Sur l’obsolescence programmée j’ai de sérieux doutes, en revanche sur la tromperie du fait du défaut d’information durant des années c’est déjà plus costaud.
Le souci du développement sur Smartphone c’est que outre le fait qu’on attaque direct du Android/Java, ça peut être vite compliqué à mettre en place un bon environnement de travail (et on peut vite se demander si il faut passer par Android Studio, VS ou si on envoie pas tout chier pour en fait lancer XCode " />).
Pour RPi, on pense à des trucs, mais on voulait déjà taper dans un tuto "large" d'accès, surtout qu'on fini assez rapidement en mode tuto d'électronique plus que de programmation
J'adore! Merci.
Je comprends qu'il faut faire un choix, mais précisément une application windows only (certes dans un premier temps) c'est un peu dommage.
Si on peut suggérer, je trouve que faire la même appli mais mobile avec un soft open source, gratuit et multiplateforme comme keosu (keosu.com) serait bien sympa (et avec une gestion d'une petite db ca serait top , oui je bloque sur le point ^^ ).
Précisément, l'environnement de test est accessible à tous (un pauvre serveur lamp de base), et la programmation est très accessible (même lorsqu'on doit mettre les mains dans le cambouis)
Cerise sur le gâteau outre le fait que l’appli sera multiplateforme, l’environnement de dev étant lui-même multiplateforme, tous les lecteurs (win, linux, mac) peuvent suivre le tuto :)
Il faut lire jusqu’au bout, tu oublies “et renvoyant vers l’une des pages des sites”.
D'ailleurs la formulation avec des ET a l'air étrange :
« Ordonne toutes mesures en vue d'empêcher l'apparition de tout résultat portant sur les sites ZT, PS et SS et en tant que de besoin renvoyant notamment vers l'une quelconque des pages des sites »
Donc Google doit empêcher l'apparition des résultats qui portent sur les 3 sites à la fois et qui renvoient vers une page d'un des sites. Pourquoi ils ont pas écrit OU ?
Quasiment aucun résultat de google n'aura ses caractéristiques, c'est comme le sketch des inconnus les flics :
- Il faut arrêter les détenteurs de cocaïne, d'héroïne et de shit.
- Oui chef, j’ai failli en arrêter un : il avait de l’héroïne et de la cocaïne !
- Tu l’a pas coincé ??
- Il n’avait pas de shit !
On est d’accord sur l’invention du “ET” alternatif ^^
Néanmoins le “par ces motifs” précise bien que “et en tant que besoin renvoyant notamment vers l’une quelconque des pages des sites accessibles via les noms de domaine .su, .ru, .eu et .ws”.
Aussi, le fait de renvoyer vers les pages et leurs divers domaines n’est pas un critère qui se cumule avec le précédent pour décider de bloquer, mais bien alternatif ; “en cas de besoin” ou “si besoin” si tu préfères.
Par conséquent, le premier critère de blocage (qui est en lui-même suffisant) est le fait “d’empêcher l’apparition sur les services du moteur de recherche Google de tout résultat en réponse à une requête […] portant sur les site “zone de etc…” [et bien relever qu’il n’est mentionné que les noms des sites]
C’est donc extrêmement dangereux. Une interprétation littérale devrait conduire à virer des résultats un site comme NextInpact qui traite dans un cadre journalistique de l’affaire et nécessairement cite le nom des sites.
Le
22/12/2017 à
14h
42
empty a écrit :
Extrêmement dangereux ? Heu…
Ils parlent des noms de domaines qui font des redirections vers un même site, déjà identifié comme problématique.
La manip est connue quand même, et ils en ont marre de se faire avoir.
Je serai une asso de défense du net, j’achèterai un nom de domaine similaire au site litigieux avec une des extensions dispo, pour y traiter du principe de la neutralité du net et de l'accès à l'information en commentant et citant le Jugement en cause ici.
Google (entre autres) en appliquant à la lettre la décision devrait me déréférencer . Je ne manquerai pas de saisir la même Juridiction pour obtenir la lever des obligations qui concerne un site légitime et traite de la décision (et donc reprenant les noms des sites, mais encore les url citées dans la décision).
Je te rappelle "l'extrait du par ces motifs" cité:
"Ordonne [...] toutes mesures utiles en vue d'empêcher l'apparition sur les services du moteur de recherche Google de tout résultat en réponse à une requête émanant d’internautes [...] portant sur les sites « Zone Telechargement », « Papstreaming » et « Sokrostream » et en tant que de besoin renvoyant notamment vers l'une quelconque des pages des sites accessibles via les noms de domaine etc..."
Tel que formulé, il n’est pas question d’interdire de référencer une page vers un des sites existants (ou pouvant exister sous une nouvelle extension), mais d’interdire tout résultat à une requête sur les noms des sites.
Le
22/12/2017 à
12h
05
Le Jugement totalement disproportionné dont la motivation est extrêmement dangereuse:
l'atteinte au droit d'auteur permet de justifier une entrave à l'accès à l'information sur des sites/pages futurs et non uniquement sur des sites/pages actuellement identifiés comme problématiques !
Si Google (ou les autres) ne fait pas appel, c'est dramatique.
Je comprends mieux (j’avais immédiatement re-séparé barre de recherche et barre d’url sur ffx).
Outre cette théorie, ca laisse entière la question de savoir s’il est légitime que Google prenne sur lui de référencer une page non linkée?
Le
22/12/2017 à
11h
56
Sheepux a écrit :
Rien de compliqué/sorcié. Comme le pressent P-A : taper l’url dans le navigateur, oops un espace et ca lance la recherche google. Google découvre alors un domaine inconnu et explore pour le principe.
Cf ma réponse, la recherche lancée par hasard me semble plus que probable (ca m’arrive souvent)
Merci pour cette précision, j’ignorais que l’utilisation de chrome pouvait guider Google dans ses recherches…
Voila qui me dissuade définitivement d’utiliser chrome (que je n’utilise pas restant fidèle à firefox).
