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crocodudule

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2757 commentaires

Le 09/10/2018 à 16h 52







SebGF a écrit :



Les sites de streaming illégaux de porno ne sont pas vraiment sûrs (je ne parle pas des réseaux de Mindgeek avec PornHub etc, mais plutôt des blogs ou plateformes en cyrillique moins fréquentables), souvent bardés d’une quantité hallucinante de publicités et scripts pouvant démolir le brouteur comme un rien sans un bloqueur de contenu filtrant uniquement le nécessaire.

Donc le risque est présent de la même manière que les sites de keygen et compagnie présentent(aient ?) un beau nid à saloperies.





Mais s’il était sur pornhub & co (même si ça fait un petit moment que j’ai pas fait un petit tour ^^ ) ne présentent pas de problème particulier.



C’est surtout ça qu’il faudrait constater il me semble, que les sites visités étaient potentiellement dangereux.


Le 09/10/2018 à 16h 41

“« Ils sont par ailleurs d’autant moins excusables qu’ils ont nécessairement exposé le serveur informatique de l’entreprise à un risque accru d’attaques virales »”



En quoi se tirer sur la nouille sur des sites de luc expose plus à des attaques virales ? Ils pensent qu’on peut chopper des MST ?

Le 09/10/2018 à 16h 38

Bon plus sérieusement, la CNIL semble avoir trouvé sa première cible hors territoire européen depuis le RGPD, on verra comment se passe la demande de coopération 

Le 09/10/2018 à 16h 37

Quelqu’un a test ?

linkedin.com LinkedIn<img data-src=" />

Le 09/10/2018 à 09h 33







Arcy a écrit :



Dans tous les cas, c’est pas le comportement par défaut, faut le vouloir :-)





Oui c’est exact, il faut l’activer ce que je ne fais pas, préférant le faire à la mano généralement avec quelques jours de reculs. Cependant cette crainte est plus un réflexe de windosien, n’ayant jamais eu de problème avec de simples majs de sécurité sous nunux (par contre, je crois que j’ai jamais eu une update d’une version à l’autre du même distrib sans avoir des problèmes ^^ ).


Le 08/10/2018 à 17h 03







Arcy a écrit :



Parce qu’il y a des Linux où les MàJ s’installent toutes seules ? <img data-src=" />





Pas le cas de mes raspbian (mais tu peux installer unattended-upgrades je pense), par contre oui tu peux le faire sous ubuntu par exemple, et je l’ai fait un temps sous Yast (suze), donc pour te répondre: oui


Le 08/10/2018 à 16h 14







Furanku a écrit :



En même temps si tu ne le fais pas tu vas avoir droit à un redémarrage au pire moment… C’est pas encore ça Windows Update, je préfère garder le contrôle perso dans des situations pareilles.

Puis 35 jours max sans mise à jour, si tu fais de base attention à ce que tu fais sur ton poste, ce n’est pas la mort…





Ah mais je suis bien d’accord, mes majs (wiwi ou nuxnux) ne sont jamais en automatique, je les lance à la mano 3 ou 4 jours après la sortie. Certes ça m’expose à une éventuelle faille 0day, mais je préfère prendre ce risque de quelques jours et m’éviter une réinstallation (en faisant toujours attention à ne pas aller sur des trucs louches dans le délai).



Mais pour l’utilisateur lambda, lui demander de gérer lui-même l’installation des mises à jour n’est clairement pas le comportement le plus courant (au mieux c’est en auto, au pire c’est désactivé car il trouve que ça fait ralentir la machine ^^ ).


Le 08/10/2018 à 16h 10







Drepanocytose a écrit :



Voyez le bon côté des choses : plus rien à craindre des ransomwares avec cet update <img data-src=" />





“On a chiffré ton répertoire document. Si tu veux la clef, il faut régler 12 bitcoin sur mescouillessurtesyeuxcateferadeslunettesdesoleil.com (oui on est sur le darknet).”



“Même pas peur, j’ai installé la windows maj d’octobre avant !”



&nbsp;


Le 08/10/2018 à 16h 03

Réaction attendue de l’utilisateur lambda à la lecture de cet article: désactiver windows update (sans avoir conscience des risques pris, ceci après des années de pédagogie pour que les gens maintiennent à jour leur système).



Au fait, étant une violation du RGPD, Microsoft a notifié à la CNIL ? <img data-src=" />

Le 08/10/2018 à 15h 44







Jarodd a écrit :



“Messieurs dames, une petit place pour manger, rester digne et montrer qu’on sert à quelque chose, sioupléééé !”





C’est exactement ça !


Le 08/10/2018 à 15h 42

Où comment démontrer que l’hadopi n’a vraiment aucune espèce d’intérêt.



D’une part, la question du “piratage” par ces assistants vocaux n’apportera rien, d’autre part la question de l’enfermement de l’utilisateur dans l’écosystème de chaque marque relève de l’autorité de la concurrence.



