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Ph11

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2232 commentaires

Le 19/02/2014 à 13h 21







knos a écrit :



Oui mais sous entendu si orange paye pas c’est le peuple qui payera. Donc.





Le peuple paiera de toutes façons : Orange répercutera l’impôt sur ses clients.



Le problème n’est pas se savoir qui d’orange ou le peuple doit payer, mais pourquoi payer tout court afin que des entreprises privées soient contraintes de jouer à la police pour un État de plus en plus fascisant et intrusif dans la vie des gens.



Et le conseil d’État fait encore une fois preuve de son impartialité dans la justice…


Le 18/02/2014 à 17h 29



Je serai la ministre qui aura fait entérer le ministère de la Culture de plain-pied dans l’ère numérique



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Le 17/02/2014 à 18h 36

Ouais…Surtout faire un internet contrôlable à souhait par l’État…



L’internet actuel a certes des défauts, mais ses infrastructures s’étant développées de façon libre et anarchique, il est plus difficile d’y instaurer des controles que dans des pays comme la Chine où le développement s’est fait sous controle centralisé de l’autorité…



Un internet qui ne garde pas les contradictions des politiciens, leurs retournements de vestes, leurs bêtises… Un internet qui controle les critiques, controle l’information…

Le 14/02/2014 à 17h 14

Le crowdfunding fonctionne ?



Alors on va le réglementer, l’encadrer et surtout agir pour qu’il fonctionne d’une manière différente à celle qui arrange les acteurs de ce modèle et donc évincer tout ceux qui font que ça fonctionne jusqu’à ce que ça ne fonctionne plus…



La France… Pionnière dans la destruction d’entreprises depuis 40 ans…



Les politiciens ont été élu en promettant des emplois et de la croissance. Ils ne vont sûrement pas laisser des initiatives privées — en gros, des concurrents de l’État — démontrer aux Français qu’ils peuvent se débrouiller sans ces politiciens, démontrant ainsi leur inutilité, ce qui aboutirait à voir leurs postes et leurs salaires diminuer…

Le 14/02/2014 à 11h 24

Qu’il continue à baisser, je pourrais en racheter à petit prix.

Le 12/02/2014 à 12h 55

A ce que je vois, les socialistes sont motivés pour augmenter le chômage…



Ils détruisent tout ce qui fait la prospérité du pays et appellent ça le progrès…

Le 09/02/2014 à 00h 23



Une femme peut-elle être vraiment drôle ?





[grumpy cat]NON ![/grumpy cat]



Sinon, en coupant le son… <img data-src=" />

Le 08/02/2014 à 00h 28

Tiens, on a adopté les peines de la honte en France ?



Ah oui, c’est pour une sape d’entreprise capitaliste américaine. Alors, ça va…

Le 06/02/2014 à 15h 54

Mouais. Cela sera une nouvelle nationalisation de la culture. La culture française, depuis la création du ministère, c’est plus ça…

Ce n’est pas le contribuable qui doit financer la culture, mais les spectateurs.

Le 04/02/2014 à 19h 15







baldodo a écrit :



si c’était rentable … ça ne le resterait pas longtemps : plus tu mines plus c’est dur de miner (il y a un nombre fini de bitcoin) et plus il y a de bitcoin déjà minés, moins le bitcoin se valorise. Autant acheter du bitcoin directement sans le miner (si tu estimes que le cours va monter durablement)



si c’était aussi rentable (et surtout fiable/stable) que ça tout le monde serait sur la brêche : pas besoin d’attendre de se prendre une prune de 1000, 1 million ou 1 milliard d’euro pour commencer à miner.



le bitcoin c’est un investissement, comme l’or ou le pétrole et que je sache quand t’as tes impots à payer ça ne t’incite pas à investir dans le pétrole (ou quoi que ce soit d’autre) ni à en prospecter dans ton jardin (ou ailleurs)





En fait, quand le bitcoin est plus cher, miner est avantageux. Quand il est moins cher, tu achètes.

Pour l’instant, les cours continuent à monter alors qu’il y a plus de bitcoins.



Quant à dire que c’est un investissement, non. Le bitcoin en soi ne produit rien.

C’est un placement.


Le 04/02/2014 à 18h 59







Tirr Mohma a écrit :



En france l’évasion fiscale des grosses sociétés (Google, Apple, Total, Microsoft, etc) est évaluée au minimum à 30 milliards d’euros.





Probablement par les mêmes qui font les évaluations sur le piratage ?


Le 29/01/2014 à 11h 55

Pff, ils devraient aussi faire une offre avec MS-Dos.

Le 28/01/2014 à 02h 01







Sebdraluorg a écrit :



Euh… Bah ça l’est déjà… <img data-src=" />





Comment qu’on fait ?


Le 27/01/2014 à 14h 10







Mr.Nox a écrit :



@yoda_testeur

Trouve moi un seul OS qui ne t’imposer pas SA vision out of the box ? C’est simple, sans bidouiller, aucun.

Encore un argument bidon.

Que ce soit Unity, KDE, l’UI de Mac OS ou celle de Windows, ellese sont imposées.





Pas plus que n’importe quels produits, en fait. Que ce soit une voiture, une chaine hifi ou autre.

Ils proposent quelque chose de fini. Tu prends ou non.

La dictature, c’est lorsqu’on te met un flingue sur la tempe pour que tu acceptes cela. Edit : Comme la sécu, par exemple… <img data-src=" />


Le 27/01/2014 à 13h 58







metaphore54 a écrit :



J’aime assez windows 8,ce que j’aimerais, c’est d’utiliser les applications MUI sur le bureau en fenêtre redimenssionnable, et pourquoi pas avoir carrément le design MUI dans le bureau.





