#Le brief du 07 octobre 2022

Les Pixels 7 (Pro) sont officiels : Tensor G2, Titan M2, Android 13… à partir de 649 euros

Les Pixels 7 (Pro) sont officiels : Tensor G2, Titan M2, Android 13… à partir de 649 euros

Le 07 octobre 2022 à 04h58

Comme prévu, Google a lancé hier ses nouveaux smartphones Pixel 7 et 7 Pro, avec un processeur maison Google Tensor G2, Titan M2 pour la sécurité et Android 13 bien évidemment. C’est dans l’air du temps, le fabricant met en avant le fait que « l'aluminium du boîtier et de la barre d'appareil photo des Pixel 7 et Pixel 7 Pro est composé à 100 % de matériaux recyclés »… mais qu’en est-il de tout le reste ?

Le Pixel 7 dispose d’un écran de 6,3", contre 6,7" pour son grand frère le Pro. Le fabricant met comme toujours en avant les performances en photo ainsi que le zoom de ses smartphones. De nombreux détails sont donnés ici.

« Plus tard cette année, Google Pixel 7 et Google Pixel 7 Pro seront également équipés du VPN par Google One, sans frais supplémentaire ». Côté tarif,  le Pixel 7 est en précommande à partir de 649 euros, contre 899 euros pour le 7 Pro. La disponibilité est prévue pour le 13 octobre.

« Avec les offres de précommandes, bénéficiez des Google Pixel Buds Pro offerts pour l’achat d’un Google Pixel 7 et d’une Google Pixel Watch pour l’achat d’un Google Pixel 7 Pro », précise le fabricant. 

Le 07 octobre 2022 à 04h58

Les Pixels 7 (Pro) sont officiels : Tensor G2, Titan M2, Android 13… à partir de 649 euros

La Maison des Lanceurs d’Alerte déplore un décret d’application décevant

La Maison des Lanceurs d’Alerte déplore un décret d'application décevant

Le 07 octobre 2022 à 04h58

« Traitement des alertes : un décret décevant », titre la Maison des lanceurs d'alerte au sujet du nouveau décret venant préciser les modalités d’application de la loi visant à améliorer la protection des lanceurs d’alerte votée en février dernier :

« Il s’agit là d’une avancée significative et demandée de longue date notamment par la Maison des Lanceurs d’Alerte, mais le décret publié ce jour réduit significativement l’ambition initiale de la loi, du fait du nombre restreint d’autorités désignées et de la faiblesse des moyens associés à leur mission. »

Le décret liste en effet « les autorités externes vers lesquelles les lanceurs d’alerte peuvent se tourner pour signaler et faire cesser les faits répréhensibles dont ils sont témoins », mais « sur ce volet, le résultat n’est pas à la hauteur des enjeux » :

« En effet, certaines autorités aux prérogatives importantes, comme les agences régionales de santé (ARS) qui ont un pouvoir de tutelle sur les établissements sanitaires et médico-sociaux, n’intègrent pourtant pas la liste des autorités soumises à ces obligations de retour et de traitement, au bénéfice d’autorités aux pouvoirs davantage prescriptifs que coercitifs. Or, ces pouvoirs d’instruction et de sanction sont généralement les seuls remèdes pour faire cesser les dysfonctionnements dénoncés. »

La Maison des Lanceurs d’Alerte «regrette aussi l’absence d’autres autorités pertinentes, disposant d’une réelle expertise sur l’appréciation des risques », de la Haute Autorité pour la transparence dans la vie publique (HATVP) à la commission nationale de la Déontologie et des Alertes en matière de santé publique et d’environnement (cnDAspe) en passant par l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe).

Elle s'inquiète en outre de « l’efficacité des dispositifs de traitement dans un contexte où aucun moyen supplémentaire n’est accordé à ces autorités » : 

« L’effort va donc manifestement peser sur un nombre limité d’organisations aux moyens réduits. »

Le 07 octobre 2022 à 04h58

La Maison des Lanceurs d’Alerte déplore un décret d’application décevant

Konbini condamné dans la « procédure baillon » qu’elle avait intenté contre La Lettre A

Konbini condamné dans la « procédure baillon » qu'elle avait intenté contre La Lettre A

Le 07 octobre 2022 à 04h58

Alors que le tribunal de commerce vient de condamner Reflets.info à ne plus publier d'articles au sujet des documents mis en ligne par le gang de ransomware Hive au sujet d'Altice, Konbini vient de son côté d'être débouté, et condamné, dans une autre « procédure bâillon » intentée à l'encontre de La Lettre A, explique Libération. 

Le média d’ « infodivertissement » poursuivait en effet La Lettre A, qui se présente comme « le quotidien de l'influence et des pouvoirs », pour avoir dévoilé l’identité de l'un de ses principaux actionnaires, la famille Perrodo.