Le
21/12/2017 à
18h
31
P-A a écrit :
C’est une vraie question. Sachant que le lien était complétement privé et que j’était le seul a l’avoir. J’ai aucune preuve mais y’a quelque chose de louche. Comment Google Bot peut arriver sur cette page (sachant qu’en plus, on n’utilise plus google analytics depuis un bail) ? J’ai pas de réponse, mais le seul lien que je peux trouver, c’est (était) l’utilisation de Chrome.
Oui c'est plus que curieux et je doute que google gaspille du temps de calcul de ses serveurs à taper au hasard sur chaque site dans l'éventualité de trouver une page non linkée...
L’info pourrait être remontée à la CNIL (MP si vous voulez le contact d’une personne qui y travaille, mais vous avez probablement vos propres connaissances).
Le
21/12/2017 à
16h
45
127.0.0.1 a écrit :
C’est vrai que Google ne devrait pas scanner les fichiers *.cookie
heu… wait! C’est quoi déjà un cookie ? " />
Ben oui quel intérêt pour google d’aller chercher cette info (qui plus est sans lien) ?
Le
21/12/2017 à
16h
29
Belle réactivité ! :)
En revanche, je trouve inadmissible que Google référence les cookies des sites, information qui ne le concerne en rien et n’a aucun intérêt s’agissant du référencement à proprement parler.
On va dire qu’il ne peut rien en faire du fait du chiffrement, ok, néanmoins il a nécessairement tapé au hasard à la recherche de “pages” cachées puisqu’il n’y avait aucun lien!
(* et encore, innovant, je suis gentil. Il suffit d’ouvrir un livre d’histoire au chapitre “19e siècle” pour trouver peu ou prou la même recette)
J’adhère totalement à ton dernier propos (notamment).
Le
21/12/2017 à
11h
27
Estebam a écrit :
Je comprends mieux l’interdiction en France car elle base sur la tarification du service. Mais je comprends pas la décision Européenne car elle se base sur d’autres critères qui pour le coup peut s’appliquer à des entreprises comme Blablacar par exemple.
A charge pour les états de faire leurs boulots et d’encadrer le covoiturage (en France c’est le cas notamment avec l’article L. 3132-1 du code des Transports ainsi que le code des assurances).
Ce qui est dit par l’arrêt de la CJUE n’a rien d’extraordinaire, et contrairement à la perception de certains ne veut pas dire faire la guerre aux boites liées aux “nouvelles” technologies.
L’arrêt impose simplement que des acteurs économiques d’un secteur d’activité donné jouent avec les mêmes règles pour éviter les distorsions de concurrence, chose que souhaitait Uber…
Ca me semble normal, bien souvent ce qui est décrit comme une innovation n’est pas un service nouveau mais un outil nouveau pour accéder à un service existant.
Le
21/12/2017 à
10h
17
127.0.0.1 a écrit :
On devrait surtout soigner notre schizophrénie et assumer que le gentil état-providence a besoin de la méchante économie de marché.
Les (maigre) revenus que ne toucheront pas les uberpeople seront remplacés par des (maigres) allocations. Au final, il y aura toujours un transfert d’argent entre individus mais pas sous les mêmes conditions et pas pour les mêmes raisons.
Ce raisonnement m’étonne de ta part.
Ceux qui se font quatre ronds en uberpop sont les dindons de la farce: ils produisent un travail, en assument tous les risques, sont jetables à tout moment de la plateforme, ne peuvent même pas en vivre dignement de sorte que la collectivité doit les aider, le tout en étant ponctionnés par une entité qui ne veut contribuer à rien.
La boite copie/colle son concept de pays en pays, en se finançant totalement hors sol c’est-à-dire à coup de levées de fonds, mais sans jamais que ceux qui fournissent la force de travail et la collectivité ne puissent en voir la couleur.
Au final, ce système ne met jamais au pot mais paupérise les gens tout en faisant peser les risques de son activité sur la collectivité.
C’est pas l’économie de marché, c’est le far west ce modèle.
Et je te parle même pas de la province ou t’es en surfacturation habituel.
Clairement: je ne suis pas un grand utilisateur d’Uber, mais mes quelques utilisations de cette plateforme m’ont fait constaté un prix similaire aux taxis, sauf à Paris où j’ai douillé bien 10€ de plus pour la même course en taxi.
Le
20/12/2017 à
17h
53
Et merci à Xavier pour son analyse ! :)
Le
20/12/2017 à
17h
45
Vous êtes optimistes… S’il est noté qu’il s’agit de chauffeur non professionnel, le critère déterminant est « une offre de services de transport urbain, qu’il rend accessible notamment par des outils informatiques (…), et dont il organise le fonctionnement général “.
Et de poursuivre; “« doit donc être considéré comme faisant partie intégrante d’un service global dont l’élément principal est un service de transport et, partant, comme répondant à la qualification non pas de « service de la société de l’information », au sens de [la directive sur le e-commerce], mais de « service dans le domaine des transports »”
Aussi, si l’activité peut sembler être liée aux nouvelles technos (“société de l’information”), comme la boite contrôle toute la prestation principale, in fine l’activité de la boite relève de la prestation offerte (transport si c’est une prestation principale de transport, restauration si c’est une prestation principale de bouffe etc…).
Le
20/12/2017 à
16h
35
“que cette société collecte ce prix auprès du client avant d’en reverser une partie au chauffeur non professionnel du véhicule”
Ce critère (et même les autres) va faire très mal et pas que chez AirBNB, UBER et autres…
D’un autre coté, n’est-ce pas la rançon du succès de ces startups devenues multinationales mais qui malgré leurs importances ne veulent pas jouer le jeu de la contribution au bien général par l’impôt, l’emploi et donc les cotisations etc…? (chose qui n’empêche pas de vouloir un meilleur usage de l’argent public et des contributions justes).
