votre avatar

crocodudule

est avec nous depuis le 11 mai 2007 ❤️

2757 commentaires

Le 12/09/2018 à 13h 46

Bon manifestement le “nouveau monde” a parfaitement su intégrer les pratiques de l’ancien, et le lobbying a fait son œuvre.



Maintenant, la seule question est comment entrer en résistance, idéalement il nous faut :

. utiliser les réseaux sociaux libres, décentralisés et chiffrés,

. utiliser des moteurs de recherche libre, décentralisés et chiffrés.



Finalement, on sera tous gagnant, on préserve notre liberté d’expression et notre vie privée, et on engraisse ni les nayantdroits ni les GAFA.



Ca pourrait être l’occasion d’un bon article de NX, listant les outils disponibles.

Le 11/09/2018 à 16h 08

“Ainsi, c’est la directrice de l’AFP qui a demandé au reporteur de monter au front européen, « en son nom ». Cette mission accomplie, sa tribune s’est aussi retrouvée sur le site de cette agence, dont la charte éditoriale vante l’impartialité et l’équité. ”



Aller chercher un journaliste reconnu (*) sur un sujet sensible pour qu’il apporte son crédit sur un sujet dont il ignore tout, pour in fine le réduire au rôle de lobbyiste livrant des éléments de langage, la méthode est détestable.



Avec de telles pratiques, on peut ramer pour tenter de convaincre que oui le journalisme existe, que tout n’est pas manipulé et que la presse ne fait pas que de la désinformation.



(* du moins par ses pairs semble-t-il, car perso je connais pas le garçon).

Le 11/09/2018 à 15h 59







Commentaire_supprime a écrit :



<img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" />





Je te recommande toute la section du site ^^


Le 10/09/2018 à 17h 56







bourgpat a écrit :



Tu as un très bon documentaire sur l’âge d’or du porno en France qui monte quand même comment la réglementation X est mauvaise pour les tournages. Globalement avant la réglementation X, un tournage porno avait un budget de moyen-court métrage. L’augmentation des taxes et le circuit de distribution tué ont eût pour effet de réduire encore plus les moyens pour les tournages. Comment alors rémunérer les acteurs et les techniciens.



Même avec le passage au numérique qui est un gain par rapport au 35 mm, cela se retrouve sur le film cette course à l'économie. Sur les acteurs déjà qui sont sous payés et sur les possibilités de plans filmés.      

La réglementation X est contre-productive dans le traitement des actrices et la création d'un sous genre leur ferme les possibilités d'évoluer vers d'autres productions comme cela a pu être le cas pour certaines actrices des années 70.

Le but premier de la réglementation X était de tuer le porno. Sans le tuer, cela a fortement joué sur la qualité des œuvres.







Lorsqu’on voyait déjà dans les années 80 que systématiquement un opérateur du câble venait le dérouler alors qu’en France il n’y avait quasiment que des antennistes, n’est-ce pas là mort de l’exception culturelle du scénario de boulard français au profit de l’américanisation des esprits ?

&nbsp;

Je n’ai pas peur de poser la question et de désigner le ministre de la culture qui laisse mourir l’artisanat culturel hexagonal en restant le cul sur la mezzanine !



D’ailleurs et s’agissant de la qualité du scenario et des dialogues:

http://www.nanarland.com/video-261-jeune-femme-cherche-place-de-parking-pour-voiture-a-6-roues.html


Le 10/09/2018 à 17h 19







Patch a écrit :



Pour en rajouter une couche :

-un ancien collègue de taf a montré une vidéo tournée dans la jungle africaine, où quand le cameraman arrivait dans une petite clairière… Il y avait un mec en train de se taper un mouton, qui a pris la fuite dès qu’il a vu qu’il était filmé <img data-src=" />

-Et un certain nombre de légionnaires se prennent des animaux aussi. Confirmé par d’anciens légionnaires avec qui j’ai bossé. Ne pas croiser de femme pendant des mois fait péter qques durites…





Pas que des durites manifestement … <img data-src=" />


Le 10/09/2018 à 17h 14







OlivierJ a écrit :



Quand j’ai découvert le porno (à 18 ans et oui, sauf si on parle de romans-photos X, j’en avais vu avant), je ne ressentais pas cet aspect particulièrement, ni maintenant par rapport à ceux “standards” qu’on trouve facilement sur des plateformes.





Euh je suis le seul ici a avoir échangé des VHS de films de luc de canal+ au collège ?!?



En fait je suis pas normal <img data-src=" />


Le 10/09/2018 à 17h 08

Edit: je me suis planté d’article, vous pouvez supprimer, désolé <img data-src=" />

Le 10/09/2018 à 17h 06







OlivierJ a écrit :



Tu fais un contresens total là. Demander au parents de faire leur taf, c’est le contraire de l’infantilisation, c’est la responsabilisation. Et l’inverse du contrôle par le gouvernement (puisque fait par les parents).





