En Belgique, c’est l’obligation de passer par le SSO Azure pour consulter les dernières versions des règlementations fiscales.
En pratique donc, le citoyen est obligé de s’enregistrer chez Microsoft pour avoir accès aux règlements d’application pour sa fiscalité, et en pratique, en cas de problème contractuel entre l’utilisateur et Microsoft (refus de l’EULA ou rupture du contrat par une des deux parties), le citoyen perd l’accès aux documents de règlementation fiscale.
Ceci est bien entendu inconstitutionnel en Belgique, mais bien entendu, les administrations et les politiciens s’en tamponnent au nom de l’efficacité et du progrès.
Les recommandations émises par l’administration pour ceux qui craignent pour leur vie privée face à Microsoft sont ‘vous n’avez qu’à vous enregistrer sous une fausse identité’ … ce qui contrevient aux EULA…
Plus d’info (mettons des liens tant que c’est légal, ça ne va peut-être plus durer):
Ah, je ne dis pas que c’est justifié, je dis juste que ce n’est pas étonnant. Il y a assez de fous et d’armes, alors si on donne aux premiers une raison d’utiliser les secondes….
Le
04/04/2018 à
15h
08
tass_ a écrit :
Je trouve bien plus inquiétant de considérer que ne pas être publié sur une plateforme privée limite la liberté d’expression.
La liberté d’expression c’est dans l’espace public, pas dans un espace privé.
C’est intéressant, parceque la réalité de l’internet actuel, c’est effectivement cette dépendance aux services privés…
Qu’on soit hébergé, référencé, … on passe toujours par des services privés, des intermédiaires, et en fait, il n’y a pas d’espace vraiment public sur internet.
La question est assez simple, est-ce que les droits humains doivent pouvoir s’exercer à tout moment dans la mesure du cadre de la loi, ou est-ce que le fait de dépendre inévitablement d’entreprises confère à ces dernières leurs confère la liberté de restreindre ces libertés comme bon leur chante? Que ce soit google, l’hébergeur, l’opérateur télécom, il faut une neutralité qui défende plus que la liberté d’entreprendre mais aussi les droits humains, ou alors il faut accepter que ceux-ci n’existent plus sur internet.
Le
04/04/2018 à
14h
50
KP2 a écrit :
Oui, tout à fait, les GAFA étant américains, ils vont appuyer un peu plus fort sur les contenus sexuels et un peu moins sur les contenus racistes/xénophobes mais n’empêche, faut pas y voir pour autant une “main” politique.
C’est juste du business…
Quand un gouvernement est chatouilleux, il coupe l’accès au site en entier. Donc ça change pas grand chose pour un GAFA…
La politique est quelque-chose de bien plus complexe que les seuls partis: les milieux associatifs, les groupes de pression, les églises, les clubs sportifs, les entreprises elles-mêmes sont des entités politiques et politisées.
En général, le secteur religieux arrive bien à définir un ton politique et à faire pression tant sur les acteurs civils que sur les partis eux-mêmes… il suffit de voir les rétorsions politiques à l’encontre des entreprises ayant récemment cessé de collaborer ou de promouvoir la NRA (ce qui, d’un point de vue des valeurs républicaines, devrait pourtant une abomination)….
Le
04/04/2018 à
14h
40
Je trouve aussi hypocrite de s’en étonner, ou de s’étonner que ce genre de monopole sur l’expression entraine des réactions violentes.
Le
04/04/2018 à
14h
37
Je préfère les gens qui vont à la plage avec un cerf volant …
Le
04/04/2018 à
14h
26
‘Facepalm Grande’
Le
04/04/2018 à
14h
21
La nra ne souffre pas, ce sont des hommes libres, fiers, caucasiens, dignes héritiers de ceux qui ont forgé la nation par la poudre et la sueur. Ils ne se laissent pas impressionner par des traitres à la nation qui tournent le dos à la bonne viande américaine et ils s’en fichent de l’opinion des petites natures qui craignent les armes à feu.
En outre, la NRA s’en fiche qu’on retire les armes aux personnes de couleur…
Le
04/04/2018 à
14h
13
Salut,
je n’ai pas parlé de gouvernement, j’ai un peu hésité à parler de pays, mais disons que le cadre socioculturel fait que chaque groupement humain va avoir ses interdits, ses sujets à inconfort, et que les gafam ne seront pas neutres mais tendront au plus petit dénominateur commun.
Et il y a de nombreux gouvernements qui menacent purement et simplement de couper le cordon si certaines sensibilités sont un peu remuées…
Le
04/04/2018 à
14h
03
En passant… un peu ancien mais toujours d’actualité…
Défendre ses libertés et ses choix est un sujet complexe dans lequel je suis certain qu’on peut insérer tout et n’importe quoi du véganisme à la pédophilie en passant par Johnny Halliday, les armes à feu et le dentifrice à la fraise tagada.
Bref, l’objet est quelque-chose de très variable… et la manière aussi…
Si par exemple, tu défends ton choix de te brosser les dents au dentifrice fraise tagada par le moyen de lettres de menace de mort accompagnées d’une balle au gérant du casino de ton quartier, il risque de t’être difficile d’avoir le dessus moral même si le choix en lui-même ne pose pas de problème.
