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Ph11

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2232 commentaires

Le 04/01/2013 à 02h 03







jonathan02 a écrit :



Parce que c’est leur seul revenu, si tu étais un webmaster tu ne mettrais pas d’option parce que tu n’aurais pas d’autres revenus que les publicités. Tu es bien content d’aller sur des sites sans rien payer alors désactiver le bloqueur c’est comme si tu remercier les personnes qui fournissent des articles chaque jour sur tes sites favoris sans payé





Cependant, son argument démontre pas trop mal l’absurdité de vouloir imposer par l’intervention publique la désactivation par défaut de l’adblocker en la mettant en parallèle avec l’intervention publique pour imposer la désactiver par défaut la pub du site.

Dans un cas comme l’autre, on viole la propriété pour imposer un choix qui avantage une partie au détriment de l’autre.

Le droit du webmaster à rentabiliser son affaire est-elle plus importante que celle du surfer ?


Le 04/01/2013 à 01h 45







remmog a écrit :



Les gens qui sortent l’argument de “fait pas chier avec ta pub vu que t’as qu’a aller desactiver l’option si t’es pas content” (parfois mieux présenté <img data-src=" />), vous realisez que tout le monde n’est pas un geek informé ?

Oui ici il y a surement 99% des gens qui sauront le faire, mais le francais moyen qui n’y connait rien en informatique lui il n’y arrivera pas, et il represente pas 1% des internaute.

donc la desactivation ca finira tres vite par des




  • oh il y a un menu pour configurer ?

  • ah je sais plus ou j’ai mis la feuille avec le mot de passe

  • non non on change rien ! moi je laisse tout de base pour etre sur de rien casser car je saurais pas reparer. (©ma mere)

    et bien d’autres du meme style.



    Vous avez surement tous des gens dans votre entourage qui n’y connaissent quasiment rien en informatique, et bien allez leur dire “salut tu peux me desactiver cette option la dans le menu ?” et vous regardez s’ils y arrivent seuls.

    je pense que le nombre qui va vraiment arriver a le faire va etre super faible, donc l’argument du “t’as qu’a le desactiver” il est juste completement faux pour la majorité des francais.



    Et au final Free sait tres tres bien que la majorité des gens n’ira jamais toucher a cette option a cause d’un manque de maitrise de l’informatique. Ils comptent la dessus pour que le bloquage soit TRES present et donc pourir les gens qui gerent les pubs.

    C’est un peu du passage en force, c’est plus que limite.





    Si les gens tiennent vraiment à activer cette option, ils le feront.

    Faut arrêter de prendre les gens pour plus c.. qu’ils sont.

    Je sais que certains sont des mongols avec le PC, mais les choses évoluent.



    Et puis Caveat Emptor.


Le 04/01/2013 à 01h 40







Youka a écrit :



J’ai un peu de mal sur un plan technique avec la logique du

“Si tu veux pas les pubs de mon site, t’as qu’à pas y venir, sale profiteur !”





Que je sache, aller sur un site n’engage à rien, ce n’est pas un contrat.



J’ai beau clamer que toute personne s’appelant Marc s’engage à me verser 1€, cela n’a aucune valeur contractuelle.





Je sais que tout à un coût et je n’ai pas vraiment envie de juger de tout ça au niveau des implications morales du mal nécessaire qu’est la pub.



Les coûts que les autres assument pour leurs investissements ne t’engagent pas et ne donnent pas droit à une rente pour autant.

Ce serait trop facile de pouvoir jeter de l’argent par les fenêtres et dire « vous me devez autant ».





Mais quand quelque chose est librement accessible à tout le monde sur internet…Est-ce que le créateur qui délivre l’information a vraiment un droit absolu sur les conditions dans lesquelles le client y a accès?



Il a le droit de conditionner. Encore faut-il qu’il puisse s’organiser pour le faire, comme par exemple avec un système premium, ou tout simplement un blocage d’accès s’il y a un adblocker.



Si je donnes quelque chose sans condition à qqu’un et puis que je lui réclame un an plus tard une contre-partie, cela ne vaut pas.

Dès que je le lui ait cédé, le contrat est conclu.





Est-ce que le site web qui s’affiche sur mon pc appartient encore à son webmaster? Si il décide que son site est fait pour être lu en mode fenêtre et que je ne suis pas d’accord, j’ai tort?



En lisant cette phrase, tu t’engages à me verser 1000€ sur mon compte.<img data-src=" />


Le 04/01/2013 à 01h 28







methos1435 a écrit :



Bien que pas d’accord avec ton point de vue, partons quand même du principe que tu as raison.

Tu dénonces le fait qu’un site t’impose une “façon” de consulter du contenu.

Mais c’est pourtant ce que fait free. En activant cette option par défaut, ils imposent LEUR façon de consulter du contenu: sans pub.



Consulter à ta façon est un choix personnel. Il t’appartient donc d’installer un logiciel de type AdBlock si ça t’arrange. Mais le FAI ne devrait avoir aucun pouvoir la dedans. Ce n’est plus un choix, c’est imposé.





Imposé ? Non. C’est proposé dans leur offre. Si tu n’en veux pas, tu ne vas pas chez Free ou tu le désactives.


Le 04/01/2013 à 01h 25







brazomyna a écrit :



Site dont le contenu n’existerait pas s’il n’avait pas les moyens de se financer par la pub. Demande à PCI s’ils pourraient survivre uniquement grâce aux abonnés premium, tu as un exemple concret sous les yeux.





Et ça, c’est le problème de PCI et des autres sites de trouver comment rentabiliser leurs activités et pas au gouvernement, qui le fait aux frais du contribuables, en imposant de nouvelles contraintes à la législhorée.

Si leur modèle devient obsolète parce qu’une innovation technologique empêche de continuer, c’est comme ça.



On ne peut pas créer une rareté artificielle parce que l’abondance nuit à quelques uns. On ne peut pas violer les droits des gens pour permettre des sociétés non rentables de continuer d’exister. Cela aboutit à scléroser l’économie qui ne se renouvelle plus et à des coûts non mesurables plus grands qu’on ne le croit.



Ce que je dis, ce n’est pas contre PCI, ce sont les lois naturelles du système économique.



Mais tu as raison: débrouillons nous pour que seules les sociétés ayant de l’argent à dépenser dans un site soient en mesure de financer leur contenu, soit en d’autres termes le contenu qui les arrange.



Personne n’oblige personne à désactiver son système de pub. Personne n’impose à personne ce système.



Dès que les gens connaissent l’existence d’anti-pub, ils les mettront probablement. Faut-il garder la population dans l’ignorance pour empêcher l’obsolescence d’une industrie ?


Le 04/01/2013 à 01h 01

Et si elle se mêlait de ses affaires.