Le
20/12/2017 à
16h
28
skankhunt42 a écrit :
Depuis que uber existent les taxis ont t’il une baisse de leur chiffre d’affaire ? Et si oui, pourquoi ? A cause du prix ? Du service ? Et si l’un des deux ( ou les deux ) était amélioré chez les taxis, uber aurait t’il pu apparaitre ?
De mes infos persos (donc je ne dis pas que c’est généralisable), oui très grosse baisse dans les premières années de déploiement des services UBER.
Depuis quelques mois, voire une bonne année, la baisse semble s’être enraillée (possible aussi que la quasi-généralisation du paiement par CB chez les TAXI d’une part, et le nombre de fois où tu te trouves comme par hasard en mode surtarification chez UBER parce qu’il y aurait une forte demande, rééquilibrent les choses …).
Exactement ce qu’a vécu ma soeur et son mari avec amazon. Elle avait un site internet pour vendre des produits pour la maison, elle a fini par utiliser le marketplace amazon. Elle a tenu 3 ans (sans se verser de salaire) et a fini par abandonner. Difficile de concurrencer amazon sur les prix (tu vas acheter 10 exemplaires d’un article à un fournisseur quand des gros vont en acheter 1000, forcément tu vas pas avoir les mêmes ristournes). Bref, vouloir vendre sur amazon quand tu es petit, c’est de la poudre au yeux, tu finiras par fermer.
C’est hélas ce que j’ai pu constater.
Le
20/12/2017 à
15h
03
nikon56 a écrit :
se lancer ou? dans un proces?
imagine qu’on le fasse:
1- on disparaît d’Amazon
2- ça prend mini 10 ans (et je suis gentil)
3- ça vas coûter des sommes incroyables
4- au final on a gagné quoi?
même de très grosses entreprises n’ont PAS les moyen d’y aller, même les gouvernements hésitent a s’y frotter!
J’ai hélas bien conscience de la difficulté.
Le
19/12/2017 à
11h
04
nikon56 a écrit :
on es coté au CAC, leader sur notre marché et on peut rien faire malgré les contrats! si éventuellement attaquer en justice et espérer un procès qui nous donneras raison dans 50 ou 60 ans…. et encore!
C’est dommage que les “gros” ne se lancent pas s’il y a matière, car je sais que mes “petits” vendeurs ont pas la capacité d’engager un bras de fer avec les méga-marketplaces qui effectivement sera très casse gueule et potentiellement long.
Le
18/12/2017 à
18h
28
Sauf erreur, mais c’est vraiment pas ma tasse de thé, on parle pas de cryptage mais de chiffrement/chiffrage.
Le
18/12/2017 à
16h
24
darkbeast a écrit :
ouais enfin les vendeurs tiers qui n’en n’ont rien à foutre et qui t’expédient le produit quand il veulent et quand au bout d’un mois tu leur demandes des comptes te disent “c’est perdu dans la mail” on en parle ?
Si le vendeur est en France (et même Europe), tu n’auras pas de mal à le faire condamner.
D’accord ça prend un peu de temps, c’est contraignant, mais je peux te garantir que les sanctions tombent vraiment et que ça lui coute souvent bien plus cher que le montant du produit qu’il a pas livré (bon sauf si entre temps le type qui était en Société, se fout en liquidation et tente de disparaitre…).
Le
18/12/2017 à
16h
19
nikon56 a écrit :
et faut voir également la tronche des réclamations, remplacer un produit défectueux, ou qui ne correspond pas a ce que l’acheteur voulait réellement, OK. accepter un retour pour un produit dont le client ne veut plus après 6 mois d’usage clairement intensif….non.
J’ai vu des retours à 16 mois ! La raison était simple, le produit pouvait être facilement modifiable via un flash du firmware pour accéder à des contenus satellites payants (abonnements).
Puis, le diffuseur des contenus a changé son mode de chiffrage rendant obsolète l’appareil, qui ne pouvait plus capter que les programmes en clair, même avec le firmware qui va bien.
Le consommateur était donc en tort en mettant un firmware illégal et par ailleurs non autorisé par le constructeur lequel a refusé fort logiquement de reprendre les produits ainsi modifiés, mais n’a pas manqué de produire une nouvelle version de son appareil pouvant là encore être facilement modifié pour accéder aux contenus payants malgré la nouveau chiffrage…
Mais entre temps, Amazon a accepté les demandes de remboursements des consommateurs indélicats, les vendeurs se retrouvant coincés ; devant rembourser et conserver des appareils invendables car illégaux, tout en achetant la nouvelle version, pouvant légitimement s’attendre à une rebelote lorsque le diffuseur changera à nouveau le mode chiffrage… en récupérant là encore des produits modifiés…
Le
18/12/2017 à
15h
59
revker a écrit :
Amazon exige une qualité de service irréprochable et ils ont raison. Quand un produit est vendu par un fournisseur tiers et qu’une réclamation est faite, Amazon nous rembourse tout de suite et se débrouille par la suite avec le vendeur.
Précisément s'il y a des produits défectueux, y a aussi des cas où le consommateur casse le produit ou à l'inverse l'utilise longtemps puis prétend qu'il ne marche plus alors qu'il est simplement obsolète (nouvelle version etc...) mais fonctionne toujours parfaitement.
Aussi, le produit étant déjà repris, le petit vendeur peut pas faire grand chose, car à ce moment là le consommateur pourra toujours prétendre que c'est postérieurement au retour accepté par Amazon que le produit a été pété ou à l'inverse refonctionne ... (Et là à toi de ramer entre le relais colis, les transporteurs, les plateformes d'acheminement etc...)