Surtout lorsqu’on regarde le travail fait par l’hadopi afin de faire respecter le principe qui veut que l’on puisse faire péter les DRM pour une lecture sur tous les dispositifs et dont elle a la mission. Du fait des atermoiements de l’hadopi, l’enfermement du con-sommateur est la règle.



Vraiment, on claque un “pognon de dingue” pour rien en sollicitant l’hadopi sur de tels sujets…

Le 06/10/2018 à 08h 13







Toorist a écrit :



Oui et non.

Ce n’est pas le fait que le disque dur tombe en rade qui est un vice caché. C’est le fait qu’il était déjà en train de tomber en rade avant la vente qui est un vice caché.

Et d’ailleurs, il faut noter que c’est à l’acheteur de prouver que le défaut est antérieur à l’achat et pas au vendeur de prouver qu’il n’existait pas avant.









Toorist a écrit :



Oui et non.

Ce n’est pas le fait que le disque dur tombe en rade qui est un vice caché. C’est le fait qu’il était déjà en train de tomber en rade avant la vente qui est un vice caché.

Et d’ailleurs, il faut noter que c’est à l’acheteur de prouver que le défaut est antérieur à l’achat et pas au vendeur de prouver qu’il n’existait pas avant.









Toorist a écrit :



Oui et non.

Ce n’est pas le fait que le disque dur tombe en rade qui est un vice caché. C’est le fait qu’il était déjà en train de tomber en rade avant la vente qui est un vice caché.

Et d’ailleurs, il faut noter que c’est à l’acheteur de prouver que le défaut est antérieur à l’achat et pas au vendeur de prouver qu’il n’existait pas avant.





D où l intérêt de viser le défaut de conformité tel que défini par le code de la conso , si le matos était neuf pendant 24mois, si d occas alos pendant 6mois, le vendeur pro est présumé responsable, renversant la charge de la preuve sur le vendeur


Le 05/10/2018 à 15h 55







skankhunt42 a écrit :



Si demain un mécanicien met un pc portable en vente et qu’au bout d’un an le disque dur tombe en rade, c’est considéré aussi comme un vice caché ?





Si tu es dans un rapport professionnel/consommateur, oui.



Ou plus exactement tu peux viser le défaut de conformité au sens du Code de la consommation (pas pareil que le défaut de délivrance conforme au sens du Code civil) et la notion de vice caché (le Code de la conso te permettant de viser les deux qui sont des notions différentes).


Le 05/10/2018 à 15h 52







Sans intérêt a écrit :



Je m’étonne de l’aspect porté devant la CJUE : en quoi le caractère professionnel du vendeur est-il pertinent ? Je veux dire, si l’annonce ne correspond pas à l’objet, il est logique d’annuler la vente, quelles que soient les parties, non ? Autant je peux comprendre qu’un consommateur soit mieux protégé face à un professionnel, autant je ne comprends pas pourquoi ce n’est pas sur l’exactitude de la description de l’objet que le débat porte. Qu’est-ce qui m’échappe ?





Pour deux raisons; la charge de la preuve d’un défaut de conformité, et le délai de rétractation de la vente à distance à destination d’un consommateur.





  1. Toute difficulté apparaissant dans les 24 mois pour un bien neuf et 6 mois pour un bien d’occasion vendu par un professionnel, est présumée de la responsabilité du vendeur (heureusement en pratique il faut que le consommateur rende au moins vraisemblable l’existence de la difficulté). A charge pour le vendeur de démontrer qu’il n’est pas en cause (faute de l’acheteur, défaut d’entretien etc…).



  2. la vente en ligne dans un rapport professionnel/ consommateur, offre un droit de rétraction sans avoir à justifier de rien pendant à minima 14 jours (30 en Allemagne).



    Je passe sur le fait qu’en matière de vice caché le professionnel est responsable du prix mais encore des dommages intérêts (là où un profane particulier, ne répondra que du prix sauf à démontrer qu’il avait connaissance du vice et l’a caché au moment de la vente).



    (En réalité, j’en passe car les obligations pesant sur le professionnel font des kilomètres).


Le 05/10/2018 à 15h 47

Xavier tu peux ajouter qu’en France, outre les critères énoncés, la qualité de professionnel doit s’apprécier in concreto.



Aussi, un professionnel qui à titre personnel vend un bien qu’il vend habituellement dans son activité professionnelle, sera reconnu comme un professionnel&nbsp; et non comme un particulier (profane).

(classiquement, le gérant d’un petit garage qui se dit qu’il va vendre à titre perso une bagnole qu’il sent pas pour éviter les obligations du Code de la conso. C’est naturellement également applicable si la vente se fait par internet via le boncoin par exemple).