Si je défends mon choix de manger des enfants en envoyant des lettres avec des tampons de petits chats à des élus de la majorité, ça sera sans-doutes plus acceptable sur la forme, mais mon “choix” n’en sera pas moins contestable…
C’est un peu pareil avec ceux qui prétendent défendre le port d’armes via l’appel à la violence contre les survivants d’une tuerie, ou dans une moindre mesure en mettant une auto-mitrailleuse sur le chemin d’un cortège de manifestants pour les intimider.
En passant, choisir les armes automatiques pour tous, ce n’est pas exactement manger les enfants, mais ce n’est pas non-plus se brosser les dents au dentifrice fraise-tagada… mais je suis sûr que tu avais compris la nuance.
Le
04/04/2018 à
13h
10
L’eclaireur a écrit :
Une fois ceci dit, les youtubeurs signalent depuis un moment l’opacité des démonétisations et censures. Les états mettent la pression pour que youtube modère les vidéos et les commentaires, chaque tour de vis dans un sens ou l’autre provoque l’indignation générale. Est-ce qu’au moins il y a une solution à ce problème?
Responsabiliser les auteurs des contenus et non les intermédiaires, consacrer la liberté d’expression et protéger ce droit sur toute plateforme de communication communautaire… bref exactement l’inverse de ce que nos gouvernements font.
Google, Facebook, Twitter et les autres sont des zones à forte censure régies par les velléités suppressives et oppressives des pays communément catalogués comme démocraties.
Si on veut s’en sortir idéologiquement et culturellement, il faut se diriger vers des solutions décentralisées où l’exercice des libertés n’est pas réduit au plus petit dénominateur commun.
Le
04/04/2018 à
12h
54
Une arme automatique c’est fait pour tirer dans le tas… c’est l’usage et l’intention première.
Permetre la vente d’armes automatiques, ou semi-automatiques pouvant être converties en automatique, c’est permettre de tirer dans le tas.
Le
04/04/2018 à
12h
50
Si on veut être objectif, une grosse partie du discours ‘pro gun’ pourrait être assimilé à de l’apologie du terrorisme…
Tout comme les analphabètes de Daesh, de nombreux pro-gun vénèrent la constitution américaine sans l’avoir lue ni compris ses valeurs, au point où il suffit d’un photoshop d’Emma Gonzalez déchirant la constitution pour que ceux-ci appelle au jihad contre les survivants de la turie de Parkland.
Le
04/04/2018 à
12h
45
Imagine une belle entrecôte t-bone avec des frites cuites dans la graisse de boeuf…
Et là, tu vois une fourchette plonger dans la viande cuite à la perfection, et un couteau tranche la pièce de manière experte…
Maintenant, imagine que tu es assis sur la place en face de l’épaisse planche de bois sur laquelle est disposée l’entrecôte…
La fourchette remonte lentement vers une bouche large, aux lèvres minces mais volontaires d’un septuagénaire au teint d’agrumes et aux cheveux clairs. Sur la manche de sa chemise, tu vois un petit imprimé discret: c’est le chiffre 45…
Alors, moins faim ?
Le
04/04/2018 à
12h
00
Réaction extrême à un problème bien réel… les GAFAM à force de construire des monopoles sur les vecteurs d’expression et de rémunération des auteurs, se retrouvent avec un droit de vie et de mort effectif sur l’activité commerciale et les revenus des producteurs en dépendant en modulant à l’envi les méthodes de rémunération et de censure.
D’une manière, l’action de cette personne s’inscrit directement dans cette philosophe très étazunienne de posséder une arme pour défendre ses droits face à un état abusif, et les GAFAM’s incarnent une nouvelle forme étatique contre laquelle certains se défendront de manière violente.
Concernant les armes à feu, le paradoxe reste que les USA ont un des gouvernements les plus abusifs de leur histoire ( atteintes graves à presque toute la constitution, …) et miraculeusement, les plus ardents défenseurs de ce second amendement ne bronchent pas pour le reste… au contraire, ce qui tend bien à montrer l’hypocrisie des farouches défenseurs de la liberté absolue d’avoir des armes.
Les pères fondateurs ont vu dans le second amendement un moyen de défendre l’Amérique et sa constitution, pas comme une fin en sois. Considérer ce droit sans en considérer la finalité, ou pire, utiliser ce droit pour participer à la lutte contre les autres droits constitutionnels, est profondément anti-américain.
Le slogan de cette idéologie mortifère pourrait être: “No Life Matters”
De plus, cela ne concerne pas que les cas de terrorisme ou autres faits graves, mais aussi les délits.
L’état d’urgence a servi à pas mal de choses qui n’avaient aucun lien avec le terrorisme, ou même avec des faits graves (autre que les violations des droits humains effectuées dans le cadre de l’état d’urgence).
Puis bon, on est jamais loi de voir l’état d’urgence réactivé …
Le
30/03/2018 à
13h
28
js2082 a écrit :
Je sens que la condamnation de la France ne va pas tarder.