Moi, j’aimerai que l’inverse soit possible.


Le 25/01/2014 à 02h 11







Ph11 a écrit :



Il n’est pas facile d’avoir les avantages sans les défauts…

Par exemple Coco de Mal





Edit trop tard : pas difficile…


Le 25/01/2014 à 02h 10







zozolebo a écrit :



Qui est conditionnée aux peines prévues par l’article dans lequel se trouve l’infraction/le délit/le crime en question.





La loi ne peut pas tout prévoir non plus. S’il n’y a rien de prévu, le juge peut toujours trancher et faire jurisprudence, il me semble…





zozolebo a écrit :



Aaaah dans ce sens !



Non bien évidemment, la justice doit être rendue de la même façon pour tout le monde. C’est un principe de base de l’Etat de droit, sans quoi on a un droit arbitraire.



J’entendais par là que mettre des propos sexistes dans le même article de loi qui sanctionne le nazisme/la pédophilie/le terrorisme, c’est ouvrir à la porte à des peines de même valeurs pour des propos sexistes.



On peut vouloir condamner ce genre de propos, mais doit-on condamner aussi lourdement quelqu’un qui dit “Bobonne retourne faire la vaisselle et ferme la” que quelqu’un qui dit “Hitler est un héros” ? Je ne crois pas.



Mais c’est pourtant ce qu’on semble vouloir faire passer ! L’idée c’est de nous faire croire qu’un propos sexiste c’est aussi grave et dangereux que d’expliquer comment exterminer des millions de gens ou comment bien violer un enfant. <img data-src=" />



Prévoir les mêmes peines pour des propos sexistes que pour du terrorisme, des appels aux crimes contre l’humanité ou pour de la pédophilie, j’appelle ça de l’extrémisme.





Pour certains, on croirait qu’un crime sans racisme/sexisme/homophobie est moins grave que du racisme/sexisme/homophobie sans crime…


Le 25/01/2014 à 02h 00







FunnyD a écrit :



C’est vrai qu’elle est belle <img data-src=" />, mais je suppose que ce n’est pas là que tu voulais en venir?<img data-src=" />





Il n’est pas facile d’avoir les avantages sans les défauts…

Par exemple Coco de Mal


Le 25/01/2014 à 01h 52

Le gros problème que je vois dans ce qui se passe, c’est qu’on est en train maintenant de pratiquer l’amalgame entre tous les opposants, le gouvernement et ses soldats les assimiles les uns aux autres, qu’ils soient fréquentables ou non…

Les bonnets rouges, les cathos, les dieudonnistes, les soraliens et bien d’autres mouvements de gauche vers la droite, que vous en ayez marre de vous faire voler par des incompétents au pouvoir, de voir ce gouvernement s’ingérer dans votre vie, violer vos droits fondamentaux, pratiquer la connivence la plus vulgaire, prendre la société pour un laboratoire d’expérimentation sociale, censurer la liberté d’expression, mettre en place l’arbitraire, que vous dérivez un tant soi peu de la volonté des politocards, de la pensée unique, vous êtes tous des fachos dignes des zeurléplussombre…



http://www.liberation.fr/societe/2014/01/24/jour-de-colere-le-grand-fourre-tout-…



Ce gouvernement est l’ennemi, il fait la guerre contre sa propre population…

Le 23/01/2014 à 16h 43







Faith a écrit :



Y’a pas de lutte des classes, il y a juste des maths.

Voici le budget:

fr.wikipedia.org Wikipedia



Tu veux réduire 60 milliards de dépenses par redondances administratives diverses ? OK.

Ca réduira de combien le déficit ? 15 milliards, à la louche (les départs aidés, retraites anticipées et autres mises au chomage ont un coût social et financier important)

Tu arrives dont à un déficit annuel d’environ 45 milliards, parfait.





Juste en réduisant les administrations redondantes, on arrive à 60Mds d’économie.

Je n’ai pas dit que c’était tout ce qu’on pouvait faire… Ne joue pas avec les mots…



Quant à la mécanique de l’économie, ça va un peu plus loin qu’une simple soustraction… L’économie, c’est une question de gens, de désirs, de ressources, de système juridique, d’accumulation, d’innovation, d’initiative, de valeur ajoutée, de psychologie collective, du facteur temps…



Faire une analyse d’une réalité en 4 dimensions ou plus alors qu’on ne le conçoit qu’en 2 dimensions, ça peut être amusant, mais faux…



Je pense que notre conversation va se terminer, la mauvaise foi et les détournements de propos pointent du nez…





Maintenant, tu prends le tableau que je t’ai donné et tu nous expliques comment tu “équilibres” tout ça en réduisant les recettes (pour rappel. Amazon s’attaque à la case TVA… celle qui rapporte le plus…)



Et de combien sont les recettes d’Amazon ? Suffisantes pour combler le trou ?

Et comment tu feras pour « récupérer » lorsque entreprises qui optimisent décideront de s’en aller – à moins de trouver une nouvelle niche –, ce qui reste très probable ? L’optimisation, c’est plus fort que toi.



Et tu ne m’as pas répondu sur l’optimisation dans le territoire…



Sinon, l’essence est plus taxée que le diesel, si un entrepreneur prend du diesel alors que ses concurrents prennent de l’essence, c’est de la concurrence déloyale ?

