige quand même aucun conflit entre le locataire et son bailleur).
Le
21/10/2019 à
18h
41
SebGF a écrit :
Légalement, le Syndic et le Conseil Syndical ne sont pas tenus d’échanger avec un locataire […] en dehors de cas d’urgences ou d’incidents pour lesquels le Syndic est compétent à intervenir
Un syndic qui gère les cas d’urgence ? " />
Même si le résident-locataire peut se faire entendre du syndic (par exemple, dans le cas d’un dégât des eaux dans les parties communes), la demande n’est pas suivie par le syndic (en tout cas un syndic professionnel) à part le premier appel à un plombier. Les résidents doivent appeler eux-même le plombier pour suivre les choses. Un syndic ne s’occupe dans les faits que de “la partie administrative de la copropriété”.
SebGF a écrit :
[…] Après, si aucun des membres du CS n’est copropriétaire occupant, ça devient difficile….
(et accessoirement dangereux pour la copro qui se retrouve en pilote automatique)
Je suis bien d’accord avec cette conclusion.
Le
17/10/2019 à
11h
39
Jonathan Livingston a écrit :
Il manque une info : si un opérateur (en tout cas Orange) propose la fibre pour votre logement, il ne propose plus l’ADSL.
Dernière phrase de la partie intitulée “Pensez portabilité, vérifiez votre éligibilité (fibre et dégroupage)”.
Voyons les choses de manière positive : la Freebox vante bien des services avant-gardistes pas encore disponibles. Sfr fait un peu la même chose avec des terminaux mobiles finalement.
« Pour InfraNum, « ce n’est pas suffisant », le lobby souhaite la réouverture du guichet du Fonds pour la société numérique (FSN) destiné au financement des réseaux d’initiative publique. Il permettrait ainsi « aux collectivités de lancer un RIP si elles n’obtiennent pas satisfaction », notamment dans le cadre des AMEL. »
C’est marrant, tout le monde se fout des failles de sécurité grosses comme des camions dans les tel Android… genre, comme si c’était normal.
C’est marrant, tout le monde croit que l’identification par lecteur d’empreintes digitales (et plus généralement, la biométrie) est infaillible… genre, FaceID soit-disant plus sécurisé que Touch ID, Alicem (Thales, Idemia, etc).
Je suis d’accord avec toi. ça n’empêche que ce sont les termes utilisés. C’est justement le sujet de mes commentaires : la stratégie des entreprises actuellement est basée sur la “transformation digitale”. Les guillements ne sont pas là pour faire joli, alors qu’est-ce que tu viens me faire la morale pour des termes utilisés par Enedis et d’autres ? Putain, ça me fait chier peut être plus que toi d’entendre ces termes à longueur de journée. Je ne vais pas faire comme si ça n’existait pas pour te faire plaisir.
Le
18/10/2019 à
06h
38
Patch a écrit :
Ils se font mettrent des doigts, pour insister autant sur la “digitalisation”? " />
Puisque le fond du sujet de mes commentaires t’intéresse tellement, voilà un extrait savoureux du site de recrutement d’Enedis :
« Nous nous adaptons aux évolutions du monde de l’énergie et anticipons celles de demain. Nous transformons en profondeur nos métiers et sollicitons les collaborateurs pour développer leurs compétences (digitalisation des métiers de la relation clients, analyse et exploitation des données avec des data scientists et l’E-CRM,…). »
Ils se font mettrent des doigts, pour insister autant sur la “digitalisation”? " />
C’est le terme utilisé par toutes les entreprises du numérique qui vantent leurs produits et services. Si ça ne te plait pas, va te plaindre à ceux qui inventent ces mots, pas au messager que je suis.
Le
17/10/2019 à
21h
14
Les techniciens d’Enedis sont dans la même galère que les usagers du réseau électrique. Je faisais surtout référence à la “digitalisation” ou “transformation digitale” qui touche tous les métiers, de la banque à la police nationale en passant par les syndics de copropriété.
Le problèmes est la croyance de l’industrie depuis le début des années 2010, que le numérique sera la solution à tout, avec uniquement des avantages (on dit aux gens que changer ne se fait pas sans mal, qu’il faut s’adapter,etc). Mais c’est une illusion, un leurre. Oui, le numérique a ses avantages, oui il faut prendre des risques. Non l’or noir des Big datas ne résoudra pas tout, non un écran tactile ne rendra pas l’exécution des tâches plus rapides et mieux faites.