Elle redemandera une suspension sélective de l’application de la convention européenne des droits de l’homme, elle a l’habitude, et la 11è fois c’est gratuit…
La dépénalisation est la pire chose qui sois, je me demande vraiment si tu connais le sujet du coup :/
Qu’on pénalise le sucre, l’alcool (vin compris) et le tabac…
Le sucre par exemple est une drogue bien pire que le cannabis, 8x plus addictive que la cocaïne et dont l’impact sur la santé est catastrophique. Et ne parlons pas de l’alcool…
Dépénaliser la vente et la consommation du canabis mettrait par terre un grand pan d’activités criminelles, de misère humaine. La guerre contre la drogue, ça ne marche pas, ça ne fait qu’aggraver la situation des victimes.
Qu’on dépénalise et qu’on communique, sensibilise let éduque es citoyens aux vrais risques du cannabis, de l’alcool et du sucre.
Le
28/03/2018 à
09h
54
Dans ce cas ci, l’arbitraire vient de l’exécutif qui décide selon son bon vouloir d’entraver les droits fondamentaux avec un groupe de fonctionnaires qui sont juges et parties et sans un mécanisme indépendant pour que les accusés aient une réelle chance de se défendra sans saisir eux-mêmes .
Dans un état respectueux des droits humains, l’atteinte à l’exercice de ceux-ci doit être strictement encadrée et pas déléguée à une bande de subordonnés directs au pouvoir exécutif.
Le
28/03/2018 à
08h
50
L’entrave arbitraire aux libertés fondamentales est indigne d’une démocratie.
Si j’ai bien compris, l’idée est qu’avec les versions de TLS précédentes, ce man-in-the-middle était débrayable et plus léger pour les proxys filtrants qui pouvaient laisser une partie des flux retomber en pass-trough sans plus faire de gymnastique cryptographique, alors qu’avec TLS 1.3, la charge pour les proxys filtrants est beaucoup plus lourde car le proxy est obligé de maintenir le décodage-réencodage …
Bref, ce que veulent les sponsores du ‘visualization plugin’, c’est de pouvoir analyser un max de sessions à moindre coût, avec comme cerise sur le gâteau la possibilité d’activer le m-i-t-m sur n’importe quel navigateur au lieu de devoir spécifiquement configurer ses certificats locaux (pratique pour mettre de l’écoute de masse en place chez un opérateur télécom)
Le
26/03/2018 à
11h
29
Les entreprises qui ne savent pas évoluer au niveau cryptographie est un problème qui se règlera de lui-même.
Tout ce paragraphe fleure bon le politiquement correct à la sauce égalitaire genresque suintante de coloritude neutre typique du gloubi-boulga idéologique inepte de l’époque actuelle.
Pas de panique… c’est juste les mots pour le grand public, derrière la façade, IBM a tout de même fièrement mis son savoir-faire pour aider le régime nazi à correctement ficher les candidats au voyage en train, ou encore aux services du régime sud-africain des années 70 pour classifier les individus par couleur de peau, ficher les dissidents, … Et je crois qu’ils ont des trucs en cours avec Valdimir l’itératif pour la lutte contre la dissidence et l’homosexualité…
Voilà, satisfaite de savoir que non ibm c’est pas des vilains bobo isloamo gauchos antifa mais bien des durs sans complexes et avec l’éthique dans la caisse-en-carton-sur-l’étagère-du-bas-au-fond-du-garage-non-pas-celle-là-c’est-celle-sous-la-dernière-planche. Après tout Ginni Rometti avait battu tout le monde de vitesse pour féliciter Trump et proposer l’aide de son entreprise pour MAGA.
La création libre, ça couvre aussi les œuvres sous CC, non?
Il me semble que soutenir les droits des créateurs d’œuvres libres auprès du ministère de l’industrie culturelle est important si on veut un jour sortir du modèle où les sociétés de gestion collectives de droits usurpent les créateurs et font payer les utilisateurs en dépit de la volonté des auteurs.
L’invocation de 1984 est relativement pertinente quand il s’agit de faire le parallèle entre la loi anti-fakenews, les nouvelles missions de France Télévision souhaitées par Macron, l’état de la liberté de la presse en France et le Miniver du roman d’Orwell… Ce n’est pas juste une tendance française, la France innove plutôt sur la forme que sur le fond. Le contrôle du narratif public est un champ de bataille où le seul perdant sera le citoyen.
Nous vivons actuellement une période où la montée des populismes est généralisée et où l’érosion des principes démocratiques dans les pays dits développés est un fait tangible, nous ne faisons pas exception à la règle.
La lutte contre les fake news n’est rien d’autre qu’une atteinte manifeste à la liberté d’expression (un droit de l’homme bien malmené au fil des gouvernements), l’atteinte au statu des hébergeurs n’étant qu’un moyen et non une finalité dans l’attaque contre la liberté d’expression.
La loi anti fake news a en outre un potentiel de dérive gigantesque une fois la boîte de pandore ouverte.
Le
09/03/2018 à
12h
58
Des juges indépendants, c’est une chose, des lois liberticides en sont une autre. Le premier n’empêche pas le second.
Il suffit de voir cette saloperie de loi sur le secret des affaires qui commence à gravement nuire à la liberté de la presse.
Entre ça, la nouvelle loi de sécurité intérieure, et toutes les belles lois en cours de ratification ou de préparation, on voit bien que la tendance est à la fin des droits de l’homme, la fin des contres-pouvoirs, … Cette déconstruction a commencé sous Sarko avec la loi Dati, mais il se pourrait que Macron finisse la transition.