À croire que la population est trop bête pour agir dans son propre intérêt…

Le 02/01/2013 à 21h 28







Nerdebeu a écrit :



C’est surtout pour asseoir la République qui ne l’était pas vraiment (ne pas oublier que 26 ans auparavant, Mac-Mahon Président était monarchiste). Aujourd’hui on croit que la République s’est mise en place facilement, naturellement après la chute de Napoléon III, or il n’en fut rien.



Les milieux catholiques, et notamment les ultramontains ne supportaient pas l’idée de République en France, fille ainée de l’Eglise. Après les lois de 1885, notamment sur l’Ecole, on peut dire que la loi de 1905 est le point culminant de l’émancipation républicaine Française. Non ingérence de l’Etat dans les affaires religieuse et non ingérence de l’Eglise dans celles de l’Etat.





En même temps, en France, rien ne bouge sans violence…


Le 02/01/2013 à 11h 51







megabigbug a écrit :



Les académiciens ne sont pas des hommes politiques mais des libres penseurs qui publient le fruit de leur réflexion. À ma connaissance, aucune loi ne t’oblige à suivre leurs recommandations.





Non, en effet. De toutes façons, s’il n’y a pas de subventions, ce n’est pas un problème en soi.



Juste en passant, c’est quand même en planifiant l’éducation que le monde est sorti de l’illettrisme.



Avant que Jules Ferry mette en place l’instruction, le taux d’alphabetisation était déjà élevé. Si tu trouves l’information, tu en seras surpris.



L’instruction existait déjà, assurée par les chrétiens, à l’époque. L’instruction publique a été mise en place notamment pour soustraire l’éducation de l’Église.

N’oublie pas qu’il existe des contre-pouvoirs à l’état.





C’est quand même grâce à la planification que les russes ont envoyé le premier homme dans l’espace et que c’est à cause d’un manque de vision à long terme que les américains ne sont plus capable d’envoyer un homme sur la station intertionnale sans l’aide des russes.



Même sans planification, l’homme aurait fini par aller dans l’espace.

Je rappelle que la très grande majorité de l’économie spatiale est privée. Certes l’état a apporté à une époque, mais dès que les hommes en auraient eu un intérêt, ils auraient mis des sous dedans.



Mouais, je trouve amusant que l’argument de vision à long terme soit maintenant un prétexte pour dépenser de l’argent public sans compter dans des investissements à pertes pures en espérant qu’une découverte compensera par ses externalisation. C’est un peu abandonner le corps pour l’ombre.



Quant à Soyouz, vu qu’elle existe, pourquoi perdre inutilement de l’argent pour avoir ce qu’on a déjà sans investir ? Par graôndeur nationaaale ?



Comme toi je n’aimerais pas vivre dans une société rigide ou tout le monde doit suivre ce qui a été décidé par une caste d’hommes politiques. En revanche je n’aime pas la situation actuelle de la france ou le peuple ne peut pas décider collectivement de son avenir parce qu’on a retiré les marges de manoeuvre aux hommes politiques.



A toute époque, les politiciens se sont plaints de ne pas avoir suffisamment de marges de manœuvre. Ils n’hésitent pas à jouer aux victimes pour avoir plus de pouvoirs, à faire croire qu’il est dans votre intérêt qu’ils aient plus de pouvoir, que vos problèmes du monde sont dû à leur absence de pouvoirs et que leur volonté politique les résoudra par la pensée magique.



Franchement, avec l’omniprésence de l’état en France, on ne peut pas dire cela.

Maintenant, il y aura toujours des pressions comme l’économie, la monnaie, la population, le marché, les syndicats, la cohabitation avec d’autres états, les lois de la physique qui seront des limites naturelles au pouvoir de l’état.



Pour le Godwin, Hitler aussi se plaignait du manque de liberté de la nation Allemande face à la finance internationale et l’intérêt qu’il voulait abattre.

Les politiques se plaindront toujours de l’existence de contrepouvoirs et voudront toujours les mater.

Si tu regardes bien, les contre-pouvoirs en France sont déjà hyper contrôles par l’Etat…



Encore une vision étriquée de la réalité.



Voilà le genre de propos typiques qui pourrissent les débats…

Les bonnes manières ne coutent rien et les propos vexatoires n’ont aucune rentabilité.



Un contre exemple: la loi 1905 est un acte politique qui a résolu des problèmes d’ordre religieux.



La séparation de l’église et de l’état est une solution à un problème structurel de l’état qui était source de corruption.

L’état a donc résolu un problème qu’il a créé en s’imposant une limite.


Le 01/01/2013 à 21h 23







jethro a écrit :



Je t’adore. <img data-src=" />

T’es le champion des phrases tout faites.

Essaie de te renouveler, ça commence a sonner de plus en plus creux.





<img data-src=" />


Le 01/01/2013 à 20h 18







Berri-UQAM a écrit :



Il y a aussi une question d’« harmonie » : c’est parfois vraiment moche d’entendre certains mots anglais dans une phrase française (tousse uploader tousse).





Cela est purement arbitraire. Dès lors que le mot est utilisé et accepté, il est déjà en harmonie.





Donc en fait on se retrouve devant 3 choix :





  • Soit on fait comme les islandais (qui tiennent énormément à la pureté de leur langue) et on traduit tous les mots qui viennent de l’anglais, mais on le fait à temps, c’est-à-dire avant que le mot ne soit massivement utilisé par le peuple ;

  • Soit on fait comme les italiens, c’est-à-dire rien (entendre « mouse » et « computer » dans une phrase italienne, ça rompt le rythme et ça enlaidit la langue) ;

  • Soit on trouve le juste milieu.





    Et c’est à mon avis le boulot de cette commission : trouver ce juste milieu. Il est inutile de tout franciser à tout va et d’imposer ça (le français est riche d’emprunts étrangers, gardons cette logique), il faut juste proposer des mots pour éviter de se retrouver comme les italiens et éviter de massacrer l’harmonie de la langue française. Beaucoup ne seront pas adoptés, certes, mais quelque uns le seront, et c’est le principal <img data-src=" />



    Le juste milieu n’existe pas. Ce sera toujours une décision arbitraire.



    Personnellement, tant qu’ils ne sont pas subsidiés et n’imposent pas par la force de la loi leurs décisions, cela ne me gène pas le moins du monde. Il s’agit d’une société qui fait une offre, une série de propositions sur la langue et les gens décideront de faire usage de leurs propositions s’ils les jugent préférable aux mots anglophones.



    On reste toujours dans une logique d’ordre spontané, de marché libre du langage.


Le 01/01/2013 à 20h 08







Przezwyciezysz a écrit :



Argument stupide





Et les bonnes manières, bordel ???





je pense que le Japon n’est pas une petite nation de l’informatique et je ne connais pas beaucoup de termes japonais en informatique. Si des français font des trucs super cool, ils utiliseront une terminologie angloïciste pour s’y référer. Comme dans le jv, dans la musique, comme partout où il se dit que c’est l’anglais qui permet à tous de tout comprendre.



Je ne vois pas en quoi c’est stupide.

1/ La France n’est pas le Japon

2/ on ne peut pas tirer de lois générales concernant les comportements.