Quand on prend l’exemple de la banque de détail, dans les années 1980 il y avait plus de services et plus de conseils pour le même prix qu’aujourd’hui. Le seul avantage aujourd’hui est que tout se fait par automate ou sur ordinateur (que ce soit en agence ou chez soi). Alors oui il y a du progrès dans la réactivité, mais non ce n’est pas plus efficient. C’est plutôt du lowcost à tarif “premium”. Linky, c’est du même tonneau (et on peut regarder tous les secteurs d’activité, c’est pareil).
Bref, la “digitalisation” = faire plus vite, collecter des données (anonymisées ou pas), faire du chiffre d’affaire le plus rationellement possible et passer totalement à côté du service et du conseil (la valeur à monnétiser est là, dans 10 ans on s’en rendra compte).
Le
17/10/2019 à
20h
57
SebGF a écrit :
Les deux.
Les erreurs ou maladresses de comm’ sont fréquentes, parce qu’elle n’est pas forcément comprise de la même façon que l’auteur l’a pensée.
Et le comportement sectaire est en train de devenir (devenu ?) une norme. On s’enferme dans sa petite bulle, ignore tout ce qui peut froisser notre vision du monde, et au moindre écart c’est l’intolérance totale. D’où le fait qu’on se retrouve avec des pseudo-débats campant sur leurs positions comme tu l’a dit, et totalement binaires.
Suffit de lire l’actualité pour s’en rendre compte : le moindre débat de société la question est “pour ou contre ?”. Mauvaise question.
Au contraire, chacun est surinformé. Des débats ? Oui, il y en a… mais certainement pas sur les chaînes de la TNT ou dans la presse écrite généraliste (les fameux “médias mainstream”, je sais que les conservateurs libéraux n’aiment pas cette expression, elle est pourtant très significative car cette presse est conservatrice et plait à la plupart des gens). Il faut s’intéresser à d’autres presses, plus confidentielles ou plus divergentes (je sais, ça agace et ça énerve, et c’est ça qui fait qu’on s’informe).
Bref, diversifier ses sources d’information, car lire Le Monde+Libération+Le Figaro et regarder TF1+Cnews+LCP ne suffit plus. La bulle dans laquelle s’enferment les individus est là, justement. On nous donne à voir la même info qui attise les peurs, le même traitement de l’info… Tout ça généralement pour l’audience, pour des intérêts particuliers (la publicité, le plus grand mal de l’espace médiatique). Pour autant, je ne suis pas en train de dire que lire Le Monde ou l’Express ne sert à rien, mais lire Le Monde et L’Express, c’est seulement lire la même chose, le même traitement, les mêmes sujets… s’enfermer dans la même bulle. La défiance envers Linky est seulement le résultat de cette masse d’informations qui n’informent pas et qui se répètent, qui occupent le temps de cerveau disponible. Et les gens qui voient leur niveau de vie fondre comme la glace du Groenland, sentent bien qu’on ne leur dit pas tout. Les autres profitent de leurs dernières illusions et de leur confort auquel ils s’attachent mordicus.
Le
15/10/2019 à
18h
19
fred42 a écrit :
Rappelons que l’on peut produire sa propre électricité.
Rappelons que nul n’est obligé ni de pouvoir, ni de vouloir produire sa propre électricité.
Le
15/10/2019 à
13h
13
Carboline a écrit :
Rappelons que nul n’est obligé de se raccorder à un réseau de fourniture d’électricité.
Rappelons que nul n’est obligé de se passer d’une fourniture d’électricité.
Le
14/10/2019 à
22h
23
Jarodd a écrit :
Donc cela confirme que le vrai problème est celu ide la gestion des données captées, pas les émissions radio. Seulement les gens ne sont pas conscients de ça, et c’est bien plus croutillant d’interviewer ma’me Michu qui a mal à la tête et est “sûre que c’est à cause du Linky” que de parler de ce sujet ennuyeux que sont les données personnelles.
Peut-être que la dissonance cognitive de notre société “digitalisée”, sur-informée et ultra-pilotée par algorithme (ultra-intelligente) est la cause du mal de tête de Mme Michu.
Le
14/10/2019 à
22h
07
OB a écrit :
mais ce n’est pas nécessairement ces données-là qu’ils pourraient être amenés à vendre, mais plutôt l’intelligence statistique produite à partir de ces données.
Mais du coup ça pose quoi comme problème, si les données personnelles ne sont pas identifiable, à part le fait que Enedis se fasse de la maille sur le dos des publicitaires & des autres fournisseurs d'énergie ?
[...]
Les problèmes ? Le fait que Enedis exploite 95% des réseaux de distribution de l'Hexagone. Le fait que Linky ait été présenté comme un avantage pour le consommateur dans la loi de transition énergétique de 2015 et dans la communication d'Enedis. Le manque de transparence quand à ces traitements d'information (la comparaison avec le fonctionnement des plateformes de Google et Facebook est très appropriée).
