#Le brief du 11 avril 2022

Présidentielle : Emmanuel Macron et Marine Le Pen qualifiés pour le second tour

Présidentielle : Emmanuel Macron et Marine Le Pen qualifiés pour le second tour

Le 11 avril 2022 à 07h56

Emmanuel Macron et Marine Le Pen se sont qualifiés pour le second tour de la présidentielle. Le président sortant engrangerait 27,60 % des voix, contre 23,41 % pour la chef de file du RN. Ces résultats sont ceux du ministère de l’Intérieur. Ils ne sont pas encore finalisés puisque calculés sur une base de 97 % des électeurs inscrits. 

C’est seulement mercredi 13 avril que le Président du Conseil constitutionnel déclarera l’ensemble des résultats du premier tour pour établir ensuite la liste officielle des deux candidats du second tour. 

Le scénario opposera donc une nouvelle fois les deux chefs de file, comme en 2017, avec une abstention qui se hisse toutefois à 25,14 % contre 22,24 % voilà cinq ans. Pour son premier mandat, Emmanuel Macron avait obtenu 66,10 % des voix, contre 33,90 pour Marine Le Pen. 

Pour l’élection 2022, le report des voix va peser, alors que Jean-Luc Mélenchon a appelé, depuis son QG de campagne, à ne donner aucune voix à la candidate RN. Le candidat LFI est en troisième position, à 21,95 % selon les derniers chiffres. 

Relevons pour ce premier tour le score d’Anne Hidalgo (PS) qui n’enregistre que 1,74 % des voix, à cet instant. Moins que Nicolas Dupont-Aignan (2,07 %). Valérie Pécresse (LR) reste sous la barre des 5 %, rabotant ainsi la prise en charge de ses frais de campagne. L’épitaphe du PS et du groupe LR ? 

Les candidats qui ne dépassent pas le seuil des 5 % des suffrages exprimés voient le montant maximal des remboursements de frais de campagne réduits à 800 423 euros. Pour les autres, il est de 8 004 225 euros, et même 10 691 775 euros pour les deux qualifiés au second tour. 

Outre le second tour, les forces politiques savent qu’un autre rendez-vous crucial se dessine à brève échéance : les législatives, qui se dérouleront les 12 et 19 juin prochain, afin de désigner les 577 députés. 

Le 11 avril 2022 à 07h56

Présidentielle : Emmanuel Macron et Marine Le Pen qualifiés pour le second tour

Cookies : Google va insérer un bouton « tout rejeter »

Cookies : Google va insérer un bouton « tout rejeter »

Le 11 avril 2022 à 07h56

Selon le responsable de l’autorité de protection des données de Hambourg, Thomas Fuchs, Google aurait promis d’insérer progressivement un bouton « tout rejeter » dans ses bannières de cookies. 

Cette réforme concernerait toute l’UE, la Suisse et le Royaume-Uni, indique Euractiv. Google devrait également supprimer l’ensemble des cookies tiers d'ici à 2023. 

Cette décision ferait suite à un courrier de l’autorité qui « a écrit à Google la semaine dernière pour demander à l'entreprise de réviser sa politique relative aux bannières de cookies car elle ne respectait pas les exigences en matière de protection des données », assurent nos confrères. 

« Refuser les cookies doit être aussi simple qu'accepter » répète la CNIL en France à longueur de communiqués. En janvier dernier, l’autorité française avait sanctionné le géant américain d’une amende de 150 millions d’euros

Elle lui a reproché de ne proposer qu'une alternative à « Accepter » : « Personnaliser les cookies ».

Alors qu’une seule action était nécessaire pour accepter ces traceurs, l’utilisateur qui souhaite les refuser devait « effectuer au moins cinq actions (le premier clic sur le bouton "Personnaliser", puis un clic sur chacun des trois boutons pour sélectionner "Désactivé"- chaque bouton correspondant à la "personnalisation de la recherche", l’"historique YouTube" et la "personnalisation des annonces"- et enfin un clic sur "Confirmer") ».