3/ cela fait un moment que la culture française ne brille plus, a fortement perdu. Et pourtant, l’intervention publique pour la soutenir a fortement augmenté ces dernières décennies. Et en informatique, la France n’est pas très loin non plus.



Sinon, bukkake, hentai, ce ne sont pas des mots anglais.<img data-src=" />





En attendant, mes parents, qu’on leur foute le terme anglais ou français, ils ne sauront pas de quoi il s’agit. Comme la majorité des gens ; à la différence qu’avec le terme français, ils auront une petite idée. Et s’ils décidaient de se spécialiser, ils auraient de toute manière affaire aux termes anglais un jour où l’autre et n’auraient aucun problème avec puisqu’il s’agirait de leur spécialisation. C’est un faux débat.



Quand ils y seront confrontés, ils en auront l’idée, de toutes façons.

Cet aspect utilitaire n’est qu’une supposition. Les gens savent très bien ce que sont les hamburgers, les sandwichs, les pc, les kamikazes, le kamasutra, etc.


Le 01/01/2013 à 19h 07







NotoRaptor a écrit :



Pour moi, la langue fait partie de la culture, c’est un élément culturel qui caractérise un peuple, en l’occurence la France.

Donc elle devrait être défendue aussi bien que toute chose qui définit une communauté.





Oui, c’est culturel.

Et que le politique s’accapare la culture est la meilleure façon de la détruire.





Or dans le domaine de l’informatique, vu que ce sont les Anglophones qui créent l’essentiel des outils, on ne fait que reprendre leurs termes inlassablement, si bien qu’un pan entier du vocabulaire pourrait n’être que de l’Anglais pur, parce que personne ne fait l’effort de proposer un équivalent en Français.



Alors que les Français se bougent le cul pour être plus présent dans la création informatique.





Si cette commission ne le fait pas, personne ne le fera, puisque tout le monde préfère reprendre les termes initiaux, et cracher sur ce “truc qui bouffe l’argent du contribuable”. De plus, les termes qu’elle propose ne sont pas obligatoires pour les gens qui se servent de la langue au quotidien, c-à-d nous (à part dans l’administration, peut-être, je ne sais pas), mais au moins ils ont une base qu’ils peuvent utiliser s’ils veulent.



Heureusement qu’on utilise la poudre anti-éléphants…



Le problème est qu’elle fait mal son boulot, pas qu’elle fait ce boulot-là. Il ne faut pas franciser pour franciser, mais il faut le faire là ou c’est judicieux.



Argument typique de ceux qui défendent la planification.



En URSS, on considérait aussi que le problème ne venait pas de l’existence de la planification, mais de sa mauvaise gestion. On considérait que si le communisme ne fonctionnait pas, c’était parce qu’il n’y avait pas assez de communisme.

Mêmes causes, mêmes effets. Ça ne fonctionne pas, cela a toujours des effets secondaires non voyants qui sont la plupart du temps qui ne sont pas compensés par les effets primaires voyants.

La politique n’a jamais résolu les problèmes autres que ceux qu’elle crée.





Je prends l’exemple du foot : les lois du jeu utilisent plusieurs termes en Anglais (goal, offfside, free kick). Ben chaque langue s’est adaptée : but, hors-jeu et coup franc en Français, goal, fuera de juego et tiro libre (désolé pour l’orthographe <img data-src=" /> ) en Espagnol, et ainsi chaque langue conserve son identité, au lieu de s’homogénéiser avec la langue qui a inventé les termes. Et pourtant, pour les buts, l’Espagnol a gardé “Goal” sans vouloir à tout prix trouver un équivalent (quoique, je crois que ça s’écrit “gol”, donc soit un équivalent, soit une “espagnol-isation”). Et je trouve ça bien. Mais pour les NTIC, où il y a énormément plus de mots, il faut bien quelque chose pour s’en occuper. Et on voit bien que le peuple s’en fout totalement. Ou alors, parlons tous Anglais une bonne fois pour toutes.



À croire que c’est quelque chose d’important d’avoir une langue pure, non polluée par des termes cosmopolites…



Il n’y aucun argument objectif pour justifier cela, juste un romantisme nationaliste.


Le 01/01/2013 à 16h 56







NotoRaptor a écrit :



Je ne suis pas Français (ni Québecois), seulement francophone, donc il n’y a aucun nombrilisme qui tienne.



Parmi tous les nouveaux mots qui sont générés, certains doivent être repris tels quels quand ils sont trop simples, d’autres méritent d’être francisés quand c’est possible, et je pense que c’est le rôle de cette commission de standardiser tout ça. Je suis bien content de pouvoir dire logiciel à la place de software par exemple. Mais bon, comme la langue Française n’avait pas inventé ce mot en premier, elle aurait dû utiliser la forme Anglaise, et puis c’est tout !



La vie d’une langue ne dépend pas des inventions de ceux qui l’utilisent, mais surtout du nombre de personnes qui la parlent. Si on ne lui donnait aucune consistance dans les NTIC, alors le vocabulaire dans ce domaine viendrait intégralement de l’Anglais, et je trouverais ça bien dommage, pour ma part.





La langue n’est pas une question de commission, d’organisation centralisée décrétant ce qui est et ce qui n’est pas.

La langue est une convention sociale, par les gens qui l’utilisent, la créent de façon spontanée.

La langue est un contre-pouvoir et non pas une émanation de l’État.



Cette commission ne fera jamais que surfer sur ce qui existe déjà, se l’accaparera pour prétendre en une soi disant indispensabilité et ce qu’elle apportera vraiment, ce seront en grande majorité des absurdités qui ne seront jamais utilisées.


Le 01/01/2013 à 16h 50

Alala, la Fraônce avec ses délires de planification de tout, même la langue…

Heureusement qu’on ne va pas encore au goulag pour trahison linguistique…

Le 31/12/2012 à 16h 49







jun a écrit :



Quand au protectionnisme, il serait peut être temps de s’y mettre quand on voit les pratiques des USA, de la chine, de la thailand, du japon, de la corée, du brésil ou tout autre pays du BRIK,… (Au hasard : une taxe de 30% sur tout les produits importés en thailand…).





D’autres se tirent une balle dans le pied, cela signifie que l’on doit se le faire ?

Rien n’a jamais démontré que le protectionnisme fonctionne. Les intentions ne sont pas les résultats.

En réalité, cela signifie contraindre le consommateur à choisir ce qu’il n’aurait pas choisi à ses frais.

Cela signifie que l’état sait mieux que le consommateur ce qui est bon.

Cela nécessite que le législateur est incorruptible, efficient, infaillible.

En réalité, le protectionnisme est favorable envers les industriels proches du pouvoir, qui refusent de s’adapter à la concurrence et cela se fait au détriment des consommateurs et des autres industries.