Et personnellement, j'irais plus loin en prenant un autre exemple, celui du vandalisme des radars automatiques de vitesse : on (les autorités publiques, la presse) s'étonne actuellement du vandalisme généralisé sur les radars automatiques de vitesse. Mais personne (sauf exceptions: Next inpact, Anticor, Stéphanie Fontaine, etc) ne parle du traitement d'information par des sociétés privées comme Atos, Decaposte (groupe La Poste) collectés par ces radars (même si l'automatisme, le traitement algorithmique n'est pas une mauvaise chose en soi), des erreurs de ces algorithmes.
Moi, je poserais une seule question : comment s'étonner du réflexe d'autodéfense du quidam (incarné par Mme Michu) alors que personne ne cherche à lui expliquer ou à lui démontrer le bien fondé du système, comment ces algorithmes aident à lui fournir un meilleur service, etc, et alors que personne ne lui demande si ça lui convient ou s'il souhaite rester à un fonctionnement plus "archaïque" (peut-être plus cher avec moins d'avantages) ?
Et je poserais une question subsidiaire : pourquoi donc imposer des avantages modernes (on dit "innovants" de nos jours) à Mme Michu qui n'a rien demandé alors qu'il est tout aussi facile de lui poser la question ? Pourquoi l'industrie fait encore comme si on était au XXe Siècle où les gens n'étaient pas informés à chaque instant de tout ce qui se passe ? Mme Michu a 27 chaînes de TV, un compte Facebook, elle communique via internet parfois via un ordiphone compatible 4G et EDF, le Trésor public, etc communiquent encore avec les méthodes du XXe Siècle ! C'est pas une appli mobile ou des systèmes algorithmiques qui vont "digitaliser" Mme Michu si la com' et le marketing ne comprennent pas que Mme Michu est déjà surinformée (on s'en fout qu'elle soit mal informée, Mme Michu a toujours été mal informée).
Le
14/10/2019 à
21h
37
eglyn a écrit :
Ahah tellement vrai, les gens se plaignent que Enedis peuvent savoir s’ils sont chez eux alors qu’ils ont leur smartphone allumé en permanence " /> Cherchez l’erreur…
Surtout qu'un cambrioleur ne va pas se faire chier à hacker Enedis pour savoir si tu es chez toi hein...
On peut regarder TF1 quotidiennement et militer contre la publicité. En quoi avoir un smartphone qui aspire ses données personnelles interdirait de se plaindre d'un système de collecte massive et abusif de données personnelles tel que Linky, Gazpar, et autre compteur d'eau Veolia, Sogedo ou Saur ?... Ah!... parce que dire des conneries, avoir un comportement contradictoire fait qu'on est un idiot qui raconte n'importe quoi et qui ferait mieux de retourner réviser sa copie ?
Dire des énormités, avoir la mauvaise démonstration disqualifie l'inquiétude, le refus, le désaccord ? Alors pourquoi l'ensemble des responsables politiques et de l'administration de n'importe quelle structure publique ou privée continuent à affirmer autant d'incohérences ? S'il fallait être un expert irréprochable pour décider de ce qui doit être, il n'y aurait que les zététiciens pour prendre des décisions (ça existe, ça s'appelle des théocraties, des technocraties... et encore la théorie ou la preuve est tellement longue à trouver qu'on y trouve encore bon nombre d'incohérences et de bétises). Pour autant de gens continuent toujours de leurs faire confiance ? Je pense plutôt que dire des conneries n'invalide pas un projet ou une insatisfaction. Mais bon, on peut continuer à tirer à boulets rouges sur des inexactitudes d'une démonstration qui n'en est pas une, et alors que l'enjeux est certainement ailleurs.
Et qu’en dit American Express ? Au contraire de Visa et de Mastercard, les cartes Amex n’ont pas de lien avec les banques de détail.
Le
16/10/2019 à
10h
09
dematbreizh a écrit :
« elle apporte une vraie valeur ajoutée et des réponses qui manquent encore aujourd’hui ».
une monnaie n’a pas à apporter une “valeur ajoutée”… ou alors ce n’est pas une monnaie qu’ils préparent.
La “valeur ajouté” dans cette phrase n’est pas pécuniaire. C’est de son utilité que X.Niel parle (ou alors, il parle de la valeur ajouté pour son propre investissement dans cette monnaie, va savoir…).
