La France aurait envisagé d'acheter le logiciel espion Pegasus de NSO

La France aurait envisagé d’acheter le logiciel espion Pegasus de NSO

La France aurait envisagé d'acheter le logiciel espion Pegasus de NSO

D'après la MIT Technology Review, des responsables du gouvernement français étaient « aux dernières étapes des négociations contractuelles » visant à acheter les outils de piratage Pegasus à NSO lorsque le consortium Forbidden Stories a révélé que Pegasus aurait potentiellement visé le téléphone portable d'Emmanuel Macron, ainsi que de nombreux autres responsables politiques, dissidents, journalistes et militants des droits humains dans le monde entier.

Des sources proches de l'accord affirment que le processus se serait « effondré après les accusations selon lesquelles des politiciens français faisaient potentiellement partie des personnes ciblées, et les négociations ont été rompues quelques jours seulement avant la date prévue de la vente ».

Alors qu'Israël aurait depuis réussi à calmer la situation avec la France, les tentatives pour rétablir les relations avec les États-Unis ont été beaucoup plus difficiles, après que les États-Unis aient sanctionné NSO Group en la plaçant sur sa liste noire. 

Les employés de l'entreprise contactés par la MIT Technology Review, qui lui ont parlé sous couvert d'anonymat, affirment que les sanctions et les scandales ont laissé NSO « face à une crise existentielle ». 

Bloomberg a depuis rapporté que Wall Street évitait NSO et le traitait « comme un actif en détresse » ; il serait au surplus « aux prises avec une dette de plus de 500 millions de dollars et un risque croissant d'insolvabilité » ; en outre, son nouveau PDG a démissionné une semaine seulement après avoir été nommé…

Commentaires (7)


La rétro-ingénierie a ses limites, on ne peut pas avoir le 19eme siècle, l’atome, et l’oreille cassée en même temps. :ouioui:


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La France aurait envisagé d’acheter le logiciel espion Pegasus de NSO




Bah j’espère bien.
L’idéalisme c’est pas un outil très efficace dans le monde l’espionnage.



Des sources proches de l’accord affirment que le processus se serait « effondré après les accusations selon lesquelles des politiciens français faisaient potentiellement partie des personnes ciblées, et les négociations ont été rompues quelques jours seulement avant la date prévue de la vente ».




Pourtant avec une démo aussi convaincante, ça aurait du les rassurer :troll:


Ahah l’affaire est sortie pile au mauvais moment pour les affaires ! :mdr: Encore heureux qu’on ne l’ai pas racheté pile quelques jours AVANT les révélations, ça aurait été un achat fiasco.



“Les français, oui, les dirigeants français, alors ça non !”




pas taper ^^


”…après que les États-Unis aient ONT sanctionné”



Merci, de rien.


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