On parle d’un pays on l’on peut faire un procés à un mec qui pisse de travers… On parle d’un des pays d’un pays ou en 2007 il y avait un avocat pour 295 habitants (pour comparaison en france on en était à 1 pour 1 403 habitants), et si je parle d’avocat c’est bien pour traduire l’implication de l’état à trancher des contentieux au travers de monsieur le juge…



Les USA ne sont plus ce qu’ils étaient à leur conception.



Le copyright américain encadrait uniquement l’aspect financier de la création jusqu’à il y a peu…. Cela ne veut aucunement dire qu’il n’y a jamais eu de contention autours de la paternité d’une oeuvre, ou autours du droit morale aux USA.



Oui, la loi faisait cela, parce que le droit aux USA se limitait à garantir les contrats. Les choses morales étant de ressort privé et subjectifs.

Lorsque le gouvernement s’occupe de morale et non de justice, le crime devient péché et le tribunal devient inquisition.





Le droit moral ce n’est pas uniquement le droit de paternité (le doit de dire publiquement qu’on l’auteur d’une oeuvre), mais c’est aussi un ensemble de droit qui permet de protéger l’auteur et son ouvre, par exemple en cas d’une modification de l’oeuvre qui pourrait nuire à la réputation ou à l’honneur de l’auteur, en cas d’usage abusif du nom de l’auteur, de permettre à l’auteur par certains procéder de stopper la diffusion d’une oeuvre, d’empêcher la destruction de l’oeuvre par l’ayant droit, ou bien encore le droit de spécificité lors de la première divulgation de l’oeuvre… etc.



En gros, on établi le crime d’honneur concernant l’oeuvre…

C’est ridicule.

Cela sera toujours une violation de la liberté d’expression et n’a aucun intérêt moral ou utilitaire.

Quelqu’un déterminé à casser votre réputation y arrivera toujours par un moyen ou un autre, loi ou non.



Par contre, les crimes d’honneurs permettent surtout de protéger ceux qui ont les moyens d’utiliser la loi sur la diffamation, la calomnie contre vous pour couvrir leurs propres actes.





Contrairement à ce que tu affirmes, si on a eu besoin de l’état pour traiter des questions de droit morales dans le copyright : The Visual Artists Rights Act of 1990, comme son nom l’indique à été voté en 1990 (très tardivement donc), et est devenu un chapitre à part entière dans le droit du copyright américain.



Besoin pour quoi ? Pour « réguler » la liberté d’expression ?

Et oui, les USA ne vont pas dans le bon sens depuis quelques temps déjà, préférant de plus en plus le système de régulation étatique qu système de liberté…





On en arrive donc au problème soulevé par le ministère de la culture : le droit morale américain n’accorde pas autant de droit que l’équivalent français. Et là ça rentre en confrontation avec le droit français : l’article L121-1 du code de la propriété intellectuel est très claire, le droit moral est INALIENABLE. Alors que, le copyright américain permet de céder une partie de ces droits, et une licence chez fotolia demande donc de ne plus jouir de ces droits.



La loi dit que c’est inaliénable, c’est que ça l’est…





Pour une fois que notre gouvernement s’occupe de protéger nos droits, qui plus est sur la scène internationale, on ne va pas ‘en plaindre, non ?



La France viole plus la liberté d’expression que les USA et on ne va pas s’en plaindre ?


Le 31/12/2012 à 11h 07







dump a écrit :



C’est simple de comprendre pourquoi ça dérange et pourquoi ça met en périmé une profession. Photographe en France c’est un métier, et a ce titre, je pense qu’ il faut un statut juridique adapter au droit fiscale français pour lequel tu doit déclarer ta situation (auto-entrepreneur, freelance, PME etc …). Et tout cela n’est pas gratuits car en tant que commerçants ils doivent rendre des comptent à l’état et pour cela, ils payent des impôts. Autrement ce serait conciseré comme du travail au noir (illégal).



C,est comme si tu ouvrais ta boutique et que juste à côté des vendeur à la sauvette vendent les mêmes produit que toi à prix cassé, chose facile pour eux car ils n’ont pas de charge à payé (loyer de boutique et ni de déclaration de revenus généré donc passé TVA car ils ne sont pas déclaré. Tu trouverais pas ça déloyal ?



Donc soit les site comme photolia s’acquittent de la TVA et se mettent en règle ou alors il faut réviser le métier de photographe.





Soit l’état Français décide d’arrêter ses délires fiscaux qui nuisent à sa population.

Si je détruis mon jardin, je n’accuse pas les autres d’avoir un jardin plus beau.


Le 31/12/2012 à 11h 05







jun a écrit :



En effet le droit de paternité d’une oeuvre, par exemple, est un droit inaliénable en france, tandis qu’il peut se “moneyer” aux etats unis…





Disons qu’aux USA, on considère qu’on n’a pas besoin de l’état pour dire que X est à l’origine de la création y.


Le 31/12/2012 à 11h 02



l’Union des photographes/auteurs, car non seulement les microstocks laminent la création photographique et tuent notre secteur d’activité mais ils prétendent ne pas être soumis à la législation française sur le plan fiscal et social





Si les lobbies avaient eu raison à chaque fois qu’ils eurent sorti cet argument pour que l’état leur fasse une faveur en agissant contre un concurrent, on serait toujours au Moyen Age…





Et pour cause, Fotolia est une société américaine avec des contrats américains « qui effectivement ne peuvent pas se calquer exactement sur le droit français »



Encore la fameuse exception culturelle qui fait qu’en France, les lois naturelles ne sont pas les mêmes que dans le reste du monde.

D’ailleurs, même le nuage de Tchernobyl s’est arrêté à la frontière.

Le 31/12/2012 à 14h 58







paradise a écrit :



Merci pour ton lien, voilà qui éclaire sous un autre jour le cinéma français. <img data-src=" />



Depardieu l’exilé fiscal pachydermique, est vraiment gonflé de vilipender ainsi son pays, businessman avant qu’artiste, pleurnichard qui semble oublier l’aide publique dont il a bénéficié de nombreuses années, et qu’il ne doit pas à un régime type sarkoziste, Sarko qu’il adorait tant.



Il l’a bien écouté, remarque : « Celui qui n’aime pas son pays, qu’il le quitte ! »



Mais j’ai entendu aussi pas mal d’artistes qui acceptaient l’impôt français, et qui n’envisageaient pas de se désolidariser de leurs compatriotes.



Bon, ça sort du sujet initial de la news, OK, si ce n’est, à la finale, que si certes il faut de l’argent pour faire tourner le monde, ce même argent rend dingue les gens et le système. <img data-src=" />





Le gouvernement qui décide de le rançonner, c’est pas son pays.

Ça fait 40 ans que les politocards gèrent mal le budget en faisant des dépenses sans revoir à la baisse les recettes, ça fait 40 ans que l’état laisse filer la dette, maintenant, il faut payer l’addition, les politiciens ne se remettent pas en question et décident de rançonner la population et ceux qui décident de ne pas se laisser faire sont qualifiés de traitres, de déserteurs, de minables par les politocards ?