On en est pas encore à 1984, mais la question est bien “à quel point faut-il s’en rapprocher pour qu’il y ait consensus pour dire que ça va mal?”
C’est fou cette constance dans les gouvernements démocratiques de vouloir toujours surveiller les individus…
Disons que le virage récent au niveau de la définition de la démocratie a pas mal bougé… nous nous dirigeons petit à petit vers un concept démocratique où la démocratie c’est trois mecs sur une île et les deux premiers votent pour tuer le troisième…
Suffit d’activer la barrière de sécurité d’OpenOffice…
Sérieusement, laissons l’administration avec ses termes volontairement déconnectés du monde réel et continuons à faire vivre notre langue sans les anti-apports stériles de quelques ronds de cuir qui ne savent même pas de quoi ils parlent.
La langue française de l’administration est une horreur antidémocratique. Ce n’est pas aux fonctionnaires de définir la langue des citoyens.
Dans d’autres nouvelles, les services genre pagesblanches.fr devront présenter leurs résultats de recherche de manière anonymisée lors de l’emploi de l’annuaire inversé.
Pourquoi se limiter aux grandes entreprises et aux responsables sécurité?
Je vois pas en quoi n’importe quel IT confronté a l’utilisateur moyen ne serait pas effrayé :P
Oui mais en grande entreprise, il y a souvent un poids des dogmes sécuritaire (par opposition à une approche scientifique et raisonnée à la gestion de risques), susceptible d’engendrer une panique sévère et difficile à contenir face à un terme qui se traduit dans leur langage par ‘nitroglycérine et dynamite accrochés à une bombonne de gaz posée sur mon bureau’
Le
06/02/2018 à
15h
52
WebUSB
Marrant, on dirait que ce mot a été uniquement créé pour tourmenter les responsables sécurité dans les grandes entreprises…
Ce n’est pas de la censure pure et simple, c’est de la censure hypocrite et vicieuse par proxy: l’état ne censure pas, il intimide des intermédiaires techniques pour qu’ils le fassent à sa place, sans débat contradictoire et avec un cadre de pénalité ne pouvant que les inciter à avoir la main lourde.
Le
06/02/2018 à
13h
12
crocodudule a écrit :
Des brigades citoyennes de surveillance de ce qui est publié et de testing… on est vraiment dans le plus parfait n’importe quoi.
C’est pas ça qu’ils ont en Russie pour dépister les propos faisant l’apologie de l’homosexualité?
Le
06/02/2018 à
13h
07
js2082 a écrit :
Comme d’habitude, c’est toujours la même logique idiote: plutôt que de prévenir les problèmes en s’attaquant aux causes, on préfère s’attaquer aux conséquences sans guérir les sources des maux.
D’un autre côté, faut pas s’étonner de la situation puisque le peuple a massivement voté pour mettre certaines sources de certains maux au pouvoir…
Le
06/02/2018 à
12h
19
Dans un premier temps, ceux qui vont héberger leurs propres propos risquent de crier dans le désert faute d’indexation si les moteurs sont obligés de désindexer…
… et je ne suis pas sûr qu’il y ait un deuxième temps à court terme.
Le
06/02/2018 à
11h
45
Ben à grand coup de filtres, d’IA, de minage d’information, les hébergeurs les plus riches mettront en place un système de censure automatique. Les hébergeurs les moins friqués où ayant un sens éthique par rapport aux libertés individuelles ne pourront pas suivre et disparaîtront.
Il suffit de voir comment pour les questions de droit d’auteur, l’équilibre n’a pu être trouvé avec un curseur pointant lourdement vers le ‘dans le doute on supprime’, alors à quoi s’attendre dans l’éradication des propos.
La nuance, l’ironie, l’humour, voilà des choses qui sont directement menacées par cette volonté maladive de censure. Ne subsisteront que les propos sans ambigüité et en ligne avec le pouvoir en place.
Le gros problème de nos jours, c’est qu’il n’y a presque plus d’attachement aux droits humains, et certainement pas dans le monde politique.
Charger les intermédiaire (réseaux sociaux, moteurs de recherche, …) c’est juste plonger dans la sur-censure préventive par peur du ministère de la vérité…
Si ce n’était qu’un bug d’ASLR, ce serait encore mignon… l’ASLR a souvent été cassé et repatché… ici le problème semble encore plus sérieux. ASLR est le prétexte officiel de Kaizer, mais le problème doit être beaucoup plus sérieux que cela pour que le patch ait été accepté si vite et avec si peu de commentaires dans le code.
Un article assez ancien qui parlait déjà du problème de leak kernel via les poubelles de la prédiction de branche Intel. L’auteur n’avait pas encore de résultats concluants (obtention du contenu de la mémoire), mais cela représentait une piste à exploiter: https://cyber.wtf/2017/07/28/negative-result-reading-kernel-memory-from-user-mod…
Si on fait une moyenne mondiale, effectivement on a des choses plutôt positive pour le moment, mais au niveau de nos pays dits “développés”, nous sommes au début d’une belle descente.