C’est quoi ce délire ? <img data-src=" />





Fais pas semblant de pas savoir que shiappa est une lézardienne illuminati nazie enfin ! <img data-src=" />


Le 10/09/2018 à 09h 36

“Un droit pénal qui ne demande qu’à être appliqué”



Tout est dit, et pourtant comme pour le harcèlement (et bien d’autres textes), on va préférer faire de la mousse en voulant faire passer un “nouveau” dispositif qui viendra juste s’accumuler aux précédents sans jamais rien appliquer.



Et au passage on remettra encore un petit coup au net, ça fait toujours bien dans les diners mondains, euh pardon… sur BFM.

Le 11/09/2018 à 10h 58







Tandhruil a écrit :



J.S. Bach (ayant droit) a demandé le filtrage du net ?






    C'est probablement une identification automatique (on dira IA pour faire chic) de FB qui a "reconnu" une interprétation d'une personne sous contrat avec Sony, prétendant alors à une violation des droits détenus par Sony.         






  Alors qu'en réalité, l'interprétation est différente mais probablement pas suffisamment pour que l'IA arrive à voir la différence pour peu que le type joue sur un matos similaire et avec un dispositif d'enregistrement proche, avec un jeu comparable à l’interprète sous contrat avec Sony.    






   Ca illustre à merveille le fait que les filtrages automatiques vont sabrer des publications d’œuvres parfaitement légitimes, ceci pour le plus grand bonheur des nayantdroits qui pourront contrôler a priori ce qui a le droit d'être publié ou non et même entraver l'accès aux œuvres tombées dans le domaine public.         






   Je t'invite à cliquer sur le message twitter contenu dans l'article, d'autres intervenants signalent d'autres blocages totalement débiles (comme un white noise par exemple...)

Le 10/09/2018 à 17h 09

&nbsp; Encore un exemple de l’avenir du net avec le filtrage automatique voulu par les nayantdroits:

https://www.20minutes.fr/arts-stars/culture/2333823-20180910-sony-censure-video-pianiste-interpretant-jean-sebastien-bach

Le 10/09/2018 à 08h 11

“Une nouvelle mezzanine pour Nyssen”



Mais du coup, ça sera aussi démontable comme réforme ?

Le 10/09/2018 à 17h 41

Ce qui serait sympa (mais pas évident à mettre en place), c’est un test sur la faciliter d’accéder au ventilo pour le nettoyer ou le remplacer.



Perso, c’est systématiquement par là que les emm commencent, bien avant que la machine rende l’âme ou soit dépassée pour faire de la bureautique.

Le 06/09/2018 à 16h 28

Là je crois qu’on peut dire que la fin du monde arrive, les étoiles vont tomber du ciel, chiens et chats coucher ensemble… le jugement dernier quoi… Pascal Nègre a défendu les intermédiaires techniques et avec la liberté d’expression sur le net !



<img data-src=" />

Le 06/09/2018 à 10h 46

Si le vol des vélos est vraiment problématique (au point je laisse le mien au garage est fait tout en vélo libre service), je doute que “l’immatriculation” résolve le problème.

Le 05/09/2018 à 17h 09







blob741 a écrit :



En regardant vite fait, ça a l’air assez limité télérecours “citoyen”.

En lisant la faq, je me disais que ça allait être un massacre quand les gens vont devoir insérer des signets dans leurs pdf de pièces …





C’est probable, mais avis que les tribunaux vont être bienveillants à l’égard du citoyen qui balance 20 pages de conclusions/mémoire avec tout et n’importe quoi plus 200 pages de pièces sans signets, avec des scans dans le mauvais sens et des “bordereaux” incompréhensibles.



Avec au final, nos pommes qui remettons tout dans l’ordre pour pouvoir y répondre, le tribunal étant ravis du travail de débroussaillage effectué par l’avocat pour “l’œuvre de Justice”, comme on le fait déjà largement au TI, à l’œil les 34 du temps <img data-src=" />


Le 05/09/2018 à 10h 21







blob741 a écrit :



Je suis également plutôt privatiste, mais on a quelques dossiers au TA.



Sur Télérecours, j’ai besoin de ma clef RPVA. Il y a un accès sans pour les communications de pièces ?





A l’origine télérecours était totalement autonome et sans lien avec le RPVA, depuis un an ou deux (à la louche) tu peux utiliser ta clef, mais au moins pour les administrations qui par définition n’ont pas de clef RPVA, l’accès autonome existe toujours.