Le 11 avril 2022 à 07h56

Cookies : Google va insérer un bouton « tout rejeter »

Eric Zemmour a envoyé un SMS « aux Français de confession juive » : la CNIL enquête

Eric Zemmour a envoyé un SMS « aux Français de confession juive » : la CNIL enquête

Le 11 avril 2022 à 07h56

Vendredi soir, alors qu'allait s'achever la campagne électorale, Eric Zemmour a envoyé à une dizaine de milliers de téléphones portables un SMS évoquant notamment l'antisémitisme des « racailles » qui « pourrissent la vie » des juifs.

Interrogé par BFMTV, un responsable de la campagne explique qu'il a été envoyé par un « “broker”, un courtier en données personnelles, qui achète des bases de données pour les agréger, puis les vendre ou les louer », qui n'a pas été nommé.

L'équipe de Zemmour lui avait demandé de cibler des personnes intéressées par « le sujet de l’antisémitisme en France et en Europe », qu'elle n'a pas utilisé de fichiers de « juifs », et qu'elle avait aussi précédemment écrit à des catholiques : 

« Elle précise avoir reçu l’assurance par son prestataire que les personnes visées avaient donné leur accord pour que leurs données soient partagées avec des tiers à des fins de communication politique, par exemple lors de la souscription à des newsletters associées selon les cas à une population catholique ou juive. »

Interrogée par BFMTV, la CNIL confirme avoir été alertée à ce sujet, et avoir ouvert une instruction.

« Toutes les personnes ayant reçu ce SMS doivent normalement avoir donné leur accord pour être contactées par l’équipe d’Eric Zemmour (par exemple par le biais d'un mail, NDLR) dans la mesure où il s'agit d'une finalité spécifique », explique Me Oriana Labruyère, avocate spécialisée dans le numérique et fondatrice du cabinet La Robe Numérique.

Le 11 avril 2022 à 07h56

Eric Zemmour a envoyé un SMS « aux Français de confession juive » : la CNIL enquête

Amazon France confronté à sa première vague de grèves et de perturbations

Amazon France confronté à sa première vague de grèves et de perturbations

Le 11 avril 2022 à 07h56

« A des degrés divers, les huit sites logistiques d'Amazon en France ont subi des perturbations » la semaine passée, dans le cadre des discussions salariales annuelles, rapporte La République du Centre. 

La CGT et la CFDT ont en effet dénombré « entre 1.200 et 1.300 grévistes parmi les quelque 15.000 salariés du groupe dans l'Hexagone (dont 12.400 CDI) ».

C'est la première fois que le groupe est confronté à une grève et à des débrayages dans l'ensemble de huit centres d'Amazon France Logistique, relève l'AFP.

L'intersyndicale (CGT, CAT, CFE-CGC, CFDT, Sud) réclame des « augmentations de salaires en adéquation avec au minimum l'inflation et digne de l'entreprise la plus riche du monde » : 

« Pour l'heure, Amazon propose une augmentation de 3% des salaires pour les trois premiers échelons (la proposition initiale était de 2%), la reconduction de la prime de fin d'année, l'augmentation de l'indemnité de départ à la retraite (mais l'entreprise a supprimé un guichet de départ qui était plus favorable), et de nouveaux avantages pour certains techniciens (IT, maintenance). Les syndicats demandent une augmentation générale de 5% minimum. »

Amazon avait annoncé en février le recrutement de 3 000 CDI, rétorque qu'au bout de 24 mois, un préparateur de commande était rémunéré 26 % au-dessus du SMIC, que ses salariés se voient attribuer une action gratuite par an (soit 3200 dollars au cours actuel), en sus d'une participation.

« Mais avec l'augmentation prévue du Smic au 1er mai, le salaire horaire d'embauche sera ramené à moins de 50 centimes de plus que le salaire minimum », note l'AFP.

Amazon précise que ce mouvement n’avait « pas d’impact sur l’activité quotidienne des sites et sur le service délivré aux clients d’Amazon ».