Le
18/12/2017 à
15h
43
nikon56 a écrit :
c’est moins de 24h en général une demie-journée
Je confirme ,si tu veux respecter les délais; soit tu es une énorme boite avec un standard (éventuellement décentralisé) et à la limite amazon te vire ou pas tu t'en tapes, soit tu es une petite structure et tu peux dédier ta vie à la marketplace.
De mon expérience c’est souvent des petites structures, le bordel le stock est dans le garage et le couple de gérants ne fait plus que gérer ça. Au début, ca semble bien marcher, en revanche quelques années après ils sont sur les rotules et galèrent.
Le
18/12/2017 à
15h
35
Pour travailler avec quelques vendeurs , qui sont aussi sur Amazon, c’est très compliqué de résister aux exigences d’Amazon.
C’est pas tellement sur les prix que j’ai constaté des difficultés (sachant que l’essentiel des marketplaces t’imposent plus ou moins régulièrement de faire des promos ou de casser les prix) mais plus sur des demandes remboursements / remplacement d’un bien, après que le bien ait été largement utilisé par le consommateur ou cassé.
Là Amazon a tendance à pas faire dans le détail et les vendeurs ont le sentiment d’être mis devant le fait accompli.
Et si tu regardes dans les conditions générales, ben tu découvres que tu as accepté plein de choses que structurellement un petit vendeur peut pas assumer (délais de livraison, temps de réponse, prise en charge en SAV dans tel délai etc…)
Très intéressant, si tu as le lien je veux bien parce que je ne trouve que des softs sur l’impôt sur le revenu en libre.
Le
18/12/2017 à
15h
08
OlivierJ a écrit :
“forker” le calcul des impôts, comme Balkany ou Cahuzac, par exemple ? " />
(blague à part, je ne pense pas que quiconque va "forker" le calcul de l'impôt, je ne vois pas l'intérêt :-) )
Je ne pige pas le choix des mots "opaque" et "magouille dans son coin" : où est l'opacité, concrètement ? Tu trouves que le calcul de ton impôt est opaque, vraiment ?
Quant à l'aspect "magouille dans son coin", elle ne peut pas magouiller dans son coin puisque son travail est publié (envers chacun de façon un peu confidentielle), basé sur les lois et décrets.
Je pourrais reprocher des choses à Bercy, mais pas d'être opaque (et je n'ai encore jamais entendu personne - à part toi à présent - parler d'opacité concernant l'impôt sur le revenu ou sur les sociétés).
Pour les lobbyistes c'est un outil intéressant, tu as des grands groupes de conseil en fiscalité qui attaquent en frontal les députés en venant avec des simus qui sont internes (donc outils internes nécessairement).
Donc un outil à disposition des députés pourraient une bonne contremesure.
Le
18/12/2017 à
13h
28
Faith a écrit :
L’algo est sous le contrôle de tous ceux qui comparent leur calcul avec le résultat proposé par l’algo.
Si tu ne le fais pas à l’heure actuelle, ne me fait pas croire que tu vas te plonger dans le code.
Moi ? Non , mais un expert désigné par une Juridiction à la demande d’une association de contribuable, sans l’ombre d’un doute.
Le
18/12/2017 à
12h
05
fred42 a écrit :
Le budget est souvent voté dans les derniers jours de décembre. Il est impossible d’avoir un code correspondant au premier janvier et ce d’autant plus que cela “peut prendre six à neuf mois”
Pris sous cet angle , le problème est insoluble car outre la LOF de fin d’année tu as toutes les rectificatives (au moins 2) dans l’année.
Par contre, avoir des outils de simulations macroéconomiques des effets des impôts existant si on fait varier certains tels ou tels paramètres (taux, tranches etc…), serait un outil précieux (qui existe chez Bercy, mais encore auprès de grands groupes qui travaillant notamment dans le conseil fiscal).
S’assurer que la représentation nationale et plus largement le citoyen y accèdent serait une bonne chose.
Le
18/12/2017 à
11h
56
OlivierJ a écrit :
Le prélèvement à la source ne me semble pas très populaire, et je ne crois pas que grand monde se plaigne du délai supplémentaire (hormis ceux qui avaient bossé comme il faut pour que ce soit prêt à temps dans l’administration).
Ce ne sont que des sondages, mais à l’époque où l’annonce a été faire (2015 Odoxa 06/2015) ils étaient plutôt favorables (64%). Actuellement, l’adhésion est moins nette (57% Ifop 03/2017), mais ça reste le cas.
Entre temps il y a eu la découverte que cela donnerait du boulot en plus pour les employeurs et qu’il faudra que l’imposé adresse des rectificatifs s’il ne veut pas dévoiler certaines informations personnelles à son employeur (et dans une très moindre mesure que Bercy est pas chaud, alors que cela devrait permettre de faire des économies, même si Bercy s’est empressé de dire l’inverse à la presse… en rappelant qu’il y aurait un poste important, celui de la maj des postes informatique, information qui je pense concerne toutes les administrations et démontre que derrière les déclarations solennelles sur l’informatique et l’opendata le nœud du problème est là).
Le
18/12/2017 à
11h
13
Faith a écrit :
Pourquoi ? Quelle est l’utilité de les diffuser ?
Toute l’année, le simulateur de l’année précédente est en libre utilisation. Qu’apporteraient els sources de ce simulateur ?
Parce qu’un algo (j’imagine ici plusieurs et pas qu’un peu) n’est jamais neutre et la retranscription fidèle des textes ?
Le
18/12/2017 à
10h
33
Faith a écrit :
Il n'y a qu'une référence pour le calcul des impôts: les textes de loi.
Euh la Loi en cette matière ne fait que définir les grandes lignes et les principes, assiettes, taux général etc...
Pour les modalités de calcul, il faut se référer aux décrets (qui bien souvent empiètent sur le domaine de la Loi) et aux circulaires, étant précisé qu’en matière fiscale elles ont valeurs normatives (là où jamais une circulaire ne doit en avoir).