Et si j’arrête de fumer, c’est de l’évasion fiscale ?<img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" />



La société parfaite n’existe pas, la perfection est une idée. Cependant, vouloir aller contre vents et marées vers cette perfection sociale a un cout, un cout financier et juridique.

Le problème avec les utopies, c’est qu’elles consistent à mobiliser toutes les ressources pour faire quelque chose d’impossible. La perte est réelle, les moyens subits, les fins qui ne sont que des abstractions ne jamais atteintes…





Pour revenir au budget : les budgets qui partent le plus en couille, c’est surtout la sécu et les localités.



Ensuite, je rappelle aussi que le gouvernement est très actif pour faire de nouvelles lois, des réglementations, des décrets de toutes sortes, dont on sait que leur utilité est loin d’être évidente. Pour cela, il faut des fonctionnaires pour les appliquer, des commissions, et autre. Et cela, ça coute.



Et oui, faire moins de lois, dépolitiser un peu la société réduit les dépenses de l’État…

Sans compter que si l’offre publique a une demande, la demande existant encore, le privé peut toujours la combler.

La dératsétatisation est aussi un phénomène économique de destruction créatrice (c-a-d la réallocation des ressources de où elles sont moins productives vers là où elles le sont plus), sans oublier que la main d’œuvre libérée de ses fonction est une ressource humaine qualifiée et exploitable et donc source de création de nouvelles richesses, augmentant ainsi par effet mécanique les recettes absolues, diminuant les dépense relatives.



Le nombre de missions de l’État est limité, car ces missions restent des entreprises économiques nécessitant des ressources, du travail, des rémunérations dans un monde où les ressources sont rares…

Toutes ces missions ne sont pas d’utilité indispensables et il faut donc choisir. On a fait depuis l’après guerre avec moins, il n’y a pas de raison que ce ne soit pas possible.

Lorsqu’on vit au dessus de ses moyens, il faut ajuster. Lorsqu’on est obèse, on fait régime.



Quant aux solutions :http://www.contrepoints.org/2011/07/06/33825-reduire-letat-a-ses-justes-proporti…



Sur le papier, c’est déjà pas facile, ensuite tu imagineras comment tu fais accepter ça à ton peuple, enfin, tu présenteras ta candidature à la présidence et je voterai pour toi.



Certains arrivent à faire accepter aux gens de payer plus de 50% d’impôts sur leur salaires….


Le 23/01/2014 à 15h 08







Faith a écrit :



Je lis toutes les lignes, mais tu ne réponds pas à la question, tu l’éludes.

Le monologue a assez duré pour moi: tu joues les sourds, très bien, continue avec ceux qui ont plus de patience que moi.

.





Je ne joue pas les sourds, je développe simplement ma position en réfutant ta position concernant l’impôt présentée comme s’il t’était inconcevable que l’on puisse baisser les impôts ou que remettre en question l’étatisme était une profanation…

D’ailleurs, tu ne m’as jamais proposé que 2 alternatives : augmenter mes impôts ou diminuer “mes aides/services dont tu bénéficies”*, comme s’il y avait une lutte des classes entre le peuple et amazon, ne pouvant aboutir au sacrifice de l’un ou l’esclavage de l’autre…



*En réalité, sous cette argumentation d’apparence rationnelle, se dissimule une tentative de me corrompre en faisant appel à mon égoïsme : en prenant parti pour “mes aides/services dont tu bénéficies”… et ensuite, tu plaides la justice ?



J’essaie de te démontrer que cette lutte des classes est un fantasme et qu’il existe d’autres alternatives à ce que tu proposes mais tu me sembles tout simplement trop fermé à des concepts économiques de base pour débattre.


Le 23/01/2014 à 14h 38







Faith a écrit :



Ca s’appelle l’inflation…





A l’exception que ces couts sont en monnaie constante…

Enfin, si on continue cette “inflation” on arrivera à terme à plus de 100% de dépense publique…





Bien dépensé ou mal dépensé, ce n’est pas le sujet.



Si justement. considères-tu que dépenser 1€ pour creuser des trous et les reboucher vaut 1€ pour construire un hopital, produire de la nourriture, des vêtements ou des services ?



Si la dépense publique n’est pas bien allouée, augmenter les impôts n’améliorera le problème structurel concernant cette allocation, voire provoquera la fuite en avant de cette mal-allocation et le problème se reposera rapidement.

Il faut guérir de la maladie, pas l’entretenir.



Réduire le gâchis peut se faire indépendamment du fait d’empêcher la concurrence déloyale.



En quoi est-ce de la concurrence déloyale que de suivre correctement les règles du pays ?

En quoi est-ce de la concurrence déloyale que de s’organiser plus efficacement pour être plus compétitif ? Toute concurrence serait déloyale, alors ?



S’ils veulent empêcher l’optimisation fiscale, que les gouvernements fassent une réglementation parfaite, au lieu de mettre des bâtons dans les roues de ceux qui respectent bien la loi.



Tu crois vraiment que seul l’impôt compte ? La réglementation, l’existence ou non des ressources, les services existants, les routes, la qualité de l’administration, la mentalité des travailleurs, ou de la différence d’indice de prix, tout cela aussi, ça compte dans la compétitivité entre entreprises. Faut-il aussi poursuivre une entreprise qui optimize dans un de ces domaines ?

Et les différences, elles existent aussi à l’intérieur du pays. Une entreprise à Lille paie-t-elle les mêmes impôts qu’une à Bordeaux ?



C’est un faux problème. Une utopie que tu appelles.