Les traitres de cette histoire, ce ne sont pas les exilés fiscaux, ce sont les politiciens.

Et puis franchement, la gauche qui se découvre patriote, ça me fait bien marrer.



Et ça m’énerve l’amalgame qu’on fait entre l’état, le peuple, la patrie pour justifier des politiques illégitimes…



Depardieu a bénéficié de dépenses publiques, il les a remboursé.

Dans un système où l’art n’est pas socialisé, aurait-il réussi ?

Bénéficier de telles aides fait de vous le sujet ad vitam de l’état ?

On vit dans un état de droit, pas dans un système de servage.



Les socialistes n’ont qu’à réfléchir avant de donner des sous à des gens qui finiront par devenir des exilés fiscaux dès qu’ils réussissent, ou faire en sorte qu’ils n’aient pas d’incitations à partir.

Et c’est pareil pour l’ednat.


Le 31/12/2012 à 11h 43

C’est un peu comme celà

Le 30/12/2012 à 23h 46







NotoRaptor a écrit :



Bah, je mets en vrac, la famine partout où il y en a, les guerres de toute sorte partout où il y en a, tout système de brevet ou de droit d’auteur, tout systeme autorisant des brevets sur la vie ou des éléments associés, le système qui crée des crises économiques, le système qui utilise les termes “téléchargement illégal” au lieu de s’adapter (problème moins grave), le systeme basé sur l’argent-dette (vu ça dans un documentaire du même nom), la justice punitive et les sanctions disproportionnées, la pollution athmosphérique, l’épuisement des ressources, la tendance à préférer le confort aux performances ou aux champs de possibilités en informatique (chute ou craintes de chute du marché des PCs, progression du marché des tablettes), l’évolution de l’informatique vers du code de plus en plus semi-compilé / interprété (développer en Javascript sur Windows 8 … mais là c’est un avis plus personnel et moins éclairé, et c’est un “problème” encore nettement moins grave), etc.



J’ai mis tout là mélangés, mais on peut en trouver beaucoup plus<img data-src=" />. Je pense qu’il y a plein de choses à corriger, ou à ne pas faire, mais qu’on s’en fout, parce qu’on a des intérêts, parce qu’on en est trop éloigné, parce qu’on se dit que ça ne peut avoir aucun impact négatif sérieux, parce qu’on ne pense qu’à son confort, etc. Mais avec ces choses, ben “le monde va mal ou de pire en pire”, selon moi.



J’ai pas bien compris la remarque sur la politique. Mais dans le débat initial, je voulais seulement insister sur le fait de ne pas trop valoriser l’état du monde actuel en le comparant aux époques précédentes, même si elles étaient terribles sous plusieurs angles.





Certains problème sont résolvables, d’autres non. Je rappelle que l’état n’a jamais réussi à réaliser ses premières missions qui sont la sureté et la justice.

Il n’a pas réussi à résoudre la criminalité, le vice, la consommation d’alcool, de drogue.

Au siècle passé, il s’est attaché à résoudre la pauvreté, cela s’est souvent mal terminé.



-La famine ne se résoudra pas comme ça. Les premières causes sont dues aux dictateurs locaux, à l’administration corrompue, quand ce n’est pas le pouvoir qui veut punir la population locale.

-La guerre, on est dans une période fortement calme, malgré ce qu’on montre dans les informations.

-le système de brevets est à abolir, mais peu de politiciens le proposent.

-le système qui est à la base des crises est celui de l’“argent-dette”. Le seul moyen de gérer cela, c’est le retour à l’étalon d’or. Mais cela aboutira à l’effondrement de la finance ponzi et diminuera les capacités de l’économie à supporter la pression fiscale et rendra difficile le financement des déficits. Pas sur que ceux qui pensent que l’état doit tout leur apporter sur un plateau apprécient.

-Les ressources, la pollution, je ne vois aucune solution, et encore moins si on rétabli l’étalon d’or. L’homme n’aura pas d’autre choix que de s’y adapter. Ne pas sous-estimer la capacité de l’homme à s’adapter.

-Et oui, les gens tendent à préférer le flashy plutôt que les performances, c’est dommage pour les applications pro, mais c’est comme ça.



Quant à ma remarque sur la politique, c’est juste qu’il ne faut pas croire que la politique est un réalisateur de miracles. On a trop tendance à croire que les problèmes ne se résolvent pas par manque de volonté politique. Or, il est question aussi de limites naturelles, de moyens, de réalisme, de connaissances, etc.


Le 30/12/2012 à 23h 32







AxelDG a écrit :



Le monde n’est ni “pire” ni “mieux” qu’avant on ne sait quand on ne sait où… il est juste différent.





http://www.spectator.co.uk/the-week/leading-article/8789981/glad-tidings/







Le problème aujourd’hui c’est que tout le monde, y compris les puissants ne jugent que par leur propres intérêts.



Est-ce que cela en a déjà été autrement ? Peut-être par moment…

Tocqueville parlait déjà dans la démocratie en Amérique du désintérêt pour les affaires publiques inhérent à la démocratie.



Il y a aussi ce qu’on appelle l’école des choix publics, c-a-d que les politiciens agissent principalement dans leur propre intérêt, celui-ci coïncidant ou non avec l’intérêt public.

J’imagine qu’en réalité, c’est un mix entre des politiciens idéologues, ceux des choix publics, les profiteurs du système…



Maintenant, serait-il vraiment préférable d’avoir des idéologues convaincus et incorruptibles, prêts à massacrer une partie de la population pour son propre bien ?


Le 30/12/2012 à 23h 19







AxelDG a écrit :



1789 n’a existé que parce qu’il a été pris en charge par quelques intellectuels appuyés par des bourgeois en mal de renom.



Rien n’est simple, et il est bien trop tôt dans la crise pour envisager d’en arriver à de telles extrémités.



A ma connaissance, aucun travailleur n’a manqué ni de pain ni d’aucun autre denrée alimentaire cette année…

Il ne faut pas s’attendre à ce que le peuple ne se soulève tant qu’il trouvera de quoi s’alimenter… heureusement… et … malheureusement.





Malheureusement ? La Terreur et tout ce qui a suivi, ce serait plus heureux ?


Le 30/12/2012 à 23h 17







Jiyuu_Hashi a écrit :



En même temps, l’humain est quand même le plus grand mal fait à la planète ^^;

Mais bon, l’équipe ayant fait l’animation est tout autant responsable des méfaits commis ^^;





Sur quoi tu te bases pour dire cela ?

L’homme est l’homme. Ce n’est pas une question de bien ou de mal, mais de nature humaine.

Va-t-on dire du loup qu’il est malfaisant pour avoir mangé un agneau ?


Le 30/12/2012 à 23h 13







gavroche69 a écrit :



Et tu crois vraiment qu’il n’y a qu’en France que ça va mal ? <img data-src=" />

Si on tend un peu l’oreille on peut pratiquement entendre le bruit des bottes tant les humains sont incapables de régler leurs problèmes autrement qu’en faisant des guerres. L’histoire est là pour nous le prouver et le présent ne la dément pas dans bien des pays il me semble… <img data-src=" />





Certes, cependant, la France fait tout pour aller dans la mauvaise direction.