C’était là la principale limite de l’amendement d’origine, c’est que simuler les effets de la Loi, implique d’intégrer la batterie de décrets et de calculs définis par circulaireS.
Pour revenir au sujet de fond, celui-ci est parfaitement pertinent; le processus d’élaboration des LOF n’est pas bon et doit être repensé.
Le
18/12/2017 à
10h
26
Furanku a écrit :
Autant l’amendement du Sénat semble en effet assez irréaliste dans ses délais.
Autant le fond est légitime et la majorité le balaie en utilisant justement lesdits délatis comme prétexte.
Il serait justement peut-être temps de forcer la main à Bercy de revoir la “machinerie” interne, pour pouvoir la diffuser ouvertement et entre dans “l’économie numérique” dont on nous bave tant les atouts démcoratiques.
C’est, il me semble, normal que ceux qui en font la demande puissent y avoir accès à des fins de recherche, statistiques, contrôles, etc.
Bercy est un état dans l’Etat; de base, les ministres craignent cette administration nécessitant l’intervention des Présidents successifs pour imposer des arbitrages contre Bercy qui bloquait tout.
L’actuel Président a débuté dans cette administration en 2004 (pour y revenir régulièrement), de sorte que je doute que sa façon de penser soit en opposition avec celle de Bercy… La volonté de repousser le prélèvement à la source en est une illustration, là où ne peut pas prétendre que la mesure était impopulaire, moins encore infaisable pour être la norme (et notre système l’exception).
Le
18/12/2017 à
10h
10
Faith a écrit :
Les métiers sont vraiment les mêmes partout: le code doit être fini dès que les spécifications sont données…
Il y a quand même des amendements particulièrement stupides… quel timbré a eu cette idée délirante ?
Les modifications envisagées de l’amendement n’exigent plus cela. Le Gouvernement met sciemment en avant la mauvaise rédaction de l’amendement pour éluder que la question n’est plus celle-ci, obtenant au passage son enterrement sans combat.
C’est précisément là que c’est inquiétant, certains députés annonçaient à la sortie de la commission des finances des modifications intéressantes (cf. article précédent sur le sujet). In fine, ils n’ont pas bougé le petit doigt.
De part et d’autre, majorité comme opposition me donnent l’impression de faire de la com. en mettant “numérique” à la fin de la phrase, comme on le faisait avec “développement durable” il y a quelques années.
C’est son petit-fils (ses parents sont Han Solo et Leia) hein " />
Tu as oublié de mettre " />
" />
Le
18/12/2017 à
09h
41
linkin623 a écrit :
“Mais finalement, le plus irritant de tout le film est sans doute… Kylo Ren. Avec Jar Jar Binks il est sans doute désormais l’un des personnages les plus « débiles » de toute la saga. Idée de prochain produit dérivé pour Disney : une biographie du personnage écrite en partenariat avec l’équipe de VDM.”
" />
Perso en sortant du premièr, mon frère et moi on se demandaient le nom de méchant. C’est dire si ce personnage est à nul et franchement mal écrit, mal joué, et mal exploité.
Qui peut oublier l’entrée de Dark Vador dans le vaisseau de la Princesse dans le 4 ? En 10 sec, Lucas avait institué un personnage à part entière. Dysney va faire 6 épisodes sur un méchant qui sert à rien.
La même… J’ai vu l’acteur dans d’autres films, il est pas mauvais, mais pour jouer le fils spirituel de Dark Vador, déjà qu’il part pas gagnant en terme de charisme, l’épaisseur que lui donne le scénario fait qu’il est totalement impossible d’y croire…
J’ai pas encore vu le 8 mais l’article semble décrire une continuité parfaite du raté (au moins sur ce point).
D une part, ils mélangent code source et données (1’phrase), et d autre part ils decrivent le fonctionnement d une base de données (2’phrase toute pourrie que je citais plus haut, oui le truc avec plusieurs référentiels comme ils disent , un select dans une db quoi ^^)
Ils diraient on a un problème d interopérabilité entre les bases lesquelles sont gigantesques et difficilement anonymisables, tandis que nos algos sont pas structurés dans une appli unique, mais en réalité on en utilise plusieurs successivement pour nos simus (ce qui est probablement le cas), de sorte que y a pas un code source a dévoiler mais un bordel d appli/script successifs de modélisation, alors là je pourrais adhérer…
Le
15/12/2017 à
16h
17
“Le gouvernement souligne également que « le code source des applications de gestion de la fiscalité et leur maintenance » se décline en une « masse considérable » de données, « conçue
pour fonctionner dans des environnements techniques comportant
notamment des accès à divers référentiels (de contribuables,
d’occurrences fiscales, de compétences territoriales, etc.) ». ”
Belle tentative d’utiliser des mots savants (qui n’en sont pas, mais ils pensent que cela sera hermétique pour l’essentiel des mortels, c’est dire à quel niveau intellectuel ils nous situent et le mépris dont ils sont capables, l’ignorance aussi au passage) pour faire de l’enfumage prétendant justifier une position indéfendable (surtout avec le discours tenu parallèlement), là où ils décrivent un fonctionnement et un environnement en réalité banal pour une application ! " />
Si je me souviens bien, les étudiants hors-metropoles étaient prioritaires sur les autres.
Après cela peut s’expliquer sur la difficulté pour trouver des études hors de la métropole, mais il faudrait que ce soit clair et acté.
Ah mais clairement, il ne s’agissait pas pour le “développeur” d’une volonté de biaiser le système, mais simplement d’un choix dans la discrimination des paramètres (il aurait pu tout aussi bien décider d’inverser la priorité).
Ceci prouve néanmoins et comme tu l’indiques, qu’il est impératif que les critères de discrimination soient accessibles, car sans aucune volonté de fausser le système, le “développeur” va faire des arbitrages qui feront que son algo ne sera pas neutre.