Le
15/10/2019 à
09h
53
Rien que le nom doit faire bondir n’importe quelle institution financière établie. Balancez là votre monnaie alternative concurrente ! Si elle est vraiment bonne, les autorités de régulation et de la concurrence (surtout en UE) vous laisseront passer sans dommage.
En fait, c’est un comme un droit de communication massive, un traitement généralisé de la donnée personnelle.
C’est beau. Dans 10 ans, on instaure Alicem sur toutes les plateformes et la communication avec Dieu ou Big Brother sera très bonne. De toute façon, je n’ai rien à cacher. Tout ça est un gag.
Le
16/10/2019 à
13h
46
Je voudrais comprendre comment le Trésor public compte rapprocher les données collectées avec le numéro fiscal de chaque contribuable.
Est-ce pour regrouper des données de faible pertinence concernant le même contribuable ?
Est-ce un rapprochement systématique ? Un traitement de données généralisé ou uniquement des données spécifiques retenues pour leur pertinence (en “oubliant” toutes les autres) ?
Je suis tout à fait d’accord et c’était l’opinion que je m’étais faite quand j’avais lu cet article. Mais après je préfère ne pas dire trop de bêtises.
Un tweet publié aujourd'hui de ma-neobanque.com où Red-by-SFR déclare : « Afin d’être en conformité avec la loi, à compter du 15/10/19, RED by SFR donne la possibilité à ses clients de transmettre leurs coordonnées bancaires européennes pour le règlement de leurs factures par prélèvement mais uniquement lors d’une ouverture de ligne fixe ou mobile dans un premier temps. »
Je pense aussi que banques françaises jouent sur l’ambiguïté entre les réseaux “CB”/Mastercard/Visa : en France, les cartes bancaires sont toujours couplées réseau CB et Mastercard/Visa, donc dans un réflexe conservateur, il y a une forme de déni à considérer qu’il ne s’agit pas de 2 réseaux différents sur la même carte (histoire que le consommateur ne se pose pas trop de question).
Or l'UE oblige aussi le commerçant à demander à son client quel réseau il souhaite utiliser pour un paiement par carte bancaire (c'est pour ça que les sociétés de paiement en ligne demandent si on souhaite payer par CB, Mastercard ou Visa avec notre carte bancaire). Il y a des TPE qui le font aussi, mais pas systématiquement (pourtant, sauf erreur de ma part, il me semble que le commerçant est obligé poser la question au client qui lui présente sa carte bancaire).
Le
13/10/2019 à
08h
15
gouge_re a écrit :
Est-ce si illégal ? Après, je ne suis pas un expert, hein. Je suis juste tombé sur cet article récemment et ça m’a fait me poser des questions.
Ce sujet m’intéresse particulièrement. À mon humble avis, les banques européennes n’ont pas le droit de refuser un IBAN ou une CB d’un autre État-membre. Or, tout le monde (consommateur et commerçant) est client d’une banque pour réaliser ses paiements. Donc, j’ai tendance à penser que peu importe le réseau dans lequel est affilié une banque européenne, ses prestations de paiement sont légalement obligatoirement acceptables par ses consœurs.
L’article en référence par du principe (à juste titre) que les néobanques comme N26 rognent sur les coûts pour être “lowcost” : pas d’affiliation au GIE “Cartes Bancaires” (logo “CB) en France, pas d’affiliation à tout les réseaux de compensation de transactions interbancaires, etc. Mais, ça m’agace toujours un peu d’envoyer la patate chaude aux uns ou autres : dans une interopérabilité légale, on est 2 co-responsables. C’est la même chose entre Cogent ou Google et les FAI : l’interopérabilité est obligatoire… Même si N26 est “lowcost”, même si les banques françaises détestent la concurrence européenne qui vient marcher sur leur territoire hexagonal.
Tant que la justice ne passe pas par là pour les mettre d’accord (comme dans l’affaire Cogent-Orange), le problème va persister longtemps. D’autant plus que le problème ne se résume pas à ça. Il y a aussi une histoire de territorialité de propriété intellectuelle pour les services de SVOD par exemple (la CB sert de contrôle de géolocalisation… en partant du principe qu’un consommateur situé en France détient un IBAN ou un numéro CB Français). Il y a également un problème de sécurité informatique : personnellement, mon IBAN d’une agence en ligne d’une banque française a été refusé par le système informatique de mon assureur. Il a fallu quelques semaines, le temps que l’incident remonte au siège de la société d’assurance pour valider l’IBAN (alors que tous les IBAN sont déjà sécurisés par une clé de contrôle, alors que je présentais l’original de mon IBAN à la conseillère de l’agence d’assurance et que les banques sont sensées faciliter leurs communications entre elles).