Le 04/09/2018 à 15h 54







tifounon a écrit :



Presque une ramette de papier alors qu’un PDF aurait suffit, ouais Francois de Rugy va avoir du boulot pour sauver les arbres <img data-src=" />



Y a plus qu’à scanner et donner les feuilles au gamin pour en faire des coloriages





Normalement, la communication se fait via télérecours (équivalent du RPVA devant les Juridictions administratives) et est donc totalement dématérialisée (après pour bosser sur 400 pages d’argumentation et pièces, c’est bien souvent plus pratique d’imprimer).


Le 04/09/2018 à 15h 52







OlivierJ a écrit :



Quel rapport entre un ministère qui fait traîne les pieds (pour des raisons plus ou moins bonnes ou mauvaises) sur un sujet pas majeur, et l’état de notre démocratie ?





Le sujet est doublement important, d’abord car il est directement lié aux mesures de sécurité prisent s’agissant des PM, d’autre part car la démarche de NextInpact est de s’assurer que le texte qui a établi par défaut le libre accès aux données des administrations, soit respecté dans tous les domaines.



Enfin, le rapport entre le comportement d’un ministre qui se refuse à respecter les textes adoptés par une Assemblée élue et souveraine, et l’atteinte nécessaire qui en découle en terme de démocratie, me semble évident.


Le 04/09/2018 à 12h 33

“Tartuffe nation” je la garde <img data-src=" />





Et bravo pour le boulot (bon en droit administratif je suis nul donc je peux pas aider ^^ )

Le 05/09/2018 à 09h 42

“Avec cette précision non-neutre, une nouvelle fois l’autorité aura l’opportunité de montrer que le RGPD n’est pas un dispositif théorique, surtout au regard de la protection des mineurs. Réponse dans quelques mois. ”



Oui de dire que c’est bon, c’est juste une erreur humaine de bonne foi …



Je vois pas mal d’ailleurs comment elle pourrait aller beaucoup plus loin que l’affaire schiappa ou alors en tentant de se rattraper aux branches en disant que le public cible étant sensible, il faut sévir.



Attention au retour de bâton néanmoins, en se désarmant totalement sur l’affaire schiappa, une sanction de wauquiez par la CNIL serait immédiatement instrumentalisée politiquement.

Le 04/09/2018 à 16h 16

Je ne comprends pas bien l’objet d’une consultation sur les données biométriques, la CNIL a (c’est loin d’être le cas dans tous les domaines) une doctrine plutôt bien établie sur ce sujet, qui ne me semble pas particulièrement impactée par le RGPD, tandis que la réglementation est plutôt stricte chez nous.



Du moins en terme de priorités, il me semble que donner une véritable définition de la notion de traitement à grande échelle est nettement plus urgent, car objectivement dire qu’on en fait ou non au regard des exemples donnés par le G29 (comité) est pas évident.

Le 04/09/2018 à 13h 01







Z-os a écrit :



:eek: J’sais pas si tu as le droit. Tu as fini de lire tous les arrêtés parus cet été ? <img data-src=" />





J’ai arrêté le droit, ça change tout le temps, ça dit pas ce qui est écrit dedans, donc bof <img data-src=" />


Le 03/09/2018 à 17h 07

Oula ça tourne à l’ambiance comptoir, hop c’est ma tournée ! <img data-src=" />

Le 03/09/2018 à 16h 18







Exagone313 a écrit :



Il va falloir aussi m’expliquer ce qu’est un référencement. Sur Google il n’y a bien que des liens et des citations. S’il faut payer une société de gestion collective pour avoir des liens et citations vers des les médias européens :




  • est-ce que les autres médias, notamment les médias indépendants, doivent eux-aussi payer ces sociétés ?

  • est-ce que référencer un média européen (même indépendant) impose cette nouvelle “taxe” qui va donc rémunérer les plus gros médias (c.f. copie privée) ?

    J’espère qu’ils vont inventer une balise meta pour indiquer qu’une page ne peut être référencée sans payer.





    Si c’est bricolé sur la base de la copie privée, toute commercialisation de l’oeuvre sur le territoire devrait ouvrir droit à la contribution (cf. les décisions de Jamendo où le fait que l’auteur ne demande rien est sans effet, car en revanche Jamendo a commercialisé la diffusion des œuvres).


Le 03/09/2018 à 13h 58

Oula “voix” pardon <img data-src=" />

Le 03/09/2018 à 13h 41







linkin623 a écrit :



Technique du contre feu : allumer un incendie et ensuite se faire peur.

une fois dans l’urgence, allumer le contre feu pour dire “on a sauvé les meubles, mais bon, il y a eu des pertes ça valait le coup”





Oui y a naturellement une part de stratégie, Voss part dans l’excès absolu, l’inacceptable etc… et opportunément Cavada se veut être la voie médiane de la raison…


Le 03/09/2018 à 09h 42







vizir67 a écrit :



… le droit à l’information prime déjà sur le droit d’auteur.