Le 05/10/2018 à 14h 30







Patch a écrit :



Il arrive parfois à allumer son cerveau. Et c’est assez surprenant, on dirait presque une 2eme personnalité <img data-src=" />





Argh, l’image est flippante ^^


Le 05/10/2018 à 08h 54







Patch a écrit :



Ils arrivent à sortir des choses intelligentes volontairement. C’est rare (surtout pour Ciotti), mais ca arrive.





Lefebvre je suis pas certain que ça soit volontaire


Le 05/10/2018 à 08h 29







Patch a écrit :



Le pire n’est pas qu’elle se ridiculise 99% du temps. Le pire, c’est qu’elle a réussi à être élue…






Démontrant à nouveau que l'on a la démocratie que l'on mérite (balkany systématiquement réélu peu importe les casseroles).      









Radithor a écrit :



Se faire élire sur une étiquette est relativement facile quand on fait partie de la majorité présidentielle qui vient d’être choisie quelques semaines auparavant. Et il y a bien pire que Aurore Bergé en terme de comportement d’élu à l’Assemblée nationale (hors toute considération d’opinion politique). Notamment en terme de rhétorique foireuse, il n’y a pas pire qu’un énarque (qui est formé spécifiquement au discours publique).






 Elle est je trouve la   number one s'agissant des éléments de langage qui ne veulent rien dire.       






Notamment son rapport sur "sur les relations école-parents" était une merveille d'enchainement de mots ne voulant rien dire, invitant les  profs à trouver des "prétextes inclusifs" et adopter les "spécificités  sociologiques" des quartiers difficiles pour ne pas employer un  vocabulaire "involontairement opaque".      






On dirait l'époque de  giscard où l'administration était invitée à ne plus parler de ballon  mais de "référentiel bondissant", on change rien sinon les éléments de  langage.      






Et j'en passe, l'affaire benalla, le départ d'hulot etc... une petite dernière pour la route s'agissant de l'émotion suscitée par la mort de johnny "Ce sera une comparaison du niveau de la mort de Victor Hugo".       

&nbsp;



<img data-src=" />


Le 04/10/2018 à 16h 16







ProFesseur Onizuka a écrit :



Ah c’est donc comme ça que l’argent apparait magiquement? <img data-src=" />



Cet argent est parti sur Internet et ne reviendra pas, il est chez Google maintenant grâce à ta politique de mondialisation, la télé est une perdante du capitalisme: elle doit donc faire faillite et crever en silence d’après la bible capitaliste <img data-src=" />





Je ne doute pas néanmoins qu’Aurore Bergé, qui s’est toujours caractérisée par un engagement fort envers des valeurs politiques immuables, réponde à une opération de lobbying des chaines privées qui estiment que la marché existe encore.


Le 04/10/2018 à 16h 08

Ce qui a de bien, c’est que dès qu’on parle d’Aurore Bergé, c’est qu’on peut ajouter un degré supplémentaire à l’échelle ouverte du “grand n’importe quoi” (pour rester bien éducaillé): fidélité à un parti, cohérence politique, cohérence tout court, y a pas un sujet où elle se ridiculise pas.



Dernière illustration dans cet article : « Afin de limiter l’atteinte à l’intégrité des œuvres cinématographiques, cette possibilité pourrait toutefois être ouverte seulement aux films de plus de 90 minutes », esquisse Aurore Bergé.



Peu importe l’antinomie manifeste qu’il y a permettre de couper un peu plus un film et prétendre “en même temps” au respect de l’œuvre, elle sort une formule totalement incohérente comme si de rien <img data-src=" />



Moi je peux en faire: “il sera possible d’afficher de la publicité sur le film et afin de respecter l’oeuvre, elle ne prendra pas plus d’14 de l’écran et ne “parlera” que pendant les silences entre les dialogues”.

Le 04/10/2018 à 18h 39

Je suis arrivé au même bilan, en pratique si c’est compact, ce type de matériel impose de laisser des trucs à l’extérieur et impose de se tourner vers un seul type de chipset.



Au final, j’ai tout monté dans une cage bricolée avec des mécanos et refermée avec du plexi proprement, c’est moins pro que la solution proposée, mais c’est adaptable à loisir :)

Le 04/10/2018 à 09h 39

C’est certain que la “redevance pour tous”, ça claque moins que le mariage pour tous, on a les ambitions que l’on peut (surtout avec Aurore Bergé <img data-src=" /> )

Le 04/10/2018 à 09h 04







OlivierJ a écrit :



Tu as une idée du ratio ?



Ce n’est bien sûr qu’un exemple, donc pas représentatif, mais quand je suis passé devant un juge (aux affaires familiales) après séparation pour la question de la pension alimentaire et des requêtes (limite exorbitantes) de mon ex, j’ai été agréablement surpris de lire un jugement de plusieurs pages, parfaitement compréhensible et avec motivation des décisions.





Dans l’essentiel de mes contentieux qui sont très techniques c’est la règle; tu as un mot voire une phrase qui pour le juriste que je suis permet sans mal de comprendre, mais qui pour celui ne faisant pas de droit reste totalement hermétique.