Et au passage, non, le PIB par habitant n’est pas une méthode pour savoir si les gens sont dans le besoin ou non.
Le
20/12/2017 à
15h
44
Effectivement, disons plutôt depuis les débuts du world wide web…
Le
20/12/2017 à
14h
33
wanou2 a écrit :
La neutralité du net décennies après décennies ? Il ne faut quand même pas pousser mémé dans les orties. C’est une notion récente la neutralité du net.
Le net est récent, et il est neutre depuis le début… la notion de neutralité du net est venue sur le devant de la scène vu les volontés de mettre le standard de-facto à mal.
Maintenant, sérieusement, il y a pas mal d’autres glissements dans nos belles contrés qui sont encore bien plus préoccupants, comme la déconstruction méthodique des droits humains, le hold’up de l’exécutif sur le judiciaire, l’appauvrissement orchestré de la population, la désinformation de masse, …
Tu veux dire comme le label PUR de la Hadopi ? " />
Non, un label qui ait une valeur ajoutée pour l’utilisateur…
Plutôt comme un label bio donc, montrant une adhésion effective à une charte de bon comportement dans le cadre du respect de la vie privée.
Le
18/12/2017 à
08h
59
Chapeau,
Ce qu’il faudrait maintenant, c’est un label de qualité qui ne serait décerné qu’aux sites qui font pareil pour transformer un geste noble en incitant pour les autres à faire de même.
Je crois qu’il y a un gars qui a proposé la voiture autonome filaire sur Cat6 …
Blague à part, il y a des plages de fréquences où ce genre de traffic pourrait se faire sans avoir une pollution électromagnétique trop violente.
Le
13/12/2017 à
13h
33
Les infos itinéraire gagnent avec une basse latence mais ce n’est pas si crucial dans l’ensemble. Les infos partagées type “L’Abs est intervenu il y a 30s à 46.393261, 5.864314” , borne de recharge b350f2ab-2f8a-455f-adaf-2443bea15521 indisponible …” sont des données qui ne gagnent à être en temps réel que dans une logique de nuée de véhicules… et dans une telle approche, un réseau mesh partagé serait largement préférable à la 4G pour permettre un échange de messages rapide sans délais.
Vouloir tout passer sur internet, c’est risquer de rendre ce dernier inutilisable.
3766 commentaires
Vidéo YouTube obligatoire : la DGFiP fait machine arrière
17/04/2018
Le 16/04/2018 à 08h 05
En Belgique, c’est l’obligation de passer par le SSO Azure pour consulter les dernières versions des règlementations fiscales.
En pratique donc, le citoyen est obligé de s’enregistrer chez Microsoft pour avoir accès aux règlements d’application pour sa fiscalité, et en pratique, en cas de problème contractuel entre l’utilisateur et Microsoft (refus de l’EULA ou rupture du contrat par une des deux parties), le citoyen perd l’accès aux documents de règlementation fiscale.
Ceci est bien entendu inconstitutionnel en Belgique, mais bien entendu, les administrations et les politiciens s’en tamponnent au nom de l’efficacité et du progrès.
Les recommandations émises par l’administration pour ceux qui craignent pour leur vie privée face à Microsoft sont ‘vous n’avez qu’à vous enregistrer sous une fausse identité’ … ce qui contrevient aux EULA…
Plus d’info (mettons des liens tant que c’est légal, ça ne va peut-être plus durer):
https://www.aideacces.be/159-FisconetPlus.html
https://transparencia.be/request/fisconetplus
Une fusillade au siège de YouTube fait plusieurs blessés
04/04/2018
Le 04/04/2018 à 15h 11
Ah, je ne dis pas que c’est justifié, je dis juste que ce n’est pas étonnant. Il y a assez de fous et d’armes, alors si on donne aux premiers une raison d’utiliser les secondes….
Le 04/04/2018 à 15h 08
Le 04/04/2018 à 14h 50
Le 04/04/2018 à 14h 40
Je trouve aussi hypocrite de s’en étonner, ou de s’étonner que ce genre de monopole sur l’expression entraine des réactions violentes.
Le 04/04/2018 à 14h 37
Je préfère les gens qui vont à la plage avec un cerf volant …
Le 04/04/2018 à 14h 26
‘Facepalm Grande’
Le 04/04/2018 à 14h 21
La nra ne souffre pas, ce sont des hommes libres, fiers, caucasiens, dignes héritiers de ceux qui ont forgé la nation par la poudre et la sueur. Ils ne se laissent pas impressionner par des traitres à la nation qui tournent le dos à la bonne viande américaine et ils s’en fichent de l’opinion des petites natures qui craignent les armes à feu.
En outre, la NRA s’en fiche qu’on retire les armes aux personnes de couleur…
Le 04/04/2018 à 14h 13
Salut,
je n’ai pas parlé de gouvernement, j’ai un peu hésité à parler de pays, mais disons que le cadre socioculturel fait que chaque groupement humain va avoir ses interdits, ses sujets à inconfort, et que les gafam ne seront pas neutres mais tendront au plus petit dénominateur commun.
