La Commission européenne prône une « approche commune » des applications de contact tracing
Le 14 mai 2020 à 09h31
2 min
Société numérique
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Elle commence par rappeler qu’une « application d'alerte et de traçage des contacts est volontairement installée et utilisée pour alerter ses utilisateurs au cas où ils se seraient trouvés, pendant un certain temps, à proximité d'une personne ayant signalé avoir été dépistée positive à la Covid-19 ». En France, c’est Stop Covid qui est en train d’être développée.
Dans une série de questions/réponses, la CE rappelle ses lignes directrices sur l’interopérabilité transfrontière : « Il s'agit de principes communs et généraux visant à faire en sorte que les applications de traçage puissent communiquer entre elles si nécessaire, de sorte que les citoyens puissent signaler avoir été dépistés positifs ou recevoir une alerte, quel que soit l'endroit où ils se trouvent dans l'UE et quelle que soit l'application qu'ils utilisent ».
La Commission enfonce le clou : les applications « devraient, en outre, fonctionner partout dans l'UE, par-delà les frontières et entre les différents systèmes d'exploitation. L'interopérabilité est déterminante, de sorte qu'une adoption large et volontaire d'applications nationales de traçage puisse soutenir l'assouplissement des mesures de confinement et la levée des restrictions à la libre circulation dans toute l'UE ».
Le 14 mai 2020 à 09h31
Commentaires (5)
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Abonnez-vousLe 14/05/2020 à 09h12
Pas de soucis, la France va imposer stop-covid aux autres pays… enfin quand il sortira 😁
Le 14/05/2020 à 09h49
Le 2 juin " />
Le 14/05/2020 à 10h22
…et la levée des restrictions à la libre circulation dans toute l’UE
Ou quant la religion (capitalisme) passe avant la science " />
Le 14/05/2020 à 13h51
C’est beau d’y croire. A part une monnaie et de la paperasse réglementaire, on a rien de commun en Europe.
Le 14/05/2020 à 15h09
Et encore… la Zone Euro correspond à 19 pays et l’Union européenne à 27 pays.
À part une zone tarifaire (droits de douane, commissions bancaires SEPA, itinérance mobile, etc) et autres simplifications normatives entres États-membres, ce n’est pas l’UE qui va s’occuper d’une quelconque politique de santé publique.