“devrait,, devrait”…..dans un Monde “idéal”, en effet ce SERAIT ça, mais / mais………..!!! <img data-src=" />





Le problème est là; on en ait à rappeler des principes élémentaires, juridiquement clairement établis qui garantissent l’équilibre d’exercice des différentes libertés.



Donc on doit surtout pas rentrer dans un jeu du “devrait”, mais affirmer que la règle “est” et que l’on a pas besoin de la charité des nayantdroits pour assurer ce juste équilibre.



Le nayantdroit est dénué du droit d’arbitrer l’exercice de la liberté d’expression. Une fois que ce principe est intégré, on peut discuter du reste.


Le 03/09/2018 à 08h 16

Je ne comprends pas l’exception sur les liens de presse comme elle est formulée.




Ou plus exactement, cette exception trahie totalement la philosophie du texte envisagé.      






Si on est dans l'exercice de la liberté d'expression et si l’œuvre en question est en relation avec une actualité alors il n'y a pas lieu de demander l'autorisation préalable de l'auteur et nayantdroits.       






Exemple fictif; si une personne souhaite faire un sujet sur Woody Allen s'agissant des accusations de sa fille (ou fils je sais plus) et qu'il veut renvoyer vers une affiche d'un de ses films en lien (ou autre pour peu que la chose soit en relation avec les faits dénoncés dans l'actu), le droit à l'information prime déjà sur le droit d'auteur.      






Donc prévoir une exception est d'une part totalement sans intérêt mais, d'autre part, trahie le fait que les Voss &amp; co imaginent, au travers d'un texte totalement mégalo, prendre le contrôle de ce qui peut être ou non diffusé sur internet. Et se faisant peurs eux-mêmes ils se disent "ah mais attention on touchera pas à la presse", eh! garçon! faut redescendre là!

Le 03/09/2018 à 09h 56

C’est consternant, car si l’on peut légitimement se dire que des outils d’aide à la prise de décision sont une bonne chose, en revanche s’en remettre corps et âmes à l’outil sans en connaître le fonctionnement et ses dérives éventuelles est un risque bien réel.



C’est ce que tous les acteurs un peu mobilisés sur le sujet craignent et dénoncent, sans refuser par principe l’intégration de ces outils.



Et la réponse de “l’administration” est d’ailleurs particulièrement préoccupante; pour les quelques administrations qui ont tenté de jouer le jeu (merci à vous de faire le boulot de sollicitation des administrations au passage), elles sont infoutues d’expliquer les principes de fonctionnement des algos qu’elles utilisent.



Potentiellement, elles refusent des prestations/aides (ou les minorent) à certaines personnes (ou inversement en accordent ou les majorent à des personnes qui ne devraient pas en bénéficier), sans que cela les préoccupent.



La crainte en ce domaine est de confondre la rapidité pour ne pas dire l’abatage du traitement des demandes, avec l’efficacité de l’administration.

Le 31/08/2018 à 12h 22







Exagone313 a écrit :



Mais dans ce cas, comment différencier un service de tracking d’une ressource externe ?



 Deux exemples :       

1) des ressources statiques sur un CDN, qui utilise un cookie pour le load balancing;

2) l'inclusion d'une vidéo hébergée par un site tiers (script ou iframe).

Et quid de l'invitation à cliquer sur un lien qui mène vers un site de tracking ?








 Si le "tracking" n'a qu'une finalité technique, aucun consentement préalable n'est nécessaire.      

Si c'est à des fins marketing avant d'afficher le truc ou de renvoyer vers une page, il faut recueillir l'accord préalable.





Par contre je te l’accorde la distinction est pas toujours évidente, par exemple j’utilise webtool de google pour faciliter le référencement et avoir des stats en mettant une balise meta dans le header. Pour moi ca n’a qu’une finalité technique. En revanche si google fait du tracking publicitaire avec (ce qui est probable mais je n’arrive pas à le confirmer), ben je dois avoir l’accord préalable du visiteur.


Le 31/08/2018 à 11h 58

Avec sa décision sur la coresponsabilité du fait de FB Insights du 5 juin, il serait curieux&nbsp; que la CJUE dise pas la même chose s’agissant du widget FB.

Le 29/08/2018 à 13h 08







Tandhruil a écrit :



C’est moi ou la CNIL se barre en cacahuète ?

&nbsp;





Hélas la CNIL est plutôt constante…


Le 29/08/2018 à 13h 03

“Il a cependant été fait interdiction à notre interlocuteur non seulement de nous transmettre l’avis, mais également de nous faire part d’une quelconque manière que ce soit de son contenu.



Cette politesse de l’autorité indépendante pour l’exécutif est aussi inexplicable qu’illicite puisqu’elle va à l’encontre d’une disposition législative de rang supérieur.”



