Starliner encore repoussée, une fuite d’hélium détectée

Après plusieurs années de retard, on pourrait se dire qu’on n’est plus à quelques jours près. La capsule habitable Starliner de Boeing qui doit concurrencer Crew Dragon de SpaceX n’a toujours pas décollé. Le lancement est entaché de plusieurs problèmes depuis des années.

C’était au début une vanne sur l’étage supérieur du lanceur (Atlas V), qui a été réparée et testée. Mais dans la foulée, une petite fuite d’hélium a été détectée dans le module de service de la capsule. « L’hélium est utilisé dans les systèmes de propulseurs des engins spatiaux pour permettre aux propulseurs de s’allumer et n’est ni combustible ni toxique », précise Boeing.

« Les équipes visent maintenant une date de lancement au plus tôt à 22h43 le mardi 21 mai, pour effectuer des tests supplémentaires ». Atlas V et Starliner restent pour l’instant en place (à la verticale) dans le lancement spatial-41. Les astronautes sont pour le moment retournés avec leur famille à Houston, ajoute la NASA.

Boeing est actuellement confronté à une série noire avec ses avions, avec une multiplication des incidents. Les retards et les problèmes à répétition de Starliner viennent s’ajouter, sans oublier Elon Musk qui en profite pour tacler allègrement le retard de son concurrent.

Commentaires (14)


Ils font un concours avec Ariane 6 pour savoir qui cumulera le plus de retard ? :D
Décidément, depuis que Boeing a décidé de "créer de la valeur pour ses actionnaires" à tout prix, tout part à vau l'eau... #QuelleSurprise

Pour ceux qui ont accès à Mediapart, Martine Orange a fait une synthèse édifiante de ce qui a conduit à cet état désastreux aujourd'hui : Article Boeing

PS : le lien parle surtout de Boeing avionneur, mais il y a quelques références à Boeing Defence et Space.
Modifié le 15/05/2024 à 17h20

Historique des modifications :

Posté le 15/05/2024 à 17h18


Décidément, depuis que Boeing a décidé de "créer de la valeur pour ses actionnaires" à tout prix, tout part à vau l'eau... #QuelleSurprise

Pour ceux qui ont accès à Mediapart, Martine Orange a fait une synthèse édifiante de ce qui a conduit à cet état désastreux aujourd'hui : Article Boeing

L’histoire se répète… Voir General Electric dans les années 80-90 quand un « obscur gars de la comptabilité - finance » , Jack Welch a été nommé CEO de la boite à 46 ans (plus jeune CEO de la boite fondée en 1892). En 20 ans, il a réussi à multiplier la valeur de l’action GE par x80...

Mais il a aussi été surnommé “Neutron Jack” au passage...

Pourquoi ? GE était présent dans beaucoup de domaines industriels et la politique de Welch a été de dire:

« Si on n’est pas dans les 3ers, on se casse ! »

Donc des milliers d’employés, dont beaucoup d’ingénieurs se sont fait virés illico presto, laissant derrière des buildings GE entièrement vides… Comme une bombe à neutrons, jamais utilisée encore.

(en aparté, Bombe à neutrons: bombe nucléaire mais qui est en fait une passoire à neutrons contrairement à une bombe nucléaire classique - où les neutrons rebondissent à l'intérieur comme dans un billard créant au final un souffle destructeur gigantesque et des températures de millions de degrés, cf films Terminator - mais pas ici, la plupart des neutrons, ben ils sont déjà partis... loin. Ici les neutrons vont exploser l'ADN des cellules des êtres vivants aux alentours mais très peu d'effet sur le béton par exemple, donc ne vont pas détruire les infrastructures existantes (tout bénef pour l’ennemi qui va gagner... désolé si trop long :D)

Au passage, pour les départements encore « vivants », il a aussi divisé tous les budgets R&D par x2 ou x3.

A la fin de sa vie (mort en 2020), il a reconnu qu’avoir voulu créer de la valeur à tout prix rapidement pour l’actionnaire était en fait une grave erreur managériale et un non-sens sur le long terme… Les milliers de cadres virés à l'époque auront surement apprécié ses remords sur son lit de mort...

N'empêche que dans les années 90-2000, il était considéré comme une star à Wall Street ainsi que dans... les écoles de commerce...

Psfff....:cartonrouge:
Modifié le 16/05/2024 à 10h01

Historique des modifications :

Posté le 16/05/2024 à 09h22


L’histoire se répète… Voir General Electric dans les années 80-90 quand un « obscur gars de la comptabilité - finance » , Jack Welch a été nommé CEO de la boite à 46 ans (plus jeune CEO de la boite fondée en 1892). En 20 ans, il a réussi à multiplier l’action GE par x80.

Mais il a aussi été surnommé “Neutron Jack”.
Pourquoi ? GE était présent dans beaucoup de domaines industriels et sa politique c’était : « Si on est n’est pas dans les 3ers, on se casse ! » Donc des milliers d’employés, dont beaucoup d’ingénieurs se sont fait virés illico presto, laissant derrière des buildings GE entièrement vides… Comme une bombe à neutrons (jamais utilisée encore), qui va tuer les êtres vivants (bombardement de neutrons sur l’ADN) mais ne va pas détruire les infrastructures (tout bénef pour l’ennemi qui va gagner).

Au passage, pour les départements encore « vivants », il a aussi divisé tous les budgets R&D par x2 ou x3.

La fin de sa vie (mort en 2020), il a reconnu qu’avoir voulu créer de la valeur à tout prix rapidement pour l’actionnaire était en fait une grave erreur managériale et un non-sens sur le long terme…

Posté le 16/05/2024 à 09h25


L’histoire se répète… Voir General Electric dans les années 80-90 quand un « obscur gars de la comptabilité - finance » , Jack Welch a été nommé CEO de la boite à 46 ans (plus jeune CEO de la boite fondée en 1892). En 20 ans, il a réussi à multiplier l’action GE par x80..
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Mais il a aussi été surnommé “Neutron Jack”.

Pourquoi ? GE était présent dans beaucoup de domaines industriels et la politique de Welch a été de dire:

« Si on est n’est pas dans les 3ers, on se casse ! »

Donc des milliers d’employés, dont beaucoup d’ingénieurs se sont fait virés illico presto, laissant derrière des buildings GE entièrement vides… Comme une bombe à neutrons (jamais utilisée encore), qui va tuer les êtres vivants (bombardement de neutrons sur l’ADN) mais ne va pas détruire les infrastructures (tout bénef pour l’ennemi qui va gagner).

Au passage, pour les départements encore « vivants », il a aussi divisé tous les budgets R&D par x2 ou x3.

La fin de sa vie (mort en 2020), il a reconnu qu’avoir voulu créer de la valeur à tout prix rapidement pour l’actionnaire était en fait une grave erreur managériale et un non-sens sur le long terme…

Posté le 16/05/2024 à 09h26


L’histoire se répète… Voir General Electric dans les années 80-90 quand un « obscur gars de la comptabilité - finance » , Jack Welch a été nommé CEO de la boite à 46 ans (plus jeune CEO de la boite fondée en 1892). En 20 ans, il a réussi à multiplier l’action GE par x80..

Mais il a aussi été surnommé “Neutron Jack”.

Pourquoi ? GE était présent dans beaucoup de domaines industriels et la politique de Welch a été de dire:

« Si on est n’est pas dans les 3ers, on se casse ! »

Donc des milliers d’employés, dont beaucoup d’ingénieurs se sont fait virés illico presto, laissant derrière des buildings GE entièrement vides… Comme une bombe à neutrons (jamais utilisée encore), qui va tuer les êtres vivants (bombardement de neutrons sur l’ADN) mais ne va pas détruire les infrastructures (tout bénef pour l’ennemi qui va gagner).

Au passage, pour les départements encore « vivants », il a aussi divisé tous les budgets R&D par x2 ou x3.

La fin de sa vie (mort en 2020), il a reconnu qu’avoir voulu créer de la valeur à tout prix rapidement pour l’actionnaire était en fait une grave erreur managériale et un non-sens sur le long terme…

Posté le 16/05/2024 à 09h26


L’histoire se répète… Voir General Electric dans les années 80-90 quand un « obscur gars de la comptabilité - finance » , Jack Welch a été nommé CEO de la boite à 46 ans (plus jeune CEO de la boite fondée en 1892). En 20 ans, il a réussi à multiplier l’action GE par x80..

Mais il a aussi été surnommé “Neutron Jack”.

Pourquoi ? GE était présent dans beaucoup de domaines industriels et la politique de Welch a été de dire:

« Si on est n’est pas dans les 3ers, on se casse ! »

Donc des milliers d’employés, dont beaucoup d’ingénieurs se sont fait virés illico presto, laissant derrière des buildings GE entièrement vides… Comme une bombe à neutrons (jamais utilisée encore), qui va tuer les êtres vivants (bombardement de neutrons sur l’ADN) mais ne va pas détruire les infrastructures (tout bénef pour l’ennemi qui va gagner).

Au passage, pour les départements encore « vivants », il a aussi divisé tous les budgets R&D par x2 ou x3.

La fin de sa vie (mort en 2020), il a reconnu qu’avoir voulu créer de la valeur à tout prix rapidement pour l’actionnaire était en fait une grave erreur managériale et un non-sens sur le long terme…

Posté le 16/05/2024 à 09h30


L’histoire se répète… Voir General Electric dans les années 80-90 quand un « obscur gars de la comptabilité - finance » , Jack Welch a été nommé CEO de la boite à 46 ans (plus jeune CEO de la boite fondée en 1892). En 20 ans, il a réussi à multiplier l’action GE par x80..

Mais il a aussi été surnommé “Neutron Jack”.

Pourquoi ? GE était présent dans beaucoup de domaines industriels et la politique de Welch a été de dire:

« Si on est n’est pas dans les 3ers, on se casse ! »

Donc des milliers d’employés, dont beaucoup d’ingénieurs se sont fait virés illico presto, laissant derrière des buildings GE entièrement vides… Comme une bombe à neutrons (jamais utilisée encore), qui va tuer les êtres vivants (bombardement de neutrons sur l’ADN) mais ne va pas détruire les infrastructures (tout bénef pour l’ennemi qui va gagner).

Au passage, pour les départements encore « vivants », il a aussi divisé tous les budgets R&D par x2 ou x3.

La fin de sa vie (mort en 2020), il a reconnu qu’avoir voulu créer de la valeur à tout prix rapidement pour l’actionnaire était en fait une grave erreur managériale et un non-sens sur le long terme… Les milliers de cadres virés à l'époque auront surement apprécié ses remords sur son lit de mort...

N'empêche que dans les années 90-2000, il était considéré comme une star à Wall Street ainsi que dans... les écoles de commerce...

Psfff....:cartonrouge:

Posté le 16/05/2024 à 09h32


L’histoire se répète… Voir General Electric dans les années 80-90 quand un « obscur gars de la comptabilité - finance » , Jack Welch a été nommé CEO de la boite à 46 ans (plus jeune CEO de la boite fondée en 1892). En 20 ans, il a réussi à multiplier l’action GE par x80..

Mais il a aussi été surnommé “Neutron Jack”.

Pourquoi ? GE était présent dans beaucoup de domaines industriels et la politique de Welch a été de dire:

« Si on est n’est pas dans les 3ers, on se casse ! »

Donc des milliers d’employés, dont beaucoup d’ingénieurs se sont fait virés illico presto, laissant derrière des buildings GE entièrement vides… Comme une bombe à neutrons (jamais utilisée encore), qui va tuer les êtres vivants (bombardement de neutrons sur l’ADN) mais ne va pas détruire les infrastructures (tout bénef pour l’ennemi qui va gagner).

Au passage, pour les départements encore « vivants », il a aussi divisé tous les budgets R&D par x2 ou x3.

A la fin de sa vie (mort en 2020), il a reconnu qu’avoir voulu créer de la valeur à tout prix rapidement pour l’actionnaire était en fait une grave erreur managériale et un non-sens sur le long terme… Les milliers de cadres virés à l'époque auront surement apprécié ses remords sur son lit de mort...

N'empêche que dans les années 90-2000, il était considéré comme une star à Wall Street ainsi que dans... les écoles de commerce...

Psfff....:cartonrouge:

Posté le 16/05/2024 à 09h41


L’histoire se répète… Voir General Electric dans les années 80-90 quand un « obscur gars de la comptabilité - finance » , Jack Welch a été nommé CEO de la boite à 46 ans (plus jeune CEO de la boite fondée en 1892). En 20 ans, il a réussi à multiplier l’action GE par x80..

Mais il a aussi été surnommé “Neutron Jack”.

Pourquoi ? GE était présent dans beaucoup de domaines industriels et la politique de Welch a été de dire:

« Si on est n’est pas dans les 3ers, on se casse ! »

Donc des milliers d’employés, dont beaucoup d’ingénieurs se sont fait virés illico presto, laissant derrière des buildings GE entièrement vides… Comme une bombe à neutrons, jamais utilisée encore.