Il est clair qu’en France, les choses ne se sont jamais changées en douceur…





NotoRaptor a écrit :



Ok, et c’est vrai qu’il faut préférer ça, c’est indéniable.



Mais maintenant, on passe à l’étape suivante : régler les problèmes du monde actuel. Hors de question de se contenter de ce qu’on a là tant que ce n’est pas parfait. Toutes les horreurs inacceptables, ou les privilèges injustifiés accordés aux petits ensembles de personnes, il faut les régler aussi. Quand on a fini avec les problèmes (de l’ancien temps, que tu évoques), on passe aux suivants.



Avec ton discours, on se repose sur le “c’est mieux qu’avant”, et on accepte ce qu’on devrait rejeter actuellement. Et c’est bien ce qui se passe, non ? “Le monde va mal”, oui c’est répété plusieurs fois (et c’est vrai, mais “le monde est pire qu’avant”, sans doute moins vrai), mais au final, tout le monde se contente de survivre là-dedans sans penser à la suite, du moment que rien de trop grave ne nous arrive. Et ça, ce n’est pas vraiment mieux que jouer les indignés ou croire aux théories du complot.





De quels problèmes du monde tu parles ? L’homme a-t-il déjà résolu un problème non politique par la politique ?


Le 30/12/2012 à 19h 38







gavroche69 a écrit :



Il faut vraiment être d’un optimisme inébranlable ou alors d’une extraordinaire mauvaise foi pour dire que le monde va beaucoup mieux qu’avant… <img data-src=" />



C’est à ça qu’on reconnaît les membres de la “secte libérale”, ça ose tout… <img data-src=" />

Effectivement il reste très peu de communistes et ça va quand même de plus en plus mal, il faudrait peut-être admettre que le système mondial actuel est loin d’être parfait voire même très mauvais…

Mais chut !!

Faut pas le dire sous peine de passer pour un ignoble gauchiste stalinien… <img data-src=" />



Mais bon, c’est pas grave puisque tu laisses entendre que tu n’es plus jeune, ça rassure un peu… <img data-src=" />





Le monde, ce n’est pas une excroissance de la France.



Un jour, toi aussi tu adoreras la main invisible, notre Grand Ancien !

<img data-src=" />


Le 30/12/2012 à 19h 28







Wiistiti a écrit :



Quand tu parles du pouvoir, tu parles du gouvernement, ou bien des entreprises du CAC40 qui détiennent les grands médias ? <img data-src=" />





C’est du pareil au même.


Le 30/12/2012 à 11h 51







Deep_INpact a écrit :



Il est logique que toi ou moi ne nous soyons jamais penchés sur le sujet si comme pour la majorité du peuple, on nous a toujours sorti la même version officielle à l’école grâce aux programmes scolaires et les livres de classe qui en découlent, dans les musées chapeautés par toujours les mêmes “spécialistes” que l’on retrouve dans les média TV et revue dites scientifiques de vulgarisation (les science et vie like).



Le rapprochement est le même que pour le documentaire des nouveaux chiens de garde dont j’avais mis un lien il y a deux semaines.

On se rend compte que les média donnent la parole toujours aux mêmes “spécialistes”, mais que ces personnes ne voient jamais rien…

Deux exemple de ce reportage :




  • les “journalistes” de TF1/Bouygues qui “oublient” de parler des malfaçons d’une centrale nucléaire construite par Bouygues (un oubli certainement).

  • les experts économistes qui ont le même discourt pendant 25 ans, qui ne voient pas venir les crises comme celle de 2008, qui les minimisent quand elles commence et qui après reprennent encore leur même discourt en nous disant que si la crise à eu lieu, c’est que notre modèle du libéralisme qui a provoqué ces crises n’est pas assez proche du vrai libéralisme…





    Normal, les médias sont proches du pouvoir, interviewent des gens proches du pouvoir dont on ne sait rien, payés par le pouvoir pour dire ce qui plait au pouvoir.

    Les experts économistes sont souvent des types de think tanks et des fonctionnaires.





    SFX-ZeuS a écrit :



    Je ne suis vraiment pas fan de l’animation man, un peu ras le bol de ces pseudos messages radicaux “l’homme c’est le mal”





    Repens-toi, humain, pour être ce que tu es !

    Serait-ce une résurgence de la culpabilité judéo-chrétienne, du péché originel ?


Le 29/12/2012 à 22h 29







WhiteAngel a écrit :



Non mais certains ici sont affligeants à confondre la liberté d’expression avec des propos incitant à la haine.



Non appeler à tuer des homosexuels n’est pas une liberté d’expression !



Supprimer ce genre de message n’a rien à voir avec de la censure, ni à promouvoir une pensée unique.





Les propos incitant à la haine sont aussi des expressions.

Et franchement, si tous les propos haineux étaient censurés, il y aurait beaucoup de débats politiques qui seraient censurés ; ces propos haineux semblent pourtant normaux et acceptés dans les conversations.



Quand un Méchancon incite à la haine des riches, des banquiers, quand un Montébourre incite à la haine des Chinois, des Indiens, faut-il les censurer ?

Quand des gens chantonnent « pendons, pendons notre patron, on aura son pognon », c’est pas de la haine ?

La haine serait-elle tolérable dans certains cas et pas dans d’autres ?



La haine et la violence font partie de la société, le monde n’est pas parfait. Les supprimer est une chose impossible. Les réguler, peut être, mais ce sera la plupart du temps arbitraire, selon l’étalon moral du moment.


Le 29/12/2012 à 22h 17

Qu’on autorise tout simplement la liberté d’expression et puis c’est tout.

Cacher la bêtise sous le tapis ne la fait pas disparaitre.



Belkacem a beau être mimi, elle reste une idéologue de premier rang, adepte de croyances où l’humanité ne serait qu’une masse inerte attendant la volonté d’un législateur platonicien à la sagacité sans équivalent…

Enfin, cela fait des centaines d’années que les Français croient en ce genre de monde…

Le 26/12/2012 à 17h 47

Bientôt les piratebay awards ?

Le 23/12/2012 à 14h 22







zicklon a écrit :



De nos jours le recel ne veut plus rien dire nous sommes dans une société ou la majorité des contenus sont dématérialisés.



Ce n’est pas de la faute de ce jeune suédois si les ayants droits ne sont pas foutus de remettre en cause leur business model.





Je sais très bien ce que tu veux dire. Il n’y a pas d’extorsion concernant le droit d’auteurs qui est un monopole étatique sur quelque chose d’intangible.

Quoiqu’il y a aussi le principe de licences, mais on peut supposer que celles-ci ont une valeur dans un cadre de propriété intellectuelle.