Non mais même pour des choses aussi anecdotiques (l’avis favorable ou non, long ou petit de la CNIL n’intéressera personne) ils ne s’estiment pas dans l’obligation de respecter la Loi et donnent en plus l’instruction à la CNIL de s’écraser ?!? (démontrant là encore la portée du terme “indépendant” dans AAI…).



Ils en ont pas soupé de telles pratiques et alors même que les scandales s’accumulent, chaque jour nouveau chassant l’affaire de la veille ?

Le 29/08/2018 à 12h 45







OlivierJ a écrit :



&nbsp;

Il faut dire qu’il existe une sorte de “russosphère”, souvent liée à l’extrême-droite, parfois à l’extrême-gauche, qui est très complaisante avec la Russie et ses positions officielles, que ce soit contre l’homosexualité, l’Ukraine, la Syrie, et d’autres sujets.





L’association “russosphère” = désinformation + extrême droite n’était pas aussi clairement établie au moment où “l’étude” a déduit l’orientation des comptes analysés:

“Pour établir la “russophilie” des comptes, l’étude de l’ONG de Nicolas Vanderbiest ne choisit par exemple qu’un critère : celui d’avoir tweeté des articles du site web Sputnik et de la chaîne Russia Today, sur une période de deux mois, de février à mars 2017”.



C’est à dire avant les scandales sur russia today et donc à une période où partager une info de ce site pouvait se faire sans adhérer consciemment aux campagnes complotistes et de désinformations de ce type de presse.

https://www.marianne.net/politique/manipulation-dans-l-affaire-benalla-comment-inventer-un-complot-russe-sur-twitter-en



D’ailleurs les périodes d’analyse permettent de penser que l’étude n’était pas faite pour analyser l’affaire benala sur twitter, mais avait été envisagée pour d’autres faits bien antérieurs, mais que l’ONG a vu là une opportunité de faire parler d’elle en y ajoutant un passage sur benala et faire le buzz (avec le “succès” que l’on sait…).


Le 29/08/2018 à 12h 24







flamininus a écrit :



Commentaire lisible et compréhensible, malgré la densité de l’info fournie. Merci.





Avec plaiz <img data-src=" />


Le 28/08/2018 à 15h 32







minette a écrit :



Bonjour, une chose que je ne comprends pas c’est qu’il n’a jamais eu de protestations quand Nicolas Vanderbiest publiait des dataviz qui montraient les nebuleuses de tweets et retweets (concernant WikiLeaks ou avant la présidentielle par exemple). Pourtant on y voyait clairement des noms de comptes et il y avait parfois des analyses dans la presse. Qu’est ce qui était légal ou pas a ce moment là et comment se fait-il que personne y compris la CNIL n’ait réagi a ce moment-là ?






Probablement parce que jusque là ces publications étaient restées confidentielles et que donc personne n'avait retrouvé son nom ou pseudo mis en avant dans la presse et circulant de sites en sites ?    





En revanche, en cherchant opportunément à surfer sur le buzz médiatique de l’affaire benalla, la donne a changé.


Le 28/08/2018 à 14h 22

&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; Si le traitement statistique de données personnelles à des fins de recherche est autorisé par le RGPD (et bien avant lui avec la directive européenne ou notre LIL), ce même RGPD encadre néanmoins cette possibilité.



Comme indiqué, le traitement doit notamment se faire de façon pseudonymisée (en principe), à défaut le “chercheur” contrevient au règlement.



En revanche, je ne suis absolument pas d’accord avec le fait de prétendre que l’on pourrait conserver des données collectées sans pseudonymisation, et que cela ne poserait une difficulté qu’en cas de publication du fichier non pseudonymisé.



Le RGPD est parfaitement clair et faisant référence à la pseudonymisation, il impose “chaque fois que ces finalités peuvent être atteintes par un traitement ultérieur ne permettant pas ou plus l’identification des personnes concernées, il convient de procéder de cette manière”. (art. 89 alinéa 1 du RGPD).



Pour rappel la collecte est en elle-même un traitement (article 4 alinéa 2 du RGPD). Dès lors la phase de pseudonymisation doit être appliquée dès que possible et au traitement final, non uniquement en cas de publication du fichier.



Cela pose pas mal de difficultés pour les chercheurs qui estiment que cela limite la possibilité de reproduire et comparer des études, mais c’est ainsi, le fichier final même sans considération d’une éventuelle publication, doit être pseudonymisé sauf si celle-ci rend impossible d’atteindre la finalité poursuivie. (ce qui n’est manifestement pas le cas ici, un hash (et un salage) permet de réaliser les statistiques voulues sans travailler avec les vrais pseudo. ou noms).



On peut encore consulter les recommandations de la CNIL sur ce point qui souhaite la généralisation de la pseudonymisation, publication ou non des fichiers, le site du cil.cnrs.fr y invitant très fortement notamment en cas d’étude sociologique et décrivant les mesures de minimisation. (CNIL - Mesure de la diversité et protection des données personnelles 16/05/2007 point 9).