(en aparté, Bombe à neutrons: bombe nucléaire mais qui est une passoire à neutrons contrairement à une bombe nucléaire classique - où les neutrons rebondissent à l'intérieur comme dans un billard créant un souffle gigantesque et des températures de millions de dégrées. Ici les neutrons vont bombarder l'ADN des cellules des êtres vivants mais ne va pas détruire les infrastructures (tout bénef pour l’ennemi qui va gagner. Bref, désolé)

Au passage, pour les départements encore « vivants », il a aussi divisé tous les budgets R&D par x2 ou x3.

A la fin de sa vie (mort en 2020), il a reconnu qu’avoir voulu créer de la valeur à tout prix rapidement pour l’actionnaire était en fait une grave erreur managériale et un non-sens sur le long terme… Les milliers de cadres virés à l'époque auront surement apprécié ses remords sur son lit de mort...

N'empêche que dans les années 90-2000, il était considéré comme une star à Wall Street ainsi que dans... les écoles de commerce...

Psfff....:cartonrouge:

Posté le 16/05/2024 à 09h42


L’histoire se répète… Voir General Electric dans les années 80-90 quand un « obscur gars de la comptabilité - finance » , Jack Welch a été nommé CEO de la boite à 46 ans (plus jeune CEO de la boite fondée en 1892). En 20 ans, il a réussi à multiplier l’action GE par x80..

Mais il a aussi été surnommé “Neutron Jack”.

Pourquoi ? GE était présent dans beaucoup de domaines industriels et la politique de Welch a été de dire:

« Si on est n’est pas dans les 3ers, on se casse ! »

Donc des milliers d’employés, dont beaucoup d’ingénieurs se sont fait virés illico presto, laissant derrière des buildings GE entièrement vides… Comme une bombe à neutrons, jamais utilisée encore.

(en aparté, Bombe à neutrons: bombe nucléaire mais qui est une passoire à neutrons contrairement à une bombe nucléaire classique - où les neutrons rebondissent à l'intérieur comme dans un billard créant un souffle gigantesque et des températures de millions de dégrées mais ici, ils sont déjà partis. Ici les neutrons vont bombarder l'ADN des cellules des êtres vivants mais ne va pas détruire les infrastructures (tout bénef pour l’ennemi qui va gagner. Bref, désolé)

Au passage, pour les départements encore « vivants », il a aussi divisé tous les budgets R&D par x2 ou x3.

A la fin de sa vie (mort en 2020), il a reconnu qu’avoir voulu créer de la valeur à tout prix rapidement pour l’actionnaire était en fait une grave erreur managériale et un non-sens sur le long terme… Les milliers de cadres virés à l'époque auront surement apprécié ses remords sur son lit de mort...

N'empêche que dans les années 90-2000, il était considéré comme une star à Wall Street ainsi que dans... les écoles de commerce...

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Posté le 16/05/2024 à 09h42


L’histoire se répète… Voir General Electric dans les années 80-90 quand un « obscur gars de la comptabilité - finance » , Jack Welch a été nommé CEO de la boite à 46 ans (plus jeune CEO de la boite fondée en 1892). En 20 ans, il a réussi à multiplier l’action GE par x80..

Mais il a aussi été surnommé “Neutron Jack”.

Pourquoi ? GE était présent dans beaucoup de domaines industriels et la politique de Welch a été de dire:

« Si on est n’est pas dans les 3ers, on se casse ! »

Donc des milliers d’employés, dont beaucoup d’ingénieurs se sont fait virés illico presto, laissant derrière des buildings GE entièrement vides… Comme une bombe à neutrons, jamais utilisée encore.

(en aparté, Bombe à neutrons: bombe nucléaire mais qui est une passoire à neutrons contrairement à une bombe nucléaire classique - où les neutrons rebondissent à l'intérieur comme dans un billard créant un souffle gigantesque et des températures de millions de degrées mais pas ici, ils sont déjà partis. Ici les neutrons vont bombarder l'ADN des cellules des êtres vivants mais ne va pas détruire les infrastructures (tout bénef pour l’ennemi qui va gagner. Bref, désolé)

Au passage, pour les départements encore « vivants », il a aussi divisé tous les budgets R&D par x2 ou x3.

A la fin de sa vie (mort en 2020), il a reconnu qu’avoir voulu créer de la valeur à tout prix rapidement pour l’actionnaire était en fait une grave erreur managériale et un non-sens sur le long terme… Les milliers de cadres virés à l'époque auront surement apprécié ses remords sur son lit de mort...

N'empêche que dans les années 90-2000, il était considéré comme une star à Wall Street ainsi que dans... les écoles de commerce...

Psfff....:cartonrouge:

Posté le 16/05/2024 à 09h43


L’histoire se répète… Voir General Electric dans les années 80-90 quand un « obscur gars de la comptabilité - finance » , Jack Welch a été nommé CEO de la boite à 46 ans (plus jeune CEO de la boite fondée en 1892). En 20 ans, il a réussi à multiplier l’action GE par x80..

Mais il a aussi été surnommé “Neutron Jack”.

Pourquoi ? GE était présent dans beaucoup de domaines industriels et la politique de Welch a été de dire:

« Si on est n’est pas dans les 3ers, on se casse ! »

Donc des milliers d’employés, dont beaucoup d’ingénieurs se sont fait virés illico presto, laissant derrière des buildings GE entièrement vides… Comme une bombe à neutrons, jamais utilisée encore.

(en aparté, Bombe à neutrons: bombe nucléaire mais qui est une passoire à neutrons contrairement à une bombe nucléaire classique - où les neutrons rebondissent à l'intérieur comme dans un billard créant un souffle gigantesque et des températures de millions de degrées - mais pas ici, ils sont déjà partis. Ici les neutrons vont bombarder l'ADN des cellules des êtres vivants mais ne va pas détruire les infrastructures (tout bénef pour l’ennemi qui va gagner. Bref, désolé)

Au passage, pour les départements encore « vivants », il a aussi divisé tous les budgets R&D par x2 ou x3.

A la fin de sa vie (mort en 2020), il a reconnu qu’avoir voulu créer de la valeur à tout prix rapidement pour l’actionnaire était en fait une grave erreur managériale et un non-sens sur le long terme… Les milliers de cadres virés à l'époque auront surement apprécié ses remords sur son lit de mort...

N'empêche que dans les années 90-2000, il était considéré comme une star à Wall Street ainsi que dans... les écoles de commerce...

Psfff....:cartonrouge:

Posté le 16/05/2024 à 09h44


L’histoire se répète… Voir General Electric dans les années 80-90 quand un « obscur gars de la comptabilité - finance » , Jack Welch a été nommé CEO de la boite à 46 ans (plus jeune CEO de la boite fondée en 1892). En 20 ans, il a réussi à multiplier l’action GE par x80..

Mais il a aussi été surnommé “Neutron Jack”.

Pourquoi ? GE était présent dans beaucoup de domaines industriels et la politique de Welch a été de dire:

« Si on est n’est pas dans les 3ers, on se casse ! »

Donc des milliers d’employés, dont beaucoup d’ingénieurs se sont fait virés illico presto, laissant derrière des buildings GE entièrement vides… Comme une bombe à neutrons, jamais utilisée encore.

(en aparté, Bombe à neutrons: bombe nucléaire mais qui est une passoire à neutrons contrairement à une bombe nucléaire classique - où les neutrons rebondissent à l'intérieur comme dans un billard créant un souffle gigantesque et des températures de millions de degrées - mais pas ici, ils sont déjà partis. Ici les neutrons vont bombarder l'ADN des cellules des êtres vivants mais ne va pas détruire les infrastructures (tout bénef pour l’ennemi qui va gagner. Bref, désolé si trop long :D)

Au passage, pour les départements encore « vivants », il a aussi divisé tous les budgets R&D par x2 ou x3.

A la fin de sa vie (mort en 2020), il a reconnu qu’avoir voulu créer de la valeur à tout prix rapidement pour l’actionnaire était en fait une grave erreur managériale et un non-sens sur le long terme… Les milliers de cadres virés à l'époque auront surement apprécié ses remords sur son lit de mort...

N'empêche que dans les années 90-2000, il était considéré comme une star à Wall Street ainsi que dans... les écoles de commerce...

Psfff....:cartonrouge:

Posté le 16/05/2024 à 09h46


L’histoire se répète… Voir General Electric dans les années 80-90 quand un « obscur gars de la comptabilité - finance » , Jack Welch a été nommé CEO de la boite à 46 ans (plus jeune CEO de la boite fondée en 1892). En 20 ans, il a réussi à multiplier l’action GE par x80..

Mais il a aussi été surnommé “Neutron Jack”.

Pourquoi ? GE était présent dans beaucoup de domaines industriels et la politique de Welch a été de dire:

« Si on n’est pas dans les 3ers, on se casse ! »

Donc des milliers d’employés, dont beaucoup d’ingénieurs se sont fait virés illico presto, laissant derrière des buildings GE entièrement vides… Comme une bombe à neutrons, jamais utilisée encore.

(en aparté, Bombe à neutrons: bombe nucléaire mais qui est une passoire à neutrons contrairement à une bombe nucléaire classique - où les neutrons rebondissent à l'intérieur comme dans un billard créant au final un souffle gigantesque destructeur et des températures de millions de degrées - mais pas ici, ils sont déjà partis. Ici les neutrons vont bombarder l'ADN des cellules des êtres vivants mais ne va pas détruire les infrastructures (tout bénef pour l’ennemi qui va gagner. Bref, désolé si trop long :D)

Au passage, pour les départements encore « vivants », il a aussi divisé tous les budgets R&D par x2 ou x3.

A la fin de sa vie (mort en 2020), il a reconnu qu’avoir voulu créer de la valeur à tout prix rapidement pour l’actionnaire était en fait une grave erreur managériale et un non-sens sur le long terme… Les milliers de cadres virés à l'époque auront surement apprécié ses remords sur son lit de mort...

N'empêche que dans les années 90-2000, il était considéré comme une star à Wall Street ainsi que dans... les écoles de commerce...

Psfff....:cartonrouge:

Posté le 16/05/2024 à 09h49


L’histoire se répète… Voir General Electric dans les années 80-90 quand un « obscur gars de la comptabilité - finance » , Jack Welch a été nommé CEO de la boite à 46 ans (plus jeune CEO de la boite fondée en 1892). En 20 ans, il a réussi à multiplier l’action GE par x80..

Mais il a aussi été surnommé “Neutron Jack”.

Pourquoi ? GE était présent dans beaucoup de domaines industriels et la politique de Welch a été de dire:

« Si on n’est pas dans les 3ers, on se casse ! »

Donc des milliers d’employés, dont beaucoup d’ingénieurs se sont fait virés illico presto, laissant derrière des buildings GE entièrement vides… Comme une bombe à neutrons, jamais utilisée encore.

(en aparté, Bombe à neutrons: bombe nucléaire mais qui est une passoire à neutrons contrairement à une bombe nucléaire classique - où les neutrons rebondissent à l'intérieur comme dans un billard créant au final un souffle gigantesque destructeur et des températures de millions de degrées - mais pas ici, ils sont déjà partis. Ici les neutrons vont bombarder l'ADN des cellules des êtres vivants mais ne va pas détruire les infrastructures (tout bénef pour l’ennemi qui va gagner. Bref, désolé si trop long :D)

Au passage, pour les départements encore « vivants », il a aussi divisé tous les budgets R&D par x2 ou x3.

A la fin de sa vie (mort en 2020), il a reconnu qu’avoir voulu créer de la valeur à tout prix rapidement pour l’actionnaire était en fait une grave erreur managériale et un non-sens sur le long terme… Les milliers de cadres virés à l'époque auront surement apprécié ses remords sur son lit de mort...

N'empêche que dans les années 90-2000, il était considéré comme une star à Wall Street ainsi que dans... les écoles de commerce...

Psfff....:cartonrouge:

Posté le 16/05/2024 à 09h49


L’histoire se répète… Voir General Electric dans les années 80-90 quand un « obscur gars de la comptabilité - finance » , Jack Welch a été nommé CEO de la boite à 46 ans (plus jeune CEO de la boite fondée en 1892). En 20 ans, il a réussi à multiplier l’action GE par x80..

Mais il a aussi été surnommé “Neutron Jack”.

Pourquoi ? GE était présent dans beaucoup de domaines industriels et la politique de Welch a été de dire:

« Si on n’est pas dans les 3ers, on se casse ! »

Donc des milliers d’employés, dont beaucoup d’ingénieurs se sont fait virés illico presto, laissant derrière des buildings GE entièrement vides… Comme une bombe à neutrons, jamais utilisée encore.

(en aparté, Bombe à neutrons: bombe nucléaire mais qui est une passoire à neutrons contrairement à une bombe nucléaire classique - où les neutrons rebondissent à l'intérieur comme dans un billard créant au final un souffle destructeur gigantesque et des températures de millions de degrées, cf films Terminator - mais pas ici, ils sont déjà partis. Ici les neutrons vont bombarder l'ADN des cellules des êtres vivants mais ne va pas détruire les infrastructures (tout bénef pour l’ennemi qui va gagner. Bref, désolé si trop long :D)

Au passage, pour les départements encore « vivants », il a aussi divisé tous les budgets R&D par x2 ou x3.