Tout ça pour dire que si N26 présente un IBAN et une CB allemandes, si le commerçant adhère au réseau “Mastercard”, alors le consommateur devrait voir son paiement accepté ou avoir une explication claire et précise du pourquoi du refus de carte (autre que “nous n’acceptons pas les CB étrangères”).
Quand le Wall Street Journal ou le New York Times “croit savoir”, ce n’est pas une rumeur, c’est une hypothèse crédible ou une probabilité (pour les mathématiciens).
Une rumeur, c’est quand le New York Post ou le Parisien “affirme de source sûre”.
Je sais, on aimerait tous pouvoir prouver tout ce qu’on dit, mais heureusement, on a inventé les hypothèses, les probabilités… et même les théories (pour aller encore plus loin).
Je pensais que tout le monde connaissait cette chute d’empire industriel par simple frilosité au changement inéluctable.
Le
14/10/2019 à
21h
13
Ricard a écrit :
Je savais pas que Niel faisait de la politique…
KP2 a écrit :
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C'est vrai que cette facon de parler est tellement utilisee par les politiques...
Parce que cette tribune aurait une autre raison d'être qu'un but politique ? Plaider que Libra existera avec ou sans Visa, Mastercard, Paypal, avec ou sans les États et les régulateurs financiers serait autre chose que de la politique ? Ceci dans l'un des seuls (si ce n'est le seul) quotidiens de la presse économique et financière française ?
Si seulement il avait développé quelques arguments d'analyse, mais non, il n'y a qu'un seul message : Libra est un projet qui vivra pour le bien de tous les individus sur Terre (un "service public" comme diraient d'autres), avec ou sans les institutions financières : "Soit vous investissez dedans, soit vous faites comme Kodak avec la photo numérique" (avoir les brevets et préférer conserver l'ancien modèle lucratif qui va chuter).
Le
14/10/2019 à
11h
48
gg40 a écrit :
J’ai eu cette mauvaise surprise ce matin en réglant malgré tout… Par chèque.
J’aurai payé par CB sans problème mais le site des impôts me demande mon IBAN (obligatoire) dès la connexion à mon espace perso sur impot.gouv.fr :(
Je n’avais pas connaissance du fait que le chèque, le TIP et le virement étaient impactés aussi (d’ailleurs, c’est très drôle de lire que le virement n’est pas “dématérialisé”). Enn tout cas, aux guichets du Trésor Public, il y a déjà quelques années que le paiement en espèces est limité à 300 euros (c’est simplement refusé par le fonctionnaire derrière son comptoir).
Le
14/10/2019 à
11h
41
js2082 a écrit :
Après, faut aussi se dire que si ses propos sont exacts, siLibra permet une stabilité monétaire et devient une valeur refuge, cela va à l’encontre de l’intérêt de nombreuses banques (et traders) qui jouent justement avec ces instabilités pour se faire plus d’argent.
Le système bancaire actuel profite de ces instabilités pour augmenter ses profits au détriment de la population en général.
Avec Libra, soit effectivement on aura une stabilité qui sera bénéfique pour la majorité, soit on aura la même instabilité mais qui profitera à d’autres.
L’un dans l’autre, Libra n’est pas une plus mauvaise chose que ce qui existe au final.
Qu’est ce qui serait différent avec Libra par rapport à l’Euro ou au Dollar concernant les instabilités de change ? A part s’il existe une parité entre les monnaies, ça fluctue de la même manière.
Le
14/10/2019 à
09h
12
Les arguments de X.Niel sont peu convaincants pour moi : il s’agit encore une fois (je pense à Free Basics) de permettre aux individus les plus défavorisés de la planète qui ne peuvent pas vivre comme des occidentaux, de consommer.
Pourtant, il y a d’autres avantages pour une monnaie alternative : être non-spéculative pour certaines, correspondre à un objectif ou à une communauté d’intérêts pour d’autres.
Libra est finalement un boulet que Facebook and co aimeraient bien nous mettre à la cheville. Déjà que l’État français promeut la CB et la monnaie scripturale numérique (300€ le plafond en monnaie fiduciaire, en espèces sonnantes et trébuchantes quand on veut payer le Trésor public) pour contrôler nos faits et gestes… oui même si “je n’ai rien à cacher”.
Par contre ils n’ont pas compris qu’une box simple ne doit pas être non plus au même prix qu’une avec moult éléments en plus.
En même temps, je préfère des opérateurs avec des stratégies radicalement différentes que des fournisseurs qui se copient mutuellement les mêmes défauts (je pense évidemment à TF1/M6/NextRadioTV/Canal qui font la même chose avec les mêmes stratégies, les mêmes moyens, les mêmes programmes, à croire que les directeurs des programmes de chaque chaîne passent leur temps à faire de la veille marketing).
