#Le brief du 02 février 2024

TikTok perd Taylor Swift, Drake et d’autres artistes signés chez Universal Music

TikTok perd Taylor Swift, Drake et d’autres artistes signés chez Universal Music

Le 02 février 2024 à 07h20

Le 02 février 2024 à 07h20

TikTok perd Taylor Swift, Drake et d’autres artistes signés chez Universal Music

Tesla attaquée en justice pour la mauvaise gestion de ses déchets dangereux

Tesla attaquée en justice pour la mauvaise gestion de ses déchets dangereuxTesla Model S, Steve Jurvetson/Camilo

Le 02 février 2024 à 07h05

25 comtés de Californie ont attaqué en justice le fabricant de voitures électriques pour avoir mal géré à plusieurs reprises ses déchets dangereux, explique Reuters.

La plainte déposée au Tribunal de leur État, mise en ligne par Techcrunch, évoque de mauvais étiquetages et éliminations de déchets. On y retrouve, entre autres, « des batteries au plomb ainsi que d'autres batteries », des peintures, du liquide de frein, des aérosols, de l'antigel, de l'acétone ou du diesel.

Elle affirme que ces infractions concernent au moins 101 infrastructures, dont l'usine de Tesla à Fremont (Californie). Les comtés espèrent obtenir des sanctions civiles et une injonction obligeant Tesla à gérer correctement ses déchets. Avant ce dépôt de plainte, des négociations entre Tesla et les 25 comtés ont été tentées, mais n'ont pas abouti.

Selon Reuters, la loi californienne sur la gestion des déchets dangereux prévoit des sanctions pouvant aller jusqu'à 70 000 dollars par infraction et par jour.

Le 02 février 2024 à 07h05

Tesla attaquée en justice pour la mauvaise gestion de ses déchets dangereux

Afrique du Sud : l’imagerie satellite et l’IA pour lutter contre l’apartheid géographique ?

Afrique du Sud : l’imagerie satellite et l’IA pour lutter contre l’apartheid géographique ?

Le 02 février 2024 à 07h01

En Afrique du Sud, l’apartheid a été aboli en 1991, mais dans les faits, celui-ci subsiste sous la forme d’une importante ségrégation géographique. Selon la Banque mondiale, l’Afrique du Sud est aussi la nation la plus inégalitaire du monde.

Ceci peut en partie s’expliquer par la méthode de recensement adoptée, qui mêle d’anciens quartiers hérités de l’apartheid (les « communes », plus pauvres et plus typiquement habitées par la population noire, et les banlieues aisées, plus habitées par les blancs) dans une seule catégorie : celle des « quartiers résidentiels formels ».

Cela a pour effet de lisser les disparités réelles. Dans certains cas, des quartiers pauvres se retrouvent quasiment privés d’accès aux ressources publiques (écoles, hôpitaux ou parcs) quand le quartier riche d’à côté, où certains habitants du premier vont travailler, jouira de tous ces éléments.

Pour lutter contre le phénomène, la data scientist Raesetje Sefala travaille à mêler vision assistée par ordinateur et images satellites pour cartographier les disparités dans l’espace et, à terme, aider à les résorber.

Elle mène ce projet au sein de l’ONG Distributed AI Research Institute (DAIR) fondée par l’informaticienne Timnit Gebru après son licenciement de Google.

Depuis trois ans, aidée de l’experte et de l’informaticienne Nualleng Moorosi, Raesetje Sefala a travaillé à l’élaboration d’une base de données géographique puis à son étiquetage par sous-groupes en fonction des niveaux de vie.

Ceci lui a déjà permis de constater que 70 % du territoire sud-africain reste vide, et que les populations les plus riches profitent d’espaces plus vastes que les plus pauvres. Une proportion surprenante, notamment dans des villes comme Cape Town, où 14 % des foyers vivent dans des habitats informels, sans accès à de quelconques infrastructures, et où se maintient l’idée que l’espace manque.

L’informaticienne travaille désormais à mettre son outil au profit des collectivités. Il permet par exemple d'identifier des espaces vacants où des équipements publics pourraient être construits pour servir la population efficacement.

Autre application possible : le Human Sciences Research Council (HSRC), un think tank local, les utilise pour conseiller le gouvernement sur l'allocation la plus efficace de traitements contre le SIDA à travers le pays.

Le 02 février 2024 à 07h01

Afrique du Sud : l’imagerie satellite et l’IA pour lutter contre l’apartheid géographique ?

Fuite de données chez Viamedis, prestataire du tiers payant gérant 20 millions d’assurés

Fuite de données chez Viamedis, prestataire du tiers payant gérant 20 millions d’assurés

Le 02 février 2024 à 06h58

Viamedis, qui gère le tiers payant pour 20 millions de Français en étant prestataire de 84 complémentaires santé, a informé l'AFP qu'elle avait été victime d'un piratage.

L'entreprise, filiale du groupe Malakoff-Médéric-Humanis, a expliqué dans un communiqué reçu par l'agence de presse que des données d'assurés lui ont été dérobées, incluant l'état civil, la date de naissance et le numéro de sécurité sociale, le nom de leur assureur santé ainsi que les garanties ouvertes au tiers payant de certains d'entre eux.

Si Viamedis affirme que « les données personnelles exposées sont limitées » et précise que « ni information bancaire, ni coordonnée postale, ni numéro de téléphone, ni e-mail ne sont concernés par cet acte malveillant », croisées à d'autres bases de données, elles peuvent être facilement utilisées dans des campagnes de phishing.

Interrogé par l'AFP, le directeur général de Viamédis a indiqué qu'« à date, nous n’avons pas le nombre d’assurés « impactés »nous sommes toujours en cours d’investigation ».

L'entreprise a déconnecté sa plateforme de gestion suite à la découverte de ce piratage. Son site web n'était pas non plus accessible ce jeudi 1er février. Mais Viamedis assure que cette déconnexion n'empêche pas les assurés de bénéficier du tiers payant. Cela devrait par contre avoir des conséquences pour certains professionnels de santé comme les opticiens et audioprothésistes.

Viamedis explique avoir déposé une plainte auprès du procureur de la République, notifié la CNIL et fait une déclaration à l'ANSSI.

Le 02 février 2024 à 06h58

Fuite de données chez Viamedis, prestataire du tiers payant gérant 20 millions d’assurés

Après LibreOffice 7.6, la suite bureautique libre revient en version 24.2

Après LibreOffice 7.6, la suite bureautique libre revient en version 24.2

Le 02 février 2024 à 06h55

La Document Foundation avait prévenu : elle allait passer à une nomenclature basée sur le calendrier. Pourquoi ? Parce que l’arrivée des nouveautés se concentrait maintenant sur l’amélioration de l’existant plutôt que de vraies nouvelles fonctions. La nouvelle mouture, publiée le 1ᵉʳ février, est donc estampillée 24.2.

La liste des apports confirme ce que disait la fondation : on trouve essentiellement des perfectionnements et corrections.

On note quand même quelques améliorations sortant un peu plus du lot. Toutes les applications enregistrent désormais par défaut les informations de récupération automatique. En outre, des copies de sauvegarde sont toujours créées. Tout ceci dans le but de limiter les pertes de données.

Signalons également la description systématique du caractère sélectionné dans la liste des caractères spéciaux, la possibilité d’utiliser des styles dans les commentaires, l’arrivée d’un champ de recherche dans la barre latérale des fonctions, ou encore des améliorations « significatives » pour les API d’accessibilité.

Le 02 février 2024 à 06h55

Après LibreOffice 7.6, la suite bureautique libre revient en version 24.2

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