Cependant, l’État a choisi d’instaurer une législation de propriété intellectuelle et y tient de façon dogmatique alors que rien ne démontre que cela apporte quoique ce soit, vu qu’il est impossible de faire reset et de revivre l’histoire en changeant une seule variable, et même si une loi est injuste, il faut quand même la respecter… du moins en apparence.

N’oublie pas qu’en trichant, on cautionne d’une certaine façon la tricherie des pouvoirs kleptocratiques…


Le 22/12/2012 à 22h 09







Jiyuu_Hashi a écrit :



Encore eut-il fallu que l’accusé le sache lors de sa contribution.

De plus, il est suédois, et donc, les lois françaises, il n’en a rien à faire ^^; (la notion de recel pouvant être différente en Suède… ou pas – mais ma compréhension de cette langue étant de zéro, je ne pourrai pas lire la loi suédoise).





Le concept de recel est le même, tout comme les concepts de vol et de meurtre sont pareils.

Mais je suis d’accord avec le premier point de ton commentaire. C’est pour cela, notamment, qu’il est jugé.


Le 22/12/2012 à 21h 41







zicklon a écrit :



Il n’a pas forcé les gens à télécharger des liens torrent <img data-src=" />





On appelle cela du recel.


Le 22/12/2012 à 16h 32







Sariote a écrit :



Encore une victoire du libéralisme contre l’humain.



Bravo.





Non. La plupart des libéraux sont contre le droit d’auteur qui est un monopole d’État sur quelque chose d’intangible.

http://www.contrepoints.org/?p=41919

http://www.contrepoints.org/?p=3769

http://www.contrepoints.org/?p=65825



« Celui qui reçoit une idée de moi reçoit un savoir sans diminuer le mien ; tout comme celui qui allume sa bougie à la mienne reçoit la lumière sans me plonger dans la pénombre. Que les idées circulent librement de l’un à l’autre partout sur la planète, pour l’instruction morale et mutuelle de l’homme et l’amélioration de sa condition, voilà qui semble avoir été conçu à dessein par la nature bienveillante, quand elle les a créées, libres comme le feu qui s’étend partout, sans diminuer leur densité en aucun point, et comme l’air que nous respirons, dans lequel nous nous mouvons et nous situons physiquement, rétives au confinement et à l’appropriation exclusive. Les inventions, par nature, ne peuvent donc être sujettes à propriété. »

(Thomas Jefferson)


Le 21/12/2012 à 12h 36







ZeHiro a écrit :



c’est surtout un manière d’ENFIN faire payer des impots à Google and co.





Quel soulagement, le monde est sauvé !


Le 21/12/2012 à 12h 35

Ce ne sont que des prétextes. Si l’état a besoin d’argent, il lui suffit simplement d’augmenter les impôts sur les travailleurs, les entreprises, la TVA…



Tout cela ne fait que complexifier la fiscalité et fausse le marché.

Le 15/12/2012 à 14h 02

Payer pour lire des articles repompés ches AFP ?

Le 10/12/2012 à 14h 58

Et oui, quand les gens ne donnent plus leur consentement aux désirs des politiciens, ils finissent par sortir le bâton…



C’est la frontière de la légitimité, une ligne psycho-sociale qui fait que la loi seule ne s’applique plus d’elle même, mais nécessite la force.



C’est pour cela que je dis qu’il faut augmenter le seuil de voix pour l’adoption d’une loi sans augmenter celui-ci pour sa suppression, vu que les lois tendent à s’accumuler et rester alors qu’elles sont obsolètes.



Nul n’est censé ignorer la loi, mais qui peut connaitre une usine à gaz qui change tout le temps ?

Vous voulez que les gens respectent la loi, faites alors des lois respectables !

Le 10/12/2012 à 10h 01







OhmydogPM a écrit :



La concurrence stimule l’innovation, mais on a ptêt pas suivi les mêmes cours alors…





La concurrence, oui. Est-ce le cas lorsque celle-ci est organisée et artificielle ?

Il y a toujours ce qu’on voit et ce qu’on ne voit pas.


Le 06/12/2012 à 20h 01







Drepanocytose a écrit :



Exemple à la fois bon et mauvais, Free.



Très bon exemple du fait que c’est très clair que des entreprises en situation d’entente tentent systématiquement, et en tapant fort, de faire taire la concurrence innovante (ou bien qui se présente comme telle dans ce cas là <img data-src=" />).



Mauvais exemple pour décrire le fait que les 3 gros n’aient pas réussi : on n’est pas en situation de concurrence libre là, Free a eu un énorme coup de pouce de l’état grâce à la TA asymétrique et à l’obligation de location d’une partie des spectres.

Sans ca (donc : sans régulation), Free n’aurait rien fait et les 3 auraient eu ce qu’ils voulaient. Ils n’y seraient même jamais allés.





Cependant, tu oublies que ces 3 entreprises bénéficient de l’aide de l’état, notamment pour la construction du réseau, pour les difficultés pour obtenir les licences et bien d’autres connivences… Ce qui fait de mauvaises bases de comparaisons pour spéculer sur ce qu’il se passerait dans un marché libre.



Dans un marché nouvellement “libéralisé”, il est encore normal qu’un nouveau concurrent bénéficie des infrastructures étatiques, qui auraient une structure différente si le marché avait été libre dès le départ.

Je me rappelle aussi des difficultés pour Free pour obtenir la licence mobile…



De toutes façons, Free a réussi à percer dans ce contexte parce qu’ils ont eu de l’audace, malgré l’opposition des 3, et aurait coulé sans cela.


Le 06/12/2012 à 19h 50







Drepanocytose a écrit :



A mon avis, Ph11 insinue qu’une peine pénale n’est valable que pour les crimes et pas pour les délits, ce qui n’est pas le cas, du moins en France où les délits aussi sont régis par le droit pénal.





Oui, les délits sont pénaux.



Le problème est de rendre pénal des choses qui doivent rester civiles ou de criminaliser des comportements normaux.



Autrement c’est très bien ce genre d’amendes, la libre conccurence ca ne veut pas dire la conccurence sans régulation ni règles ni contrôle (et donc sanctions).



Qu’il y ait des règles, oui. Cela dépend lesquelles.

Par contre, des régulations, non. Il est impossible de savoir si elles sont justifiées ou non et seront toujours arbitraires. Elles ne peuvent donc pas être efficientes.



L’entente étant un délit, ils doivent payer et faire amende honorable. Point barre.



Dont les justifications sont idéologiques. Ce n’est pas parce qu’il y a des règles qu’elles sont justes ou nécessaires.

Il y a une différence entre l’arbitraire et la justice. Il y a une différence entre des justifications objectives et des préjugés subjectifs. L’homo politicus n’est certainement pas infaillible.


Le 06/12/2012 à 19h 42







Drepanocytose a écrit :



Je le comprends comme “si les gros s’entendent, ils s’entendront pour rester gros et se liguer pour tuer dans l’oeuf toute tentative de concurrence innovante”.