Ma Freebox révolution fête ses 8 ans. Y’a pas a dire on a vachement progressé depuis…Sérieusement, c’est juste une honte de la part de l’opérateur numéro 1 français et qui pratique des prix élevés.
Hormis les prix élevés, en quoi la Livebox ne fait pas ce à quoi elle est destinée ? Je trouve que c’est un équipement qui fait le travail. Et cette Livebox 5 a l’air plus évolué qu’une Bbox (le boîtier blanc qu’on met entre l’ONT blanc et le boîtier noir qui sert d’AndroidTV). En plus, en parlant de la Freebox Delta (j’imagine qu’il s’agit de ça) à 50€ par mois + 480 € : j’aimerais bien avoir le profil-type du public qui accepte une telle offre (j’imagine la famille qui aime les produits ultra-tendance à l’avant-garde de ce qui est encore à l’état de projet prometteur).
1298 commentaires
26 des 30 plus gros sites de presse autorisent Google à diffuser leurs extraits gratuitement
22/10/2019
Le 23/10/2019 à 09h 33
Le 23/10/2019 à 08h 57
La publicité ciblée n’a rien de bidon. Google News fait partie des services imbriqués entre eux de Google. Google récolte des données sur ses utilisateurs pour les profiler. Profiler ses utilisateurs sert à cibler les publicités vendues par Google dans le but de monétiser les activités de Google.
Ce n’est pas bidon de dire que 80% du chiffre d’affaire de Google est de la vente de publicité ciblée.
https://www.journaldunet.com/ebusiness/le-net/1207982-d-ou-viennent-les-revenus-…
Ne chipotons pas sur les statistiques. Ce sont des ordres de grandeurs qui correspondent de toute façon à des réalités factuelles.
Le 23/10/2019 à 08h 10
Le 22/10/2019 à 10h 05
Le 22/10/2019 à 10h 01
Exposition aux ondes (DAS) : l’ANSES alerte et veut changer les règles
22/10/2019
Le 23/10/2019 à 06h 55
Tu n’as pas écrit le contraire mais tu n’as pas apporté la nuance non plus.
Le 22/10/2019 à 19h 32
Ce qui me semble important : je note que l’ANSES est saisie par la Direction générale de la prévention des risques (DGPR) et la Direction générale de la santé (DGS) dont l’objectif (si j’ai bien compris) est de rechercher des preuves d’éventuelles innocuités ou d’éventuelles nocivités dans l’usage des terminaux mobiles.
Comme dit précédemment :
Le 22/10/2019 à 17h 57
Abonnement Next INpact à 30 euros pour nous soutenir : après ce soir, il sera trop tard
24/10/2019
Le 22/10/2019 à 10h 25
Le 22/10/2019 à 04h 41
Moi, de 2005 à 2013, j’étais abonné à arretsurimages.net. Daniel Schneidermann a même fait un crowdfunding pour payer un arriéré de TVA parce qu’il militait pour la TVA à 2,1% pour la prese en ligne (comme le taux pour la presse papier) et le fisc lui a demandé de payer le vrai taux avant le changement (ce qui est logique). Moi, j’ai pensé que arrêt sur images était fini. Et bien pas du tout. Toujours à l’équilibre. Équilibre budgétaire précaire mais ça fonctionne encore.
Tout ça pour dire que tes imprécations concernant la fin de nextinpact.com, c’est du vent. Tu peux y croire et peut-être que dans 1 an, dans 3 ans, dans 10 ans, … Next inpact disparaîtra, et tu pourras dire :“je vous l’avais bien dit”. En attendant, tu continue d’avoir tort depuis plusieurs années et tu dépenses ton énergie pour rien.
Le 21/10/2019 à 18h 07
Dire ce qu’on pense est salvateur. C’est juste que le commentaire ne parlait que du contenu du titre et du chapô des articles. À la lecture, il y a tout de même plus de détails… Et non, les 2 articles mentionnés ne sont pas creux, bien que ennuyeux pour qui ne s’intéresse pas au sujet des débats parlementaires.
Et pour tout dire, moi ce qui m’ennuie sur Next inpact, ce sont les articles d’astronomie et les articles “logiciels”, OS mobiles, applications. Mais comme je ne les lis pas, ça ne me dérange pas plus que ça et je n’ai pas besoin de dire que ce sont des articles répétitifs et sans détail à l’intérieur.
