Windows 11 : Copilot+ PC débarquera sur AMD et Intel (x86) en novembre
Le 04 septembre à 08h18
2 min
Logiciel
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Depuis l’annonce des Copilot+ PC, Qualcomm profite d’une exclusivité qui n’a jamais vraiment été justifiée par Microsoft. L’éditeur avait confirmé que ce n’était dans tous les cas que temporaire et que les machines avec des CPU AMD et Intel pourraient en profiter d’ici à la fin de l’année.
Dans un billet de blog, Microsoft donne des précisions : il faudra attendre novembre pour les portables avec un CPU AMD Ryzen AI 300 ou un Intel Core Ultra 200V (qui viennent tout juste d’être annoncés), quand bien même les machines sont disponibles avant.
Lors de la conférence Intel d’hier, Pavan Davuluri (vice-president Microsoft, en charge de Windows et des appareils), avait annoncé « tous les modèles avec un processeur Intel Core Ultra 200V et la dernière version de Windows pourront recevoir les fonctionnalités Copilot+ PC via une mise à jour gratuite, à partir de novembre ».
Pour rappel, une machine doit avoir au moins un NPU de 40 TOPS pour les calculs liés à l’intelligence artificielle, 16 Go de mémoire vive et 250 Go de SSD pour prétendre à la certification Copilot+ PC. Ce sont des limitations imposées par Microsoft.
Le 04 septembre à 08h18
Commentaires (12)
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Abonnez-vousLe 04/09/2024 à 09h25
Le 04/09/2024 à 09h45
Le 04/09/2024 à 10h13
On peut dire ce qu'on veut seule les punitions supérieures aux bénéfices attendu sont capable de leur inculquer un peu d'éthique, ces sociétés ne connaissent que la trique.
Le 04/09/2024 à 10h16
Modifié le 05/09/2024 à 10h26
les sociétés n'ont pas le droit de pomper nos données sans l'avoir explicitement demandé ou qu'elle doivent les effacer si nous le demandons (je sais c'est déjà le cas mais en fait avec eux non puisqu'il s'autorisent à pomper le web à la source sans se soucier de la provenance ).
Et tiens une chose encore plus horrible pour nos libertés, le fait que nous ayons le droit de désinstaller cette application parce qu'on n'en veut pas.
Le 05/09/2024 à 13h00
Le 06/09/2024 à 10h27
Donc la renforcer la rendre plus proactive et augmenter les sanctions jusqu'à ce qu'ils cessent de se foutre de nous.
Les toucher au seul endroit sensible de ces gens leur portefeuille parce que faire appel à leur sens de l'éthique ou à leur morale est totalement inutile ils ne connaissent visiblement pas le sens de ces mots et n'en ont même jamais entendu parler.
Modifié le 04/09/2024 à 10h10
Je vois déjà au bureau qu'on joue plus avec chatGPT, on s'en sert. Et c'est réellement un gain de temps incroyable sur certains trucs.
J'ai un prestataire aussi qui fait ses comptes rendus de réunions/ateliers via une IA qui s'invite dans la réunion Teams. C'est pas toujours sans retravail, mais ça fait gagner vachement de temps pour le rédiger et ça sait plutôt bien trier ce qui est utile ou non (bon sauf quand j'ai demandé comment s'étaient passées ses vacances...).
Même pour un développement un peu basique, il peut te faire le code tout seul à partir d'une explication de la problématique, puis tu prends le code, tu testes et tu lui fais rectifier ce qui te conviens pas (les bugs, le fonctionnel, etc.). Pour l'avoir essayé sur un sujet au delà de mes compétences, ça m'a livré exactement ce qu'il me fallait, et je me sers du truc plusieurs fois par semaine pour remplacer une tâche rébarbative. J'imagine que quand ça sera intégré aux IDE pour analyser/diagnostiquer/optimiser, le gain de temps sera incroyable...
Bref, je ne crois absolument pas à une bulle. Le médical, l'ingénierie, le tertiaire, le lambda qui veut éditer sa photo... Il y a trop de secteurs d'activité, trop de typologies d'utilisateurs concernés pour que ça se casse la gueule. L'appropriation est extrêmement rapide bien au delà de la seule curiosité de la nouveauté.
Après on va revenir sur la suprématie, la véracité & co, mais ça n'empêchera pas que nos usages de l'IA devraient rester assez conséquents.
Le 04/09/2024 à 14h02
Par contre c’est clairement du buzz en ce moment et je pense que ce sera passager.
Les investissements des gafam sont très supérieurs aux retombées économiques qu’il pourrait y avoir avec ce type d’outils.
Le plus gros défaut sont les erreurs, si on part du postulat qu’on peut faire quelque chose avec un algo classique ou de « l’ia »alors il faudra mieux le faire avec un algo classique, même si c’est pas flatteur d’un point de vue marketing.
Le 04/09/2024 à 10h00
Le 04/09/2024 à 12h02
Le 04/09/2024 à 13h24