Aux États-Unis, Amazon conteste par ailleurs le vote ayant validé la création d'un tout premier syndicat dans l'un de ses entrepôts, rapporte l'AFP. L'agence rappelle que, bien qu'étant le second plus gros employeur du pays, il a investi des millions depuis sa création en 1994 pour empêcher ses employés de créer des syndicats. 

L’entreprise considère que le syndicat a « menacé des employés pour les forcer à voter oui », « fait campagne auprès des employés dans la file d’attente pour voter » ou les a « intimidés », et que ses militants « ont menacé des immigrants » en leur expliquant qu’ils perdraient « leurs avantages sociaux s’ils ne votaient pas en faveur du syndicat ».

Le 11 avril 2022 à 07h56

Amazon France confronté à sa première vague de grèves et de perturbations

Un émetteur pirate souffle la fréquence de France Inter en pleine soirée électorale

Un émetteur pirate souffle la fréquence de France Inter en pleine soirée électorale

Le 11 avril 2022 à 07h56

« L’antenne de France Inter temporairement piratée à Paris pendant la soirée électorale » indique Le Monde

Ce brouillage d’écoute a frappé le réseau FM de Paris-Est, lors des résultats du premier tour. Un « émetteur pirate a soufflé la fréquence de la station » indique la radio à l’AFP. Le programme de France Inter a été remplacé durant près d’une heure par un discours contre les politiques ou les journalistes. 

« Amis auditeurs de l’Est parisien, certains d’entre vous ont été perturbés dans l’écoute de notre soirée électorale. Nous en sommes absolument désolés et faisons tout pour comprendre ce qui s’est passé et éviter que cela se reproduise » a écrit Laurence Bloch, directrice de France Inter. Radio qui est également un opérateur d’importance vitale. 

Un statut qui oblige les OIV à communiquer à l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information « les informations relatives aux incidents affectant la sécurité ou le fonctionnement de leurs systèmes d'information d'importance vitale ». 

Le 11 avril 2022 à 07h56

Un émetteur pirate souffle la fréquence de France Inter en pleine soirée électorale

Copernicus : le satellite Sentinel -1C sera envoyé avec une fusée Vega-C début 2023

Copernicus : le satellite Sentinel -1C sera envoyé avec une fusée Vega-C début 2023

Le 11 avril 2022 à 07h56

Alors que le calendrier des lancements de plusieurs satellites sont dans l’expectative suite au retrait de Soyouz, l’Agence spatiale européenne annonce avoir « sécurisé » le lancement de Sentinel-1C et signé un contrat avec Arianespace.

La mission Copernicus est pour rappel un « programme d’observation de la Terre de l’Union européenne ». Elle comprend déjà le satellite Sentinel-1A en orbite depuis 2014. Il « a déjà dépassé sa durée de vie nominale de sept ans, mais il est toujours en marche et devrait être encore en service pendant plusieurs années ». 

Par contre, Sentinel-1B « est actuellement indisponible en raison d’une anomalie technique, il est donc important de mettre Sentinel-1C en orbite et opérationnel dès que possible », ajoute l’ESA.

Le satellite est en train de passer ses dernières vérifications, la qualification définitive est attendue pour la fin de cette année. Vega-C placera le satellite de 2,3 tonnes environ sur une orbite héliosynchrone, à une altitude de 690 km.

Le 11 avril 2022 à 07h56

Copernicus : le satellite Sentinel -1C sera envoyé avec une fusée Vega-C début 2023

À la découverte des « yeux d’or » du renseignement militaire français

À la découverte des « yeux d'or » du renseignement militaire français

Le 11 avril 2022 à 07h56

L'Express a pu visiter les bureaux du Centre de formation et d'interprétation interarmées de l'imagerie (CF3I), une unité de la Direction du renseignement militaire (DRM) installée sur la base aérienne 110 de Creil (Oise).

Son directeur veut en effet « faire connaître son service à l'heure du conflit ukrainien et au moment où la DRM connaît un vent de tempête inédit : son supérieur, le général Eric Vidaud a brutalement été évincé le 29 mars pour "manque de maîtrise des sujets" ».