A la fin de sa vie (mort en 2020), il a reconnu qu’avoir voulu créer de la valeur à tout prix rapidement pour l’actionnaire était en fait une grave erreur managériale et un non-sens sur le long terme… Les milliers de cadres virés à l'époque auront surement apprécié ses remords sur son lit de mort...

N'empêche que dans les années 90-2000, il était considéré comme une star à Wall Street ainsi que dans... les écoles de commerce...

Psfff....:cartonrouge:

Posté le 16/05/2024 à 09h50


L’histoire se répète… Voir General Electric dans les années 80-90 quand un « obscur gars de la comptabilité - finance » , Jack Welch a été nommé CEO de la boite à 46 ans (plus jeune CEO de la boite fondée en 1892). En 20 ans, il a réussi à multiplier l’action GE par x80..

Mais il a aussi été surnommé “Neutron Jack”.

Pourquoi ? GE était présent dans beaucoup de domaines industriels et la politique de Welch a été de dire:

« Si on n’est pas dans les 3ers, on se casse ! »

Donc des milliers d’employés, dont beaucoup d’ingénieurs se sont fait virés illico presto, laissant derrière des buildings GE entièrement vides… Comme une bombe à neutrons, jamais utilisée encore.

(en aparté, Bombe à neutrons: bombe nucléaire mais qui est une passoire à neutrons contrairement à une bombe nucléaire classique - où les neutrons rebondissent à l'intérieur comme dans un billard créant au final un souffle destructeur gigantesque et des températures de millions de degrées, cf films Terminator - mais pas ici, ils sont déjà partis. Ici les neutrons vont bombarder l'ADN des cellules des êtres vivants mais ne va pas détruire les infrastructures (tout bénef pour l’ennemi qui va gagner. Bref, désolé si trop long :D)

Au passage, pour les départements encore « vivants », il a aussi divisé tous les budgets R&D par x2 ou x3.

A la fin de sa vie (mort en 2020), il a reconnu qu’avoir voulu créer de la valeur à tout prix rapidement pour l’actionnaire était en fait une grave erreur managériale et un non-sens sur le long terme… Les milliers de cadres virés à l'époque auront surement apprécié ses remords sur son lit de mort...

N'empêche que dans les années 90-2000, il était considéré comme une star à Wall Street ainsi que dans... les écoles de commerce...

Psfff....:cartonrouge:

Posté le 16/05/2024 à 09h53


L’histoire se répète… Voir General Electric dans les années 80-90 quand un « obscur gars de la comptabilité - finance » , Jack Welch a été nommé CEO de la boite à 46 ans (plus jeune CEO de la boite fondée en 1892). En 20 ans, il a réussi à multiplier l’action GE par x80..

Mais il a aussi été surnommé “Neutron Jack”.

Pourquoi ? GE était présent dans beaucoup de domaines industriels et la politique de Welch a été de dire:

« Si on n’est pas dans les 3ers, on se casse ! »

Donc des milliers d’employés, dont beaucoup d’ingénieurs se sont fait virés illico presto, laissant derrière des buildings GE entièrement vides… Comme une bombe à neutrons, jamais utilisée encore.

(en aparté, Bombe à neutrons: bombe nucléaire mais qui est une passoire à neutrons contrairement à une bombe nucléaire classique - où les neutrons rebondissent à l'intérieur comme dans un billard créant au final un souffle destructeur gigantesque et des températures de millions de degrés, cf films Terminator - mais pas ici, la plupart des neutrons, ben ils sont déjà partis... loin. Ici les neutrons vont exploser l'ADN des cellules des êtres vivants aux alentours mais très peu d'effet sur le béton par exemple, donc ne va pas détruire les infrastructures (tout bénef pour l’ennemi qui va gagner. Bref, désolé si trop long :D)

Au passage, pour les départements encore « vivants », il a aussi divisé tous les budgets R&D par x2 ou x3.

A la fin de sa vie (mort en 2020), il a reconnu qu’avoir voulu créer de la valeur à tout prix rapidement pour l’actionnaire était en fait une grave erreur managériale et un non-sens sur le long terme… Les milliers de cadres virés à l'époque auront surement apprécié ses remords sur son lit de mort...

N'empêche que dans les années 90-2000, il était considéré comme une star à Wall Street ainsi que dans... les écoles de commerce...

Psfff....:cartonrouge:

Posté le 16/05/2024 à 09h54


L’histoire se répète… Voir General Electric dans les années 80-90 quand un « obscur gars de la comptabilité - finance » , Jack Welch a été nommé CEO de la boite à 46 ans (plus jeune CEO de la boite fondée en 1892). En 20 ans, il a réussi à multiplier l’action GE par x80..

Mais il a aussi été surnommé “Neutron Jack”.

Pourquoi ? GE était présent dans beaucoup de domaines industriels et la politique de Welch a été de dire:

« Si on n’est pas dans les 3ers, on se casse ! »

Donc des milliers d’employés, dont beaucoup d’ingénieurs se sont fait virés illico presto, laissant derrière des buildings GE entièrement vides… Comme une bombe à neutrons, jamais utilisée encore.

(en aparté, Bombe à neutrons: bombe nucléaire mais qui est une passoire à neutrons contrairement à une bombe nucléaire classique - où les neutrons rebondissent à l'intérieur comme dans un billard créant au final un souffle destructeur gigantesque et des températures de millions de degrés, cf films Terminator - mais pas ici, la plupart des neutrons, ben ils sont déjà partis... loin. Ici les neutrons vont exploser l'ADN des cellules des êtres vivants aux alentours mais très peu d'effet sur le béton par exemple, donc ne vont pas détruire les infrastructures existantes (tout bénef pour l’ennemi qui va gagner... désolé si trop long :D)

Au passage, pour les départements encore « vivants », il a aussi divisé tous les budgets R&D par x2 ou x3.

A la fin de sa vie (mort en 2020), il a reconnu qu’avoir voulu créer de la valeur à tout prix rapidement pour l’actionnaire était en fait une grave erreur managériale et un non-sens sur le long terme… Les milliers de cadres virés à l'époque auront surement apprécié ses remords sur son lit de mort...

N'empêche que dans les années 90-2000, il était considéré comme une star à Wall Street ainsi que dans... les écoles de commerce...

Psfff....:cartonrouge:

Posté le 16/05/2024 à 09h54


L’histoire se répète… Voir General Electric dans les années 80-90 quand un « obscur gars de la comptabilité - finance » , Jack Welch a été nommé CEO de la boite à 46 ans (plus jeune CEO de la boite fondée en 1892). En 20 ans, il a réussi à multiplier l’action GE par x80..

Mais il a aussi été surnommé “Neutron Jack”.

Pourquoi ? GE était présent dans beaucoup de domaines industriels et la politique de Welch a été de dire:

« Si on n’est pas dans les 3ers, on se casse ! »

Donc des milliers d’employés, dont beaucoup d’ingénieurs se sont fait virés illico presto, laissant derrière des buildings GE entièrement vides… Comme une bombe à neutrons, jamais utilisée encore.

(en aparté, Bombe à neutrons: bombe nucléaire mais qui est en fait une passoire à neutrons contrairement à une bombe nucléaire classique - où les neutrons rebondissent à l'intérieur comme dans un billard créant au final un souffle destructeur gigantesque et des températures de millions de degrés, cf films Terminator - mais pas ici, la plupart des neutrons, ben ils sont déjà partis... loin. Ici les neutrons vont exploser l'ADN des cellules des êtres vivants aux alentours mais très peu d'effet sur le béton par exemple, donc ne vont pas détruire les infrastructures existantes (tout bénef pour l’ennemi qui va gagner... désolé si trop long :D)

Au passage, pour les départements encore « vivants », il a aussi divisé tous les budgets R&D par x2 ou x3.

A la fin de sa vie (mort en 2020), il a reconnu qu’avoir voulu créer de la valeur à tout prix rapidement pour l’actionnaire était en fait une grave erreur managériale et un non-sens sur le long terme… Les milliers de cadres virés à l'époque auront surement apprécié ses remords sur son lit de mort...

N'empêche que dans les années 90-2000, il était considéré comme une star à Wall Street ainsi que dans... les écoles de commerce...

Psfff....:cartonrouge:

Posté le 16/05/2024 à 10h01


L’histoire se répète… Voir General Electric dans les années 80-90 quand un « obscur gars de la comptabilité - finance » , Jack Welch a été nommé CEO de la boite à 46 ans (plus jeune CEO de la boite fondée en 1892). En 20 ans, il a réussi à multiplier la valeur de l’action GE par x80..

Mais il a aussi été surnommé “Neutron Jack” au passage...

Pourquoi ? GE était présent dans beaucoup de domaines industriels et la politique de Welch a été de dire:

« Si on n’est pas dans les 3ers, on se casse ! »

Donc des milliers d’employés, dont beaucoup d’ingénieurs se sont fait virés illico presto, laissant derrière des buildings GE entièrement vides… Comme une bombe à neutrons, jamais utilisée encore.

(en aparté, Bombe à neutrons: bombe nucléaire mais qui est en fait une passoire à neutrons contrairement à une bombe nucléaire classique - où les neutrons rebondissent à l'intérieur comme dans un billard créant au final un souffle destructeur gigantesque et des températures de millions de degrés, cf films Terminator - mais pas ici, la plupart des neutrons, ben ils sont déjà partis... loin. Ici les neutrons vont exploser l'ADN des cellules des êtres vivants aux alentours mais très peu d'effet sur le béton par exemple, donc ne vont pas détruire les infrastructures existantes (tout bénef pour l’ennemi qui va gagner... désolé si trop long :D)

Au passage, pour les départements encore « vivants », il a aussi divisé tous les budgets R&D par x2 ou x3.

A la fin de sa vie (mort en 2020), il a reconnu qu’avoir voulu créer de la valeur à tout prix rapidement pour l’actionnaire était en fait une grave erreur managériale et un non-sens sur le long terme… Les milliers de cadres virés à l'époque auront surement apprécié ses remords sur son lit de mort...

N'empêche que dans les années 90-2000, il était considéré comme une star à Wall Street ainsi que dans... les écoles de commerce...

Psfff....:cartonrouge:

Erwan123

L’histoire se répète… Voir General Electric dans les années 80-90 quand un « obscur gars de la comptabilité - finance » , Jack Welch a été nommé CEO de la boite à 46 ans (plus jeune CEO de la boite fondée en 1892). En 20 ans, il a réussi à multiplier la valeur de l’action GE par x80...

Mais il a aussi été surnommé “Neutron Jack” au passage...

Pourquoi ? GE était présent dans beaucoup de domaines industriels et la politique de Welch a été de dire:

« Si on n’est pas dans les 3ers, on se casse ! »

Donc des milliers d’employés, dont beaucoup d’ingénieurs se sont fait virés illico presto, laissant derrière des buildings GE entièrement vides… Comme une bombe à neutrons, jamais utilisée encore.

(en aparté, Bombe à neutrons: bombe nucléaire mais qui est en fait une passoire à neutrons contrairement à une bombe nucléaire classique - où les neutrons rebondissent à l'intérieur comme dans un billard créant au final un souffle destructeur gigantesque et des températures de millions de degrés, cf films Terminator - mais pas ici, la plupart des neutrons, ben ils sont déjà partis... loin. Ici les neutrons vont exploser l'ADN des cellules des êtres vivants aux alentours mais très peu d'effet sur le béton par exemple, donc ne vont pas détruire les infrastructures existantes (tout bénef pour l’ennemi qui va gagner... désolé si trop long :D)

Au passage, pour les départements encore « vivants », il a aussi divisé tous les budgets R&D par x2 ou x3.

A la fin de sa vie (mort en 2020), il a reconnu qu’avoir voulu créer de la valeur à tout prix rapidement pour l’actionnaire était en fait une grave erreur managériale et un non-sens sur le long terme… Les milliers de cadres virés à l'époque auront surement apprécié ses remords sur son lit de mort...

N'empêche que dans les années 90-2000, il était considéré comme une star à Wall Street ainsi que dans... les écoles de commerce...

Psfff....:cartonrouge:
Merci beaucoup pour ces détails complémentaires ! :inpactitude:

Victor von Jul

Merci beaucoup pour ces détails complémentaires ! :inpactitude:
.
Modifié le 17/05/2024 à 11h38

Historique des modifications :

Posté le 16/05/2024 à 10h15


Le paradoxe: j'ai appris cette histoire en classe de... MBA, c.a.d dans une école de commerce (enfin on dirait plutôt business school - HKUST & UC Berkeley California) mais le vent avait bien tourné déjà pour Jack W. ainsi que sa légende avait énormément pali) :mdr2:

Posté le 16/05/2024 à 10h15


Le paradoxe: j'ai appris cette histoire en classe de... MBA, c.a.d dans une école de commerce (enfin on dirait plutôt business school - HKUST & UC Berkeley California) mais le vent avait bien tourné déjà pour Jack W. ainsi que sa légende avait énormément pali) :mdr2:

Posté le 16/05/2024 à 10h16


Le paradoxe: j'ai appris cette histoire en classe de... MBA, c.a.d dans une école de commerce (enfin on dirait plutôt business school - HKUST & UC Berkeley California) mais le vent avait bien tourné déjà pour Jack W. ainsi que son étoile avait énormément pali) :mdr2:

Posté le 16/05/2024 à 10h17


Le paradoxe: j'ai appris cette histoire en classe de... MBA, c.a.d dans une école de commerce :mdr2:

(Enfin on dirait plutôt business school: HKUST & UC Berkeley California mais le vent avait bien tourné déjà pour Jack W. ainsi que son étoile avait énormément pali.)

