#Le brief du 26 janvier 2024

Fin de mission pour l’hélicoptère Ingenuity sur Mars : « il n’est plus capable de voler »

Fin de mission pour l’hélicoptère Ingenuity sur Mars : « il n’est plus capable de voler »NASA/JPL-Caltech/ASU/MSSS

Le 26 janvier 2024 à 07h22

La NASA annonce la mauvaise nouvelle dans un billet de blog.

Ingenuity a dans tous les cas largement dépassé les espoirs de l’Agence spatiale américaine puisqu’il était sur la planète depuis trois ans, effectuant pas moins de 72 vols pour un total de plus de deux heures. Il était pour rappel prévu pour effectuer jusqu’à cinq vols d’essai, sur une période de 30 jours.

« Cet hélicoptère remarquable a volé plus haut et plus loin que nous ne l’aurions jamais imaginé et a aidé la NASA à faire ce que nous faisons de mieux : rendre l’impossible possible. Grâce à des missions comme Ingenuity, la NASA ouvre la voie à de futurs vols dans notre système solaire », affirme l’administrateur de la NASA, Bill Nelson.

Il y a quelques jours, l’Agence spatiale américaine avait perdu le contact avec Ingenuity. Au cours de la descente de son dernier voyage, « les communications entre l’hélicoptère et le rover ont été coupées prématurément, avant l’atterrissage ». Elles ont finalement rapidement été rétablies.

Le drone continue en effet d’échanger des informations avec le rover Perseverance (qui sert de relai avec la Terre), mais les dernières photos envoyées ne laissent plus de place à l’espoir : elles « indiquent qu'une ou plusieurs des pales du rotor ont subi des dommages lors de l'atterrissage et qu'il n'est plus capable de voler ».

Le 26 janvier 2024 à 07h22

Fin de mission pour l’hélicoptère Ingenuity sur Mars : « il n’est plus capable de voler »

L’UFC-Que Choisir « dénonce la surveillance commerciale en ligne »

L’UFC-Que Choisir « dénonce la surveillance commerciale en ligne »

Le 26 janvier 2024 à 07h05

Lors de tests, nos confrères expliquent « qu’en consultant à peine une dizaine de sites parmi les plus fréquentés en France, les données personnelles collectées sont partagées plus de 4 000 fois, avec plus de 1 000 tiers ». Dans le lot, « des fournisseurs de publicité en ligne et des courtiers en données ».

« Les droits des consommateurs de refuser la collecte et demander l’effacement de leurs données personnelles sont systématiquement bafoués », ajoute l’UFC-Que Choisir. Et même si un utilisateur souhaitait demander l’effacement de ses données, ce serait un véritable parcours du combattant de chercher et contacter les milliers de « partenaires » des sites qu’il a visités.

L’association « exige des sites internet et applications qui les collectent une véritable transparence sur l’utilisation qui en est faite, et, de garantir aux consommateurs un accès et un contrôle sur les données personnelles qu’ils ont transmis à des tiers ». L’étude complète est disponible par ici.

Il y a peu, une autre association dénonçait la quantité astronomique de données que des entreprises envoyaient à Facebook, jusqu’à 48 000 pour une seule personne.

Le 26 janvier 2024 à 07h05

L’UFC-Que Choisir « dénonce la surveillance commerciale en ligne »

Il y a 40 ans, Ronald Reagan donnait le coup d’envoi de la Station spatiale (internationale)

Il y a 40 ans, Ronald Reagan donnait le coup d’envoi de la Station spatiale (internationale)

Le 26 janvier 2024 à 06h56

Le projet d’une station spatiale fait son chemin dans les années 70 avec l’Union soviétique d’un côté et les États-Unis de l’autre. « C’est surtout à partir du milieu des années 1980 qu’un effort international se constitue. À la suite d’un discours du président américain Ronald Reagan en 1984, la National Aeronautics and Space Administration (NASA) décide de développer un projet de station spatiale dans un cadre international », explique l’université de Sherbrooke.

Ce discours a été prononcé le 25 janvier 1984, il y a tout juste 40 ans. L’année suivante, l’Agence spatiale européenne, le Japon et le Canada se joignent au projet. La Russie arrive en 1993, suite à une large réorganisation du projet de station spatiale international après l’explosion de la navette Challenger.

« La Station spatiale internationale (SSI) nait donc de la fusion du projet américain (nommé Freedom), soviétique (Mir 2) et du laboratoire européen Colombus. Ainsi, au début de la construction de la SSI, en 1998, 15 pays collaborent pour mener à terme le projet estimé à environ 150 milliards de dollars », ajoute l’université.

Les trois premiers résidents de l’ISS ont décollé le 31 octobre, puis sont arrivé et ont ouvert l’écoutille du module de service russe Zvezda le 2 novembre 2000. Depuis, des humains sont constamment à bord de la Station spatiale internationale.