La raison est très simple, dans la notation du magistrat il y a clairement un rendement qui est pris en compte, ça se traduit au regard de l’encombrement par le fait d’évacuer la motivation pour trancher au plus vite (et parfois passer à coté, c’est parfaitement humain).



C’est heureux qu’en matière de JAF tu puisses comprendre les raisons du Jugement, je ne fais pas cette matière mais des Confrères qui en font ils ont parfois du mal à comprendre pourquoi il a été tranché dans un sens ou un autre.


Le 03/10/2018 à 16h 24







js2082 a écrit :



En même temps, dès lors que tu fais appel à la justice publique, il est normal que la décision devienne publique, tu sais que ton affaire deviendra publique et tu acceptes que n’importe qui puisse connaitre cette affaire.

Si tu ne veux pas que les gens soient au courant, faut faire appel à l’arbitrage.



Pour moi, la justice doit être ouverte à tous, vérifiable par tous et suivie par tous: cela a toujours été ainsi. Anonymiser les décisions est un pas en arrière dans le fonctionnement de la justice.

&nbsp;





Si l’objectif d’accès à la Justice est parfaitement légitime, le risque de fichage de la population par des décisions non anonymisée est lui inacceptable. On peut pas avoir un double discours consistant à dire on veut la protection des données et dans le même temps permettre la constitution de fichiers sur tous les condamnés pénalement, les salariés qui mettent aux prud’hommes leurs employeurs, les gens en surendettement etc…



Le fond du problème est que le ministère ne permet pas aujourd’hui de définir ce qui doit être pseudonymisé ou non (il faut vraiment trouver un autre mot parce que là c’est pas possible…).







js2082 a écrit :



Cela vise surtout à empêcher le contrôle des magistrats et des greffes.

Or il est nécessaire de contrôler ces magistrats et greffiers: ça permettrait de mettre en évidence les collusions, corruptions et autres petites affaires qui minent le fonctionnement de la justice





Collusions et corruptions honnêtement j’en doute, en revanche oui incontestablement cela pourrait permettre de dévoiler le fait que la majorité des décisions ne sont pas motivées contrairement à l’obligation légale faite aux Juges, et que donc l’objectif d’intelligibilité des décisions de Justice n’est pas respecté.


Le 03/10/2018 à 13h 20







Nozalys a écrit :



Y sont pas cher payé tes juges. 3000€ par an… On est plus près de 200 juges annuel sans comptes les charges patronales (et ça reste des juges mal payés).

Néanmoins je confirme que l’argent serait mieux dépensé ainsi. Mais bon, la justice, le gouvernement n’aime pas ça <img data-src=" />





Oui pardon j’ai oublié un par 12 <img data-src=" />


Le 03/10/2018 à 13h 19







js2082 a écrit :



<img data-src=" /> 3000???

Non quand même pas.

Le salaire médian des magistrats est de 4400 euros/mois soit 170 magistrats pour 9 millions.

&nbsp;





Il me semble que le salaire en début de carrière est entre 2700 et 3200, mais mes infos dates un peu.


Le 02/10/2018 à 16h 48







skankhunt42 a écrit :



Il est clair qu’une instance doit exister pour lutter contre le piratage, mais en créer une qui coute un pognon de dingue, qui ne rapporte rien et qui en plus est appliquée sous des motifs fallacieux je dis non !



Mine de rien avec 9 millions par ans tu peut en faire des choses… Par exemple des studio neufs tout équipés pour permettre à des jeunes pauvre de monter une chaine youtube.





Sans forcer ; 3000 Juges. Lesquels font œuvre de justice pour tous et pas pour les seuls nayantdroits.


Le 02/10/2018 à 16h 32

“Pour ne pas assommer les entreprises récemment installées en France, il est prévu que celles présentes depuis moins de cinq ans ne soient pas assujetties. De même, le montant payé serait déductible de l’impôt sur les sociétés. Par ces contorsions, celles installées à l’étranger et qui échappent encore à l’IS, ne pourraient esquiver la taxe de 5 %. ”



&nbsp;Oula, ils ont manifestement zappé le cour sur l’égalité devant l’impôt ^^

Le 01/10/2018 à 16h 14







ColinMaudry a écrit :



Tu as un lien vers cette appli ? Ça m’intéresse.&nbsp;





On s’est rencontré dans le cadre du concours du CNB de l’an passé où on était les deux gagnants ^^

facebook.com Facebook


Le 01/10/2018 à 09h 49

Ca c’est une excellente chose, les gens n’imaginent pas les difficultés que l’on peut rencontrer dans ce domaine et parfois des interrogations légitimes sur la transparence.




 D'ailleurs, un copain avait développé une appli pour faciliter le fait de candidater à un marché public (éléments du marché, compléter le dossier en ligne etc...). Si l'open data est respecté ça peut faire avancer le bidule un peu plus vite.