Posté le 16/05/2024 à 10h18


Le paradoxe: j'ai appris cette histoire en classe de... MBA, c.a.d dans une école de commerce :mdr2:

(Enfin on dirait plutôt business school: HKUST & UC Berkeley California mais le vent avait bien tourné déjà pour Jack W. ainsi que son étoile avait énormément pali.)

Posté le 16/05/2024 à 10h19


Merci. et le paradoxe: j'ai appris cette histoire en classe de... MBA, c.a.d dans une école de commerce :mdr2:

(Enfin on dirait plutôt business school: HKUST & UC Berkeley California mais le vent avait bien tourné déjà pour Jack W. ainsi que son étoile avait énormément pali.)

Posté le 16/05/2024 à 10h20


Merci :smack: et le paradoxe: j'ai appris cette histoire en classe de... MBA, c.a.d dans une école de commerce :mdr2:

(Enfin on dirait plutôt business school: HKUST & UC Berkeley California mais le vent avait bien tourné déjà pour Jack W. ainsi que son étoile avait énormément pali.)

Posté le 16/05/2024 à 10h22


Merci :smack: et le paradoxe: j'ai appris cette histoire en classe de... MBA, c.a.d dans une école de commerce :mdr2:

(Enfin on dirait plutôt business school: HKUST & UC Berkeley California) et le vent avait déjà bien tourné pour Jack W., son étoile avait énormément pali depuis les annees 2000.

Maintenant les chercheurs & enseignants l'utilisent plutôt comme un exemple de ce qu'il ne faut PAS faire...

Les boules !! :reflechis::reflechis:

Posté le 16/05/2024 à 10h27


Merci :smack: et le paradoxe: j'ai appris cette histoire en classe de... MBA, c.a.d dans une école de commerce :mdr2:

(Enfin on dirait plutôt business school: HKUST & UC Berkeley California) et le vent avait déjà bien tourné pour Jack W., son étoile avait énormément pali depuis la fin des annees 2000.

Maintenant les chercheurs & enseignants l'utilisent plutôt comme un exemple de ce qu'il ne faut PAS faire...

Les boules !! :reflechis::reflechis:

Posté le 16/05/2024 à 10h27


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Tant que les directeurs généraux des entreprises recevaient un salaire, la logique était d’améliorer les résultats pour augmenter les salaires. Puis les financiers ont décidé de faire de l’argent (artificiel) en rémunérant les directeurs avec des stocks options. Plus la bourse accordait de la valeur aux actions, meilleur était le rendement des actions revendues. Et ce que consultent les actionnaires est souvent la masse salariale. Moins de salaires, plus de dividendes. Il faut rappeler aux dirigeants quel les titres ne font pas le travail.

la_hyene

Tant que les directeurs généraux des entreprises recevaient un salaire, la logique était d’améliorer les résultats pour augmenter les salaires. Puis les financiers ont décidé de faire de l’argent (artificiel) en rémunérant les directeurs avec des stocks options. Plus la bourse accordait de la valeur aux actions, meilleur était le rendement des actions revendues. Et ce que consultent les actionnaires est souvent la masse salariale. Moins de salaires, plus de dividendes. Il faut rappeler aux dirigeants quel les titres ne font pas le travail.
En effet, et maintenant pour lutter contre cette dérive, qu'on pourrait surnommer un peu
«la méthode Bernard Tapie», c.a.d « Maintenant je suis le boss, et je dégraisse à mort tout ce que je peux en terme de coûts, mais effort sur les coûts seulement, après je montre ma copie aux investisseurs & traders qui sont super contents des résultats & bénefs pour pouvoir revendre la boite ensuite ou faire monter l’action mais la boite, ben elle morte dans 5 ans »

Pareil que « je fais une grève de la faim, perdu énormément de poids, mais au final, juste en état de survie) » ou bien « j’enlève tout ce qui fait du poids dans une voiture pour qu’elle consomme et coûte moins à l'utilisation, mais au final ne reste plus qu’un seul siège, un volant et les pédales... mais à Wall Street, ils applaudissent des 2 mains»

Donc maintenant les millions de titre de stocks-options attribués à un CEO ne seront dispo que 3 à 5 ans plus tard (cf pour Carlos Tavares), dès fois que le régime alimentaire sévère imposé par le CEO aurait tué le patient entre temps…

Parce que réduire les coûts, ça beaucoup sont capables de le faire, par contre, pour développer la boite et le business, ça c’est une autre paire de manches ("une autre paire de manches" comme disait ma grand-mère).

En aparté, stock-option veut dire simplement: droit à une option d’achat d'action à un prix fixé qui ne bougera pas:

« Dans 3-5 ans, vous aurez le droit de pouvoir acheter 1000 actions au prix de 40€, quelque que soit le prix de l’action à la Bourse à ce moment là. Bien sûr, si l’action vaut moins, vous êtes pas con – vous êtes CEO quand même – vous n’allez pas les acheter à 40€ si elles ne valent plus que 30€ à la Bourse.
Par contre, si elles valent 60€, vous allez "exercer votre option" et c’est la boite qui paiera de sa poche les 20€ de plus si vous décidez de les acheter (et vous les 40€ de votre poche). Ensuite bien sûr, vous êtes libre de les revendre immédiatement sur le marché à 60€ et donc vous empocherez les 20€ que la boite a claqué pour vous payer la différence auparavant. »

20€ c'est pas grand chose, mais quand on a le droit d'en acheter quelques millions, 20€ x quelques millions d'actions = beaucoup de millions €...

Donc, conclusion : « Au boulot pour faire monter l’action de la boite !! mais pas en utilisant de basses et honteuses méthodes comme au siècle dernier »
Modifié le 16/05/2024 à 12h15

Historique des modifications :

Posté le 16/05/2024 à 10h54


En effet, mais maintenant pour lutter contre cette dérive, quand pourrait appeler un peu
« la méthode Bernard Tapie », c.a.d « Maintenant je suis le boss, et je dégraisse à mort tout ce que je peux en termes de coûts, mais effort sur les coûts seulement, ensuite je montre ma copie aux investisseurs -traders qui sont super contents des résultats & bénefs pour pouvoir revendre la boite ensuite ou faire monter l’action mais la boite, ben elle morte dans 5 ans »

Pareil que « je fais une grève de la faim, perdu énormément de poids, mais au final, juste en état de survie) » ou bien « j’enlève tout ce qui fait du poids dans une voiture pour qu’elle consomme-coûte moins, ne reste plus qu’un seul siège, volant et les pédales mais à Wall Street, ils applaudissent des 2 mains»


Donc maintenant les millions de titre de stocks-options attribués à un CEO ne seront dispo que 3 à 5 ans plus tard (cf pour Carlos Tavares), dès fois que le régime alimentaire sévère du CEO aurait tué le patient entre temps…

Parce que réduire les coûts, ça beaucoup sont capables de le faire, par contre, pour développer la boite et le business, ça c’est une autre paire de manches (comme disait ma grand-mère).

Posté le 16/05/2024 à 10h54


En effet, et maintenant pour lutter contre cette dérive, quand pourrait appeler un peu
« la méthode Bernard Tapie », c.a.d « Maintenant je suis le boss, et je dégraisse à mort tout ce que je peux en termes de coûts, mais effort sur les coûts seulement, ensuite je montre ma copie aux investisseurs -traders qui sont super contents des résultats & bénefs pour pouvoir revendre la boite ensuite ou faire monter l’action mais la boite, ben elle morte dans 5 ans »

Pareil que « je fais une grève de la faim, perdu énormément de poids, mais au final, juste en état de survie) » ou bien « j’enlève tout ce qui fait du poids dans une voiture pour qu’elle consomme-coûte moins, ne reste plus qu’un seul siège, volant et les pédales mais à Wall Street, ils applaudissent des 2 mains»


Donc maintenant les millions de titre de stocks-options attribués à un CEO ne seront dispo que 3 à 5 ans plus tard (cf pour Carlos Tavares), dès fois que le régime alimentaire sévère du CEO aurait tué le patient entre temps…

Parce que réduire les coûts, ça beaucoup sont capables de le faire, par contre, pour développer la boite et le business, ça c’est une autre paire de manches (comme disait ma grand-mère).

Posté le 16/05/2024 à 10h55


En effet, et maintenant pour lutter contre cette dérive, qu'on pourrait surnommer un peu
« la méthode Bernard Tapie », c.a.d « Maintenant je suis le boss, et je dégraisse à mort tout ce que je peux en termes de coûts, mais effort sur les coûts seulement, ensuite je montre ma copie aux investisseurs -traders qui sont super contents des résultats & bénefs pour pouvoir revendre la boite ensuite ou faire monter l’action mais la boite, ben elle morte dans 5 ans »

Pareil que « je fais une grève de la faim, perdu énormément de poids, mais au final, juste en état de survie) » ou bien « j’enlève tout ce qui fait du poids dans une voiture pour qu’elle consomme-coûte moins, ne reste plus qu’un seul siège, volant et les pédales mais à Wall Street, ils applaudissent des 2 mains»


Donc maintenant les millions de titre de stocks-options attribués à un CEO ne seront dispo que 3 à 5 ans plus tard (cf pour Carlos Tavares), dès fois que le régime alimentaire sévère du CEO aurait tué le patient entre temps…

Parce que réduire les coûts, ça beaucoup sont capables de le faire, par contre, pour développer la boite et le business, ça c’est une autre paire de manches (comme disait ma grand-mère).

Posté le 16/05/2024 à 10h56


En effet, et maintenant pour lutter contre cette dérive, qu'on pourrait surnommer un peu
« la méthode Bernard Tapie », c.a.d « Maintenant je suis le boss, et je dégraisse à mort tout ce que je peux en termes de coûts, mais effort sur les coûts seulement, après je montre ma copie aux investisseurs -traders qui sont super contents des résultats & bénefs pour pouvoir revendre la boite ensuite ou faire monter l’action mais la boite, ben elle morte dans 5 ans »

Pareil que « je fais une grève de la faim, perdu énormément de poids, mais au final, juste en état de survie) » ou bien « j’enlève tout ce qui fait du poids dans une voiture pour qu’elle consomme-coûte moins, ne reste plus qu’un seul siège, volant et les pédales mais à Wall Street, ils applaudissent des 2 mains»


Donc maintenant les millions de titre de stocks-options attribués à un CEO ne seront dispo que 3 à 5 ans plus tard (cf pour Carlos Tavares), dès fois que le régime alimentaire sévère du CEO aurait tué le patient entre temps…

Parce que réduire les coûts, ça beaucoup sont capables de le faire, par contre, pour développer la boite et le business, ça c’est une autre paire de manches (comme disait ma grand-mère).

Posté le 16/05/2024 à 10h56


En effet, et maintenant pour lutter contre cette dérive, qu'on pourrait surnommer un peu
« la méthode Bernard Tapie », c.a.d « Maintenant je suis le boss, et je dégraisse à mort tout ce que je peux en termes de coûts, mais effort sur les coûts seulement, après je montre ma copie aux investisseurs -traders qui sont super contents des résultats & bénefs pour pouvoir revendre la boite ensuite ou faire monter l’action mais la boite, ben elle morte dans 5 ans »

Pareil que « je fais une grève de la faim, perdu énormément de poids, mais au final, juste en état de survie) » ou bien « j’enlève tout ce qui fait du poids dans une voiture pour qu’elle consomme-coûte moins, ne reste plus qu’un seul siège, volant et les pédales mais à Wall Street, ils applaudissent des 2 mains»

Donc maintenant les millions de titre de stocks-options attribués à un CEO ne seront dispo que 3 à 5 ans plus tard (cf pour Carlos Tavares), dès fois que le régime alimentaire sévère du CEO aurait tué le patient entre temps…

Parce que réduire les coûts, ça beaucoup sont capables de le faire, par contre, pour développer la boite et le business, ça c’est une autre paire de manches (comme disait ma grand-mère).

Posté le 16/05/2024 à 10h58


En effet, et maintenant pour lutter contre cette dérive, qu'on pourrait surnommer un peu
« la méthode Bernard Tapie », c.a.d « Maintenant je suis le boss, et je dégraisse à mort tout ce que je peux en termes de coûts, mais effort sur les coûts seulement, après je montre ma copie aux investisseurs -traders qui sont super contents des résultats & bénefs pour pouvoir revendre la boite ensuite ou faire monter l’action mais la boite, ben elle morte dans 5 ans »

Pareil que « je fais une grève de la faim, perdu énormément de poids, mais au final, juste en état de survie) » ou bien « j’enlève tout ce qui fait du poids dans une voiture pour qu’elle consomme-coûte moins, ne reste plus qu’un seul siège, volant et les pédales mais à Wall Street, ils applaudissent des 2 mains»

Donc maintenant les millions de titre de stocks-options attribués à un CEO ne seront dispo que 3 à 5 ans plus tard (cf pour Carlos Tavares), dès fois que le régime alimentaire sévère imposé par le CEO aurait tué le patient entre temps…

Parce que réduire les coûts, ça beaucoup sont capables de le faire, par contre, pour développer la boite et le business, ça c’est une autre paire de manches (comme disait ma grand-mère).