&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; De même, simplement renvoyer à l’exception de l’article 9 en indiquant que traiter des données sensibles sans accord préalable mais du fait que la personne a “manifestement” rendu public cette information, me semble sujet à débat.



Même s’il est introduit une distinction entre le fait de collecter l’information publique et déduire un comportement de cette information publique, la nuance me semble insuffisante.

&nbsp;

Le Conseil constitutionnel a très clairement indiqué ce qui pouvait pris en compte ou non, la CNIL visant régulièrement la décision du Conseil, précisant que seule une donnée “objective” peut être prise en compte.

(DC n° 2007-557 du 15 novembre 2007).



Dès lors il me semble spécieux de prétendre qu’en réalité l’ONG n’aurait fait que reprendre une étiquette données publiquement par les utilisateurs qui aujourd’hui et abusivement revendiqueraient un “droit absolu sur ces informations”;

. si ces personnes avaient dit je suis “Insoumis”, je suis “FN-RN”, je suis etc… ces données étaient objectives et pouvaient être traitées.

. A l’inverse, dire “j’aime pas macron” ou encore re twitter “j’aime pas macron” et que l’ONG puisse en déduire une appartenance politique mais encore prétendre que la personne à de ce seul fait rendu publique son orientation politique me semble parfaitement douteux. Dès lors les revendications de ceux qui n’ont pas indiqué objectivement leurs orientations politiques ne me semblent en rien abusive.



&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; En revanche, une précision pourrait être encore apportée, si les responsables de cette étude avaient fait le nécessaire s’agissant de la pseudonymisation (dès le début et non pas simplement en cas de publication), ils pouvaient échapper à l’obligation d’informer la personne concernée de leurs droits. (RGPD Article 14 5b & 89 1)



&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; Enfin, il n’y a pas que le civil et le CNIL dans la vie, mais aussi le pénal, une plainte se fondant sur les articles 226-17 et surtout 226-19 du Code pénal me semblent particulièrement adaptés, et si la plainte est accueillie alors il sera possible de constituer partie civile et de demander une indemnité. (En plus, cela permettre d’éviter l’application de la “jurisprudence” schiappa de la CNIL <img data-src=" /> )

Le 28/08/2018 à 15h 08







Tandhruil a écrit :



Je pense que Le Monde défend le modèle économique en vigueur en Europe (plus le libre échange que le capitalisme).

&nbsp;

Pour le reste il est toujours intéressant de lire un point de vue autre que le sien. Avant son rachat par Bernard Arnaud j’aimai bien lire Les Echos et son point de vue purement financier sur l’actualité, depuis c’est devenu trop politisé.



C’est pour ça que personnellement je lis Marianne,&nbsp; les éditorialistes ont des points de vues vraiment différents sur une même actualité.



J’aimais bien Charlie Hebdo mais RISS tourne un peu en rond avec les musulmans…





Constat qui a mon sens devrait conduire à se préoccuper de la concentration des titres de presse dans quelques mains, plus qu’à savoir comment on va servir la soupe de la linktax aux types aux bout des mains.


Le 28/08/2018 à 15h 06







MarcRees a écrit :



Ils veulent être référencés et en même temps, rémunérés pour ce référencement d’une certaine manière…

&nbsp;&nbsp;

&nbsp;





Certes, néanmoins il est aussi vrai que Google et FB (et probablement Bing etc…) attirent un certain trafic qui passe par eux pour aller consulter la presse.



Je trouve plutôt le système intéressant pour les deux, presse grand public et GAFAS; l’un étant référencé gagnant des lecteurs, l’autre gagnant du trafic.



Je serai plutôt d’avis de dire que la seule lésée est la presse à diffusion plus limitée qui est maintenue par ce système dans une certaine confidentialité.



Naturellement, ce raisonnement est sans rapport avec la question de la linktax, qui est une solution imbécile peu importe le coté où on se trouve pour créer une pseudo rente compensatrice d’un droit inexistant (bref un ersatz de copie privée).


Le 25/08/2018 à 17h 48







skankhunt42 a écrit :



Honnêtement ça me gène pas vraiment l’atteinte aux libertés si ça te permet de protéger correctement mon logement… Si ma maison était dans un quartier à risque ça serais surement caméra multiple + éclairage automatique + aboiement de chien couplé à un détecteur si quelqu’un essaye de forcer la porte.



&nbsp;





Je te dis pas de pas te prémunir, mais que tu peux parvenir à ton objectif sans filmer l’espace public.


Le 25/08/2018 à 17h 41







Nerg34 a écrit :



En même temps tu conviendra que pour filmer la plaque de la camionette qui embarque tes affaires, filmer l’intérieur n’a que peu d’intérêt.