On y apprend qu'y travailleraient 500 interprètes photos (IP), surnommés les « yeux d'or », chargés d'analyser les nombreuses photos satellites issues, notamment, de la composante spatiale optique (CSO) dont 2 engins (sur 3) ont été placés en orbite, ou encore des deux satellites Pléiades Neo à usage dual (civil et militaire) lancés en 2021 : 

« Pour multiplier ses sources, la France a noué des partenariats avec différents pays alliés. Soit directement – les Allemands (constellation SAR-Lupe) ou les Italiens (composante Cosmo-SkyMed) –, soit avec des organisations comme l'Otan et surtout l'Union européenne qui possède son propre centre satellitaire à Torrejon (Espagne). » 

L'apparition de satellites privés des entreprises du « New Space » comme Maxar Technologies, Planet ou Capella Space a démultiplié les sources, ainsi que la précision : « En termes de résolution, de précision et de qualité, les images ont progressé d'un facteur 10 en une décennie » : 

« Officieusement, en 2020, année relativement "calme", ses professionnels auraient regardé près de 900 000 objets, à savoir des signes visuels qui méritent une attention particulière (matériels, bâtiments, équipements, etc.). Ce travail minutieux s'est traduit par la production de 7 000 comptes rendus exhaustifs. Et en temps de guerre ou de crise, ils peuvent avoir à traiter quotidiennement des centaines d'images (de 800 à 1 300). »

Le 11 avril 2022 à 07h56

À la découverte des « yeux d’or » du renseignement militaire français

Du Pixel au Pixel 6, iFixit proposera des pièces détachées en partenariat avec Google

Du Pixel au Pixel 6, iFixit proposera des pièces détachées en partenariat avec Google

Le 11 avril 2022 à 07h56

Le partenariat entre les deux entités permettra de proposer aux clients des pièces individuellement ou en kits (avec les outils nécessaires) pour changer sa batterie, son écran, sa caméra, etc.

Nous n’avons pour le moment pas plus d’information, ni de tarif pour les pièces détachées. Seule précision : les clients des pays où les smartphones Pixels sont vendus pourront en profiter.

Le 11 avril 2022 à 07h56

Du Pixel au Pixel 6, iFixit proposera des pièces détachées en partenariat avec Google

Artemis I : la NASA prévoit de reprendre sa répétition générale demain

Artemis I : la NASA prévoit de reprendre sa répétition générale demain

Le 11 avril 2022 à 07h56

La semaine dernière, l’Agence spatiale américaine annonçait mettre en pause son « Wet Dress Rehearsal » de la mission Artemis I à cause d’une « perte de capacité à pressuriser le lanceur ».

Depuis, l’essai n’a toujours pas eu lieu, mais il devrait débuter à partir de demain, avec une procédure modifiée. La répétition générale devrait se dérouler en deux étapes : les communications le 12 avril et le remplissage des réservoirs le 14 avril. 

Il n’y a plus qu’à espérer que la NASA ne nous fasse pas une « Boeing » avec des retards à n’en plus finir pour la capsule Starliner censée concurrencer Crew Dragon de SpaceX.

Le 11 avril 2022 à 07h56

Artemis I : la NASA prévoit de reprendre sa répétition générale demain

SpaceX Ax-1 (Axiom) : lancement réussi pour la première mission habitée entièrement privée

SpaceX Ax-1 (Axiom) : lancement réussi pour la première mission habitée entièrement privée

Le 11 avril 2022 à 07h56

Le décollage a été effectué vendredi 8 avril, puis la capsule Crew Dragon est venue s'arrimer à la Station spatiale internationale. À bord, quatre civils : Michael López-Alegría, Eytan Stibbe, Larry Connor et Mark Pathy. Ils doivent rester sur place pendant une semaine.