Posté le 16/05/2024 à 11h10


En effet, et maintenant pour lutter contre cette dérive, qu'on pourrait surnommer un peu
« la méthode Bernard Tapie », c.a.d « Maintenant je suis le boss, et je dégraisse à mort tout ce que je peux en termes de coûts, mais effort sur les coûts seulement, après je montre ma copie aux investisseurs -traders qui sont super contents des résultats & bénefs pour pouvoir revendre la boite ensuite ou faire monter l’action mais la boite, ben elle morte dans 5 ans »

Pareil que « je fais une grève de la faim, perdu énormément de poids, mais au final, juste en état de survie) » ou bien « j’enlève tout ce qui fait du poids dans une voiture pour qu’elle consomme-coûte moins, ne reste plus qu’un seul siège, volant et les pédales mais à Wall Street, ils applaudissent des 2 mains»

Donc maintenant les millions de titre de stocks-options attribués à un CEO ne seront dispo que 3 à 5 ans plus tard (cf pour Carlos Tavares), dès fois que le régime alimentaire sévère imposé par le CEO aurait tué le patient entre temps…

Parce que réduire les coûts, ça beaucoup sont capables de le faire, par contre, pour développer la boite et le business, ça c’est une autre paire de manches (comme disait ma grand-mère).
En effet, et maintenant pour lutter contre cette dérive, qu'on pourrait surnommer un peu
« la méthode Bernard Tapie », c.a.d « Maintenant je suis le boss, et je dégraisse à mort tout ce que je peux en termes de coûts, mais effort sur les coûts seulement, après je montre ma copie aux investisseurs -traders qui sont super contents des résultats & bénefs pour pouvoir revendre la boite ensuite ou faire monter l’action mais la boite, ben elle morte dans 5 ans »

Pareil que « je fais une grève de la faim, perdu énormément de poids, mais au final, juste en état de survie) » ou bien « j’enlève tout ce qui fait du poids dans une voiture pour qu’elle consomme-coûte moins, ne reste plus qu’un seul siège, volant et les pédales mais à Wall Street, ils applaudissent des 2 mains»

Donc maintenant les millions de titre de stocks-options attribués à un CEO ne seront dispo que 3 à 5 ans plus tard (cf pour Carlos Tavares), dès fois que le régime alimentaire sévère imposé par le CEO aurait tué le patient entre temps…

Parce que réduire les coûts, ça beaucoup sont capables de le faire, par contre, pour développer la boite et le business, ça c’est une autre paire de manches (comme disait ma grand-mère).

En aparté, stock-option veut dire : option d’achat : « dans 2 ans, vous pourrez acheter 1000 actions au prix de 40€, quelque que soit le prix de l’action à la Bourse. Bien sûr, si l’action vaut moins à ce moment, vous êtes pas con – vous êtes CEO quand même – vous n’allez pas les acheter à 40€ si elles ne valent plus que 30€ à la Bourse. Par contre, si elles valent 60€, et bien c’est la boite qui paiera de sa poche les 20€ de plus (et vous les 40€). Ensuite bien sûr, vous êtes libre de les revendre immédiatement sur le marché à 60€ et donc vous empocherez les 20€ que la boite a claqué pour vous payer la différence auparavant.
Donc, conclusion : « Au boulot pour faire monter l’action de la boite !! mais pas en utilisant de basses et honteuses méthodes comme au siècle dernier »

Posté le 16/05/2024 à 11h11


En effet, et maintenant pour lutter contre cette dérive, qu'on pourrait surnommer un peu
« la méthode Bernard Tapie », c.a.d « Maintenant je suis le boss, et je dégraisse à mort tout ce que je peux en termes de coûts, mais effort sur les coûts seulement, après je montre ma copie aux investisseurs -traders qui sont super contents des résultats & bénefs pour pouvoir revendre la boite ensuite ou faire monter l’action mais la boite, ben elle morte dans 5 ans »

Pareil que « je fais une grève de la faim, perdu énormément de poids, mais au final, juste en état de survie) » ou bien « j’enlève tout ce qui fait du poids dans une voiture pour qu’elle consomme-coûte moins, ne reste plus qu’un seul siège, volant et les pédales mais à Wall Street, ils applaudissent des 2 mains»

Donc maintenant les millions de titre de stocks-options attribués à un CEO ne seront dispo que 3 à 5 ans plus tard (cf pour Carlos Tavares), dès fois que le régime alimentaire sévère imposé par le CEO aurait tué le patient entre temps…

Parce que réduire les coûts, ça beaucoup sont capables de le faire, par contre, pour développer la boite et le business, ça c’est une autre paire de manches (comme disait ma grand-mère).

En aparté, stock-option veut dire : option d’achat : « dans 2 ans, vous pourrez acheter 1000 actions au prix de 40€, quelque que soit le prix de l’action à la Bourse. Bien sûr, si l’action vaut moins à ce moment, vous êtes pas con – vous êtes CEO quand même – vous n’allez pas les acheter à 40€ si elles ne valent plus que 30€ à la Bourse. Par contre, si elles valent 60€, et bien c’est la boite qui paiera de sa poche les 20€ de plus (et vous les 40€). Ensuite bien sûr, vous êtes libre de les revendre immédiatement sur le marché à 60€ et donc vous empocherez les 20€ que la boite a claqué pour vous payer la différence auparavant.

Donc, conclusion : « Au boulot pour faire monter l’action de la boite !! mais pas en utilisant de basses et honteuses méthodes comme au siècle dernier »

Posté le 16/05/2024 à 11h15


En effet, et maintenant pour lutter contre cette dérive, qu'on pourrait surnommer un peu
« la méthode Bernard Tapie », c.a.d « Maintenant je suis le boss, et je dégraisse à mort tout ce que je peux en termes de coûts, mais effort sur les coûts seulement, après je montre ma copie aux investisseurs -traders qui sont super contents des résultats & bénefs pour pouvoir revendre la boite ensuite ou faire monter l’action mais la boite, ben elle morte dans 5 ans »

Pareil que « je fais une grève de la faim, perdu énormément de poids, mais au final, juste en état de survie) » ou bien « j’enlève tout ce qui fait du poids dans une voiture pour qu’elle consomme et coûte moins, ne reste plus qu’un seul siège, volant et les pédales mais à Wall Street, ils applaudissent des 2 mains»

Donc maintenant les millions de titre de stocks-options attribués à un CEO ne seront dispo que 3 à 5 ans plus tard (cf pour Carlos Tavares), dès fois que le régime alimentaire sévère imposé par le CEO aurait tué le patient entre temps…

Parce que réduire les coûts, ça beaucoup sont capables de le faire, par contre, pour développer la boite et le business, ça c’est une autre paire de manches (comme disait ma grand-mère).

En aparté, stock-option veut dire simplement: droit à une option d’achat d'action à un prix fixé qui ne bougera pas:
« dans 2 ans, vous aurez le droit de pouvoir acheter 1000 actions au prix de 40€, quelque que soit le prix de l’action à la Bourse à ce moment là. Bien sûr, si l’action vaut moins, vous êtes pas con – vous êtes CEO quand même – vous n’allez pas les acheter à 40€ si elles ne valent plus que 30€ à la Bourse.
Par contre, si elles valent 60€, et bien c’est la boite qui paiera de sa poche les 20€ de plus si vous decidez de les acheter (et vous les 40€ de votre poche). Ensuite bien sûr, vous êtes libre de les revendre immédiatement sur le marché à 60€ et donc vous empocherez les 20€ que la boite a claqué pour vous payer la différence auparavant.

Donc, conclusion : « Au boulot pour faire monter l’action de la boite !! mais pas en utilisant de basses et honteuses méthodes comme au siècle dernier »

Posté le 16/05/2024 à 11h16


En effet, et maintenant pour lutter contre cette dérive, qu'on pourrait surnommer un peu
« la méthode Bernard Tapie », c.a.d « Maintenant je suis le boss, et je dégraisse à mort tout ce que je peux en terme de coûts, mais effort sur les coûts seulement, après je montre ma copie aux investisseurs & traders qui sont super contents des résultats & bénefs pour pouvoir revendre la boite ensuite ou faire monter l’action mais la boite, ben elle morte dans 5 ans »

Pareil que « je fais une grève de la faim, perdu énormément de poids, mais au final, juste en état de survie) » ou bien « j’enlève tout ce qui fait du poids dans une voiture pour qu’elle consomme et coûte moins, ne reste plus qu’un seul siège, volant et les pédales mais à Wall Street, ils applaudissent des 2 mains»

Donc maintenant les millions de titre de stocks-options attribués à un CEO ne seront dispo que 3 à 5 ans plus tard (cf pour Carlos Tavares), dès fois que le régime alimentaire sévère imposé par le CEO aurait tué le patient entre temps…

Parce que réduire les coûts, ça beaucoup sont capables de le faire, par contre, pour développer la boite et le business, ça c’est une autre paire de manches (comme disait ma grand-mère).

En aparté, stock-option veut dire simplement: droit à une option d’achat d'action à un prix fixé qui ne bougera pas:
« dans 2 ans, vous aurez le droit de pouvoir acheter 1000 actions au prix de 40€, quelque que soit le prix de l’action à la Bourse à ce moment là. Bien sûr, si l’action vaut moins, vous êtes pas con – vous êtes CEO quand même – vous n’allez pas les acheter à 40€ si elles ne valent plus que 30€ à la Bourse.
Par contre, si elles valent 60€, et bien c’est la boite qui paiera de sa poche les 20€ de plus si vous decidez de les acheter (et vous les 40€ de votre poche). Ensuite bien sûr, vous êtes libre de les revendre immédiatement sur le marché à 60€ et donc vous empocherez les 20€ que la boite a claqué pour vous payer la différence auparavant.

Donc, conclusion : « Au boulot pour faire monter l’action de la boite !! mais pas en utilisant de basses et honteuses méthodes comme au siècle dernier »

Posté le 16/05/2024 à 11h21


En effet, et maintenant pour lutter contre cette dérive, qu'on pourrait surnommer un peu
« la méthode Bernard Tapie », c.a.d « Maintenant je suis le boss, et je dégraisse à mort tout ce que je peux en terme de coûts, mais effort sur les coûts seulement, après je montre ma copie aux investisseurs & traders qui sont super contents des résultats & bénefs pour pouvoir revendre la boite ensuite ou faire monter l’action mais la boite, ben elle morte dans 5 ans »

Pareil que « je fais une grève de la faim, perdu énormément de poids, mais au final, juste en état de survie) » ou bien « j’enlève tout ce qui fait du poids dans une voiture pour qu’elle consomme et coûte moins, ne reste plus qu’un seul siège, volant et les pédales mais à Wall Street, ils applaudissent des 2 mains»

Donc maintenant les millions de titre de stocks-options attribués à un CEO ne seront dispo que 3 à 5 ans plus tard (cf pour Carlos Tavares), dès fois que le régime alimentaire sévère imposé par le CEO aurait tué le patient entre temps…

Parce que réduire les coûts, ça beaucoup sont capables de le faire, par contre, pour développer la boite et le business, ça c’est une autre paire de manches (comme disait ma grand-mère).

En aparté, stock-option veut dire simplement: droit à une option d’achat d'action à un prix fixé qui ne bougera pas: *
« dans 2 ans, vous aurez le droit de pouvoir acheter 1000 actions au prix de 40€, quelque que soit le prix de l’action à la Bourse à ce moment là. Bien sûr, si l’action vaut moins, vous êtes pas con – vous êtes CEO quand même – vous n’allez pas les acheter à 40€ si elles ne valent plus que 30€ à la Bourse.
Par contre, si elles valent 60€, et bien c’est la boite qui paiera de sa poche les 20€ de plus si vous decidez de les acheter (et vous les 40€ de votre poche). Ensuite bien sûr, vous êtes libre de les revendre immédiatement sur le marché à 60€ et donc vous empocherez les 20€ que la boite a claqué pour vous payer la différence auparavant. »*

20€ c'est pas grand chose, mais quand on a le droit d'en acheter quelques millions, 20€ x quelques millions d'actions = beaucoup de millions €...

Donc, conclusion : « Au boulot pour faire monter l’action de la boite !! mais pas en utilisant de basses et honteuses méthodes comme au siècle dernier »

Posté le 16/05/2024 à 11h22


En effet, et maintenant pour lutter contre cette dérive, qu'on pourrait surnommer un peu
« la méthode Bernard Tapie », c.a.d « Maintenant je suis le boss, et je dégraisse à mort tout ce que je peux en terme de coûts, mais effort sur les coûts seulement, après je montre ma copie aux investisseurs & traders qui sont super contents des résultats & bénefs pour pouvoir revendre la boite ensuite ou faire monter l’action mais la boite, ben elle morte dans 5 ans »

Pareil que « je fais une grève de la faim, perdu énormément de poids, mais au final, juste en état de survie) » ou bien « j’enlève tout ce qui fait du poids dans une voiture pour qu’elle consomme et coûte moins, ne reste plus qu’un seul siège, volant et les pédales mais à Wall Street, ils applaudissent des 2 mains»

Donc maintenant les millions de titre de stocks-options attribués à un CEO ne seront dispo que 3 à 5 ans plus tard (cf pour Carlos Tavares), dès fois que le régime alimentaire sévère imposé par le CEO aurait tué le patient entre temps…

Parce que réduire les coûts, ça beaucoup sont capables de le faire, par contre, pour développer la boite et le business, ça c’est une autre paire de manches (comme disait ma grand-mère).

