#Le brief du 03 avril 2024

Microsoft lance son Copilot for Security en version finale

Microsoft lance son Copilot for Security en version finale

Le 03 avril 2024 à 06h56

L’entreprise n’en finit plus de décliner son Copilot pour tous ses produits et services. Le nouveau venu est à destination des clients Azure uniquement et veut simplifier la gestion de la sécurité en permettant d’orienter des recherches par des prompts adaptés.

Le service concentre les informations de plusieurs sources, notamment de Microsoft Defender Threat Intelligence, dont les contenus sont consultables sans frais supplémentaires. Il permet de générer rapidement des vues pour observer des situations ou évènements précis, de créer des résumés pour les incidents, aide à répondre à ces derniers, peut procéder à de la rétro-ingénierie inverse sur les scripts malveillants, etc.

La tarification du Copilot for Security se fait à l’usage. L’activité se mesure en SCU (Security Compute Unit), que Microsoft décrit comme « une unité de mesure de la puissance de calcul nécessaire pour exécuter les charges de travail de Copilot for Security dans des environnements autonomes et intégrés ».

Le 03 avril 2024 à 06h56

Microsoft lance son Copilot for Security en version finale

Temu proposait d’acheter des données personnelles de ses clients pour 100 euros

Temu proposait d’acheter des données personnelles de ses clients pour 100 eurosTemu

Le 03 avril 2024 à 06h55

Temu, le très populaire site d'e-commerce chinois à très bas prix, a « temporairement » retiré en urgence son offre controversée d'achat de données personnelles suite à la polémique qu'elle venait d'engendrer, rapporte l'AFP.

Temu proposait en effet à ses clients « jusqu'à 100 euros » (20 euros en cash via Paypal, et un bon d'achat de 80 euros, voir aussi la page encore en ligne) en échange d'une cession de leur droit « sur tout un éventail de données personnelles », résume l'AFP.

La campagne, lancée en Angleterre la semaine passée, demandait en effet aux clients, comme le relevait Numerama, de donner leur consentement pour « l'utilisation et la publication par [Temu] de la photo, du nom, de l'image, de la voix, des opinions, des déclarations, des informations biographiques et/ou de la ville natale et du pays à des fins promotionnelles ou publicitaires dans tous les médias du monde entier, connus ou développés ultérieurement, à perpétuité, sans autre examen, notification, paiement ou contrepartie. »

Or, et comme le rappelle la CNIL à l'AFP, le RGPD et la loi Informatique et Libertés reconnaissent aux personnes des droits sur leurs données (droit d'accès, de rectification et d'opposition notamment), auxquels ces dernières ne peuvent pas renoncer, sous aucune condition. « La vente de données supposerait que les personnes renoncent à ces droits », précise le gendarme des données, qui n'avait pas encore reçu de plaintes visant l'application Temu.

Le groupe chinois a défendu samedi que « le programme a connu un grand succès en France, avec de nombreux clients satisfaits » mais explique avoir décidé de le supprimer « temporairement ». La raison ? Des « malentendus sur l'étendue de (son) utilisation des informations client », précise-t-il dans un message adressé à l'AFP, confirmant une information du Parisien.

L'entreprise ajoute qu'elle n'utilisait que les noms d'utilisateurs et les photos de profil des clients participants. « Nous nous engageons à apporter des améliorations pour garantir la clarté et une expérience encore meilleure pour tous », explique-t-elle à l'AFP, en plus de promettre, « nous ne vendons pas et ne vendrons pas de données clients. »

Le 03 avril 2024 à 06h55

Temu proposait d’acheter des données personnelles de ses clients pour 100 euros

Yahoo rachète l’application Artifact, spécialisée dans la curation d’actualités

Yahoo rachète l’application Artifact, spécialisée dans la curation d’actualités

Le 03 avril 2024 à 06h53

Artifact est une application lancée l’année dernière et créée par Kevin Systrom et Mike Krieger, qui ne sont autres que les cofondateurs d’Instagram, bien avant que le service soit racheté par Facebook (pour un milliard de dollars en 2012).

Artifact est spécialisée dans la curation des actualités et fonctionne selon deux axes. D’une part, les utilisateurs peuvent se lier à des contacts et voir ce qu’ils lisent (après acceptation). On peut ainsi se créer un réseau de recommandations de lectures. D’autre part, le service ajoute une dose d’IA pour aider à la découverte de contenus et résumer à la demande les articles.

Mais après moins d’un an d’existence, Kevin Systrom, CEO d’Artifact, avait annoncé que les perspectives n’étaient pas assez grandes et que l’application allait être supprimée.

Le rachat par Yahoo, pour une somme non communiquée, tombe donc à point nommé. Mais pas pour l’équipe de développement, composée de huit personnes. Yahoo ne reprend que la technologie, qui va intégrer son propre service News pour catégoriser, conserver et personnaliser le contenu.

« Nous avons construit un produit intuitif que les utilisateurs adorent et qui peut profiter à des millions de personnes. Yahoo apporte l'envergure nécessaire pour aider le produit à réaliser ce que nous avions imaginé, tout en maintenant la conviction que connecter les gens à des sources fiables d'actualités et d'informations est plus important que jamais », a déclaré Kevin Systrom.

Le 03 avril 2024 à 06h53

Yahoo rachète l’application Artifact, spécialisée dans la curation d’actualités

Mode Incognito de Chrome : Google va supprimer les données collectées d’utilisateurs américains

Mode Incognito de Chrome : Google va supprimer les données collectées d’utilisateurs américains

Le 03 avril 2024 à 06h52

Google était sous le coup d’un recours collectif lancé en juin 2020 contre le mode Incognito de Chrome : les plaignants estimaient que l'entreprise trompait les internautes en faisant croire que ce mode permettait de ne pas être pisté par Google.

La multinationale a finalement accepté de détruire les données de plus de 136 millions d'Américains ayant utilisé ce mode, explique l'AFP. Dans un accord avec la partie adverse, Google s'est aussi engagé à reformuler « immédiatement » la notice qui s’affiche pour cette option, afin d’« informer les utilisateurs qu’il collecte des données de navigation privée » explique l'agence de presse. L'entreprise a déjà engagé la modification de son descriptif en ce sens en janvier dernier.

Alors que les plaignants demandaient un dédommagement de 5 milliards de dollars, Google a réussi à ce qu'aucune somme ne lui soit exigée dans l'accord. Celui-ci laisse la possibilité à chacun des plaignants de poursuivre individuellement l'entreprise pour obtenir un dédommagement financier.

Pour les avocats des plaignants, « le résultat est que Google collectera moins de données sur les sessions de navigation privée des utilisateurs et que Google gagnera moins d'argent avec ces données », cite Reuters.

De son côté, Google affirme : « nous sommes heureux de supprimer d'anciennes données techniques qui n'ont jamais été associées à une personne et n'ont jamais été utilisées pour une quelconque forme de personnalisation ».

L'accord doit encore être approuvé par la juge californienne Yvonne Gonzalez-Rogers en juillet prochain .

Le 03 avril 2024 à 06h52

Mode Incognito de Chrome : Google va supprimer les données collectées d’utilisateurs américains

Discord permet aux créateurs de diffuser de la publicité

Discord permet aux créateurs de diffuser de la publicité

Le 03 avril 2024 à 06h51

Le 03 avril 2024 à 06h51

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