Le
15/12/2017 à
10h
55
vincz777 a écrit :
Je ne vois pas trop l’intérêt d’avoir le code source d’un algorithme si l’on ne dispose pas des données d’entrée, qui elle ne seront jamais rendue publiques (sauf à être anonymisées?)
Si les données sont nécessairement un plus, l’étude de l’algo d’APB avait permis de trouver qu’il y avait des discriminations faites en fonction de critères qui, pour certains, n’étaient pas prévus par la réglementation (distinction sur élève en métropole ou non qui déterminée une priorité plus grande dans l’attribution, parce que je ne sais plus si celui qui était en métropole était prioritaire sur celui qui n’y était pas ou inversement).
Dans l’idéal, il faut les deux.
Le
14/12/2017 à
18h
00
Il faut cesser de faire cela au cas par cas.
La Loi(*) doit poser le principe que l'on peut accéder au code source des logiciels utilisés par l'administration (dont la Justice) et que par exception (décret ?) , le code source n'est pas accessible.
Et même dans ce dernier cas, il pourrait être fait une distinction avec les softs de "sécurité absolue" devant rester strictement confidentiel, et les softs sensibles mais pouvant être audités (par des experts tenus à une obligation de confidentialité).
*= les textes sur la CADA sont déjà pas loin de le permettre: (merci Marc)
1/ Ben pourtant si, tu as regardé les avancées de la nouvelle loi ?
2/ 2. ça a été voté et c’est le cas pour les crimes et pour une partie des délits, tu as loupé quelque chose là
2 bis : c’est aussi à l’électeur de prendre ses responsabilités et de ne pas élire quelqu’un de malhonnête, la loi ne devrait même pas être nécessaire
on connaît les revenus des députés
3/ Elle est bien bonne celle-là, tu soutiens l’inverse dans ton commentaire précédent.
4/ Ça n’a rien à voir.
La condamnation d’élus malhonnête est du ressort de la justice, qui n’a pas besoin de données accessibles à tous pour condamner des élus, ce qu’elle fait régulièrement.
Réponse rapide:
1- Oui justement.
2- Délits liés à la probité (donc on va dire financier). Ca fait pas lourd dans le Code pénal. A l’inverse, l’obligation de B2 vierge a été supprimée. Donc je vois pas ce que j’ai manqué ?
3- Non; j’ai dit que c’était important pour la majorité et au centre de l’attention, mais je n’ai jamais dit que c’était une préoccupation personnelle.
4- Précisément, on compte sur le réveil des électeurs, là où il est clairement mis en avant des comportements clientélistes voire d’achat de voix et donc mettant directement en cause les citoyens (on a les élus qu’on mérite).
Plutôt que de compter sur un éveil soudain des électeurs, il faut garantir l’indépendance de la Justice du pouvoir politique (et plus précisément de l’exécutif), l’ancienne majorité ayant fait très mal sur ce point, en plaçant la Cour de cass. sous le contrôle indirect de l’exécutif dans l’indifférence générale.
Aujourd’hui les parquets sont sous la pression constante du ministère, non pas de la Justice, mais de l’intérieur, demandant aux Juridictions pénales d’être une chambre d’enregistrement de la politique pénale du gouvernement. Plus que de disposer de data ouvertes sur la base du volontariat, j’aimerai voir un texte qui empêche le politique d’intervenir dans les dossiers.
Le
14/12/2017 à
15h
51
numerid a écrit :
ça, par contre, c’est tout à fait vrai :-(
numerid a écrit :
D’accord. Ce que je voulais signaler c’est que le fonctionnement du Parlement n’est pas un truc pas important, mais bien fondamental pour une démocratie.
" />
Le
14/12/2017 à
14h
53
Désolé pour les deux fautes, je peux plus éditer … :/
Le
14/12/2017 à
14h
45
skankhunt42 a écrit :
Tu ne veut pas qu’ils aillent manger au macdo quand même ? Après dans l’absolu je m’en cogne complètement combien ils coutent si ils rapportent plus, le problème c’est que pour l’instant ils nous rapportent que dalle et nous coutent une blinde.
Je te rejoins sur ce point, la transparence est mise en avant comme le saint graal aujourd’hui, mais c’est à mon sens une erreur.
Ce vernis administratif de données accessibles par tous, n’offre aucune garantie supplémentaire s’agissant de parvenir à la condamnation effective d’élus malhonnêtes et qu’en cas de sanction ils ne pourront plus se présenter.
De sorte que certains politiques pourtant défavorablement connus des services de police ou d’instruction, se font régulièrement réélire (même condamnés).
A l’inverse et du fait des pratiques de quelques-uns, les élus qui font leurs boulots sont obliger de passer un brevet de transparence avant que l’on s’intéresse à leurs projets/idées etc… Au point où le débat de la transparence semble être une fin en soi.
Le
14/12/2017 à
14h
27
OlivierJ a écrit :
Ben non, ça correspond à une réelle demande, c’est répété à chaque fois, et ici on a aussi tous les jours des commentaires sur le thème de la nécessaire transparence accrue.
Mon propos n’est pas de dire que la demande n’existe pas, mais bien que la nouvelle majorité qui a fait de la transparence un point important de son discours, ne répond précisément pas à la dite demande (au même titre que les majorités précédentes).
Elle ne fait que de l’enfumage technophile, là où les trois mesures que j’ai pu citer (1.justification de toute utilisation de l’argent public, 2. interdiction d’être élu en cas de condamnation pour délit ou crime, 3. connaissance des revenus des élus et des lobbyistes rencontrés), sont, me semble-t-il, les seules à garantir l’indépendance et la probité de nos élus, bien loin d’une tablette surface à l’accueil et du volontariat déclaratif distillés depuis le mois de mai (ce que faisaient également les prédécesseurs).
C’est pour cela que je parle de “transparence whasing” comme on parle de green whasing ou de social whasing; que de la com rien de concret et surtout contraignant dans la Loi.