Innover c’est quelque part prendre un risque.





D’ailleurs, on l’a vu lorsque le trium vira a tué Free dans l’oeuf…



Je sens qu’on va me ressortir les cas extrêmes purement théoriques…



Pourquoi des grosses entreprises en situation de monopole et de rente sans innover prendraient-elles des risques, si elles ont les moyens de conserver leur position par l’entente ?



Parce que ça ne fonctionne pas, que ça ne dure jamais. Des entreprises n’ont pas le pouvoir de surveiller chaque garage d’inventeur pour empêcher l’innovation, et d’ailleurs, il n’est pas rare qu’un gros décide de se restructurer et de rentrer dans un marché.

Sans oublier qu’une entente aboutit à l’opportunité et plus elle dure, plus le risque de voir un membre de l’entente la rompre est fort.

L’état n’a jamais su empêcher à terme l’évolution et l’innovation. Ce ne sont pas quelques entreprises qui le feront.





Pour nuancer on peut remarquer que le contraire est tout aussi vrai : c’est en temps de guerre, donc souvent dans un contexte sans aucune liberté, que les plus grandes innovations se font.

L’informatique est un très bon exemple (machine de Turing, Betchley Park, etc.)



Je ne le nie pas, La mobilisation peut aboutir à certaines choses, mais cela ne dure pas.

Cependant, ces inventions auraient fini par arriver en condition de liberté.

Je rappelle qu’IBM a 101 ans.


Le 06/12/2012 à 19h 33







Drepanocytose a écrit :



C’est tout le problème.

Mais on peut engager la responsabilité pénale des employés et même des PDGs dans des cas précis, décrits clairement dans la loi.

Le problème c’est que ces cas sont bien trop peu nombreux…



Quant à punir l’actionnariat qui selon moi porte aussi une lourde part de responsabilité, même en rêver c’est pas encore possible.





La question entre l’utilité de la personne morale est complexe.



Une entreprise peut être une organisation complexe et la question de la responsabilité tend à devenir difficile au fur et à mesure de cette complexité.

Le principe de personne morale permet de séparer la trésorerie de l’entreprise du budget privé de l’entrepreneur, cela permet à ce que des hommes de l’entreprise parlent au nom de celle-ci. C’est aussi le cas pour l’état, où il y a une séparation entre le trésor public et la dépense des dirigeants, ou comme le fait qu’un ministre peut parler au nom de l’état.

Cependant, personne morale ou non, si la justice fait son boulot, dès que l’acte dépend de la responsabilité de la personne physique, elle sera jugée ainsi.


Le 06/12/2012 à 19h 26







OhmydogPM a écrit :



Je suis complètement en opposition avec ton histoire.

Ok, si les entreprises s’entendent, que personne ne fait rien, tu n’auras jamais d’innovation…

Le cas Electrabel ne relève pas de la même chose…





Explique moi le lien entre



Ok, si les entreprises s’entendent, que personne ne fait rien



et



tu n’auras jamais d’innovation…



J’ai beau réfléchir, je ne vois pas de causalité…



De plus, ce qui importe politiquement n’est pas l’innovation, mais la liberté. L’innovation viendra de toutes façons dans une société libre.


Le 06/12/2012 à 18h 01







Eagle1 a écrit :



à quand les peines PENALES pour les pdg ?



parceque payer une amende inférieur au bénéfice gagné par le méfait, ça n’arrête personne.





Parce qu’il faudrait qu’il y ait crime pour cela.

On n’est pas encore en Corée du Nord…


Le 06/12/2012 à 17h 59

N’importe que ces poursuites…



Je ne vois pas l’intérêt de rendre illégal les ententes et je ne vois pas en quoi cela fausse la concurrence. De toutes façons, elles ne durent pas et si cela fait monter les prix, cela crée des opportunités qui arriveront à bout de l’entente.



Le problème de l’UE, c’est qu’ils croient dans le dogme de la concurrence pure et parfaite et pas dans la libre concurrence. C’est le second qui est important et permet l’allocation correcte des ressources, alors que le premier est une entrave au second.

Ils préfèrent un marché où il est difficile de rentrer dedans en proposant une meilleure offre, où le consommateur ne peut pas choisir ce qui lui convient pour avoir un oligopole de plusieurs pseudo-compétiteurs qui offrent la même chose…



Par le dogme de la CPP, on aboutit à ce que les sociétés compétentes se font blâmer parce que cela nuit aux concurrents incompétents. Par exemple Electrabel qui a récemment caché le fait que ses prix étaient meilleurs pour ne pas se faire remarquer par les politiques…

Le 06/12/2012 à 01h 20







moxepius a écrit :



Farage est très fort pour taper sur l’union européenne, et il aurait tord de s’en priver, mais quand on voit ce qu’il propose a la place, l’austérité, mais sans l’europe, en toute indépendance nationale…





Cependant, ce n’est pas l’“austérité” qui est appliquée actuellement, celle qui consiste à taxer et détruire l’économie, mais celle qui diminue les dépenses et les taxes afin de permettre à l’économie de se refaire. Bien sur, celle là dérange ceux qui vivent aux frais de la princesse et les néo-keynésiens (qui soi dit en passant font partie du premier groupe…)

Il n’est pas non plus contre l’Europe, il est contre la tournure actuelle de l’UE.


Le 06/12/2012 à 01h 15







127.0.0.1 a écrit :



L’absence de règles n’est pas la liberté, et c’est alors souvent la loi du plus fort.



Le problème n’est pas définir des règles (=réguler), mais c’est de surveiller ceux qui dictent les règles.





Tu confonds réguler avec règlementer.

Ce n’est pas la même chose.

Réguler = intervenir pour changer le cours des choses afin qu’elles soient conforme aux désirs de l’autorité.

Réglementer =instaurer des règles encadrant l’activité.



Cependant, ce n’est pas parce que l’absence de règles communes peut aboutir à une certaine forme de licence - quoique les règles peuvent s’imposer de diverses façons plus ou moins spontanées, et franchement, sur le net qui est un outil sur lequel ne se transmettent que des bits et des informations, il me semble difficile, voire impossible de voir se former une loi du plus fort - que cela signifie que toute règle sera bonne… Il y a des règles conformes au droit et d’autres qui ne le sont pas et peuvent même être criminelles.

Il y a aussi des règles purement idéologiques, des règles dont l’utilité est douteuse, des règles adoptées avec de bonnes intentions mais dont les conséquences sont négatives.



La société ne sera jamais une machine bien huilée que l’état peut modifier, améliorer ou régler en appuyant sur des leviers, des boutons, mais un ensemble d’humains qui vivent, agissent et s’influencent selon des relations complexes, agissent ou non, se déplacent ou non, aiment ou détestent, désirent ou rejettent… Et l’état n’est pas une sorte de système d’exploitation de la société, mais une organisation humaine et est donc une société dans la société.


Le 05/12/2012 à 18h 42

Ce gars, j’peux pulvar en peinture.