On vit dans un monde avec une économie globalisée. On fait avec.



Ce n’est pas une réponse à la question que j’ai posée.

On peut faire ça que les commerçants payent ou pas la TVA, c’est totalement décorellé.

Je te demande comment tu vides ta baignoire et tu me réponds que tu peux vider ton aquarium…



Dis, est-ce que tu ne lis jamais plus loin que la première ligne ?


Le 23/01/2014 à 14h 20







ActionFighter a écrit :



C’est beau comme discours, mais dans la réalité, moins il y a de cotisants, plus la sécurité est chère.

Il n’y a qu’à regarder le prix des assurances chômage pour les indépendants. On est bien loin des prélèvements sociaux…





D’abord, je rappelle que la sécu en France n’est pas d’Etat, mais privée, gérée par les organisations syndicales et patronales.

Il y a aussi de la mutualisation dans le libre, sinon, ce ne seraient pas des assurances.



Quant au chômage indépendants :

1/ je ne connais pas leur fonctionnement, ni le cadre juridique, n’étant pas français, je peux difficilement contre argumenter sur ce cas et donc trouver les failles. Vu le corporatisme en France, il ne serait pas étonnant que cela soit un problème lié à ça.

2/ cependant, paient-elles aussi les charges qui financent la sécu ?

3/ Quel est le niveau d’endettement de ces assurances et de la sécu ? Si mes prix faibles sont la cause de ma dette, c’est sur que les prix sont bons…





Me taxer de complotiste, c’est léger comme contre-argument. La grande distribution possède les centrales d’achat, et vient dire “regardez nos marges dans les rayons de nos supermarchés, on vend même à perte”, et à chaque fois, les chiffres présentés n’intègrent pas le circuit complet.



Non, c’est une pique.

Cependant, tes arguments me semblent plus être des assertions, des slogans qu’autre chose. Il est facile de déformer les faits selon sa conviction.


Le 23/01/2014 à 14h 09







Faith a écrit :



Ils acceptent (bon gré, mal gré) de perdre leurs services… on en revient toujours à la même question:

“est-ce que tu es du genre à vouloir réduire les aides/services dont tu bénéficies ou augmenter tes impôts pour permettre au Luxembourg de gagner encore plus d’argent ?”





Pourquoi perdre des services ? Comme j’ai démontré, les dépenses publiques ne sont pas constantes, mais augmentent de façon constante.

A services égaux, le cout n’a pas de raison d’augmenter. Et avec la croissance, les dépenses/PIB diminuent =&gt; moins d’impôts.



Faut arrêter de prétendre que chaque euro est bien dépensé, uniquement consacré au service, celui-ci étant utile… La grande partie de l’augmentation est structurelle.

L’année passée, Ayrault avait fait des économies sur les services, mais celles-ci ont été annulées par l’augmentation constante et non remise en question des dépenses structurelles… Donc on a déjà moins de services…



Quant à ta question, j’ai déjà répondu : on peut faire 60Mds d’économies facilement en supprimant les administrations redondantes. On n’a pas besoin de 10 personnes pour faire le travail d’une personne.

On peut ne pas augmenter les dépenses faites dans le but de satisfaire les intérêts corporatistes des uns et des autres, en se lançant dans des politiques à justification mysticoreligieuses ou encore par pure démagogie, ou tout simplement par manque de responsabilisation des administrations locales…



Juste en mettant en place des politiques d’efficacité de l’Etat, on met fin aux déficits. Mais bien sur, ça va contre les intérêts des démagogues, des utopistes, des idéologues, des expérimentateurs sociaux, des corporations de planqués ou réduit l’utilité de pas mal de politiques, qui comme tout agent économique, éprouve un intérêt à entretenir sa clientèle, à justifier sa rémunération…



Et plus besoin d’augmenter les impôts, ceux-ci pourront même baisser sans réduction du service grâce à la croissance.


Le 23/01/2014 à 13h 53







Faith a écrit :



Evidemment… <img data-src=" />





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Le 23/01/2014 à 13h 52







ActionFighter a écrit :



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:facepalm:

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Ça, c’est un autre débat. On ne peut pas condamner le concept de service public sous prétexte que les politocards français font n’importe quoi.



Ben si, justement. Soit ils font les choses correctement, soit on abandonne les choses. Les services publics, ce n’est pas gratuit.





C’est une vision. Personnellement, j’aime bien la sécu, l’assurance chômage, etc…



Oui, personnellement. Et personnellement, tu peux t’organiser aussi librement pour avoir des services de sécu sans pour autant l’imposer à ceux qui ne l’aiment pas. Tes désirs prévalent sur ceux des autres ?



L’avantage de la liberté sur la servitude, c’est que ceux qui ne sont pas arrangés par la liberté peuvent toujours organiser leur servitude, l’inverse étant faux…





Je peux pas voir le lien au taf, mais je connais bien cet argument. On prend les prix dans les rayons, en oubliant que la grande distribution à la main sur tout le circuit de distribution, ce qui lui permet d’éclater ses marges sur l’ensemble du circuit.





Oui, tout le monde sait. On nous ment, on nous cache tout…


Le 23/01/2014 à 13h 45







Faith a écrit :



Tu réponds totalement à coté de la plaque.





Ouais, l’argumentation…

Pourtant, l’Etat emprunte et fait usage de la planche à billet lorsqu’il le peut.

Il utilise des méthodes de financement alternatifs à l’impôt, qui sont soit des impôts différés (emprunt) soit des impôts cachés (inflation)



S’il suffit simplement d’augmenter par décret les impôts pour dépenser selon son vouloir, il n’a alors aucune raison de le faire.