Et il y a de nombreux gouvernements qui menacent purement et simplement de couper le cordon si certaines sensibilités sont un peu remuées…
Le 04/04/2018 à 14h 03
En passant… un peu ancien mais toujours d’actualité…
http://www.collegehumor.com/video/40002998/the-new-face-of-the-nra
Le 04/04/2018 à 13h 43
Défendre ses libertés et ses choix est un sujet complexe dans lequel je suis certain qu’on peut insérer tout et n’importe quoi du véganisme à la pédophilie en passant par Johnny Halliday, les armes à feu et le dentifrice à la fraise tagada.
Bref, l’objet est quelque-chose de très variable… et la manière aussi…
Si par exemple, tu défends ton choix de te brosser les dents au dentifrice fraise tagada par le moyen de lettres de menace de mort accompagnées d’une balle au gérant du casino de ton quartier, il risque de t’être difficile d’avoir le dessus moral même si le choix en lui-même ne pose pas de problème.
Si je défends mon choix de manger des enfants en envoyant des lettres avec des tampons de petits chats à des élus de la majorité, ça sera sans-doutes plus acceptable sur la forme, mais mon “choix” n’en sera pas moins contestable…
C’est un peu pareil avec ceux qui prétendent défendre le port d’armes via l’appel à la violence contre les survivants d’une tuerie, ou dans une moindre mesure en mettant une auto-mitrailleuse sur le chemin d’un cortège de manifestants pour les intimider.
En passant, choisir les armes automatiques pour tous, ce n’est pas exactement manger les enfants, mais ce n’est pas non-plus se brosser les dents au dentifrice fraise-tagada… mais je suis sûr que tu avais compris la nuance.
Le 04/04/2018 à 13h 10
Le 04/04/2018 à 12h 54
Une arme automatique c’est fait pour tirer dans le tas… c’est l’usage et l’intention première.
Permetre la vente d’armes automatiques, ou semi-automatiques pouvant être converties en automatique, c’est permettre de tirer dans le tas.
Le 04/04/2018 à 12h 50
Si on veut être objectif, une grosse partie du discours ‘pro gun’ pourrait être assimilé à de l’apologie du terrorisme…
Tout comme les analphabètes de Daesh, de nombreux pro-gun vénèrent la constitution américaine sans l’avoir lue ni compris ses valeurs, au point où il suffit d’un photoshop d’Emma Gonzalez déchirant la constitution pour que ceux-ci appelle au jihad contre les survivants de la turie de Parkland.
Le 04/04/2018 à 12h 45
Imagine une belle entrecôte t-bone avec des frites cuites dans la graisse de boeuf…
Et là, tu vois une fourchette plonger dans la viande cuite à la perfection, et un couteau tranche la pièce de manière experte…
Maintenant, imagine que tu es assis sur la place en face de l’épaisse planche de bois sur laquelle est disposée l’entrecôte…
La fourchette remonte lentement vers une bouche large, aux lèvres minces mais volontaires d’un septuagénaire au teint d’agrumes et aux cheveux clairs. Sur la manche de sa chemise, tu vois un petit imprimé discret: c’est le chiffre 45…
Alors, moins faim ?
Le 04/04/2018 à 12h 00
Réaction extrême à un problème bien réel… les GAFAM à force de construire des monopoles sur les vecteurs d’expression et de rémunération des auteurs, se retrouvent avec un droit de vie et de mort effectif sur l’activité commerciale et les revenus des producteurs en dépendant en modulant à l’envi les méthodes de rémunération et de censure.
D’une manière, l’action de cette personne s’inscrit directement dans cette philosophe très étazunienne de posséder une arme pour défendre ses droits face à un état abusif, et les GAFAM’s incarnent une nouvelle forme étatique contre laquelle certains se défendront de manière violente.
Concernant les armes à feu, le paradoxe reste que les USA ont un des gouvernements les plus abusifs de leur histoire ( atteintes graves à presque toute la constitution, …) et miraculeusement, les plus ardents défenseurs de ce second amendement ne bronchent pas pour le reste… au contraire, ce qui tend bien à montrer l’hypocrisie des farouches défenseurs de la liberté absolue d’avoir des armes.
Les pères fondateurs ont vu dans le second amendement un moyen de défendre l’Amérique et sa constitution, pas comme une fin en sois. Considérer ce droit sans en considérer la finalité, ou pire, utiliser ce droit pour participer à la lutte contre les autres droits constitutionnels, est profondément anti-américain.
Le slogan de cette idéologie mortifère pourrait être: “No Life Matters”
Le Conseil constitutionnel impose de passer par un juge pour obtenir les clés de déchiffrement
30/03/2018
Le 30/03/2018 à 13h 52
Le 30/03/2018 à 13h 28
Terrorisme : 90 demandes de blocage, 534 de déréférencement administratifs en 2017
27/03/2018
Le 29/03/2018 à 18h 53
Le 28/03/2018 à 09h 54
Dans ce cas ci, l’arbitraire vient de l’exécutif qui décide selon son bon vouloir d’entraver les droits fondamentaux avec un groupe de fonctionnaires qui sont juges et parties et sans un mécanisme indépendant pour que les accusés aient une réelle chance de se défendra sans saisir eux-mêmes .
Dans un état respectueux des droits humains, l’atteinte à l’exercice de ceux-ci doit être strictement encadrée et pas déléguée à une bande de subordonnés directs au pouvoir exécutif.