Le
14/12/2017 à
11h
16
numerid a écrit :
Mais le fonctionnement de la démocratie est un sujet de fond ! C’est même un sujet fondamental. Et la transparence fait partie du fonctionnement démocratique, au même titre que le statut des élus et leur rémunération.
As-tu lu l’essentiel des propositions relative à la “transparence” ? Pour les lobbyistes ils pourront refuser, pour l’agenda des députés ils peuvent refuser, tu ajoutes l’absence de transparence d’une part non négligeable du budget des IRFM comme je viens de l’indiquer, et tu n’as pas le sentiment qu’on nous prend pour des jambons ?
Pour le reste;
. mettre en ligne les textes, c’est déjà le cas, souvent en bordel je te l’accorde pour les amendements,
. mettre en ligne les coordonnées des députés sur la base du volontariat (tous les députés que j’ai souhaité contacter avaient des coordonnées sur le site de l’AN),
. présenter sous forme de frise l’adoption d’une loi …
. un tableau surface à l’accueil.
Tu ne trouves pas qu’exiger sans dérogation la justification intégrale de l’utilisation de l’IRFM, poser le principe qu’une personne condamnée pour des délits (sauf ceux de presse) ou crimes ne peut pas être élue, exiger d’avoir l’intégralité des noms des lobbyistes rencontrés et des revenus des députés seraient des véritables mesures et pas le discours d’intentions qu’on nous délaye depuis le mois de mai ?
Le
14/12/2017 à
10h
54
J’espère que tous ces textes seront rapidement adoptés, non pas parce qu’ils changeront quelques choses (un député qui ne voudra pas jouer le jeu, les contournera), mais pour que le travail parlementaire cesse de tourner autour du “transparence washing” et revienne sur les sujets de fond.
Y a plus que le Sénat (qui n’est pas franchement le plus progressiste) pour produire du débat et sortir du copier/coller des textes sortis de commissions où le Gouvernement tranche systématiquement.
Je reste convaincu que tout cela est de la pure communication, au même titre que le green whashing et le social whashing, rappelant au passage que la majorité à décidé que 600€ par mois sur la dotation (IRFM) de chaque député continuera à ne pas devoir être justifiée, soit 4 154 400 € par an non contrôlés !?! Et que les députés ont décidé que les frais de mandat ne seraient plus imposés au titre de la CSG (qui en revanche augmente pour le reste de la population en particulier les retraités).
C’est dire si derrière le “discours nouveau” les pratiques sont les mêmes…
2757 commentaires
iPhone bridés : Apple attaquée en France pour obsolescence programmée et tromperie
28/12/2017
Le 28/12/2017 à 12h 14
Sur l’obsolescence programmée j’ai de sérieux doutes, en revanche sur la tromperie du fait du défaut d’information durant des années c’est déjà plus costaud.
Altice Stock Checker : développez votre première application avec une interface graphique
22/12/2017
Le 27/12/2017 à 11h 43
Le cinéma obtient le blocage de Zone Téléchargement, Papystreaming et Sokrostream
22/12/2017
Le 27/12/2017 à 10h 52
Le 22/12/2017 à 14h 42
Le 22/12/2017 à 12h 05
Le Jugement totalement disproportionné dont la motivation est extrêmement dangereuse:
Cookies d’identification de Next INpact : réinitialisation suite à une fuite, déjà colmatée
21/12/2017
Le 22/12/2017 à 14h 56
Je comprends mieux (j’avais immédiatement re-séparé barre de recherche et barre d’url sur ffx).
Outre cette théorie, ca laisse entière la question de savoir s’il est légitime que Google prenne sur lui de référencer une page non linkée?
Le 22/12/2017 à 11h 56
Le 21/12/2017 à 18h 31
Le 21/12/2017 à 16h 45
Le 21/12/2017 à 16h 29
Belle réactivité ! :)
En revanche, je trouve inadmissible que Google référence les cookies des sites, information qui ne le concerne en rien et n’a aucun intérêt s’agissant du référencement à proprement parler.
On va dire qu’il ne peut rien en faire du fait du chiffrement, ok, néanmoins il a nécessairement tapé au hasard à la recherche de “pages” cachées puisqu’il n’y avait aucun lien!
La justice européenne assimile UberPop à un service de transports
20/12/2017
Le 21/12/2017 à 11h 30
Le 21/12/2017 à 11h 27
Le 21/12/2017 à 10h 17
Le 21/12/2017 à 09h 54
Le 20/12/2017 à 17h 53
Et merci à Xavier pour son analyse ! :)
Le 20/12/2017 à 17h 45
Vous êtes optimistes… S’il est noté qu’il s’agit de chauffeur non professionnel, le critère déterminant est « une offre de services de transport urbain, qu’il rend accessible notamment par des outils informatiques (…), et dont il organise le fonctionnement général “.
Et de poursuivre; “« doit donc être considéré comme faisant partie intégrante d’un service global dont l’élément principal est un service de transport et, partant, comme répondant à la qualification non pas de « service de la société de l’information », au sens de [la directive sur le e-commerce], mais de « service dans le domaine des transports »”
Aussi, si l’activité peut sembler être liée aux nouvelles technos (“société de l’information”), comme la boite contrôle toute la prestation principale, in fine l’activité de la boite relève de la prestation offerte (transport si c’est une prestation principale de transport, restauration si c’est une prestation principale de bouffe etc…).
Le 20/12/2017 à 16h 35
“que cette société collecte ce prix auprès du client avant d’en reverser une partie au chauffeur non professionnel du véhicule”
Ce critère (et même les autres) va faire très mal et pas que chez AirBNB, UBER et autres…
D’un autre coté, n’est-ce pas la rançon du succès de ces startups devenues multinationales mais qui malgré leurs importances ne veulent pas jouer le jeu de la contribution au bien général par l’impôt, l’emploi et donc les cotisations etc…? (chose qui n’empêche pas de vouloir un meilleur usage de l’argent public et des contributions justes).