Le 01/10/2018 à 09h 30







Minikea a écrit :



en fait on en revient toujours au même: le budget de la Justice est encore et toujours le noeud du problème.

avec plus de moyens, ils auraient pu répondre à ces demandes, avec plus de moyens ils auraient pu même éviter d’avoir ces demande en premier lieu en ayant créé un système d’open data sur ces demandes qui, avec des moyens, auraient pu être anonymisées de manière correctes.

bref, merci les gouvernements successifs d’avoir tronqué le budget de la justice et venir pointer du doigt ensuite le non fonctionnement… <img data-src=" />





Oui à mon avis, s’agissant des greffes le premier problème est là.


Le 28/09/2018 à 23h 03







blob741 a écrit :



Il vaut mieux 50 arrêts de Cour d’appel articulant un raisonnement un peu chiadé et novateur que 2000 décisions de tribunal d’instance accordant des délais de paiement.





Ca ils peuvent pas le capter, ils s imaginent qu en ayant toutes les décisions rendues, ils seront des juristes avertis capables par comparaisons de prédire le résultat futur, oubliant que 90% des décisions rendues le sont sans motivation les rendant totalement incompréhensibles par elles mêmes, et que bien souvent tu ne peux pas comparer deux décisions dans un même domaine parce que la règle de droit a été modifiée par le législateur entre temps.



C est plus simple de croire que nous sommes des arriérés qui veulent garder secret notre savoir qui se résume pendant nos 6-7-8 ans (et +) d études à mémoriser toutes les décisions de tête ^^


Le 28/09/2018 à 21h 07







js2082 a écrit :



Apparemment, “l’usurpation” concerne une dizaine de demandes selon Doctrine.fr.



   Si cela est juste, le préjudice subit de "l'usurpation" est nulle.          

Même avec 1000 ou 10000 demandes, le préjudice serait toujours nul.






   Ça ne serait pas étonnant que l'assignation du bâtonnier ne donne rien.         

&nbsp;





&nbsp;



L'enquête le dira sur la quantité et si le monde dit vrai. Mais d'une part, une infraction peut être constituée sans avoir à justifier d'un préjudice indemnisable, ça n’empêchera pas la condamnation à une peine. D'autre part usurper une l'identité permet à minima d'invoquer un préjudice moral, et s'agissant de société un préjudice d'image.       






&nbsp;      





<img data-src=" />

Etre extrêmement débordé n’est pas une excuse pour refuser de faire droit à un droit élémentaire… &nbsp;




On est d'accord du moins sur le principe, reste que le ministère bloque en ne donnant pas la principale information nécessaire à la publication des décisions; que recouvre la pseudonymisation? On attend depuis deux ans de le savoir.      






&nbsp;      





Les greffes ne peuvent pas se plaindre du comportement de la star-up si eux-même ne respectent pas la loi…<img data-src=" />

&nbsp;



Là tu nous fais un joyeux n'importe quoi; genre comme le greffe est dans l'illégalité (que rien ne démontre) ben j'ai un crédit pour commettre une infraction au préjudice de tiers qui ni peuvent rien et n'ont rien demandé... Si la tarte-up s'estime victime d'un greffe elle poursuit le service public, elle commet pas une infraction pour tenter de passer outre.      






Là ton raisonnement consiste à dire que si tu t'estimes pas bien traité par ton hôpital, tu es autorisé à te faire passer pour ton médecin traitant pour être mieux accueilli aux urgences, c'est totalement grotesque et parfaitement illégal.      






Et au passage, c'est pas nul ne peut se "plaindre" mais se prévaloir de...      







Est-ce que NxI peut faire passer un petit message à cet avocat:




   NON, le droit ne t'appartient pas et n'est pas TON savoir...         

Et, OUI, refuser de diffuser les décisions de justice, refuser au public de permettre de les connaitre est un combat d'arrière-garde, digne des pires dictatures (et là, je pèse mes mots).






   Sérieusement, donner la parole à un type pareil: vous essayez de nous refourguer le Zemmour du droit ??






Là encore tu nous fais une confusionnite aigüe:       

.d'une part l'identité d'un cabinet d'avocat, qui peut d'ailleurs être déposée comme une marque, est protégée et est la stricte propriété du dit cabinet (je rentre pas dans le détail des structures).

. et d'autre part, les avocats ne refusent pas que les décisions soient en libre accès; le greffe est un service dans les juridictions donc relevant d'un service public. Il est le seul a détenir l'ensemble des décisions et à pouvoir les délivrer. Là où les avocats sont des indépendants; là tu nous mélanges l’hôpital et le médecin libéral.