En aparté, stock-option veut dire simplement: droit à une option d’achat d'action à un prix fixé qui ne bougera pas: *
« dans 2 ans, vous aurez le droit de pouvoir acheter 1000 actions au prix de 40€, quelque que soit le prix de l’action à la Bourse à ce moment là. Bien sûr, si l’action vaut moins, vous êtes pas con – vous êtes CEO quand même – vous n’allez pas les acheter à 40€ si elles ne valent plus que 30€ à la Bourse.
Par contre, si elles valent 60€, et bien c’est la boite qui paiera de sa poche les 20€ de plus si vous decidez de les acheter (et vous les 40€ de votre poche). Ensuite bien sûr, vous êtes libre de les revendre immédiatement sur le marché à 60€ et donc vous empocherez les 20€ que la boite a claqué pour vous payer la différence auparavant. »*

20€ c'est pas grand chose, mais quand on a le droit d'en acheter quelques millions, 20€ x quelques millions d'actions = beaucoup de millions €...

Donc, conclusion : « Au boulot pour faire monter l’action de la boite !! mais pas en utilisant de basses et honteuses méthodes comme au siècle dernier »

Posté le 16/05/2024 à 11h22


En effet, et maintenant pour lutter contre cette dérive, qu'on pourrait surnommer un peu
« la méthode Bernard Tapie », c.a.d « Maintenant je suis le boss, et je dégraisse à mort tout ce que je peux en terme de coûts, mais effort sur les coûts seulement, après je montre ma copie aux investisseurs & traders qui sont super contents des résultats & bénefs pour pouvoir revendre la boite ensuite ou faire monter l’action mais la boite, ben elle morte dans 5 ans »

Pareil que « je fais une grève de la faim, perdu énormément de poids, mais au final, juste en état de survie) » ou bien « j’enlève tout ce qui fait du poids dans une voiture pour qu’elle consomme et coûte moins, ne reste plus qu’un seul siège, volant et les pédales mais à Wall Street, ils applaudissent des 2 mains»

Donc maintenant les millions de titre de stocks-options attribués à un CEO ne seront dispo que 3 à 5 ans plus tard (cf pour Carlos Tavares), dès fois que le régime alimentaire sévère imposé par le CEO aurait tué le patient entre temps…

Parce que réduire les coûts, ça beaucoup sont capables de le faire, par contre, pour développer la boite et le business, ça c’est une autre paire de manches (comme disait ma grand-mère).

En aparté, stock-option veut dire simplement: droit à une option d’achat d'action à un prix fixé qui ne bougera pas:
*« dans 2 ans, vous aurez le droit de pouvoir acheter 1000 actions au prix de 40€, quelque que soit le prix de l’action à la Bourse à ce moment là. Bien sûr, si l’action vaut moins, vous êtes pas con – vous êtes CEO quand même – vous n’allez pas les acheter à 40€ si elles ne valent plus que 30€ à la Bourse.
Par contre, si elles valent 60€, et bien c’est la boite qui paiera de sa poche les 20€ de plus si vous decidez de les acheter (et vous les 40€ de votre poche). Ensuite bien sûr, vous êtes libre de les revendre immédiatement sur le marché à 60€ et donc vous empocherez les 20€ que la boite a claqué pour vous payer la différence auparavant. »*

20€ c'est pas grand chose, mais quand on a le droit d'en acheter quelques millions, 20€ x quelques millions d'actions = beaucoup de millions €...

Donc, conclusion : « Au boulot pour faire monter l’action de la boite !! mais pas en utilisant de basses et honteuses méthodes comme au siècle dernier »

Posté le 16/05/2024 à 11h23


En effet, et maintenant pour lutter contre cette dérive, qu'on pourrait surnommer un peu
« la méthode Bernard Tapie », c.a.d « Maintenant je suis le boss, et je dégraisse à mort tout ce que je peux en terme de coûts, mais effort sur les coûts seulement, après je montre ma copie aux investisseurs & traders qui sont super contents des résultats & bénefs pour pouvoir revendre la boite ensuite ou faire monter l’action mais la boite, ben elle morte dans 5 ans »

Pareil que « je fais une grève de la faim, perdu énormément de poids, mais au final, juste en état de survie) » ou bien « j’enlève tout ce qui fait du poids dans une voiture pour qu’elle consomme et coûte moins, ne reste plus qu’un seul siège, volant et les pédales mais à Wall Street, ils applaudissent des 2 mains»

Donc maintenant les millions de titre de stocks-options attribués à un CEO ne seront dispo que 3 à 5 ans plus tard (cf pour Carlos Tavares), dès fois que le régime alimentaire sévère imposé par le CEO aurait tué le patient entre temps…

Parce que réduire les coûts, ça beaucoup sont capables de le faire, par contre, pour développer la boite et le business, ça c’est une autre paire de manches (comme disait ma grand-mère).

En aparté, stock-option veut dire simplement: droit à une option d’achat d'action à un prix fixé qui ne bougera pas:
« *dans 2 ans, vous aurez le droit de pouvoir acheter 1000 actions au prix de 40€, quelque que soit le prix de l’action à la Bourse à ce moment là. Bien sûr, si l’action vaut moins, vous êtes pas con – vous êtes CEO quand même – vous n’allez pas les acheter à 40€ si elles ne valent plus que 30€ à la Bourse.
Par contre, si elles valent 60€, et bien c’est la boite qui paiera de sa poche les 20€ de plus si vous decidez de les acheter (et vous les 40€ de votre poche). Ensuite bien sûr, vous êtes libre de les revendre immédiatement sur le marché à 60€ et donc vous empocherez les 20€ que la boite a claqué pour vous payer la différence auparavant.* »

20€ c'est pas grand chose, mais quand on a le droit d'en acheter quelques millions, 20€ x quelques millions d'actions = beaucoup de millions €...

Donc, conclusion : « Au boulot pour faire monter l’action de la boite !! mais pas en utilisant de basses et honteuses méthodes comme au siècle dernier »

Posté le 16/05/2024 à 11h23


En effet, et maintenant pour lutter contre cette dérive, qu'on pourrait surnommer un peu
« la méthode Bernard Tapie», c.a.d « Maintenant je suis le boss, et je dégraisse à mort tout ce que je peux en terme de coûts, mais effort sur les coûts seulement, après je montre ma copie aux investisseurs & traders qui sont super contents des résultats & bénefs pour pouvoir revendre la boite ensuite ou faire monter l’action mais la boite, ben elle morte dans 5 ans »

Pareil que « je fais une grève de la faim, perdu énormément de poids, mais au final, juste en état de survie) » ou bien « j’enlève tout ce qui fait du poids dans une voiture pour qu’elle consomme et coûte moins, ne reste plus qu’un seul siège, volant et les pédales mais à Wall Street, ils applaudissent des 2 mains»

Donc maintenant les millions de titre de stocks-options attribués à un CEO ne seront dispo que 3 à 5 ans plus tard (cf pour Carlos Tavares), dès fois que le régime alimentaire sévère imposé par le CEO aurait tué le patient entre temps…

Parce que réduire les coûts, ça beaucoup sont capables de le faire, par contre, pour développer la boite et le business, ça c’est une autre paire de manches (comme disait ma grand-mère).

En aparté, stock-option veut dire simplement: droit à une option d’achat d'action à un prix fixé qui ne bougera pas:
« *dans 2 ans, vous aurez le droit de pouvoir acheter 1000 actions au prix de 40€, quelque que soit le prix de l’action à la Bourse à ce moment là. Bien sûr, si l’action vaut moins, vous êtes pas con – vous êtes CEO quand même – vous n’allez pas les acheter à 40€ si elles ne valent plus que 30€ à la Bourse.
Par contre, si elles valent 60€, et bien c’est la boite qui paiera de sa poche les 20€ de plus si vous décidez de les acheter (et vous les 40€ de votre poche). Ensuite bien sûr, vous êtes libre de les revendre immédiatement sur le marché à 60€ et donc vous empocherez les 20€ que la boite a claqué pour vous payer la différence auparavant.* »

20€ c'est pas grand chose, mais quand on a le droit d'en acheter quelques millions, 20€ x quelques millions d'actions = beaucoup de millions €...

Donc, conclusion : « Au boulot pour faire monter l’action de la boite !! mais pas en utilisant de basses et honteuses méthodes comme au siècle dernier »

Posté le 16/05/2024 à 11h24


En effet, et maintenant pour lutter contre cette dérive, qu'on pourrait surnommer un peu
« la méthode Bernard Tapie», c.a.d « Maintenant je suis le boss, et je dégraisse à mort tout ce que je peux en terme de coûts, mais effort sur les coûts seulement, après je montre ma copie aux investisseurs & traders qui sont super contents des résultats & bénefs pour pouvoir revendre la boite ensuite ou faire monter l’action mais la boite, ben elle morte dans 5 ans »

Pareil que « je fais une grève de la faim, perdu énormément de poids, mais au final, juste en état de survie) » ou bien « j’enlève tout ce qui fait du poids dans une voiture pour qu’elle consomme et coûte moins, ne reste plus qu’un seul siège, volant et les pédales mais à Wall Street, ils applaudissent des 2 mains»

Donc maintenant les millions de titre de stocks-options attribués à un CEO ne seront dispo que 3 à 5 ans plus tard (cf pour Carlos Tavares), dès fois que le régime alimentaire sévère imposé par le CEO aurait tué le patient entre temps…

Parce que réduire les coûts, ça beaucoup sont capables de le faire, par contre, pour développer la boite et le business, ça c’est une autre paire de manches (comme disait ma grand-mère).

En aparté, stock-option veut dire simplement: droit à une option d’achat d'action à un prix fixé qui ne bougera pas:
« *dans 2 ans, vous aurez le droit de pouvoir acheter 1000 actions au prix de 40€, quelque que soit le prix de l’action à la Bourse à ce moment là. Bien sûr, si l’action vaut moins, vous êtes pas con – vous êtes CEO quand même – vous n’allez pas les acheter à 40€ si elles ne valent plus que 30€ à la Bourse.
Par contre, si elles valent 60€, et bien c’est la boite qui paiera de sa poche les 20€ de plus si vous décidez de les acheter (et vous les 40€ de votre poche). Ensuite bien sûr, vous êtes libre de les revendre immédiatement sur le marché à 60€ et donc vous empocherez les 20€ que la boite a claqué pour vous payer la différence auparavant.* »

20€ c'est pas grand chose, mais quand on a le droit d'en acheter quelques millions, 20€ x quelques millions d'actions = beaucoup de millions €...

Donc, conclusion : « Au boulot pour faire monter l’action de la boite !! mais pas en utilisant de basses et honteuses méthodes comme au siècle dernier »

Posté le 16/05/2024 à 11h25


En effet, et maintenant pour lutter contre cette dérive, qu'on pourrait surnommer un peu
«la méthode Bernard Tapie», c.a.d « Maintenant je suis le boss, et je dégraisse à mort tout ce que je peux en terme de coûts, mais effort sur les coûts seulement, après je montre ma copie aux investisseurs & traders qui sont super contents des résultats & bénefs pour pouvoir revendre la boite ensuite ou faire monter l’action mais la boite, ben elle morte dans 5 ans »

Pareil que « je fais une grève de la faim, perdu énormément de poids, mais au final, juste en état de survie) » ou bien « j’enlève tout ce qui fait du poids dans une voiture pour qu’elle consomme et coûte moins, ne reste plus qu’un seul siège, volant et les pédales mais à Wall Street, ils applaudissent des 2 mains»

Donc maintenant les millions de titre de stocks-options attribués à un CEO ne seront dispo que 3 à 5 ans plus tard (cf pour Carlos Tavares), dès fois que le régime alimentaire sévère imposé par le CEO aurait tué le patient entre temps…

Parce que réduire les coûts, ça beaucoup sont capables de le faire, par contre, pour développer la boite et le business, ça c’est une autre paire de manches (comme disait ma grand-mère).

En aparté, stock-option veut dire simplement: droit à une option d’achat d'action à un prix fixé qui ne bougera pas:
« *dans 2 ans, vous aurez le droit de pouvoir acheter 1000 actions au prix de 40€, quelque que soit le prix de l’action à la Bourse à ce moment là. Bien sûr, si l’action vaut moins, vous êtes pas con – vous êtes CEO quand même – vous n’allez pas les acheter à 40€ si elles ne valent plus que 30€ à la Bourse.
Par contre, si elles valent 60€, et bien c’est la boite qui paiera de sa poche les 20€ de plus si vous décidez de les acheter (et vous les 40€ de votre poche). Ensuite bien sûr, vous êtes libre de les revendre immédiatement sur le marché à 60€ et donc vous empocherez les 20€ que la boite a claqué pour vous payer la différence auparavant.* »

20€ c'est pas grand chose, mais quand on a le droit d'en acheter quelques millions, 20€ x quelques millions d'actions = beaucoup de millions €...