Le 26 janvier 2024 à 06h56

Il y a 40 ans, Ronald Reagan donnait le coup d’envoi de la Station spatiale (internationale)

Amazon réclamera désormais aux policiers un mandat pour accéder aux images des caméras Ring

Amazon réclamera désormais aux policiers un mandat pour accéder aux images des caméras RingRing

Le 26 janvier 2024 à 06h44

Ring, la filiale d'Amazon spécialisée dans les caméras et sonnettes connectées, a annoncé qu'elle ne laisserait plus les services de police lui réclamer aussi facilement les enregistrements des caméras de surveillance des utilisateurs, revenant ainsi sur une pratique qui avait été critiquée par des groupes de défense des libertés civiles et certains élus, rapporte Bloomberg.

La semaine prochaine, l'entreprise désactivera son outil de demande d'assistance, a déclaré Eric Kuhn, qui dirige l'application Neighbors de Ring, sur son blog.

Les services de police et d'incendie pourront toujours utiliser l'application pour partager des conseils de sécurité utiles, des mises à jour et des événements communautaires. Mais ils ne pourront plus utiliser l'outil de demande d'assistance pour demander et recevoir des vidéos dans l'application.

Bloomberg précise qu'ils pourront cela dit toujours réclamer un mandat pour demander des images aux utilisateurs ou montrer à la société des preuves d'une situation d'urgence en cours.

Le 26 janvier 2024 à 06h44

Amazon réclamera désormais aux policiers un mandat pour accéder aux images des caméras Ring

Microsoft licencie 1 900 salariés de sa branche jeux vidéo

Microsoft licencie 1 900 salariés de sa branche jeux vidéo

Le 26 janvier 2024 à 06h40

L'entreprise de Redmond vient de décider de mettre à la porte 1 900 salariés de sa branche jeux vidéo dont une bonne partie travaillait à Activision Blizzard, expliquent The Verge et Bloomberg. Microsoft a finalisé le rachat de l'éditeur de Call of Duty il y a seulement trois mois, après deux ans et de multiples rebondissements.

Ce n'est pas uniquement l'équipe de la nouvelle acquisition de Microsoft qui est touchée puisque certains employés de Xbox et de ZeniMax font aussi partie de la charrette de licenciements qui représente 8 % de la branche jeux vidéo de la multinationale (composée de 22 000 salariés).

Mike Ybarra, CEO de Blizzard, a annoncé en parallèle son départ de l'entreprise. Sur Twitter, il s’adresse aux salariés touchés par cette vague de licenciement : « c'est une journée incroyablement difficile et mon énergie et mon soutien seront concentrés sur toutes les personnes extraordinaires qui ont été touchées – cela ne reflète en aucun cas votre travail extraordinaire ».

En novembre dernier, il se montrait pourtant confiant pour l'avenir de son studio après le rachat, parlant d'une nouvelle ère pour son entreprise. Le responsable design de Blizzard, Allen Adham, quitte aussi l'entreprise.

Conséquence directe de ces décisions, le projet de jeu de survie « Odyssey » de Blizzard est abandonné. Matt Booty, le président des studios et du contenu des jeux de Microsoft, explique que l'entreprise va « transférer une partie des personnes travaillant sur ce projet vers l'un des nombreux nouveaux projets prometteurs de Blizzard qui en sont aux premiers stades de développement » dans un message interne auquel The Verge a pu avoir accès.

Le 26 janvier 2024 à 06h40

Microsoft licencie 1 900 salariés de sa branche jeux vidéo

« Comme un air de jamais vu » : conférence Free le 30 janvier, pour la nouvelle Freebox (v9)

« Comme un air de jamais vu » : conférence Free le 30 janvier, pour la nouvelle Freebox (v9)

Le 25 janvier 2024 à 12h44

Cela fait des semaines que l’on attend la présentation de la nouvelle Freebox. L’opérateur annonce une conférence de presse le 30 janvier (un mardi, évidemment), à partir de 10 h. L’opérateur ne donne aucun détails. Une vidéo d’une vingtaine de secondes a été mise en ligne, mais on n’y apprend pas grand-chose. Une page dédiée a été mise en ligne.

Le FAI propose pour rappel trois offres pour le moment. La Freebox Révolutions à 44,99 euros par mois avec un engagement d’un an et un tarif réduit à 19,99 euros par mois pendant douze mois. La Freebox Pop à 39,99 euros par mois et la Freebox Delta à 49,99 euros par mois. Ces deux dernières sont sans engagement et avec une remise de 10 euros par mois la première année.

Le 25 janvier 2024 à 12h44

« Comme un air de jamais vu » : conférence Free le 30 janvier, pour la nouvelle Freebox (v9)

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