L'article incriminé, publié en mars 2019, la présentait comme « des milliardaires controversés qui ont fait fortune dans le pétrole », cachés « derrière des sociétés opaques » via « une mystérieuse holding luxembourgeoise » elle-même « détenue par trois sociétés immatriculées aux Bahamas » :

« Contactés, les discrets Perrodo, dont la fortune est estimée à 3,5 milliards € par le magazine Challenges, se refusent eux aussi à tout commentaire. Cette discrétion peut se comprendre : les activités du clan suscitent moult controverses, de leur utilisation des Bahamas pour détenir leurs actifs à leurs pratiques environnementales ou commerciales. »

Or, explique Libération, « la procédure bâillon s’est retournée contre lui », et Konbini a été condamné à 6 000 euros de dommages-intérêts « pour procédure abusive, après avoir été débouté d’une plainte pour diffamation » contre la Lettre A.

« Il sera rappelé […] l’importance, dans une société démocratique, de pouvoir investiguer, débattre et émettre des opinions critiques sur les questions relatives à la transparence et au pluralisme des médias, questions auxquelles la société Konbini, qui se présente comme un média d’information, devrait être particulièrement attachée », précise le jugement. 

Le 07 octobre 2022 à 04h58

Konbini condamné dans la « procédure baillon » qu’elle avait intenté contre La Lettre A

Le service Ubuntu Pro peut maintenant être utilisé gratuitement sur un maximum de cinq PC

Le service Ubuntu Pro peut maintenant être utilisé gratuitement sur un maximum de cinq PC

Le 07 octobre 2022 à 04h58

Le service Pro a été lancé (en bêta) l’année dernière pour offrir aux entreprises un complément de sécurité, incluant un support supplémentaire de dix ans pour environ 23 000 paquets sur chaque version LTS du système.

L’annonce concerne le grand public et les petites entreprises pour un maximum de cinq machines. Toutes les versions LTS sont concernées, de la 16.04 à la 22.04. Les versions intermédiaires pour .10 ne sont pas incluses.

Pour les personnes physiques ou morales intéressées, cela signifie la possibilité de rester jusqu’à dix ans sur la même version en profitant de l’ensemble des correctifs de sécurité pour les paquets concernés. Le service permet également de recevoir des outils dédiés de mise en conformité et de hardening, notamment pour les environnements régulièrement audités.

L’inscription à Ubuntu Pro passe par le site officiel. Dans le cas où vous auriez davantage de PC, l’abonnement coûte 25 dollars par an et par client, et 500 dollars par an et par serveur.

Pour relier une machine à Ubuntu Pro, il faut se rendre dans Logiciels et mises à jour, puis dans l’onglet Livepatch. Vous pourrez alors inscrire le jeton obtenu par le site. Notez que cela permet d’activer dans la foulée Livepatch, qui s’occupe d’appliquer des mises à jour système critiques sans nécessiter de redémarrer la machine.

Le 07 octobre 2022 à 04h58

Le service Ubuntu Pro peut maintenant être utilisé gratuitement sur un maximum de cinq PC

Spotify rachète Kinzen pour lutter contre les contenus nocifs

Spotify rachète Kinzen pour lutter contre les contenus nocifs

Le 07 octobre 2022 à 04h58

La société suédoise vient d’annoncer le rachat de Kinzen, entreprise spécialisée dans la lutte contre les contenus nocifs. Pour ceux qui suivaient de près la vie de Spotify, la nouvelle ne les surprendra pas, car les deux sociétés collaboraient déjà depuis plusieurs années pour cette même raison.

Selon Spotify, le rachat permettra d’exploiter au mieux la technologie de Kinzen et de « mieux tenir compte du contexte local ». Après tout, Spotify diffuse des contenus dans de nombreuses langues.

Selon Kinzen, sa technologie est capable d’analyser des centaines de langues et saurait comprendre les nuances, pour mieux mettre en évidence les contenus présentant une intention de nuire.

Le 07 octobre 2022 à 04h58

Spotify rachète Kinzen pour lutter contre les contenus nocifs

Twitter permet de mélanger les médias sur Android et iOS

Twitter permet de mélanger les médias sur Android et iOS

Le 07 octobre 2022 à 04h58

Une nouvelle capacité est en cours de déploiement sur les applications mobiles de Twitter sur Android et iOS. Traduction : il est maintenant possible de mélanger gif, photos et vidéos au sein d’un même tweet.

Pour commencer à mélanger les médias, il suffit d’appuyer sur l’icône Photo. Assurez-vous simplement d’avoir la dernière version de l’application. Si la fonction n’est pas là, il faudra simplement attendre un peu.

Pour l’instant, le réseau social n’a pas indiqué de date pour l’inclusion de cette nouveauté dans la version web.

Signalons au passage qu’une autre capacité est arrivée cette semaine, attendue depuis bien longtemps : l’édition des tweets. Comme prévu, elle est cependant réservée aux abonnés Blue et disponible uniquement dans quelques pays anglo-saxons : Canada, Australie, et Nouvelle-Zélande. Les États-Unis doivent la recevoir dans les jours qui viennent.

Le 07 octobre 2022 à 04h58

Twitter permet de mélanger les médias sur Android et iOS

Fermer