Disponible depuis hier aux États-Unis et dans une poignée de pays, le service de streaming a connu un départ difficile, comme en attestent les nombreux messages sur les réseaux sociaux.
La société s'est fendue d'un message sur Twitter, en ressortant l'excuse la plus courante dans ce genre de cas : « La demande des consommateurs pour Disney+ a dépassé nos attentes. Nous travaillons pour résoudre rapidement le problème actuel des utilisateurs. Nous apprécions votre patience ». Par contre, aucune donnée chiffrée sur l'affluence n'a été dévoilée.
Pour rappel, Disney+ arrivera en France le 31 mars 2020.
Commentaires (19)
#1
Genre…
“On voulait vraiment être sûr de ne pas dépenser trop pour notre infrastructure…”
Avec le cloud, tu scale ton infra à la demande. Cette excuse ne marche plus.
#2
on ne peut pas dire que des services d’une telle ampleur soient lancés tous les jours
je ne suis pas convaincus que l’on puisse dire qu’ils auraient pu anticiper
si ça dure plusieurs jours oui sur la seule journée de lancement je ne pense (là où tout le monde s’est inscrit/connecté/lancé une vidéo dans les premières heures)
#3
J’aurais été d’accord il y a quelques années, mais de nos jours avec le cloud on peut automatiser la montée en puissance en fonction de la demande, et en une heure tu n’as plus de problèmes (+ resiliation automatique).
Donc je rejoins l’avis de dirtyvader, surtout pour un service payant “juste” pour les disney.
#4
scaler oui, mais pas de manière instantané, surtout avec ce genre de service.
Pour répliquer toute leur bibliothèque de video sur une nouvelle instance ça prend du temps.
Quand on voit les posts du blog tech de netflix pour expliquer leur infra, c’est vraiment pas du cloud classique qui est nécessaire pour ces services.
#5
Qui va vraiment éviter d’avoir une news “Notre service est tellement demandé qu’on a du mal à répondre à la demande”, sorti un peu partout, les gens s’offusquent mais au final ils parlent du service et ça fait de la pub, le temps que les pubs articles sortent partout le service est revenu est les gens peuvent s’abonner.
Je suis sur que ce genre de choses doit être appris en école de commerce.
#6
oui c’est ce que j’allais dire, vu la taille du truc ça m’étonnerait qu’ils n’aient pas leur propre datacenter, ducoup un upgrade ne se fait pas en claquant des doigts…
#7
Plan comm classique.
#8
C’est la méthode Nintendo de la rupture de stock systématique.
#9
ton pseudo indique clairement un conflit d’intérêts " />
#10
Nintendo, Sony, Microsoft, etc.
Ils le font tous
#11
Désolé, mais dans ce cas là, on ne réplique pas une telle quantité de data sur chaques instance. Tout est sur volume distribués, et les nouvelles instances se connectent à ces volumes. Sinon je me fais moine et j’arrête d’être cloud architect
#12
Y’a qu’à demander aux 7 nains de piocher plus vite !
#13
C’est de la donnée froide le fichier vidéo… Il n’est pas dupliquer sur chaque serveur mais chargé et encodé à la volé par les serveurs qui stream le contenu à l’utilisateur. Ça c’est scalable… Je serais sacrément curieux de l’architecture quand même
#14
Maintenant le service est enfin Libéré…délivré… " />
#15
L’excuse n’est pas trop exagérée, Disney + a totalisé plus de 10 Millions d’abonnés en 24h :https://variety.com/2019/digital/news/disney-says-disney-plus-has-over-10-millio…
#16
ha oui quand même, ce n’est pas anodin " />
#17
#18
#19
Merci.
Le cloud c’est pas magique, encore plus pour des grosses infras.
Et le scalling possible dépend aussi du contrat, donc c’est pas infini non plus