#ParadisePapers : la finance offshore n’épargne pas le secteur des nouvelles technologies
Le 06 novembre 2017 à 09h00
1 min
Économie
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Après les Panama Papers, les Paradise Papers ont fait hier l'objet de multiples publications par une centaine de médias membres de l'ICIJ, qui travaillent sur cette enquête depuis un an, impliquant près de 400 journalistes dans le monde.
13,4 millions de documents issus de fuites chez Appleby et Asiaciti, mais aussi dans les registres de plusieurs paradis fiscaux, ont ainsi commencé à être analysés, impliquant près de 120 politiciens et leaders du monde et exposant les montages offshore dont ils ont bénéficié.
Le Monde nous apprend ainsi comment de l'argent russe a été investi dans des entreprises telles que Facebook et Twitter, aujourd'hui accusées de favoriser la diffusion de fausses informations, notamment sous influence russe.
Apple et Uber font également partie des entreprises citées dans les premières révélations de cette enquête, qui fera l'objet d'un nouveau numéro de Cash Investigation ce mardi à 20h55.
Le 06 novembre 2017 à 09h00
Commentaires (4)
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Abonnez-vousLe 06/11/2017 à 10h02
Le Monde nous apprend ainsi comment de l’argent russe a été investi dans des entreprises telles que Facebook et Twitter, aujourd’hui accusées de favoriser la diffusion de fausses informations, notamment sous influence russe.
Je sais que l’on est dans une brève et qu’il faut faire court mais Le Monde dit aussi qu’il n’y a a priori pas de rapport entre les 2, enfin dans la partie publique de l’article. C’est effectivement plus que probable, puisque ces investissements ont duré juste le temps de faire une forte plus-value lors de l’introduction en bourse.
De toute façon, je pense qu’on aura un article plus détaillé sur ces nouveaux “Papers”.
Le 06/11/2017 à 11h37
Et on aura les mêmes conséquences que pour les Panama Papers : rien, à part de l’indignation générale.
Les ultra riches doivent bien se marrer.
Le 06/11/2017 à 16h21
Le Qatar investit en France, la Russie investit dans Uber et Facebook… C’est quoi cette diplomatie par l’investissement ?
Et la France, dans quoi investit-elle ? Dans Peugeot pour corrompre le marché chinois ? (ah non, Peugeot, ce sont les chinois qui ont mis un pied dans la recherche/développement française)
Le 07/11/2017 à 22h39