Le 20/12/2017 à 16h 28
Amazon attaqué par Bercy pour « déséquilibre significatif » sur sa Market Place
18/12/2017
Le 21/12/2017 à 10h 19
Le 20/12/2017 à 15h 03
Le 19/12/2017 à 11h 04
Le 18/12/2017 à 18h 28
Sauf erreur, mais c’est vraiment pas ma tasse de thé, on parle pas de cryptage mais de chiffrement/chiffrage.
Le 18/12/2017 à 16h 24
Le 18/12/2017 à 16h 19
Le 18/12/2017 à 15h 59
Le 18/12/2017 à 15h 43
Le 18/12/2017 à 15h 35
Pour travailler avec quelques vendeurs , qui sont aussi sur Amazon, c’est très compliqué de résister aux exigences d’Amazon.
C’est pas tellement sur les prix que j’ai constaté des difficultés (sachant que l’essentiel des marketplaces t’imposent plus ou moins régulièrement de faire des promos ou de casser les prix) mais plus sur des demandes remboursements / remplacement d’un bien, après que le bien ait été largement utilisé par le consommateur ou cassé.
Là Amazon a tendance à pas faire dans le détail et les vendeurs ont le sentiment d’être mis devant le fait accompli.
Et si tu regardes dans les conditions générales, ben tu découvres que tu as accepté plein de choses que structurellement un petit vendeur peut pas assumer (délais de livraison, temps de réponse, prise en charge en SAV dans tel délai etc…)
L’Assemblée s’oppose à l’ouverture du « code source » de chaque loi de finances
18/12/2017
Le 18/12/2017 à 15h 10
Le 18/12/2017 à 15h 08
Le 18/12/2017 à 13h 28
Le 18/12/2017 à 12h 05
Le 18/12/2017 à 11h 56
Le 18/12/2017 à 11h 13
Le 18/12/2017 à 10h 33
Le 18/12/2017 à 10h 26
Le 18/12/2017 à 10h 10
[Critique geek] Star Wars, épisode VIII : Les Derniers Jedi… on peut sentir le conflit en lui
16/12/2017
Le 18/12/2017 à 09h 57
Le 18/12/2017 à 09h 41
Le gouvernement veut faire barrage à la publication du « code source » des projets de budget
15/12/2017
Le 15/12/2017 à 19h 01
Ca n a rien d une ineptie.
D une part, ils mélangent code source et données (1’phrase), et d autre part ils decrivent le fonctionnement d une base de données (2’phrase toute pourrie que je citais plus haut, oui le truc avec plusieurs référentiels comme ils disent , un select dans une db quoi ^^)
Ils diraient on a un problème d interopérabilité entre les bases lesquelles sont gigantesques et difficilement anonymisables, tandis que nos algos sont pas structurés dans une appli unique, mais en réalité on en utilise plusieurs successivement pour nos simus (ce qui est probablement le cas), de sorte que y a pas un code source a dévoiler mais un bordel d appli/script successifs de modélisation, alors là je pourrais adhérer…
Le 15/12/2017 à 16h 17
“Le gouvernement souligne également que « le code source des applications de gestion de la fiscalité et leur maintenance » se décline en une « masse considérable » de données, « conçue
notamment des accès à divers référentiels (de contribuables,
d’occurrences fiscales, de compétences territoriales, etc.) ». ”
Belle tentative d’utiliser des mots savants (qui n’en sont pas, mais ils pensent que cela sera hermétique pour l’essentiel des mortels, c’est dire à quel niveau intellectuel ils nous situent et le mépris dont ils sont capables, l’ignorance aussi au passage) pour faire de l’enfumage prétendant justifier une position indéfendable (surtout avec le discours tenu parallèlement), là où ils décrivent un fonctionnement et un environnement en réalité banal pour une application ! " />
Les députés veulent que le code source et l’algorithme du successeur d’APB soient publics
14/12/2017
Le 15/12/2017 à 14h 08
Le 15/12/2017 à 10h 55
Le 14/12/2017 à 18h 00
Il faut cesser de faire cela au cas par cas.
*= les textes sur la CADA sont déjà pas loin de le permettre: (merci Marc)
Next INpacthttp://www.assemblee-nationale.fr/14/amendements/3318/CION_LOIS/CL534.asp
L’Assemblée laisse entrevoir des efforts de transparence
14/12/2017
Le 15/12/2017 à 11h 13
Le 14/12/2017 à 15h 51
Le 14/12/2017 à 14h 53
Désolé pour les deux fautes, je peux plus éditer … :/
Le 14/12/2017 à 14h 45
Le 14/12/2017 à 14h 27
Le 14/12/2017 à 11h 16
Le 14/12/2017 à 10h 54
J’espère que tous ces textes seront rapidement adoptés, non pas parce qu’ils changeront quelques choses (un député qui ne voudra pas jouer le jeu, les contournera), mais pour que le travail parlementaire cesse de tourner autour du “transparence washing” et revienne sur les sujets de fond.
Y a plus que le Sénat (qui n’est pas franchement le plus progressiste) pour produire du débat et sortir du copier/coller des textes sortis de commissions où le Gouvernement tranche systématiquement.
Je reste convaincu que tout cela est de la pure communication, au même titre que le green whashing et le social whashing, rappelant au passage que la majorité à décidé que 600€ par mois sur la dotation (IRFM) de chaque député continuera à ne pas devoir être justifiée, soit 4 154 400 € par an non contrôlés !?! Et que les députés ont décidé que les frais de mandat ne seraient plus imposés au titre de la CSG (qui en revanche augmente pour le reste de la population en particulier les retraités).
C’est dire si derrière le “discours nouveau” les pratiques sont les mêmes…