Donc, conclusion : « Au boulot pour faire monter l’action de la boite !! mais pas en utilisant de basses et honteuses méthodes comme au siècle dernier »

Posté le 16/05/2024 à 11h25


En effet, et maintenant pour lutter contre cette dérive, qu'on pourrait surnommer un peu
«la méthode Bernard Tapie», c.a.d « Maintenant je suis le boss, et je dégraisse à mort tout ce que je peux en terme de coûts, mais effort sur les coûts seulement, après je montre ma copie aux investisseurs & traders qui sont super contents des résultats & bénefs pour pouvoir revendre la boite ensuite ou faire monter l’action mais la boite, ben elle morte dans 5 ans »

Pareil que « je fais une grève de la faim, perdu énormément de poids, mais au final, juste en état de survie) » ou bien « j’enlève tout ce qui fait du poids dans une voiture pour qu’elle consomme et coûte moins, ne reste plus qu’un seul siège, volant et les pédales mais à Wall Street, ils applaudissent des 2 mains»

Donc maintenant les millions de titre de stocks-options attribués à un CEO ne seront dispo que 3 à 5 ans plus tard (cf pour Carlos Tavares), dès fois que le régime alimentaire sévère imposé par le CEO aurait tué le patient entre temps…

Parce que réduire les coûts, ça beaucoup sont capables de le faire, par contre, pour développer la boite et le business, ça c’est une autre paire de manches (comme disait ma grand-mère).

En aparté, stock-option veut dire simplement: droit à une option d’achat d'action à un prix fixé qui ne bougera pas:


*«dans 2 ans, vous aurez le droit de pouvoir acheter 1000 actions au prix de 40€, quelque que soit le prix de l’action à la Bourse à ce moment là. Bien sûr, si l’action vaut moins, vous êtes pas con – vous êtes CEO quand même – vous n’allez pas les acheter à 40€ si elles ne valent plus que 30€ à la Bourse.
Par contre, si elles valent 60€, et bien c’est la boite qui paiera de sa poche les 20€ de plus si vous décidez de les acheter (et vous les 40€ de votre poche). Ensuite bien sûr, vous êtes libre de les revendre immédiatement sur le marché à 60€ et donc vous empocherez les 20€ que la boite a claqué pour vous payer la différence auparavant.»*

20€ c'est pas grand chose, mais quand on a le droit d'en acheter quelques millions, 20€ x quelques millions d'actions = beaucoup de millions €...

Donc, conclusion : « Au boulot pour faire monter l’action de la boite !! mais pas en utilisant de basses et honteuses méthodes comme au siècle dernier »

Posté le 16/05/2024 à 11h26


En effet, et maintenant pour lutter contre cette dérive, qu'on pourrait surnommer un peu
«la méthode Bernard Tapie», c.a.d « Maintenant je suis le boss, et je dégraisse à mort tout ce que je peux en terme de coûts, mais effort sur les coûts seulement, après je montre ma copie aux investisseurs & traders qui sont super contents des résultats & bénefs pour pouvoir revendre la boite ensuite ou faire monter l’action mais la boite, ben elle morte dans 5 ans »

Pareil que « je fais une grève de la faim, perdu énormément de poids, mais au final, juste en état de survie) » ou bien « j’enlève tout ce qui fait du poids dans une voiture pour qu’elle consomme et coûte moins, ne reste plus qu’un seul siège, volant et les pédales mais à Wall Street, ils applaudissent des 2 mains»

Donc maintenant les millions de titre de stocks-options attribués à un CEO ne seront dispo que 3 à 5 ans plus tard (cf pour Carlos Tavares), dès fois que le régime alimentaire sévère imposé par le CEO aurait tué le patient entre temps…

Parce que réduire les coûts, ça beaucoup sont capables de le faire, par contre, pour développer la boite et le business, ça c’est une autre paire de manches (comme disait ma grand-mère).

En aparté, stock-option veut dire simplement: droit à une option d’achat d'action à un prix fixé qui ne bougera pas:

«Dans 2 ans, vous aurez le droit de pouvoir acheter 1000 actions au prix de 40€, quelque que soit le prix de l’action à la Bourse à ce moment là. Bien sûr, si l’action vaut moins, vous êtes pas con – vous êtes CEO quand même – vous n’allez pas les acheter à 40€ si elles ne valent plus que 30€ à la Bourse.
Par contre, si elles valent 60€, et bien c’est la boite qui paiera de sa poche les 20€ de plus si vous décidez de les acheter (et vous les 40€ de votre poche). Ensuite bien sûr, vous êtes libre de les revendre immédiatement sur le marché à 60€ et donc vous empocherez les 20€ que la boite a claqué pour vous payer la différence auparavant. »

20€ c'est pas grand chose, mais quand on a le droit d'en acheter quelques millions, 20€ x quelques millions d'actions = beaucoup de millions €...

Donc, conclusion : « Au boulot pour faire monter l’action de la boite !! mais pas en utilisant de basses et honteuses méthodes comme au siècle dernier »

Posté le 16/05/2024 à 11h27


En effet, et maintenant pour lutter contre cette dérive, qu'on pourrait surnommer un peu
«la méthode Bernard Tapie», c.a.d « Maintenant je suis le boss, et je dégraisse à mort tout ce que je peux en terme de coûts, mais effort sur les coûts seulement, après je montre ma copie aux investisseurs & traders qui sont super contents des résultats & bénefs pour pouvoir revendre la boite ensuite ou faire monter l’action mais la boite, ben elle morte dans 5 ans »

Pareil que « je fais une grève de la faim, perdu énormément de poids, mais au final, juste en état de survie) » ou bien « j’enlève tout ce qui fait du poids dans une voiture pour qu’elle consomme et coûte moins, ne reste plus qu’un seul siège, volant et les pédales mais à Wall Street, ils applaudissent des 2 mains»

Donc maintenant les millions de titre de stocks-options attribués à un CEO ne seront dispo que 3 à 5 ans plus tard (cf pour Carlos Tavares), dès fois que le régime alimentaire sévère imposé par le CEO aurait tué le patient entre temps…

Parce que réduire les coûts, ça beaucoup sont capables de le faire, par contre, pour développer la boite et le business, ça c’est une autre paire de manches (comme disait ma grand-mère).

En aparté, stock-option veut dire simplement: droit à une option d’achat d'action à un prix fixé qui ne bougera pas:

«Dans 2 ans, vous aurez le droit de pouvoir acheter 1000 actions au prix de 40€, quelque que soit le prix de l’action à la Bourse à ce moment là. Bien sûr, si l’action vaut moins, vous êtes pas con – vous êtes CEO quand même – vous n’allez pas les acheter à 40€ si elles ne valent plus que 30€ à la Bourse.
Par contre, si elles valent 60€, et bien c’est la boite qui paiera de sa poche les 20€ de plus si vous décidez de les acheter (et vous les 40€ de votre poche). Ensuite bien sûr, vous êtes libre de les revendre immédiatement sur le marché à 60€ et donc vous empocherez les 20€ que la boite a claqué pour vous payer la différence auparavant. »

20€ c'est pas grand chose, mais quand on a le droit d'en acheter quelques millions, 20€ x quelques millions d'actions = beaucoup de millions €...

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Posté le 16/05/2024 à 11h27


En effet, et maintenant pour lutter contre cette dérive, qu'on pourrait surnommer un peu
«la méthode Bernard Tapie», c.a.d « Maintenant je suis le boss, et je dégraisse à mort tout ce que je peux en terme de coûts, mais effort sur les coûts seulement, après je montre ma copie aux investisseurs & traders qui sont super contents des résultats & bénefs pour pouvoir revendre la boite ensuite ou faire monter l’action mais la boite, ben elle morte dans 5 ans »

Pareil que « je fais une grève de la faim, perdu énormément de poids, mais au final, juste en état de survie) » ou bien « j’enlève tout ce qui fait du poids dans une voiture pour qu’elle consomme et coûte moins, ne reste plus qu’un seul siège, volant et les pédales mais à Wall Street, ils applaudissent des 2 mains»

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Parce que réduire les coûts, ça beaucoup sont capables de le faire, par contre, pour développer la boite et le business, ça c’est une autre paire de manches (comme disait ma grand-mère).

En aparté, stock-option veut dire simplement: droit à une option d’achat d'action à un prix fixé qui ne bougera pas:

« Dans 2 ans, vous aurez le droit de pouvoir acheter 1000 actions au prix de 40€, quelque que soit le prix de l’action à la Bourse à ce moment là. Bien sûr, si l’action vaut moins, vous êtes pas con – vous êtes CEO quand même – vous n’allez pas les acheter à 40€ si elles ne valent plus que 30€ à la Bourse.
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Posté le 16/05/2024 à 11h28


En effet, et maintenant pour lutter contre cette dérive, qu'on pourrait surnommer un peu
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Pareil que « je fais une grève de la faim, perdu énormément de poids, mais au final, juste en état de survie) » ou bien « j’enlève tout ce qui fait du poids dans une voiture pour qu’elle consomme et coûte moins, ne reste plus qu’un seul siège, volant et les pédales mais à Wall Street, ils applaudissent des 2 mains»

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En aparté, stock-option veut dire simplement: droit à une option d’achat d'action à un prix fixé qui ne bougera pas:

« Dans 2 ans, vous aurez le droit de pouvoir acheter 1000 actions au prix de 40€, quelque que soit le prix de l’action à la Bourse à ce moment là. Bien sûr, si l’action vaut moins, vous êtes pas con – vous êtes CEO quand même – vous n’allez pas les acheter à 40€ si elles ne valent plus que 30€ à la Bourse.
Par contre, si elles valent 60€, et bien c’est la boite qui paiera de sa poche les 20€ de plus si vous décidez de les acheter (et vous les 40€ de votre poche). Ensuite bien sûr, vous êtes libre de les revendre immédiatement sur le marché à 60€ et donc vous empocherez les 20€ que la boite a claqué pour vous payer la différence auparavant. »

20€ c'est pas grand chose, mais quand on a le droit d'en acheter quelques millions, 20€ x quelques millions d'actions = beaucoup de millions €...

Donc, conclusion : « Au boulot pour faire monter l’action de la boite !! mais pas en utilisant de basses et honteuses méthodes comme au siècle dernier »

Posté le 16/05/2024 à 11h28


En effet, et maintenant pour lutter contre cette dérive, qu'on pourrait surnommer un peu
«la méthode Bernard Tapie», c.a.d « Maintenant je suis le boss, et je dégraisse à mort tout ce que je peux en terme de coûts, mais effort sur les coûts seulement, après je montre ma copie aux investisseurs & traders qui sont super contents des résultats & bénefs pour pouvoir revendre la boite ensuite ou faire monter l’action mais la boite, ben elle morte dans 5 ans »

Pareil que « je fais une grève de la faim, perdu énormément de poids, mais au final, juste en état de survie) » ou bien « j’enlève tout ce qui fait du poids dans une voiture pour qu’elle consomme et coûte moins, ne reste plus qu’un seul siège, volant et les pédales mais à Wall Street, ils applaudissent des 2 mains»

Donc maintenant les millions de titre de stocks-options attribués à un CEO ne seront dispo que 3 à 5 ans plus tard (cf pour Carlos Tavares), dès fois que le régime alimentaire sévère imposé par le CEO aurait tué le patient entre temps…

Parce que réduire les coûts, ça beaucoup sont capables de le faire, par contre, pour développer la boite et le business, ça c’est une autre paire de manches (comme disait ma grand-mère).

En aparté, stock-option veut dire simplement: droit à une option d’achat d'action à un prix fixé qui ne bougera pas:

« Dans 2 ans, vous aurez le droit de pouvoir acheter 1000 actions au prix de 40€, quelque que soit le prix de l’action à la Bourse à ce moment là. Bien sûr, si l’action vaut moins, vous êtes pas con – vous êtes CEO quand même – vous n’allez pas les acheter à 40€ si elles ne valent plus que 30€ à la Bourse.
Par contre, si elles valent 60€, et bien c’est la boite qui paiera de sa poche les 20€ de plus si vous décidez de les acheter (et vous les 40€ de votre poche). Ensuite bien sûr, vous êtes libre de les revendre immédiatement sur le marché à 60€ et donc vous empocherez les 20€ que la boite a claqué pour vous payer la différence auparavant. »

20€ c'est pas grand chose, mais quand on a le droit d'en acheter quelques millions, 20€ x quelques millions d'actions = beaucoup de millions €...