. enfin, la majorité des avocats (sinon la totalité) n'est pas opposée au libre accès des décisions de Justice, pour en avoir besoin eux-mêmes, et ne craignant pas un instant que ceci soit public (comme si avoir l'ensemble des prescriptions médicales pouvait faire de toi un médecin...). En revanche, ils sont opposés à la communication sans pseudonymisation des décisions, comme les Juges et l'essentiel des personnes conscientes du risque inacceptable de fichage de la population.






Je passe sur ton passe zemmourien totalement kamoulox avec le sujet.

Le 28/09/2018 à 15h 35







aldebourg a écrit :



Voir des dizaines d’articles qui font des renvois vers des décisions, correctement identifiées, et ne pouvoir les consulter nulle part c’est tellement frustrant.





Spéciale cassdédi à la Gazette et ses décisions fantômes <img data-src=" />


Le 28/09/2018 à 15h 05







Mihashi a écrit :



Les décisions ne sont pas d’office préparées en deux exemplaires, non-anonymisées et anonymisées. Ça serait beaucoup plus simple pour tout le monde, non ?





J’imagine que lorsqu’il sera clairement défini par le ministère les éléments à virer pour respecter la pseudonymisation ça sera la directive donnée au Greffe et effectivement ça sera une très bonne chose (surtout pour les professionnels du droit, contrairement à l’imaginaire collectif on galère beaucoup pour avoir des bases de décisions de Tribunaux et de Cours d’appels alors qu’on serait les premiers en avoir l’usage).



Par contre il faut être clair, certaines boites de legaltech ne veulent pas de la pseudonymisation au prétexte que leurs algos de justice prédictive n’arriveraient pas à se former (ce qui est bidon, c’est une erreur méthodologique évidente de partir de la Jurisprudence pour créer le droit chez nous…).


Le 28/09/2018 à 14h 19







Zerdligham a écrit :



Ce qui n’est pas clair, c’est qu’est-ce qui les a motivé à faire du typo-squatting? Ça laisse penser qu’il est plus facile d’obtenir les décisions si on est avocat (on qu’on y ressemble), ce qui implique une non-égalité dans le traitement des demandes.

J’ai bien conscience d’extrapoler, mais si c’est le cas, ce serait anormal (sans justifier l’usurpation pour autant)





Fondamentalement, je peux pas te répondre, je pense simplement qu’ils pensaient arriver à leurs buts plus facilement en se faisant passer pour des avocats ou des universités que sous le nom de la boite.



Néanmoins, c’est mal connaître les greffes, je peux te dire que d’expérience dans certains t’es plus mal accueilli en qualité d’avocat que comme simple particulier, et de fait ça n’a rien donné puisque les greffes ont tout bloqué ^^


Le 28/09/2018 à 13h 53







Zerdligham a écrit :



Je me suis fait la même remarque.



D'un côté leur pratique est répugnante (et l'excuse du stagiaire via société écran semble assez osée, mais bon, la justice tranchera), mais d'un autre côté j'ai l'impression de lire en filigrane que seule une certaine corporation aurait accès à ces documents théoriquement publics, ce qui serait aussi assez répugnant.








Tu peux comme n'importe qui (sauf les décisions en chambre du conseil, les avocats ne l'auront pas non plus sauf a être dans le dossier) avoir la copie d'une décision:     



service-public.fr Service PublicLa différence est que si tu demandes des copies en masse, alors les greffes sont (théoriquement) contraints de respecter l’obligation de pseudonymisation. Précisément, cette action n’est toujours pas définie dans son étendue par le ministère. Donc en l’état la copie en masse est laissée à la discrétion des chefs de Juridiction.



Naturellement, la volonté d’encadrer la copie en masse est d’éviter que l’on construire des fichiers sur les personnes sur la base des condamnations, volonté qui me semble pour le moins légitime.


Le 28/09/2018 à 13h 43







keele a écrit :



C’est pas que le stagiaire qu’il faut dégager, c’est aussi son responsable…Sinon un stagiaire qui réserve des noms de domaines avec ses sous? ça a forcément du se savoir en amont.





Si les faits tels que rapportés par le monde sont exacts, clairement l’excuse du stagiaire est totalement bidon.


Le 28/09/2018 à 13h 38







AltreX a écrit :



Hum je pense pas qu’il défende la pratique d’usurpation qui est illégal et mérite jugement, mais plutôt l’inaccessibilité de ces avis pseudonymisé qui a conduit à cet écart (sans pour autant le justifier).




  Du coup certes ils ont fait de la merde mais les mecs en face n'ont pas été extrêmement collaboratif en amont, c'est pareil je n'ai que cette info pour juger donc ça vaut ce que ça vaut.








  Mais les "mecs en face", qui se font usurper le nom de leurs boites, c'est à dire le Barreau et les cabinets d'avocats, ne sont en rien chargés de donner les copies des décisions (qu'ils n'ont que s'agissant de leurs clients), chose que seul le Greffe du Tribunal ou de la Cour d'appel peut faire.       