Le 28/03/2018 à 08h 50
L’entrave arbitraire aux libertés fondamentales est indigne d’une démocratie.
TLS 1.3 enfin est validé par l’Internet Engineering Task Force
26/03/2018
Le 26/03/2018 à 13h 02
Si j’ai bien compris, l’idée est qu’avec les versions de TLS précédentes, ce man-in-the-middle était débrayable et plus léger pour les proxys filtrants qui pouvaient laisser une partie des flux retomber en pass-trough sans plus faire de gymnastique cryptographique, alors qu’avec TLS 1.3, la charge pour les proxys filtrants est beaucoup plus lourde car le proxy est obligé de maintenir le décodage-réencodage …
Bref, ce que veulent les sponsores du ‘visualization plugin’, c’est de pouvoir analyser un max de sessions à moindre coût, avec comme cerise sur le gâteau la possibilité d’activer le m-i-t-m sur n’importe quel navigateur au lieu de devoir spécifiquement configurer ses certificats locaux (pratique pour mettre de l’écoute de masse en place chez un opérateur télécom)
Le 26/03/2018 à 11h 29
Les entreprises qui ne savent pas évoluer au niveau cryptographie est un problème qui se règlera de lui-même.
Think 2018 : comment IBM voit l’avenir de l’informatique dans cinq ans
22/03/2018
Le 23/03/2018 à 14h 39
L’Aful et l’Adullact appellent la ministre de la Culture à soutenir le libre
15/03/2018
Le 15/03/2018 à 14h 44
La création libre, ça couvre aussi les œuvres sous CC, non?
Il me semble que soutenir les droits des créateurs d’œuvres libres auprès du ministère de l’industrie culturelle est important si on veut un jour sortir du modèle où les sociétés de gestion collectives de droits usurpent les créateurs et font payer les utilisateurs en dépit de la volonté des auteurs.
Fake News : Twitter France refuse de devenir « l’arbitre de la vérité »
08/03/2018
Le 09/03/2018 à 15h 57
L’invocation de 1984 est relativement pertinente quand il s’agit de faire le parallèle entre la loi anti-fakenews, les nouvelles missions de France Télévision souhaitées par Macron, l’état de la liberté de la presse en France et le Miniver du roman d’Orwell… Ce n’est pas juste une tendance française, la France innove plutôt sur la forme que sur le fond. Le contrôle du narratif public est un champ de bataille où le seul perdant sera le citoyen.
Nous vivons actuellement une période où la montée des populismes est généralisée et où l’érosion des principes démocratiques dans les pays dits développés est un fait tangible, nous ne faisons pas exception à la règle.
La lutte contre les fake news n’est rien d’autre qu’une atteinte manifeste à la liberté d’expression (un droit de l’homme bien malmené au fil des gouvernements), l’atteinte au statu des hébergeurs n’étant qu’un moyen et non une finalité dans l’attaque contre la liberté d’expression.
La loi anti fake news a en outre un potentiel de dérive gigantesque une fois la boîte de pandore ouverte.
Le 09/03/2018 à 12h 58
Des juges indépendants, c’est une chose, des lois liberticides en sont une autre. Le premier n’empêche pas le second.
Il suffit de voir cette saloperie de loi sur le secret des affaires qui commence à gravement nuire à la liberté de la presse.
Entre ça, la nouvelle loi de sécurité intérieure, et toutes les belles lois en cours de ratification ou de préparation, on voit bien que la tendance est à la fin des droits de l’homme, la fin des contres-pouvoirs, … Cette déconstruction a commencé sous Sarko avec la loi Dati, mais il se pourrait que Macron finisse la transition.
On en est pas encore à 1984, mais la question est bien “à quel point faut-il s’en rapprocher pour qu’il y ait consensus pour dire que ça va mal?”
Le FBI réclame une copie en clair des communications en ligne
08/03/2018
Le 09/03/2018 à 08h 16
La traduction officielle de « fake news » en piste au ministère de la Culture
27/02/2018
Le 01/03/2018 à 12h 14
Suffit d’activer la barrière de sécurité d’OpenOffice…
Sérieusement, laissons l’administration avec ses termes volontairement déconnectés du monde réel et continuons à faire vivre notre langue sans les anti-apports stériles de quelques ronds de cuir qui ne savent même pas de quoi ils parlent.
La langue française de l’administration est une horreur antidémocratique. Ce n’est pas aux fonctionnaires de définir la langue des citoyens.
En appel, le combat de Jamendo contre la redevance sur la musique en Creative Commons
12/02/2018
Le 12/02/2018 à 15h 40
Uberisation de la culture face à exploitation de la culture par des réseaux maffieux… qui va gagner?
Bruxelles pose ses conditions à la réforme de l’annuaire public de noms de domaine
09/02/2018
Le 12/02/2018 à 13h 01
Dans d’autres nouvelles, les services genre pagesblanches.fr devront présenter leurs résultats de recherche de manière anonymisée lors de l’emploi de l’annuaire inversé.
