La NASA lance officiellement un appel à projets pour des atterrisseurs lunaires habitables
Le 01 octobre 2019 à 10h11
1 min
Sciences et espace
L'agence spatiale laisse jusqu'au 1er novembre à ses partenaires pour lui envoyer des propositions. But de l'opération : envoyer un équipage composé d'au moins une femme sur notre satellite naturel d'ici 2024. Une seconde opération est prévue pour 2025.
La NASA le reconnaît, le calendrier est pour le moins ambitieux… à tel point qu'un responsable de la NASA a émis des réserves sur l'objectif de 2024.
Le 01 octobre 2019 à 10h11
Commentaires (11)
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Abonnez-vousLe 01/10/2019 à 10h13
#1
Je ne comprend pas le besoin de précision sur le sexe de l’équipage.
Ils y arrive dans l’ISS pourquoi pas sur la lune ?
Le 01/10/2019 à 10h35
#2
Soit ils feront des expériences sur le sujet, et ont précisément besoin que ce soit une femme, soit il s’agit de discrimination positive juste pour la com’…
Le 01/10/2019 à 11h02
#3
Soit il faut prendre en compte les caractéristiques liées aux femmes :
–> ok je sors.
Mais la première phrase reste vraie, notamment pour les besoins naturels j’imagine que ça doit changer des choses (faire pipi dans une bouteille c’est moins facile pour elles, alors il faudra bien prévoir qch pour dans le vaisseau).
Le 01/10/2019 à 11h15
#4
Je me pose la même question.
Mais bon rien à voir car l’ISS est immense alors qu’un atterrisseur lunaire est minuscule, tu n’as pas d’intimité et tu fais caca dans un sac plastique.
Le 01/10/2019 à 15h37
#5
Le 01/10/2019 à 18h19
#6
Le 01/10/2019 à 20h47
#7
Putain grand prince la Nasa, ils autorisent une femme à aller sur la lune. J’espère que ça sera pour faire la cuisine et le ménage, sinon je ne vois pas l’intérêt!
Le 02/10/2019 à 09h18
#8
C’est scientifiquement intéressant d’envoyer une femme.
Elles n’ont pas la même constitution qu’un homme, les impacts sur le corps ne sont pas les mêmes sur un séjour prolongé.
En dehors des considérations idéologiques, si un jour nous voulons coloniser un autre espace que la Terre, il faut bien pouvoir mesurer les impacts physiologiques (et mentals) des hommes et des femmes lors d’un voyage et séjour en dehors de notre planète.