 Que les Juridictions ne soient pas "extrêmement collaboratif" (*) ne donne en rien le droit à une boite de se faire passer pour des avocats et des universités pour réclamer la copie de décisions.       






 *= en réalité, les Greffes s'en tapent étant totalement débordés, ce n'est clairement pas la priorité pour eux, mais encore et surtout, ils attendent toujours de savoir du ministère comment il convient de pseudonymiser les décisions, action ne se limitant pas qu'au nom et adresse.

Le 28/09/2018 à 10h 37

Et si tu n’es pas abonné au Monde, voila un résumé de l’article :

https://www.frenchweb.fr/le-barreau-de-paris-attaque-doctrine-en-justice/336790

Le 28/09/2018 à 10h 35







tipaul a écrit :



Je ne vais pas excuser doctrine, mais là, comme ça, j’ai l’intuition que peut-être, le comportement de la partie en face n’est pas blanc blanc non plus… “Si on fait cette procédure, ce n’est pas qu’on est has been ou

d’arrière-garde. C’est parce qu’on considère qu’on ne peut pas utiliser

ni notre marque, ni notre savoir, ni notre nom d’avocat sans notre

accord préalable”

=&gt; là, comme ça, au débotté et sans connaître le dossier plus que ça, je trouve que oui, c’est très “has been” de considérer qu’on ne peut utiliser marque, savoir ou NOM d’AVOCAT sans notre accord”. Ca mériterait que je creuse la chose (mais je manque fort de temps, ça ne va pas m’empêcher de dormir non plus, hein…)





Usurper le nom des Sociétés, en l’espèce d’auxiliaires de justice, pour s’adresser aux Greffes des Juridictions afin de solliciter la copie de décisions de Justice (non pseudonymisées), je vois pas bien ce que tu reproches au Barreau et plus précisément aux Cabinets usurpés, lesquels sont pas ailleurs totalement étrangers à la délivrance de la copie des décisions (qui relève des Juridictions seules), donc l’accusation de ne pas être “blanc blanc” est totalement gratuite.



Et pour plus de détails sur la pratique dénoncée:

lemonde.fr Le Monde


Le 28/09/2018 à 09h 59







darkbeast a écrit :



mais quand t’es stagiaire t’es juste en dessous du chien du vigile de la boite





C’est le même chien qui a mangé le Code pénal de la boite où y avait marqué que c’était interdit les pratiques du stagiaire, on est innocent Monsieur le Président !


Le 28/09/2018 à 09h 53

Les mecs ils usurpent des noms de cabinets d’avocats et accusent le stagiaire puis viennent se plaindre qu’ils ont du mal à enfreindre la Loi pour accéder aux décisions de Justice non pseudonymisées… Vive la tartuffe nation, même pris la main dans le sac, toutes les excuses sont bonnes et le problème c’est les autres qui veulent pas dialoguer…

&nbsp;



  Qu'ils s’inquiètent pas ils risquent d'en ramasser un certain nombre de décisions directement notifiées par huissiers, d'autres Barreaux depuis hier envisagent de se joindre à la plainte&nbsp; :francais:

Le 29/09/2018 à 09h 38







Jeanprofite a écrit :



Alors il faudra aussi trouver une parade législative pour les «contraindre» de nouveau.

Ceci dit, leur modèle étant centralisé, je demande bien à voir la parade.



Ne rien faire sous prétexte qu’ils trouveront une parade ne me semble pas raisonnable.





Très facile, Facebook reste la plateforme d hébergement. L agrégation des contenus et la création de contenu a partir de cet agrégat, et même le filtrage etc… seront réalisés par une super nouvelle tarte up innovante et à la dimension qui va bien, mais dont étrangemen les capitaux seront détenus par FB pour tout ou partie.


Le 28/09/2018 à 21h 54

A vouloir ménager la chèvre et le chou, l’association se prend les pieds dans le tapis, jouant à un exercice dangereux; désigner quel acteur peut être labellisé “internet libre” et qui en est exclu.



Lutter contre les gafas c’est bien, jouer au censeur c’est l’antithèse de ce qui doit être fait lorsqu’on prétend défendre les libertés fondamentales sur le net.



Au passage, prétendre que des algorithmes hiérarchisant l’information est la démonstration d’un édition volontaire devant exclure de la qualité d’hébergeur, c’est tuer à moyen terme le statut d’hébergeur qui se verra petit à petit imposé de mettre en place des mesures techniques de filtrage.

Le 28/09/2018 à 14h 28







Zerdligham a écrit :



Je pense que j’ai compris de travers ce que tu entends par token.



 J'avais pensé que tu parlais de token pour les mécanismes à 'lien secrets' typehttps://toto.com/facture/a215er51a6156r561s561 fonctionnant sans authentification, dont la sécurité repose sur le fait que le truc à la fin est secret et complexe à deviner (ce que les liens mentionnés dans l’article ne sont pas, puisque ça semble être des numéros qui se suivent). Et c'est justement un mécanisme dont la sécurisation fait débat.       






