Elle est entrée à l’Agence spatiale américaine en 1992 comme responsable d’une des parties de la navette spatiale. Depuis 2014, elle était directrice du programme des vols commerciaux habités, en cours de validation chez SpaceX (Crew Dragon) et Boeing (Starliner).
Elle était donc responsable du lancement sans encombre de Demo-2 de SpaceX.
Son prochain objectif est donc le retour des humains sur la Lune, en 2024. Elle a été nommée par Jim Bridenstine, l’administrateur de la NASA.
Commentaires (7)
#1
“Un petit pas pour la femme, un grand pas pour la mixité” ?
Mmm, pas sûr …
#2
On s’en fout de son sexe, du moment qu’elle fait le taff.
#3
Oui, et le fait que ce soit la première montre bien que les recruteurs jusqu’à présent ne se fichaient pas du sexe des candidats. Donc, le fait qu’elle soit une femme est important ici.
#4
Non, on s’en fout totalement. Sa couleur de peau aussi hey. Ses croyances, ce qu’elle mange, bref, on s’en fout. Elle fait le taff ? Cool. Elle fait pas le taff ? Qu’on la remplace.
#5
Dire que l’on est indifférent à X dans le contexte d’un groupe de personnes discriminés par rapport à X revient à être indifférent à cette discrimination ou à la nier.
Pour reconnaître la discrimination et donc pouvoir la corriger, il faut être conscient que X est une source de discrimination.
#6
On ne s’en fiche pas pour la simple et bonne raison qu’il y a une fil d’attente énorme derrière qui piétine pour avoir le job. S’il s’agissait seulement de compétences à avoir, il y a belle lurette qu’une femme noire serait déjà allée sur la Lune ou devenue Présidente de la République française. Or, ce n’est pas le cas et tout le monde sait pourquoi (même si je pense bien qu’il reste quelques réactionnaires qui pensent encore que les personnes à la peau noire seraient le chainon manquant entre l’homme à la peau blanche et le primate et que la femme ne devrait pas trop se fatiguer parce que sinon sa faible constitution la ferait tomber en syncope ou devenir hystérique).
#7
Non et non. Si vous voulez arrêtez cette discrimination il faut parler comme si c’était un acte normal d’y avoir une femme. Donc oui on s’en fout totalement.