Cependant, les impôts élevés deviennent impopulaires et lorsque leur cout devient trop élevé, les gains de l’évitement deviennent alléchants et les gens qui le peuvent organisent leur vie, leurs activités pour en payer moins. C’est d’ailleurs ce que fait Amazon…



Les limites des recettes dépendent uniquement du niveau de tolérance des payeurs.



Non, pas uniquement. Il y a la productivité que j’explique plus bas et aussi les échanges, vu que les impôts taxent les échanges économiques, que, que ce soient les revenus, la TVA les revenus des entreprises…



L’impôt plus élevé aboutit à ce que les gens dépensent moins pour épargner en prévision des impôts. L’activité ralentit et donc les recettes baissent.



Sinon, lorsque les gens deviennent non tolérants à l’impôt, ils font quoi ?

Et comment mesure tu cette tolérance ?



Limiter ça à une “capacité à produire” est un grand n’importe quoi, en particulier dans un pays où l’épargne est reine.



1/ Qu’est-ce qui détermine la valeur de la monnaie ? La production. La production dans un pays valorise la monnaie, et une monnaie valorisée est nécessaire à l’Etat s’il veut le dépenser… L’Etat dépense cette argent pour rémunérer les personnes qui bossent pour lui, la rémunération servant à acheter des produits.



2/ L’impôt ayant une répercussion sur les couts, cela aboutit que ce qui avant l’impôt était rentable le sera moins ou plus du tout : une entreprise qui a ses couts de prod à 100, et 20 de marges aura plus de mal à exister si elle voit ses couts de prod monter à plus de 120 à cause de l’impôt qu’une entreprise qui, grâce à sa meilleure productivité, fait suffisamment de marges pour couvrir l’augmentation des couts de prod.



Je répète ma question: est-ce que tu es du genre à vouloir réduire les aides/services dont tu bénéficies ou augmenter tes impôts pour permettre au Luxembourg de gagner encore plus d’argent ?



Baisser les impôts unilatéralement.


Le 23/01/2014 à 13h 23







ActionFighter a écrit :



Si on considères que l’optimisation fiscale est une innovation, alors effectivement, je suis contre.





C’est une adaptation comme un autre à un environnement, dont le but est de créer plus de richesses.





Je ne dis pas que les libraires sont un service de la collectivité, je dis que les librairies qui paient leurs impôts en France, et non dans un paradis fiscal, financent les services de la collectivité.



Et ceux-ci sont-ils tous nécessaires, bien gérés ?





Non, mais elle les empêchent de devenir compétitifs.



La première chose qui les empêche d’être compétitifs, c’est la réglementation et ce qu’ils paient à l’Etat.





Elles ont tué les petits commerces en pratiquant des prix faibles, et une fois la concurrence détruite et les habitudes de consommations changées, elles ont augmenté leurs marges.



Bizarre, il y en a pourtant encore, des petits commerces…

Quant à leurs marges, entre les faits et la conviction…

http://www.contrepoints.org/2013/08/22/135797-marche-de-la-bastille-les-grandes-…


Le 23/01/2014 à 13h 14







Faith a écrit :



Tu n’as pas compris que c’est exactement la même chose ?



Les recettes, on les fait évoluer avec n’importe quel décret/loi.





Alors pourquoi l’Etat emprunte ou fait usage de la planche à billets ? S’il suffit simplement de faire un décret, une loi, il n’a alors plus besoin de faire cela…



Un décret, une loi n’est pas une intervention divine, pas un miracle. Une loi impose à la population comment elle doit se conduire sous peine de sanctions.



Les recettes restent déterminées par la productivité dans le pays, de la création de richesses et augmenter les impôts augmente les couts de production, évinçant ainsi du marché une partie de la production, donc détruisant la base qui porte l’impôt.

Les recettes ont une limite déterminée par la capacité à produire. Cette limite dans les recettes aboutit de façon causale à limiter les dépenses.



Si on veut des dépenses constantes, c’est pas compliqué: on augmente les impots de ceux qui acceptent de payer (c’est à dire ceux qui ne font pas d’évasion fiscale, c’est à dire la moins riches)



Dépenses constantes ? Où ça ?Ici ? Ou peut-être ?


Le 23/01/2014 à 13h 01







aureus a écrit :



Alors que le libéralisme permet à 85 personnes d’être plus riches que 3.5 milliards de personnes et aux pauvres de payer la dette des riches. On en arrive à un point ou les riches ce demandent comment réduire les inégalités.



Et la france des trente glorieuses était bien plus innovantes que la france qui déréglemente chacun de ses marchés de ses 15 dernières années.



Mais bon c’est complétement HS <img data-src=" />





C’est HS, mais tu me tends une perche.



Faudra me dire où est donc ce libéralisme et la déréglementation alors que l’Etat dépense 57% du PIB, qu’on dépasse les 100’000 pages dans le journal officiel, que l’Etat subventionne les riches, qu’il y a plus de 3’300 page de code du travail, que l’entré dans des secteurs est impossible pour des raisons corporatistes, que le banques centrales stimulent, pour des raisons politiques, le crédit qui subventionne la finance…



Le libéralisme, ce n’est pas le socialisme des riches.