 Comme ça semble être autre chose dans ton message suivant, ma réponse était probablement à côté de la plaque.








Sans jamais avoir pu évaluer l'efficacité de la méthode conseillée, le système de token que j'utilise à la suite de discussions sur les forums, consiste à planquer en hiden des valeurs dans un formulaire, qui doivent être récupérées à l'occasion du traitement du formulaire et conditionne l'affichage.      






Perso, je faisais déjà ça via un check de l'id session qui doit correspondre à la personne authentifiée. Mais on m'a expliqué, sans que je sois capable d'exploiter la faille, que l'on pouvait usurper l'id session php d'une personne et qu'il est recommandé d'y ajouter un système de jeton.   





Naturellement, la valeur cachée peut être lue , il faut donc jouer avec un info disponible sur le seul serveur et comparer avec lorsqu’on récupère l’info dans le formulaire.


Le 28/09/2018 à 10h 15







graveen a écrit :



je partage l’avis de @crocodule

bien sûr c’est un scandale, une honte, le goudron et les plumes… Mais bon pour connaitre le secteur associatif, c’est malheureusement (souvent) en manque criant de ressources. Faire fermer une asso reconnue d’utilité publique c’est toujours un sentiment de gâchis.



Alors oui, évidemment, plusieurs avertissements, rien fait etc… c’est relou. Peut-être que leur annonce surhttps://www.francebenevolat.org/ n’a pas eu de succès ? :)





En fait, l’avertissement devrait aussi être complété d’une astreinte (en l’état je ne pense pas que le CNIL puisse le faire), histoire de motiver à la prise de décision.



Par ailleurs et comme tu le relèves, il faut que la CNIL adopte une analyse in concreto des moyens: une association avec de lourdes difficultés économiques, des dirigeants qui démissionnent en série (cf article sur le sujet), et totalement dépendante de son prestataire informatique avec lequel l’association est en conflit, à un moment à l’impossible nul n’est tenu.


Le 28/09/2018 à 10h 07







Zerdligham a écrit :



Authentification sans token ou token sans authentification?




    L’authentification sans token ne pose aucun problème (sous réserve qu'elle soit bien faite évidemment).          






    Pour le token sans authentification, je ne sais pas ce qu'il en est légalement, mais avec les précédents de gens qui faisaient indexer par Google leurs liens 'secret', il me semble qu'il est à éviter ne serrait-ce que pour des questions de réputation (buzz sur les billets en lignes SNCF récemment si ma mémoire est bonne).








    Moi je fais les deux, hachage MD5 coté client (si géré car repose sur jquery) envoyé au serveur = check authentification de la bdd (SHA1+SEL), si ok = ID SESSION, et par ailleurs vérification de chaque page/formulaire privée par un token (token qui est une déclinaison de l'ID SESSION) avant l'affichage. Et naturellement tout ce fait en https.       






 Après je suis pas un professionnel, mais je me dis que c'est le base.

Le 28/09/2018 à 06h 30







LordZurp a écrit :



tu peux te proteger des gafa (ghostery et co) mais tu peux pas te proteger de l’incompetence d’une structure à qui tu dois fournir des documents sensibles



la CNIL me semble tout à fait fondée à agir sur ces dossiers, surtout que ça ne l’empeche pas d’avancer sur l’autre coté.&nbsp;





Fondait elle l est, là n est pas la question. En revanche je suis intéressé sur «l avancement sur l autre côté», perso j ai rien vu de concret


Le 27/09/2018 à 17h 29







HCoverd a écrit :



Avec des amendes aussi faiblardes … ça va pas changer grand chose. Il faudrait vraiment des montants qui fassent bouger les choses des entreprises concernées.





Enfin, le problème est que la CNIL pour l’instant épingle essentiellement des entreprises nationales, parfois comme un bailleur social, ou encore des associations, ici reconnue d’utilité publique et pas au top financièrement puisqu’une petite recherche permet de voir des loyers impayés à hauteur de 700 000 € (en autres).



La première vocation de la LIL et du RGPD ne me semble pas être de sanctionner lourdement les fuites involontaires et comme pourtant le fait la CNIL depuis des mois maintenant visant systématiquement la même faille (Darty, le bailleur social, la présente association ), mais de s’attaquer à l’exploitation volontaire de nos données par des grands groupes comme FB & co qui nous profilent à longueur de temps ou encore des assureurs pour trier la population etc…



Ca donne le sentiment que des manquements involontaires (souvent de la négligence) d’entreprises sont plus problématiques que le profilage massif de la population par des multinationales.



La CNIL pourrait revoir ses priorités il me semble, sauf à laisser penser que “selon que vous serez puissant ou misérable les jugements de cour vous rendront blanc ou noir”, déjà que l’affaire schiappa n’est pas très glorieuse…&nbsp;