Donc, conclusion : « Au boulot pour faire monter l’action de la boite !! mais pas en utilisant de basses et honteuses méthodes comme au siècle dernier »

Posté le 16/05/2024 à 11h29


En effet, et maintenant pour lutter contre cette dérive, qu'on pourrait surnommer un peu
«la méthode Bernard Tapie», c.a.d « Maintenant je suis le boss, et je dégraisse à mort tout ce que je peux en terme de coûts, mais effort sur les coûts seulement, après je montre ma copie aux investisseurs & traders qui sont super contents des résultats & bénefs pour pouvoir revendre la boite ensuite ou faire monter l’action mais la boite, ben elle morte dans 5 ans »

Pareil que « je fais une grève de la faim, perdu énormément de poids, mais au final, juste en état de survie) » ou bien « j’enlève tout ce qui fait du poids dans une voiture pour qu’elle consomme et coûte moins, ne reste plus qu’un seul siège, volant et les pédales mais à Wall Street, ils applaudissent des 2 mains»

Donc maintenant les millions de titre de stocks-options attribués à un CEO ne seront dispo que 3 à 5 ans plus tard (cf pour Carlos Tavares), dès fois que le régime alimentaire sévère imposé par le CEO aurait tué le patient entre temps…

Parce que réduire les coûts, ça beaucoup sont capables de le faire, par contre, pour développer la boite et le business, ça c’est une autre paire de manches (comme disait ma grand-mère).

En aparté, stock-option veut dire simplement: droit à une option d’achat d'action à un prix fixé qui ne bougera pas:

« Dans 2 ans, vous aurez le droit de pouvoir acheter 1000 actions au prix de 40€, quelque que soit le prix de l’action à la Bourse à ce moment là. Bien sûr, si l’action vaut moins, vous êtes pas con – vous êtes CEO quand même – vous n’allez pas les acheter à 40€ si elles ne valent plus que 30€ à la Bourse.
Par contre, si elles valent 60€, et bien c’est la boite qui paiera de sa poche les 20€ de plus si vous décidez de les acheter (et vous les 40€ de votre poche). Ensuite bien sûr, vous êtes libre de les revendre immédiatement sur le marché à 60€ et donc vous empocherez les 20€ que la boite a claqué pour vous payer la différence auparavant. »

20€ c'est pas grand chose, mais quand on a le droit d'en acheter quelques millions, 20€ x quelques millions d'actions = beaucoup de millions €...

Donc, conclusion : « Au boulot pour faire monter l’action de la boite !! mais pas en utilisant de basses et honteuses méthodes comme au siècle dernier »

Posté le 16/05/2024 à 11h29


En effet, et maintenant pour lutter contre cette dérive, qu'on pourrait surnommer un peu
«la méthode Bernard Tapie», c.a.d « Maintenant je suis le boss, et je dégraisse à mort tout ce que je peux en terme de coûts, mais effort sur les coûts seulement, après je montre ma copie aux investisseurs & traders qui sont super contents des résultats & bénefs pour pouvoir revendre la boite ensuite ou faire monter l’action mais la boite, ben elle morte dans 5 ans »

Pareil que « je fais une grève de la faim, perdu énormément de poids, mais au final, juste en état de survie) » ou bien « j’enlève tout ce qui fait du poids dans une voiture pour qu’elle consomme et coûte moins, ne reste plus qu’un seul siège, volant et les pédales mais à Wall Street, ils applaudissent des 2 mains»

Donc maintenant les millions de titre de stocks-options attribués à un CEO ne seront dispo que 3 à 5 ans plus tard (cf pour Carlos Tavares), dès fois que le régime alimentaire sévère imposé par le CEO aurait tué le patient entre temps…

Parce que réduire les coûts, ça beaucoup sont capables de le faire, par contre, pour développer la boite et le business, ça c’est une autre paire de manches (comme disait ma grand-mère).

En aparté, stock-option veut dire simplement: droit à une option d’achat d'action à un prix fixé qui ne bougera pas:

« Dans 2 ans, vous aurez le droit de pouvoir acheter 1000 actions au prix de 40€, quelque que soit le prix de l’action à la Bourse à ce moment là. Bien sûr, si l’action vaut moins, vous êtes pas con – vous êtes CEO quand même – vous n’allez pas les acheter à 40€ si elles ne valent plus que 30€ à la Bourse.
Par contre, si elles valent 60€, et bien c’est la boite qui paiera de sa poche les 20€ de plus si vous décidez de les acheter (et vous les 40€ de votre poche). Ensuite bien sûr, vous êtes libre de les revendre immédiatement sur le marché à 60€ et donc vous empocherez les 20€ que la boite a claqué pour vous payer la différence auparavant. »

20€ c'est pas grand chose, mais quand on a le droit d'en acheter quelques millions, 20€ x quelques millions d'actions = beaucoup de millions €...

Donc, conclusion : « Au boulot pour faire monter l’action de la boite !! mais pas en utilisant de basses et honteuses méthodes comme au siècle dernier »

Posté le 16/05/2024 à 11h45


En effet, et maintenant pour lutter contre cette dérive, qu'on pourrait surnommer un peu
«la méthode Bernard Tapie», c.a.d « Maintenant je suis le boss, et je dégraisse à mort tout ce que je peux en terme de coûts, mais effort sur les coûts seulement, après je montre ma copie aux investisseurs & traders qui sont super contents des résultats & bénefs pour pouvoir revendre la boite ensuite ou faire monter l’action mais la boite, ben elle morte dans 5 ans »

Pareil que « je fais une grève de la faim, perdu énormément de poids, mais au final, juste en état de survie) » ou bien « j’enlève tout ce qui fait du poids dans une voiture pour qu’elle consomme et coûte moins, ne reste plus qu’un seul siège, volant et les pédales mais à Wall Street, ils applaudissent des 2 mains»

Donc maintenant les millions de titre de stocks-options attribués à un CEO ne seront dispo que 3 à 5 ans plus tard (cf pour Carlos Tavares), dès fois que le régime alimentaire sévère imposé par le CEO aurait tué le patient entre temps…

Parce que réduire les coûts, ça beaucoup sont capables de le faire, par contre, pour développer la boite et le business, ça c’est une autre paire de manches (comme disait ma grand-mère).

En aparté, stock-option veut dire simplement: droit à une option d’achat d'action à un prix fixé qui ne bougera pas:

« Dans 2 ans, vous aurez le droit de pouvoir acheter 1000 actions au prix de 40€, quelque que soit le prix de l’action à la Bourse à ce moment là. Bien sûr, si l’action vaut moins, vous êtes pas con – vous êtes CEO quand même – vous n’allez pas les acheter à 40€ si elles ne valent plus que 30€ à la Bourse.
Par contre, si elles valent 60€, vous allez "exercer votre option" et c’est la boite qui paiera de sa poche les 20€ de plus si vous décidez de les acheter (et vous les 40€ de votre poche). Ensuite bien sûr, vous êtes libre de les revendre immédiatement sur le marché à 60€ et donc vous empocherez les 20€ que la boite a claqué pour vous payer la différence auparavant. »

20€ c'est pas grand chose, mais quand on a le droit d'en acheter quelques millions, 20€ x quelques millions d'actions = beaucoup de millions €...

Donc, conclusion : « Au boulot pour faire monter l’action de la boite !! mais pas en utilisant de basses et honteuses méthodes comme au siècle dernier »

Posté le 16/05/2024 à 11h47


En effet, et maintenant pour lutter contre cette dérive, qu'on pourrait surnommer un peu
«la méthode Bernard Tapie», c.a.d « Maintenant je suis le boss, et je dégraisse à mort tout ce que je peux en terme de coûts, mais effort sur les coûts seulement, après je montre ma copie aux investisseurs & traders qui sont super contents des résultats & bénefs pour pouvoir revendre la boite ensuite ou faire monter l’action mais la boite, ben elle morte dans 5 ans »

Pareil que « je fais une grève de la faim, perdu énormément de poids, mais au final, juste en état de survie) » ou bien « j’enlève tout ce qui fait du poids dans une voiture pour qu’elle consomme et coûte moins à l'utilisation, mais au final ne reste plus qu’un seul siège, un volant et les pédales... mais à Wall Street, ils applaudissent des 2 mains»

Donc maintenant les millions de titre de stocks-options attribués à un CEO ne seront dispo que 3 à 5 ans plus tard (cf pour Carlos Tavares), dès fois que le régime alimentaire sévère imposé par le CEO aurait tué le patient entre temps…

Parce que réduire les coûts, ça beaucoup sont capables de le faire, par contre, pour développer la boite et le business, ça c’est une autre paire de manches (comme disait ma grand-mère).

En aparté, stock-option veut dire simplement: droit à une option d’achat d'action à un prix fixé qui ne bougera pas:

« Dans 2 ans, vous aurez le droit de pouvoir acheter 1000 actions au prix de 40€, quelque que soit le prix de l’action à la Bourse à ce moment là. Bien sûr, si l’action vaut moins, vous êtes pas con – vous êtes CEO quand même – vous n’allez pas les acheter à 40€ si elles ne valent plus que 30€ à la Bourse.
Par contre, si elles valent 60€, vous allez "exercer votre option" et c’est la boite qui paiera de sa poche les 20€ de plus si vous décidez de les acheter (et vous les 40€ de votre poche). Ensuite bien sûr, vous êtes libre de les revendre immédiatement sur le marché à 60€ et donc vous empocherez les 20€ que la boite a claqué pour vous payer la différence auparavant. »

20€ c'est pas grand chose, mais quand on a le droit d'en acheter quelques millions, 20€ x quelques millions d'actions = beaucoup de millions €...

Donc, conclusion : « Au boulot pour faire monter l’action de la boite !! mais pas en utilisant de basses et honteuses méthodes comme au siècle dernier »

Posté le 16/05/2024 à 11h50


En effet, et maintenant pour lutter contre cette dérive, qu'on pourrait surnommer un peu
«la méthode Bernard Tapie», c.a.d « Maintenant je suis le boss, et je dégraisse à mort tout ce que je peux en terme de coûts, mais effort sur les coûts seulement, après je montre ma copie aux investisseurs & traders qui sont super contents des résultats & bénefs pour pouvoir revendre la boite ensuite ou faire monter l’action mais la boite, ben elle morte dans 5 ans »

Pareil que « je fais une grève de la faim, perdu énormément de poids, mais au final, juste en état de survie) » ou bien « j’enlève tout ce qui fait du poids dans une voiture pour qu’elle consomme et coûte moins à l'utilisation, mais au final ne reste plus qu’un seul siège, un volant et les pédales... mais à Wall Street, ils applaudissent des 2 mains»

Donc maintenant les millions de titre de stocks-options attribués à un CEO ne seront dispo que 3 à 5 ans plus tard (cf pour Carlos Tavares), dès fois que le régime alimentaire sévère imposé par le CEO aurait tué le patient entre temps…

Parce que réduire les coûts, ça beaucoup sont capables de le faire, par contre, pour développer la boite et le business, ça c’est une autre paire de manches ("une autre paire de manches" comme disait ma grand-mère).

En aparté, stock-option veut dire simplement: droit à une option d’achat d'action à un prix fixé qui ne bougera pas:

« Dans 3-5 ans, vous aurez le droit de pouvoir acheter 1000 actions au prix de 40€, quelque que soit le prix de l’action à la Bourse à ce moment là. Bien sûr, si l’action vaut moins, vous êtes pas con – vous êtes CEO quand même – vous n’allez pas les acheter à 40€ si elles ne valent plus que 30€ à la Bourse.
Par contre, si elles valent 60€, vous allez "exercer votre option" et c’est la boite qui paiera de sa poche les 20€ de plus si vous décidez de les acheter (et vous les 40€ de votre poche). Ensuite bien sûr, vous êtes libre de les revendre immédiatement sur le marché à 60€ et donc vous empocherez les 20€ que la boite a claqué pour vous payer la différence auparavant. »

20€ c'est pas grand chose, mais quand on a le droit d'en acheter quelques millions, 20€ x quelques millions d'actions = beaucoup de millions €...

Donc, conclusion : « Au boulot pour faire monter l’action de la boite !! mais pas en utilisant de basses et honteuses méthodes comme au siècle dernier »

Tant que les directeurs généraux des entreprises recevaient un salaire, la logique était d’améliorer les résultats pour augmenter les salaires. Puis les financiers ont décidé de faire de l’argent (artificiel) en rémunérant les directeurs avec des stocks options. Plus la bourse accordait de la valeur aux actions, meilleur était le rendement des actions revendues. Et ce que consultent les actionnaires est souvent la masse salariale. Moins de salaires, plus de dividendes. Il faut rappeler aux dirigeants quel les titres ne font pas le travail.
C’était au début une vanne sur l’étage supérieur du lanceur (Atlas V), ...


Et à la fin, ça en devient une vanne de dire que Starliner peut décoller...
Flock! il me faut absolument un dessin de starliner retapé avec des vieilles planches et des clous pour vendredi :mdr2:
Je le sens bien capable de le faire en plus 😅.
J’espère que les 2 astronautes ont contracté pour une super assurance-vie… pour assurer l'avenir de leurs proches pour dans plus tard… enfin peut-être pour bientôt en fait...
J'ai vu dernièrement un DIY sur le sepuku....

Timanu69

J'ai vu dernièrement un DIY sur le sepuku....
Sachant aussi que le suicide est un motif proscrit et non valable au regard des assureurs pour les proches pour pouvoir prétendre à toucher l'assurance-vie de la personne décédée.

Il faut que ça soit validée comme une cause "naturelle". :D:

Apres, glisser d'une falaise à Etretat en faisant un selfie à la con, ça peut arriver, ha non c'est déjà arrivé !! :reflechis:
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