&nbsp;

9x/10 avoir la tronche du cambrioleur apportera pas grand chose alors que son immatriculation donne directement son adresse.



Un voisin m’a montré la jolie photo du mec de 20 ans grand max qui a forcé sa porte et piquer à la va vite quelques affaires. A part pour animer une soirée, ça lui a pas apporté grand chose.



Donc ton dispositif est souvent totalement inutile et tu as surement perdu de l’argent pour rien.





Oui c’est vrai que c’est le mode opératoire classique; le cambrioleur vient avec sa bagnole, qui n’est que très rarement une voiture volée et brulée juste après le coup, et prend le plus grand soin à se garer devant le logement où il va faire le coup car nul passant ne pourrait la voir naturellement, le tout face à la caméra de surveillance, et dans un sens qui très opportunément permet de lire les plaques.



Il est certain que ton dispositif, en plus d’être illégal, doit être souvent rentabilisé…

&nbsp;

Qu’est ce qu’il faut pas lire comme absurdités.


Le 25/08/2018 à 11h 30







skankhunt42 a écrit :



J’ai été voir les chiffres globaux ( ici ) et c’est pas qu’un sentiment de peur je pense, c’est palpable :



. 2008 : 166.000 cambriolages par an

. 2017 : 243.500 cambriolages par an

. 10% de chance de ce faire cambrioler en 6 ans



Après il y à aussi une augmentation significative du nombre d’intrusion quand les personne son présente au domicile donc au passage agression.

&nbsp;

&nbsp; Ça doit surement faire tomber le nombre de cambriolage impulsif. Naïvement je me dis que si tu à une caméra tu à surement un système d’alarme à la maison. Par contre si tu à les moyens de tout ça tu doit surement être riche, donc hausse potentielle des cambriolages.





Tu illustres parfaitement le fait que les entreprises fourguant de la vidéosurveillance ont détourné un problème réel de sécurité à leurs profits.



Si une camera de surveillance peut avoir du sens lorsque tu quittes ton logement pour éventuellement faire fuir des cambrioleurs ou les identifier (j’en ai une dans mon appart), un tel usage n’a d’intérêt que si la camera filme ta propriété, pas l’espace public, et annoncer l’existence du dispositif sur ta porte d’entrée permet d’avoir l’effet dissuasif voulu.



En revanche, tu es allé chercher les données sur les cambriolages pour établir un lien avec la possibilité qu’une camera de surveillance puisse filmer l’espace public aux abords d’une propriété privée.



Tu en conviendras je pense, le dispositif décrit dans mon 2° paragraphe permet de remplir l’objectif poursuivi de lutter contre les cambriolages sans porter la moindre atteinte aux libertés, et qu’il n’est donc nullement nécessaire de filmer l’espace public contrairement à ce que laissent entendre les boites de sécurité.


Le 24/08/2018 à 22h 39







alexpacha a écrit :



Bonsoir à tous




A mon avis on va vers un débat stérile, car cette loi est totalement débile ... excusez du peu ...      

Car on est dans un monde d'images et de vidéos !







Il n’y aucune Loi nouvelle, c’est l’état de la législation depuis les années 70 (adaptée au fil du temps s’agissant des exceptions, notamment par Sarkozy) et précisée depuis des lustres par la jurisprudence et la CNIL.



L’état de la législation est du bon sens, le problème vient des pratiques de vente, les entreprises fougeraient nettement moins de matos si elles ne créaient pas un motif de trouille (la rue c’est le danger) et le moyen d’y répondre par la même occasion (tu peux surveiller la rue).



D’ailleurs, je peux pas m’empêcher de penser que Marc, tout en faisant un article sur la protection des libertés face aux risques de dérive des newtechs, sujet qu’il affectionne, n’a dans le même temps pas manqué l’occasion de s’amuser à relever qui a répondu à la question posée <img data-src=" />


Le 24/08/2018 à 22h 16







Patch a écrit :



En même temps, la vidéoprotection jusqu’à preuve du contraire n’existe pas. A moins que tu ne connaisses des modèles de caméras capables de protéger grâce à leurs petits bras?





C’est hélas le vocable à la mode, les marketeux de ces entreprises l’employant en lieu et place de vidéosurveillance qui fait moins glam…


Le 24/08/2018 à 14h 25







dvr-x a écrit :



Parce que filmer en continue la rue depuis une caméra qui ne se voit pas et qui n’enregistre pas, tout comme toi je ne vois pas trop ce qui est sécurisant <img data-src=" />





C’est toute la magie de la vidéoprotection; sauf zone particulière où ces dispositifs sont des compléments (agents, dispositifs d’entrée contrôlée etc…), la vidéoprotection n’a jamais démontré son utilité en terme de sécurité.