Le 21/10/2019 à 18h 00
Le 21/10/2019 à 17h 51
Le 21/10/2019 à 17h 41
Libra pourrait finalement être une série de stablecoins, selon David Marcus
22/10/2019
Le 22/10/2019 à 09h 44
Des “proxi-monnaies” (cf l’actu à propos de la tribune de X.Niel dans lesechos.fr), il y en a à foison dans les start-up hexagonales. Par exemples, Lyra (et sa marque phare Payzen), Lyf Pay.
La force de Libra est le réseau Facebook/Whatsapp/instagram et ses partenaires du monde entier. Mais dans ces caractéristiques, je vois mal le côté “proximité”.
Internet fixe : notre guide détaillé des meilleures offres xDSL, fibre et 4G
17/10/2019
Le 21/10/2019 à 18h 59
Le 21/10/2019 à 18h 41
Le 17/10/2019 à 11h 39
#Flock a faim de cookies
19/10/2019
Le 20/10/2019 à 08h 00
Le 19/10/2019 à 14h 50
Mon préféré est le dessin à propos du compteur Linky car il révèle bien la situation : la boîte “jaune vert anisé fluo”© sensée représenter l’innovation mais perçue comme un artefact maléfique.
© index 5:30 de la vidéo “La question qui fâche” franceinfo https://mobile.francetvinfo.fr/economie/video-linky-on-est-bien-proteges-selon-b…
SFR vend des smartphones 5G… sans le réseau qui va avec
17/10/2019
Le 19/10/2019 à 14h 25
Voyons les choses de manière positive : la Freebox vante bien des services avant-gardistes pas encore disponibles. Sfr fait un peu la même chose avec des terminaux mobiles finalement.
Plan France THD : réouverture du guichet avec l’intégration du reliquat de 140 millions d’euros
18/10/2019
Le 19/10/2019 à 10h 48
à propos du guichet du plan France THD :
« Pour InfraNum, « ce n’est pas suffisant », le lobby souhaite la réouverture du guichet du Fonds pour la société numérique (FSN) destiné au financement des réseaux d’initiative publique. Il permettrait ainsi « aux collectivités de lancer un RIP si elles n’obtiennent pas satisfaction », notamment dans le cadre des AMEL. »
23/05/2019 - Next INpact
Galaxy Note10 et S10 : une mise à jour arrive pour corriger le lecteur d’empreintes bien trop permissif
18/10/2019
Le 19/10/2019 à 09h 55
Exposition aux ondes : l’ANFR a mesuré 178 lieux équipés de Linky, sans trouver à redire
14/10/2019
Le 18/10/2019 à 07h 21
Je suis d’accord avec toi. ça n’empêche que ce sont les termes utilisés. C’est justement le sujet de mes commentaires : la stratégie des entreprises actuellement est basée sur la “transformation digitale”. Les guillements ne sont pas là pour faire joli, alors qu’est-ce que tu viens me faire la morale pour des termes utilisés par Enedis et d’autres ? Putain, ça me fait chier peut être plus que toi d’entendre ces termes à longueur de journée. Je ne vais pas faire comme si ça n’existait pas pour te faire plaisir.
Le 18/10/2019 à 06h 38
Le 18/10/2019 à 06h 31
Le 17/10/2019 à 21h 14
Les techniciens d’Enedis sont dans la même galère que les usagers du réseau électrique. Je faisais surtout référence à la “digitalisation” ou “transformation digitale” qui touche tous les métiers, de la banque à la police nationale en passant par les syndics de copropriété.
Le problèmes est la croyance de l’industrie depuis le début des années 2010, que le numérique sera la solution à tout, avec uniquement des avantages (on dit aux gens que changer ne se fait pas sans mal, qu’il faut s’adapter,etc). Mais c’est une illusion, un leurre. Oui, le numérique a ses avantages, oui il faut prendre des risques. Non l’or noir des Big datas ne résoudra pas tout, non un écran tactile ne rendra pas l’exécution des tâches plus rapides et mieux faites.
Quand on prend l’exemple de la banque de détail, dans les années 1980 il y avait plus de services et plus de conseils pour le même prix qu’aujourd’hui. Le seul avantage aujourd’hui est que tout se fait par automate ou sur ordinateur (que ce soit en agence ou chez soi). Alors oui il y a du progrès dans la réactivité, mais non ce n’est pas plus efficient. C’est plutôt du lowcost à tarif “premium”. Linky, c’est du même tonneau (et on peut regarder tous les secteurs d’activité, c’est pareil).
Bref, la “digitalisation” = faire plus vite, collecter des données (anonymisées ou pas), faire du chiffre d’affaire le plus rationellement possible et passer totalement à côté du service et du conseil (la valeur à monnétiser est là, dans 10 ans on s’en rendra compte).
