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Un nouveau fonds French Tech Seed de 400 millions d’euros

Un nouveau fonds French Tech Seed de 400 millions d'euros

Le 22 juin 2018 à 09h33

Dans un discours hier à Metz, le premier ministre Édouard Philippe a annoncé le lancement d'un nouveau fonds de pré-amorçage (PDF), pour que Bpifrance investisse (encore) dans des jeunes pousses aux côtés d'acteurs privés. L'argent provient, sans grande surprise, du Programme d'investissement d'avenir.

« Y  investir  durant cette  phase cruciale de pré-amorçage que je décrivais, qui se situe très en amont et où le risque est élevé. Grâce à ce fonds, la France se dote enfin d’un outil capable de financer le « pré-amorçage » à grande échelle » claironne le chef de l'exécutif.

La nouvelle pourrait encore inquiéter la Cour des comptes, qui jugeait que l'activisme de Bpifrance pouvait brider d'autres investisseurs publics et privés.

Le 22 juin 2018 à 09h33

Commentaires (14)

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Pour planter la ptite graine ^^

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Germinal façon Tatcher: des cadeaux aux patrons <img data-src=" />

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Moi qui croyait qu’il n’y avait plus d’argent dans les caisses… D’autant plus que c’est de l’argent jeté par les fenêtres, car soit les “jeunes” pousses” ne grandissent pas, soit elles grandissent et se barrent l’étranger et/ou se font racheter !



&nbsp;Dans les deux cas, je ne vois pas ce qu’on y gagne… “Ces startups nous coûtent un pognon de dingue ! ” <img data-src=" />

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Heu c’est pas que je sois pour ou contre mais c’est pas le rôle des banques d’aider les jeunes pousses ou les entrepreneur ?

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Les banques traditionnelles n’ont pas à prendre de risques forts avec l’argent de leurs clients. C’est plutôt le terrain de jeu des “capital-risqueurs”.



BPIFrance n’est pas une banque contrairement à ce que son nom pourrait laisser croire.

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Financé par la seconde baisse des APL. <img data-src=" />

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Jarodd a écrit :



Moi qui croyait qu’il n’y avait plus d’argent dans les caisses… D’autant plus que c’est de l’argent jeté par les fenêtres, car soit les “jeunes” pousses” ne grandissent pas, soit elles grandissent et se barrent l’étranger et/ou se font racheter !



 Dans les deux cas, je ne vois pas ce qu’on y gagne… “Ces startups nous coûtent un pognon de dingue ! ” <img data-src=" />







Figure toi que pour ma part, je vois du concret.

Sur Lille, il y a Euratechnologies qui est le premier accélérateur français de startups. Environ 200 entreprises allant des grosses SSII (IBM, Cap Gemini) à de nombreuses plus petites. Parmi les petites entreprises, on retrouve beaucoup qui s’adressent au secteur du retail ou de la finance (qui sont tous deux pas mal représentés dans le Nord) avec par exemple des solutions de gestion commerciales, dématérialisation, gestion de supply chain, etc. Egalement beaucoup de petites entreprises orientées services Web, mobilité, Internet des Trucs, gestion de ressources, etc.



Et le quartier se développe à mort avec des nouveaux bâtiments qui poussent comme des champignons et une demande croissante. Faut dire que quand on est dans un secteur qui a une très forte demande de main d’oeuvre (environ 5000 postes à pouvoir dans la région), ça aide beaucoup à se développer.



Donc pour ma part, de ma fenêtre (littéralement vu que je suis à côté), je ne constate pas que c’est vain tout ça. <img data-src=" />


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fred42 a écrit :



Les banques traditionnelles n’ont pas à prendre de risques forts avec l’argent de leurs clients. C’est plutôt le terrain de jeu des “capital-risqueurs”.





Est-ce à l’Etat de prendre ces risques ?


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Pourquoi as-tu besoin de moi pour te faire ton avis ?

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Pourquoi penses-tu que je me fais ton avis par rapport au tien, juste parce que je te pose une question ?

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Parce que ta question n’a pas de lien logique avec mon message qui répondait uniquement à l’idée trop répandue que c’est aux banques de prendre des risques en prêtant.

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C’est pour cela que je te demandais si pour toi, c’était mieux que ce soit l’Etat qui prête cet argent.

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Dans le sujet qui nous intéresse ici, il s’agit d’investissement et pas de prêt. L’État devient donc copropriétaire de la société.

Cela ne supprime pas le risque mais améliore la rentabilité en cas de succès.



De plus, on ne parle que de 400 000 € ce qui est négligeable à l’échelle du budget de la France.



De plus, il s’agit de petites “pépites” qui demandent trop peu de fonds pour intéresser le capital-risque.



Tu aurais su tout cela en lisant le PDF en lien

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