Quant aux 30 glorieuses, certes, il y avait des services publics qui, à l’époque, étaient efficaces, mais fraichement nationalisés, et avaient donc une gestion d’entreprise et non de bureaucrates planqués, et étaient encore adaptés à la demande — peut-on créer des services publics et croire qu’ils existeront ad vitam æternam dans un le monde qui change ? On ne maitrise pas l’histoire — et des grands travaux, mais ces derniers étant faits dans un cadre de reconstruction et de rattrapage de l’après guerre, faire de telles politiques alors qu’il n’y a rien crée des richesses alors qu’en faire alors que tout est construit, non…

Comme disait Winston : « Le capitalisme fabrique des voitures, le socialisme construit des parkings. » On a construit les parkings durant les 30 glorieuses alors qu’il n’y en avait pas, dès lors qu’on en a suffisamment, on ne va pas les détruire pour les reconstruire…



Et malgré cela, la part de l’État dans l’économie était nettement moindre. La moitié par rapport à maintenant en part de PIB, ce dernier étant au moins 3X plus faible…



Quant au niveau de vie, durant les années 60, beaucoup de foyers n’avaient pas de SDB ou de toilette dans la maison. Le smig équivalait au RSA, les travailleurs allaient dans les mines, allaient même dormir dans les usines. Des conditions qu’on n’accepte plus, qu’on considère comme de l’esclavage capitaliste, comme conditions de travail à la chinoise…

Les 30 glorieuses ont eu lieu parce que nos grands parents se sont retroussé les manches après la guerre alors qu’ils n’avaient quasi plus rien. Là où il y a eu réellement des politiques d’étatisation de la société durant ces décennies, c’était en Angleterre, qui était devenue la lanterne rouge de l’Europe au point d’être en quasi faillite durant les années 70…



Quand on parle de contexte idéal, il faut en parler entièrement.


Le 23/01/2014 à 12h 30







Faith a écrit :



Par ailleurs, Amazon ne fait du fric que parce qu’il ne paye pas d’impôts, conseilles tu aux libraires (et à tous les autres commerces au passage) de ne plus payer d’impôts en France ?





Peut-être que c’est une bonne raison de remettre en question la pressurisation fiscale… Il est vrai qu’il est préférable de vivre dans un monde sans activité économique, les seules possibles étant subventionnées par l’Etat…

Faut-il donc que la politique légifère et impose sans tenir compte de la réalité, seule comptant la volonté du législateur éclairé, oint par le Seigneur ?



Es-tu prêt, en tant que citoyen, à devoir financer le manque à gagner que ça représente ?



Toujours l’adaptation foireuse en économie de la loi des vases communicants… Adapter un principe d’une science à une autre, c’est un peu foireux… On devrait faire un peu de sociologie des bosons, la thermodynamique des triangles…



En réalité, les recettes déterminent toujours les dépenses, car il est le facteur limitatif là où la dépense peut être illimitée — si les politiciens pouvaient dépenser sans compter, ils ne s’en gêneraient pas —, que l’un contribuable paie moins n’aboutit pas à ce que les autres paient plus. L’État ne contrôle pas suffisamment la réalité pour pouvoir faire de tels calculs et faire porter à l’autre ce que lui doit le premier. Surtout avec un code fiscal aussi lourd et complexe où des principes d’incidence fiscale



Par contre, ce que les citoyens subissent absolument, c’est le gaspillage d’argent public. La première fraude fiscale, c’est la mauvaise gestion de cet argent en prétendant qu’une mauvaise dépense vaut une bonne, que dépenser dans ce qui ne crée aucune valeur ajoutée est un investissement… 1€ gaspillé est 1€ qui aurait pu être mieux utilisé ou tout simplement qu’un travailleur honnête n’a pas pu utiliser selon son bon vouloir…


Le 23/01/2014 à 12h 01







ActionFighter a écrit :



Ça dépend si tu es un libéral, ou si tu tu penses comme moi que la collectivité doit assurer certains services, ces derniers étant financés par l’impôt.



Et dans ce cas, l’offre inadaptée, c’est celle d’Amazon.





Comme quoi, le socialisme est réfractaire à l’innovation qui le menace… Faut pas s’étonner alors qu’un pays socialiste n’innove pas.

Sinon, je ne vois pas en quoi les librairies sont des services de la collectivité…





C’est d’ailleurs ce qui s’est passé dans la grande distribution… oh wait !



La grande distribution n’empêche pas les petits commerces d’exister.


Le 22/01/2014 à 19h 47







misterB a écrit :



Pas aussi simple, comment veux tu qu’un libraire qui fait du commerce en ligne puisse lutter contre Amazon ?

Faire du FDP gratos c’est impossible pour une petite structure<img data-src=" />





Ça reste aux libraires de s’adapter, de mettre en place une offre efficace. Amazon l’a fait en partant de rien, pourquoi un autre n’y arriverait pas ?

Faire payer à d’autres une offre inadaptée qui n’intéresse personne, c’est mieux ?







Nithril a écrit :



Amazon est un rouleau compresseur qui peut se permettre d’avoir une marge ridicule voir de vendre à perte. Suffit qu’un concurrent se montre trop présent pour qu’il diminue le prix et l’asphyxie.





Tant mieux s’il baisse ses prix. On ne demande que ça.

Et si Amazon réussit à évincer le concurrent – ce qui n’est pas dit – et augmente ensuite ses prix, il y aura très vite un autre acteur pour lui rappeler de les garder bas.



Le principe de la libre concurrence en économie est de permettre d’avoir un marché en concurrence s’il le faut, de réguler l’offre et les prix, pas d’avoir 10 concurrents s’il n’en faut que 2 ou 1.