Ils sont arrivés sur l’ISS le 9 avril, le tout sans encombre, mais avec un peu de retard : « L’amarrage de Dragon a été retardé d’environ 45 minutes le temps que les équipes de la station spatiale, y compris les contrôles de mission de la NASA et de SpaceX, travaillaient à résoudre un problème empêchant les membres de l’équipage de l’ISS de recevoir les vidéos de la caméra centrale de Dragon du port d’amarrage des modules Harmony ».

C’était le cinquième vol de Crew Dragon.

Le 11 avril 2022 à 07h56

SpaceX Ax-1 (Axiom) : lancement réussi pour la première mission habitée entièrement privée

Elon Musk a finalement « décidé de ne pas rejoindre » le conseil d’administration de Twitter

Elon Musk a finalement « décidé de ne pas rejoindre » le conseil d’administration de Twitter

Le 11 avril 2022 à 07h56

Il y a quelques jours, Elon Musk devenait le premier actionnaire du réseau social avec 9,2 % de la société. Dans la foulée, Parag Agrawal (CEO de Twitter) annonçait son entrée au conseil d’administration.

Il vient de publier un nouveau message indiquant finalement qu’Elon Musk « a décidé de ne pas rejoindre notre conseil d'administration ». Sa nomination « devait devenir officiellement effective le 9 avril, mais Elon a partagé le matin même qu'il ne rejoindrait pas le conseil d'administration […] J’espère que c'est pour le meilleur », ajoute-t-il… En guise de réponse, Elon Musk s’est contenté d’un smiley, qu'il a depuis supprimé, mais dont on retrouve la trace ici ou .

CNBC note que la participation d’Elon Musk dans Twitter ne pouvait pas dépasser 14,9 % s’il siégeait au conseil d’administration. Il a désormais le champ libre pour aller au-delà s’il le souhaite.

Le 11 avril 2022 à 07h56

Elon Musk a finalement « décidé de ne pas rejoindre » le conseil d’administration de Twitter

Ma thèse en 180 secondes : voici la liste des 16 finalistes

Ma thèse en 180 secondes : voici la liste des 16 finalistes

Le 11 avril 2022 à 07h56

Ils étaient 58 lauréats pour la demi-finale nationale à Paris, ils ne sont désormais plus que 16. La finale se déroulera 31 mai à Lyon.

Les noms des finalistes et leurs travaux de recherche sont détaillés sur cette page. Des liens permettent également de revoir leurs présentations.  

Le 11 avril 2022 à 07h56

Ma thèse en 180 secondes : voici la liste des 16 finalistes

Starlink en France : l’Arcep « se met en conformité », une consultation publique est lancée

Starlink en France : l’Arcep « se met en conformité », une consultation publique est lancée

Le 11 avril 2022 à 07h56

Suite à l'annulation par le Conseil d’État des autorisations de fréquences accordées à SpaceX, l’Arcep lance une consultation publique et s’explique au passage.

Le régulateur se justifie sur le fait de ne pas avoir eu recours à une consultation publique : « dans le cas de l’autorisation d’utilisation de fréquences délivrée à Starlink en 2021, l’Arcep a considéré qu’elle n’allait ni avoir une incidence importante sur le marché, ni affecter les intérêts des utilisateurs finals ».

Il ajoute que « la bande de fréquences considérée permet une cohabitation de multiples acteurs satellitaires, n’entraînant donc pas un phénomène de rareté des fréquences. De plus, il existait d’ores et déjà, au jour de l’autorisation, d’autres offres d’accès par Internet à très haut débit par voie satellitaire, dont les utilisateurs représentent quelques dizaines de milliers sur les plus de 17 millions d’abonnés au très haut débit en France ».

« Pour l’ensemble de ces raisons, l’Autorité avait considéré qu’il n’était pas nécessaire d’organiser une consultation publique au regard des critères du CPCE ». Le Conseil d’État en a décidé autrement.

Les retours sur la consultation publique sont possibles jusqu’au lundi 9 mai à 18 heures.

Le 11 avril 2022 à 07h56

Starlink en France : l’Arcep « se met en conformité », une consultation publique est lancée

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