#Le brief du 12 mars 2024

Sam Altman de retour au conseil d’administration d’OpenAI

Sam Altman de retour au conseil d’administration d’OpenAI

Le 12 mars 2024 à 06h55

En novembre, OpenAI a vécu une semaine pour le moins agitée. L’entreprise a limogé son CEO Sam Altman, avant de le réintégrer quelques jours plus tard, avec un nouveau conseil d’administration.

Sam Altman était de nouveau CEO, mais sans faire partie du « board ». C’est désormais le cas, comme l’indique la société dans un communiqué. Nous ne savons toutefois toujours pas pourquoi Sam Altman avait été viré aussi rapidement par l’ancien conseil d’administration.

Quoiqu'il en soit, trois nouvelles personnes sont également ajoutées au conseil d’administration : Sue Desmond-Hellmann (ex-CEO de la fondation Bill and Melinda Gates), Nicole Seligman (ex-vice-présidente de Sony Corporation) et Fidji Simo (CEO et présidente de Instacart, ex-vice-présidente de Facebook).

Elles ont toutes les trois « de l’expérience dans la direction d’organisations mondiales et les environnements réglementaires complexes, y compris des antécédents dans les domaines de la technologie, des organisations à but non lucratif et de la gouvernance des conseils d’administration. Ils travailleront en étroite collaboration avec les membres actuels du conseil d’administration, Adam D’Angelo, Larry Summers et Bret Taylor, ainsi qu’avec Sam et la haute direction d’OpenAI », précise le communiqué.

Le 12 mars 2024 à 06h55

Sam Altman de retour au conseil d’administration d’OpenAI

La Chine a elle aussi un plan pour se débarrasser des entreprises de la tech’ états-uniennes

La Chine a elle aussi un plan pour se débarrasser des entreprises de la tech’ états-uniennesPhoto de Road Trip with Raj sur Unsplash

Le 12 mars 2024 à 06h55

La Chine tente depuis des années de renforcer sa production dans tous les secteurs afin de parvenir à l'autosuffisance, rapporte Geo, et donc de se débarrasser des technologies états-uniennes.

Des sources anonymes ont confié au Wall Street Journal qu'une directive chinoise diffusée en septembre 2022, « Document 79 », vise à « Delete A », soit « effacer les États-Unis » dans le secteur de la tech.

Elle demande aux entreprises nationalisées de fournir chaque semestre un rapport sur le remplacement progressif de leurs logiciels américains par des équivalents chinois. Or, plus de 60 des 100 plus grandes entreprises chinoises sont possédées par le gouvernement, relève Geo.

Le South China Morning Post estime de son côté que le remplacement des technologies et équipements chinois de Huawei et ZTE aurait d'ores et déjà coûté quelque 5 milliards de dollars aux États-Unis.

Mais selon Jack Corrigan, un analyste du centre pour la Sécurité des Technologies Émergentes interrogé par la Commission d'examen des questions économiques et de sécurité des États-Unis et de la Chine, « éliminer toutes les [technologies et services] chinois des réseaux américains serait d'un coût prohibitif, voire impossible ».

Le 12 mars 2024 à 06h55

La Chine a elle aussi un plan pour se débarrasser des entreprises de la tech’ états-uniennes

Bobby Kotick (ex-Activision) souhaiterait racheter… TikTok

Bobby Kotick (ex-Activision) souhaiterait racheter… TikTok

Le 12 mars 2024 à 06h48

Le 12 mars 2024 à 06h48

Bobby Kotick (ex-Activision) souhaiterait racheter… TikTok

Accord des pays européens sur les travailleurs des plateformes comme Uber et Deliveroo

Accord des pays européens sur les travailleurs des plateformes comme Uber et DeliverooPhoto de ev sur Unsplash

Le 12 mars 2024 à 06h41

Après plusieurs semaines de discussions, les États membres de l'Union européenne (UE) ont trouvé un accord sur la directive sur les travailleurs des plateformes.

La présidence belge du Conseil de l'UE s'est exclamé sur X : « De meilleures conditions de travail pour les livreurs de repas à domicile ! [...] Cela améliorera les droits et les conditions de plus de 28,5 millions d'Européens travaillant dans ce secteur ».

Euractiv explique que les votes en faveur du texte « dans un esprit de compromis » de la Grèce et de l'Estonie, qui s'abstenaient jusque-là, ont brisé la minorité de blocage formée par l'Allemagne et la France.

Les pays européens devront donc créer une présomption de salariat pour les travailleurs des plateformes. Mais, alors que le texte présenté en décembre comprenait une liste de critères, le texte adopté laisse toute latitude aux États pour décider ce qui fait qu'un travailleur de plateforme doit être considéré comme un salarié de l'entreprise.

La directive contient aussi une partie sur la gestion automatisée des ressources humaines avec une interdiction du traitement de données comme l'état psychologique des travailleurs, l'appartenance religieuse ou la sexualité. Les conversations privées et les activités des travailleurs en dehors de la plateforme ne peuvent, elles non plus, être collectées, remarque Euractiv.

Enfin, le texte prévoit que les décisions à propos de la rémunération, le licenciement ou la suspension doivent être prises par un humain et non décidées par un algorithme.

Le 12 mars 2024 à 06h41

Accord des pays européens sur les travailleurs des plateformes comme Uber et Deliveroo

Le CEA, le CNRS et Inria lancent un programme pour une robotique adaptée à l’être humain

Le CEA, le CNRS et Inria lancent un programme pour une robotique adaptée à l’être humainPhoto de Eric Krull sur Unsplash

Le 12 mars 2024 à 06h40

Dans le cadre du plan France 2030, le CEA, le CNRS et Inria vont piloter le programme national de recherche « Robotique organique » lancé ce lundi 11 mars, explique un communiqué de presse commun [PDF]. Il sera financé à hauteur de 34 millions d'euros sur huit ans.

« L’objectif est de créer une nouvelle génération de robots, capables d’interactions fluides et naturelles avec les utilisateurs et d’adaptation sociale dans leurs interactions », indiquent les trois institutions.

Dans leur communiqué, elles expliquent être consciente que « malgré d’immenses progrès technologiques, des questions demeurent quant à l’intégration des robots dans nos vies et notre société. Il est primordial aujourd’hui de concevoir la robotique différemment, afin qu’elle soit plus proche de l’homme et de la nature, plus souple et moins gourmande en ressources ».

Le 12 mars 2024 à 06h40

Le CEA, le CNRS et Inria lancent un programme pour une robotique adaptée à l’être humain

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