Le 22/01/2014 à 19h 30







romainsromain a écrit :



Ce qui me fait sourire, c’est ceux de ma famille qui font les outrés “quoi tu achetes sur amazon ? alors qu’ils font de l’évasion fiscale?”





Alors que c’est une bonne raison pour acheter chez eux.

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Le 20/01/2014 à 18h 51







tic tac a écrit :



@ sioowan



La liberté d’ expression devrait être totale.

Même le plus con ou le plus abrutit à le droit de s’exprimer.





Surtout qu’il ne faut pas oublier que l’expression est un support.

Si on ne peut pas exprimer certaines idées, on ne peut pas non plus le faire devant un juge et un procès risque de ne pas être équitable.

La liberté limitée, la liberté sous condition n’est pas la liberté.

La liberté, c’est le droit de faire ce qu’un autre désapprouve, le droit de faire ce qui est vicieux, immoral, tant que ça ne nuit pas concrètement à autrui.


Le 20/01/2014 à 18h 45

Donc, traiter les politocards de bras cassés sera réprimé ?

Le 20/01/2014 à 13h 16

youtube.com YouTube

Le 13/01/2014 à 13h 49

Aie aie aie…

Ça pue l’expérimentation sociétale, le tabula rasa et surtout le grand n’importe quoi…

Et si on donnait plutôt plus d’indépendance à la justice ?

Le 12/01/2014 à 18h 59







athlon64 a écrit :



De la main gauche ça passe dans problème <img data-src=" />



ou alors faut écarter les doigts de la main droite <img data-src=" />





Comme ça ?

http://srqjew.files.wordpress.com/2011/03/live_long_and_prosper.jpg



edit :http://srqjew….

Ils sont vraiment partout !!!


Le 12/01/2014 à 18h 57







_fefe_ a écrit :



?

Je faisais remarquer que l’allemagne nazie n’a pas réarmé entre 2 guerres sans financement conséquent, et qu’aucun de ces financiers n’avait été inquiété.

Ça vous gêne ?





Ça doit être un complot…

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Le 12/01/2014 à 12h 36







malock a écrit :



Oui oui, je suis complétement débile…





C’est toi qui le dit, hein ?

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Le 12/01/2014 à 12h 33







fred42 a écrit :



Le principe des lois, c’est que l’on élit des représentants pour les voter pour nous





<img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" />


Le 12/01/2014 à 12h 31







fred42 a écrit :



Bravo ! tu compares la France et la Corée du Nord.





Oui, je le fais. Certes l’exemple n’est pas le meilleur, mais valable.



Sauf preuve du contraire, la France est un état démocratique et l’alternance politique permet de corriger les lois qui ne devraient rester.



Bof, la démocratie n’est pas la garantie de l’état de Droit. Son intérêt, notamment grâce au débat, à la séparation des pouvoirs et l’existence de contrepouvoirs est de modérer les processus politiques afin d’éviter le pouvoir arbitraire, pas d’établir les vérités juridiques ou réaliser l’utopie.

Cependant, le système finit par se corrompre, le pouvoir central finit par contrôler les autres qui sont censés le réguler, le fonctionnement parlementaire est corrompu…



Et puis franchement, si démocratiquement on décide d’exterminer tous les roux de France, ce sera acceptable ?



L’ensemble des lois éventuellement applicables ici dont la loi Gayssot n’ont pas été remises en cause par nos députés et sénateurs depuis leur promulgation.



Oui et ça signifie qu’elles sont justes, qu’elles permettent l’état de Droit ?

Tu crois donc en la démocratie éclairée ?





La modération de PCI doit de par la loi voir si le message est manifestement illicite ou non.

S’il ne l’est pas pour eux, cela s’arrête là.



Ça, j’en suis certain. Cependant, ce n’est pas la question…



Si la liberté, c’est faire tout ce qui est autorisé par la loi, alors, il n’y a pas de pays liberticide, vu qu’un pays liberticide qui applique la loi liberticide, ce sera pareil, mais avec ses propres lois.



La liberté n’émane pas de la loi. La loi garanti celle-ci ou la viole.


Le 12/01/2014 à 11h 35







malock a écrit :



L’histoire n’est pas qualifié de science non (sans dénigré du tout les travaux des historiens) ? Ok pour l’histoire qui se construit de faits et de débats.





Pas une science exacte, certes, mais une méthodologie qui reste scientifique.



Ce que je souhaitais dire par “légal”, c’est le résultat produit des faits et débats (et rien n’empêche, à mon sens, l’évolution de ces résultats).



Ok. Alors, valeur historique, plutôt que valeur légale.





Comme exprimé plus haut, dans le cas du génocide arménien, celui-ci n’a pas de “valeur légale” en France, il n’est pas reconnu.



Non, ici, c’est bien une question de reconnaissance légale d’institutions politiques vis à vis de ses lois sur les crimes contre l’humanité et cie, position imposée par raison diplomatique, afin de ne pas froisser la Turquie.


Le 12/01/2014 à 02h 38







malock a écrit :



Ok pour l’écriture des faits à postériori, je ne suis pas plus surpris que ça. Ok pour l’histoire écrit pas le vainqueur.

Puis, Ph11 me dit que le révisionnisme est une partie du travail des historiens. Ok, alors, s’il y a révision, celle-ci devrait bien être incluse à notre “banque de connaissance historique” non ? Je veux dire, avec une vraie reconnaissance “légale” (“légale” est surement mal choisi…). Ph11 exprimes justement que des lois empêchent la reconnaissance du boulot des historiens ? C’est ça ?





