Spotify renforce ses conditions d'utilisation et ne veut plus des bloqueurs de publicité

Spotify renforce ses conditions d’utilisation et ne veut plus des bloqueurs de publicité

Spotify renforce ses conditions d'utilisation et ne veut plus des bloqueurs de publicité

Le service de streaming musical vient de mettre à jour ses règles, notamment pour prendre en compte la vente et la gestion d'un abonnement par des tiers. Mais d'autres modifications sont présentes.

Il n'est par exemple plus demandé de suivre les règles et d'encourager les autres à faire de même. C'est désormais une obligation (point 9). Les cas de triches évoqués sont plus nombreux : utiliser des bots, augmenter de manière factice le nombre de followers, fournir ou accepter une compensation financière, etc.

De nouvelles interdictions sont de la partie : indexer le site pour simplement visualiser ou accéder à des données n'est plus autorisé, contre la seule collecte jusqu'à présent.

Bloquer la publicité et développer des outils pour le faire deviennent des raisons suffisantes pour bloquer un compte. Notez que le partage de compte était déjà prohibé.

Spotify aura probablement fort à faire pour détecter efficacement ces bloqueurs. Des éditeurs de presse avaient un temps engagé cette lutte, avant de se raviser pour la plupart.

Les conditions générales françaises n'ont pour le moment pas été mises à jour et datent toujours de novembre 2016.

Commentaires (12)


Pas le même business que les éditeurs de presses. Franchement je donne raison à Spotify. Si tu veux écouter sans payer et sans pub… bah vas ailleurs.


Sauf que, si j’ai bien compris, le blocage des publicités est interdit pour tous.

Du reste, selon moi, agir par blocage risque plus d’énerver les utilisateurs que de les encourager à payer.


1,3% de leur base d’utilisateurs utilise l’offre gratuite en bloquant les pubs. Ca fait environ 2 millions de comptes.



S’ils font tomber le couperet direct, cela fera autant de données utilisateur en moins pour alimenter leur machine learning.



 








Hugues1337 a écrit :



Pas le même business que les éditeurs de presses. Franchement je donne raison à Spotify. Si tu veux écouter sans payer et sans pub… bah vas ailleurs.





Bah… c’est justement ce que les gens fonts.



A mon sens quand une boite commence à faire ce genre de chose, c’est que c’est la panique financière - ou un rachat en vue.

Dans les 2 cas, un #fail.

 



Si ils pouvaient travailler la stabilité de leur application Android déjà <img data-src=" />








OB a écrit :



Bah… c’est justement ce que les gens fonts.



A mon sens quand une boite commence à faire ce genre de chose, c’est que c’est la panique financière - ou un rachat en vue.

Dans les 2 cas, un #fail.





Si tu a 2 millions de personnes qui écoutes des morceaux sans pub et sans premium tu dois toujours reverser les royalties aux différents ayant droits, ces charognards te coutent donc de l’argent, ils doivent donc dégager……




Yep. Mais c’est un #fail qu’on te dit. :-)








misterB a écrit :



Si tu a 2 millions de personnes qui écoutes des morceaux sans pub et sans premium tu dois toujours reverser les royalties aux différents ayant droits, ces charognards te coûtent donc de l’argent, ils doivent donc dégager……





Bah pourquoi l’avoir proposé en 1er lieu alors ? Ca coûtait de l’argent dès le départ…

(Et le “problème” de la pub existe depuis que la diffusion existe…).

&nbsp;

Bref. On verra bien ce qu’il adviendra. Ptet que la base payante de spotify sera suffisante…&nbsp;









atchisson a écrit :



Si ils pouvaient travailler la stabilité de leur application Android déjà <img data-src=" />





Elle fonctionne très bien leur appli Android. Et même celle sur Linux.



Je trouve normal que Spotify bloque les compte utilisant un bloqueur de pub. Mais on peux aussi se demander le pourquoi pour Spotify face aux bloqueurs sur le net…



Devoir forcer le mode hors ligne et/ou kill l’application à la bourrin pour que la recherche et l’affichage des playlists daigne fonctionner, c’est pas ce que j’appelle très bien, et tous les gens de mon entourage ont ce genre de problèmes.



Sinon oui, les applis desktop fonctionnent bien.


L’application sur Android, même pour les abonnements payants, contient 9 pisteurs.&nbsp;

Pour moi, c’est du vol de données privées. C’est tout autant malhonnête (si pas plus) que le piratage d’oeuvre.

&nbsp;

Edit: Encore un abonnement que je vais arrêter.


A mon avis pas nouveau.

Pour le pistage de faceboock, il suffit de ne pas donner l’autorisation à cette plateforme.

Il est à voir une chose : les gens demande à utiliser leur application partout. Malheureusement ceci s’accompagne de pisteurs.

Sinon, un peu plus de détails permet néanmoins de limiter ta réflexion :&nbsp; outil d’audience, outils d’analyse d’utilisation et outils de reports lors de crash. Plus simple d’utiliser des solutions déjà prêtes&nbsp; que d’en développer.


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