" />
Calculatrice Numworks : nombreuses améliorations avec le firmware 1.3.0, notamment sur Python
06/02/2018
Le 07/02/2018 à 09h 28
Le 06/02/2018 à 15h 52
WebUSB
Marrant, on dirait que ce mot a été uniquement créé pour tourmenter les responsables sécurité dans les grandes entreprises…
Lutte contre la haine : un rapport invite le gouvernement à réformer le statut des hébergeurs
06/02/2018
Le 06/02/2018 à 15h 43
Et les législatives? Elles ne comptent pas?
Le 06/02/2018 à 13h 20
Ce n’est pas de la censure pure et simple, c’est de la censure hypocrite et vicieuse par proxy: l’état ne censure pas, il intimide des intermédiaires techniques pour qu’ils le fassent à sa place, sans débat contradictoire et avec un cadre de pénalité ne pouvant que les inciter à avoir la main lourde.
Le 06/02/2018 à 13h 12
Le 06/02/2018 à 13h 07
Le 06/02/2018 à 12h 19
Dans un premier temps, ceux qui vont héberger leurs propres propos risquent de crier dans le désert faute d’indexation si les moteurs sont obligés de désindexer…
… et je ne suis pas sûr qu’il y ait un deuxième temps à court terme.
Le 06/02/2018 à 11h 45
Ben à grand coup de filtres, d’IA, de minage d’information, les hébergeurs les plus riches mettront en place un système de censure automatique. Les hébergeurs les moins friqués où ayant un sens éthique par rapport aux libertés individuelles ne pourront pas suivre et disparaîtront.
Il suffit de voir comment pour les questions de droit d’auteur, l’équilibre n’a pu être trouvé avec un curseur pointant lourdement vers le ‘dans le doute on supprime’, alors à quoi s’attendre dans l’éradication des propos.
La nuance, l’ironie, l’humour, voilà des choses qui sont directement menacées par cette volonté maladive de censure. Ne subsisteront que les propos sans ambigüité et en ligne avec le pouvoir en place.
Le gros problème de nos jours, c’est qu’il n’y a presque plus d’attachement aux droits humains, et certainement pas dans le monde politique.
On est mal, mais pas de panique: ça va empirer.
Mounir Mahjoubi : de la loi anti « fake news » à la responsabilité des intermédiaires
24/01/2018
Le 24/01/2018 à 21h 13
Charger les intermédiaire (réseaux sociaux, moteurs de recherche, …) c’est juste plonger dans la sur-censure préventive par peur du ministère de la vérité…
Google détaille trois failles, qui ont leur site dédié : après Intel, ARM confirme être touché
04/01/2018
Le 03/01/2018 à 13h 00
Si ce n’était qu’un bug d’ASLR, ce serait encore mignon… l’ASLR a souvent été cassé et repatché… ici le problème semble encore plus sérieux. ASLR est le prétexte officiel de Kaizer, mais le problème doit être beaucoup plus sérieux que cela pour que le patch ait été accepté si vite et avec si peu de commentaires dans le code.
Un article assez ancien qui parlait déjà du problème de leak kernel via les poubelles de la prédiction de branche Intel. L’auteur n’avait pas encore de résultats concluants (obtention du contenu de la mémoire), mais cela représentait une piste à exploiter: https://cyber.wtf/2017/07/28/negative-result-reading-kernel-memory-from-user-mod…
Les majors du disque obtiennent le blocage d’Extratorrent, Torrent9, Isohunt et Cpasbien
20/12/2017
Le 20/12/2017 à 15h 53
Si on fait une moyenne mondiale, effectivement on a des choses plutôt positive pour le moment, mais au niveau de nos pays dits “développés”, nous sommes au début d’une belle descente.
Et au passage, non, le PIB par habitant n’est pas une méthode pour savoir si les gens sont dans le besoin ou non.
Le 20/12/2017 à 15h 44
Effectivement, disons plutôt depuis les débuts du world wide web…
Le 20/12/2017 à 14h 33
Next INpact et les trackers
18/12/2017
Le 18/12/2017 à 16h 11
Le 18/12/2017 à 08h 59
Chapeau,
Ce qu’il faudrait maintenant, c’est un label de qualité qui ne serait décerné qu’aux sites qui font pareil pour transformer un geste noble en incitant pour les autres à faire de même.
Stéphane Richard veut « des internets particuliers » pour coller à différents besoins
11/12/2017
Le 14/12/2017 à 09h 11
Le 14/12/2017 à 09h 11
…bug d’edit…
Le 13/12/2017 à 13h 58
Je crois qu’il y a un gars qui a proposé la voiture autonome filaire sur Cat6 …
Blague à part, il y a des plages de fréquences où ce genre de traffic pourrait se faire sans avoir une pollution électromagnétique trop violente.
Le 13/12/2017 à 13h 33
Les infos itinéraire gagnent avec une basse latence mais ce n’est pas si crucial dans l’ensemble. Les infos partagées type “L’Abs est intervenu il y a 30s à 46.393261, 5.864314” , borne de recharge b350f2ab-2f8a-455f-adaf-2443bea15521 indisponible …” sont des données qui ne gagnent à être en temps réel que dans une logique de nuée de véhicules… et dans une telle approche, un réseau mesh partagé serait largement préférable à la 4G pour permettre un échange de messages rapide sans délais.
Vouloir tout passer sur internet, c’est risquer de rendre ce dernier inutilisable.