Pourquoi tu me le demandes pas à moi directement ? Je n’aime pas qu’on s’adresse à moi à la 3e personne…





Je veux dire, avec une vraie reconnaissance “légale” (“légale” est surement mal choisi…).





Oui, légale est très mal choisi. L’histoire n’est pas une question de légalité, mais de faits et de débats, comme toute autre science.





En avez-vous un exemple sous le coude de loi avant que je me lance dans des recherches ?





Je n’ai rien à démontrer, ce n’est pas ma position.

Il s’agit contester l’interdiction du droit au débat, car il s’agit bien d’un droit. Un droit au débat, un droit à la confrontation des idées qui aboutit à établir les faits et la vérité.



Interdire le débat, c’est la pensée unique, du fascisme.

La liberté de débattre aboutit probablement à ce que des vérités fausses soient en compétition avec la Vérité, mais la vérité planifiée, c’est prendre le risque qu’une de ces vérités fausses soit en monopole, mais aussi que les vérités fausses ne soient pas réfutables aux faits, à l’argumentation. En devenant irréfutables, elles sont donc non scientifiques.

La vérité historique n’a pas à être garantie par la loi, tout comme la vérité de l’existence de Rome n’a pas besoin de lois pour être reconnue.



Les idées nauséabondes ne sont dangereuses qu’en l’absence d’homme avec des idées meilleures pour les combattre.





Kinos lance alors un “Sinon, le métier d’historien n’aurait pas lieu d’être”. C’est bien que leur boulot, leurs découvertes sont intégrées à notre histoire non ? Je comprends de travers ?



Pas si on le leur interdit.


Le 11/01/2014 à 22h 37







gavroche69 a écrit :



Non je dis bien ce que je dis, pas une insulte juste un regret.





Ok/





C’était quand même un nazi et son intelligence visiblement assez élevée ne plaide vraiment pas en sa faveur et nul doute qu’on serait quand même allé sur la lune sans lui…



Intelligence n’est pas synonyme de bon sens ou de discernement.

Faut aussi rappeler le contexte de l’époque d’un système totalitaire, collectivisé où on ne pouvait rien faire en dehors de l’État, où tout devait passer par un contrôle centralisé, ou le chef d’entreprise était fonctionnarisé sous menace d’aller en prison ou pire…

Dans un système totalitaire, celui qui n’obéit pas ne mange pas. Un système totalitaire qui récompense les gens qui sont sans scrupules, aboutissant à avilir les gens, pousse les responsables à être le plus cruel ou c’est un plus cruel qui te donne à bouffer à 120 chiens, par exemple…



Quels sont ses torts ? Avoir fabriqué des missiles ? Fallait-il arrêter toute industrie qui ont permis à l’Allemagne nazie son entreprise ? Les Krupps, BASF, Hugo Boss et autres ?

Faut-il condamner Oppenheimer pour avoir fabriqué les bombes qui a détruit Hiroshima et Nagasaki ?





Les compétitions entre “grandes puissances” je m’en cogne…



Je m’en moque aussi. De plus, lorsqu’on en fait un enjeu politique, mobilisant les forces, les conséquences sur la Société Civile sont plus néfastes qu’on ne l’admet…





Si mengele avait découvert un quelconque vaccin en charcutant ses nombreuses victimes, aurait-il fallu en faire un héro aussi ?



Si ça tombe, c’est le cas et l’info est étouffée car politiquement irrecevable…<img data-src=" />


Le 11/01/2014 à 22h 00







Texas Ranger a écrit :



<img data-src=" /> et arrête de croire que j’ai le temps ou l’envie de débattre, je viens de le faire toute la journée sur HFR <img data-src=" />





Un traitre ! Pendons-le haut et court !


Le 11/01/2014 à 21h 58







gavroche69 a écrit :



@ Ph11 :

ce n’est pas une insulte, juste je formule le regret que trop de gens veulent remettre l’histoire en cause sans aucun argument valable et notamment sur un sujet bien précis…





Vraiment ? Ais-je sur-réagi à une mauvaise interprétation ou cherches-tu simplement à apaiser la discussion en me faisant avaler une réinterprétation moins intuitive de ton propos ?

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Le 11/01/2014 à 21h 54







gavroche69 a écrit :



Désolé mais il n’y a rien d’extrême à regretter que bien trop de nazis sont passés au travers du filet à la fin de la guerre. Soit parce que on les a laissé fuir soit parce que ils ont été récupérés par Les Russes et les Américains.





Personnellement, je m’en fous, ça ne me concerne pas. Je ne me sens pas le besoin d’avoir mon combat… Si certains nazis ont échappé à la mort, tant mieux pour eux.

On peut leur en vouloir d’avoir obéi aveuglément, mais lorsqu’on constate les expériences comportementalistes de Milgram ou de Asch, la question me semble plus complexe.





Ne serait-ce que ce fameux von braun qui était un parfait nazi et que les Américains ont transformé en héro national chez-eux…



Parce qu’il ne l’a pas été ? Il était responsable du projet spatial et a permis aux USA de battre l’URSS à la course à la Lune.





Bref, encore un débat sans fin…



Parce que tu avais des doutes ?


Le 11/01/2014 à 21h 38







fred42 a écrit :



Dans la limite du respect de la loi, il n’y a aucun problème.





Donc, un Nord Coréen qui critique Kim Machin, il mérite de se faire exécuter

parce qu’il a violé la limite de la loi ?

Toute loi n’est pas forcément bonne.