Le 17/10/2019 à 20h 57
Le 15/10/2019 à 18h 19
Le 15/10/2019 à 13h 13
Le 14/10/2019 à 22h 23
Le 14/10/2019 à 22h 07
Le 14/10/2019 à 21h 37
Remue-ménage autour de Libra et première réunion officielle des membres restants
15/10/2019
Le 18/10/2019 à 05h 23
Et qu’en dit American Express ? Au contraire de Visa et de Mastercard, les cartes Amex n’ont pas de lien avec les banques de détail.
Le 16/10/2019 à 10h 09
Le 15/10/2019 à 09h 53
Rien que le nom doit faire bondir n’importe quelle institution financière établie. Balancez là votre monnaie alternative concurrente ! Si elle est vraiment bonne, les autorités de régulation et de la concurrence (surtout en UE) vous laisseront passer sans dommage.
Big Brother Bercy : le gouvernement justifie la future collecte de masse
16/10/2019
Le 16/10/2019 à 14h 02
En fait, c’est un comme un droit de communication massive, un traitement généralisé de la donnée personnelle.
C’est beau. Dans 10 ans, on instaure Alicem sur toutes les plateformes et la communication avec Dieu ou Big Brother sera très bonne. De toute façon, je n’ai rien à cacher. Tout ça est un gag.
Le 16/10/2019 à 13h 46
Je voudrais comprendre comment le Trésor public compte rapprocher les données collectées avec le numéro fiscal de chaque contribuable.
Est-ce pour regrouper des données de faible pertinence concernant le même contribuable ?
Est-ce un rapprochement systématique ? Un traitement de données généralisé ou uniquement des données spécifiques retenues pour leur pertinence (en “oubliant” toutes les autres) ?
À l’Assemblée, nouvelle offensive pour taxer les entrepôts des « drives » et cybermarchands
15/10/2019
Le 15/10/2019 à 19h 53
N26 dépasse le million de clients en France
11/10/2019
Le 15/10/2019 à 18h 58
Le 13/10/2019 à 08h 22
Je pense aussi que banques françaises jouent sur l’ambiguïté entre les réseaux “CB”/Mastercard/Visa : en France, les cartes bancaires sont toujours couplées réseau CB et Mastercard/Visa, donc dans un réflexe conservateur, il y a une forme de déni à considérer qu’il ne s’agit pas de 2 réseaux différents sur la même carte (histoire que le consommateur ne se pose pas trop de question).
Le 13/10/2019 à 08h 15
Libra : nouvelles défections (MasterCard, Visa, eBay et Stripe), Xavier Niel vante ses mérites
14/10/2019
Le 15/10/2019 à 07h 15
Le 15/10/2019 à 06h 57
Le 14/10/2019 à 21h 13
Le 14/10/2019 à 11h 48
Le 14/10/2019 à 11h 41
Le 14/10/2019 à 09h 12
Les arguments de X.Niel sont peu convaincants pour moi : il s’agit encore une fois (je pense à Free Basics) de permettre aux individus les plus défavorisés de la planète qui ne peuvent pas vivre comme des occidentaux, de consommer.
Pourtant, il y a d’autres avantages pour une monnaie alternative : être non-spéculative pour certaines, correspondre à un objectif ou à une communauté d’intérêts pour d’autres.
Libra est finalement un boulet que Facebook and co aimeraient bien nous mettre à la cheville. Déjà que l’État français promeut la CB et la monnaie scripturale numérique (300€ le plafond en monnaie fiduciaire, en espèces sonnantes et trébuchantes quand on veut payer le Trésor public) pour contrôler nos faits et gestes… oui même si “je n’ai rien à cacher”.
L’offre Livebox Up d’Orange passe à 50 euros par mois : Livebox 5 et 2 Gb/s « partagés »
11/10/2019
Le 14/10/2019 à 16h 23
Livebox 5 : une simple révision avec quelques astuces marketing
11/10/2019
Le 14/10/2019 à 16h 15
Hormis les prix élevés, en quoi la Livebox ne fait pas ce à quoi elle est destinée ? Je trouve que c’est un équipement qui fait le travail. Et cette Livebox 5 a l’air plus évolué qu’une Bbox (le boîtier blanc qu’on met entre l’ONT blanc et le boîtier noir qui sert d’AndroidTV). En plus, en parlant de la Freebox Delta (j’imagine qu’il s’agit de ça) à 50€ par mois + 480 € : j’aimerais bien avoir le profil-type du public qui accepte une telle offre (j’imagine la famille qui aime les produits ultra-tendance à l’avant-garde de ce qui est encore à l’état de projet prometteur).