Jusqu’ici, les entreprises qui fourguent ces appareils prétendaient à l’aspect dissuasif et sa capacité à aider les enquêteurs.



Aujourd’hui, beaucoup de villes sont équipées et constatent que son efficacité est anecdotique et que rares sont les images permettant d’aider à la résolution d’une enquête (perso en près d’une décennie d’exercice je n’ai eu que deux cas où ce dispositif a donné quelque chose d’utile et pour des faits mineurs), et surtout sans commune mesure avec l’investissement demandé aux collectivités pour s’équiper.



Comme le discours commence à ne plus fonctionner auprès des Maires, (bien qu’un nouveau plan de com sur l’AI ait été récemment lancé pour détecter les comportements “anormaux” sic! ), les entreprises s’adaptent et proposent de rentabiliser les investissements en faisant de la vidéo verbalisation…



http://internetactu.blog.lemonde.fr/2018/06/02/videosurveillance-paradigme-du-technosolutionnisme/


Le 24/08/2018 à 23h 04







empty a écrit :



Ca ne paraît pas insurmontable techniquement.



 Le tiers qui développerait le logiciel le fournirait (sources comprises) à l'état. Pas question que ce soit une entreprise extérieure qui caviarde les textes.








 C'est pourtant pas évident, tu vires l'état civil, le mail et autres mais d'autres informations vont permettre une ré-identification très facile, par exemple le nom de l'entreprise employeur, le poste etc... Tu fais une petite recherche linkedin ou autre, et sans grand effort on peut ré-identifier dans pas mal de cas.      






Sans compter que certaines boites ont en interne des données permettant des croisement très fins (typiquement les assureurs), ou encore des risques futurs avec l'ouverture en opendata d'autres données (certains voulant encore plus ouvrir le fichier SIV qu'actuellement).      






Des discussions qu'on a pu avoir sur le sujet, c'est pas simple  surtout sans être capable de définir objectivement le degré de  pseudonymisation souhaitable/acceptable, ou plus exactement à partir de&nbsp;  quel degré de complexité le risque de ré-identification est acceptable.      






Outre le risque d'atteinte à la vie privée (pour moi suffisant pour exiger un haut degré de protection), je te laisse imaginer ce que feront les assureurs qui ré-identifieront (probablement avec des erreurs) leurs assurés et comme ils traiteront leurs polices d'assurance ...

Le 24/08/2018 à 13h 27

[données à virer]

Le 24/08/2018 à 13h 04

La Cass. est gonflée en prétendant à la simplicité; avoir toutes les jurisprudences en libre accès est une excellente chose, en revanche cela demande de trancher la question de la pseudonymisation (ou d’anonymisation puisque même ce point n’est pas clair), on a rien sinon des groupes de lobbyiste (dont certaines legaltechs) qui veulent récupérer toutes les infos (chose qui serait inacceptable en terme de vie privée).



Avec des greffes sur les rotules, ça me semble délicat de prétendre qu’il suffit de prendre les décrets et pouf miracle, sans connaître le degré de données persos qu’il faut masquer, les greffes vont mettre en libre accès les décisions.



Ca fait bien deux ans qu’on demande à savoir ce que l’on doit sabrer dans les décisions, si déjà on pouvait avoir une réponse précise et claire sur ce point de la pseudonymisation (et donc les donner à virer) on pourrait avancer.

Le 24/08/2018 à 13h 53







Mearwen a écrit :



Le lobby culturel via les 25% RCP reversé au financement de festival dispose d’un pouvoir de nuisance sur les appareils politique assez important. Et clairement les geeks ne valent pas le cout de se facher avec ces gens la. Dans une démocratie, ce qui compte c’est avant tout ta capacité à mobiliser les réseaux politiques locaux et nationaux.

Or les baronnies françaises locales font que peu de Maire/Chef de région/député sont prêt a perdre le festival local pour une poignée de geek.



Le poids politiques du lobby IT au sens global est assez faible en france bien qu’en légère progression mais il faudra du temps pour que celui ci soit capable de défaire le lobby culturel.&nbsp;





Précisément, la gauche avait suffisamment d’élus locaux pour prendre le relai au niveau des festivals si jamais les nayantdroits avaient voulu couper les vivres.



Naturellement, ça demande d’anticiper la chose, mais bon à ce degré de responsabilité et avec un pouvoir aussi largement représenté à l’échelon national comme local, il me semble que c’est loin d’être insurmontable, ou alors il faut même pas envisager d’administrer le pays, sans parler de construire l’Europe.



Bref, je comprends parfaitement les craintes et le fait que s’attaquer à l’Hadopi veut dire prendre des risques pour pas grand chose, néanmoins, ils étaient là pour gouverner, pas juste craindre une perte de crédit populaire à chaque action (crédit qui a d’ailleurs été totalement perdu au final).