Il y a vingt ans, l’euro débarquait
Le 03 janvier 2022 à 09h22
1 min
Économie
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« Le 1er janvier 2002, douze pays de l'UE renonçaient à leurs billets et pièces nationaux pour passer à l'euro, lors de ce qui a constitué le plus grand changement de monnaie de l'histoire », rappelle la Commission européenne.
Elle en profite pour donner quelques chiffres : « Il est utilisé aujourd'hui par plus de 340 millions de personnes dans 19 pays de l'UE ; 27,6 milliards de billets en euros sont en circulation pour une valeur d'environ 1,5 billion d'euros. L'euro est actuellement la deuxième monnaie la plus utilisée au monde derrière le dollar américain ».
La suite se prépare : « l'UE poursuit les efforts entrepris pour renforcer le rôle international de l'euro et adapter la monnaie unique aux nouveaux défis, dont la numérisation rapide de l'économie et le développement des monnaies virtuelles. Un euro numérique en complément des espèces permettrait de soutenir un secteur des paiements bien intégré et élargirait le choix des consommateurs et des entreprises ».
Le 03 janvier 2022 à 09h22
Commentaires (9)
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Abonnez-vousLe 03/01/2022 à 15h57
C’est assez drole de voir tout les publications sortir en même temps et avec plus ou moins le meme contenu pour défendre l’euro
Le 03/01/2022 à 17h34
C’est normal que le contenu soit le même, il est fourni par la Commission Européenne. L’essentiel du contenu de cette brève est en italique et entre guillemets.
Par contre, que tous les média tombent dans le piège de la communication institutionnelle de la Commission, ce n’est pas normal.
Le 03/01/2022 à 18h44
La seul solution pour que la France de retrouve sa grandeur , son indépendance et la sécurité c’est de quitter l’U.E et revenir en francs.
Nos décideurs vendent notre pays et nos entreprises auw étrangers ( coucou Mac…) .
Incroyable que des personnes défendent encore l’U.E c’est criminel
Le 04/01/2022 à 02h04
ouais, bien sur, on reviens au franc (sans compter la R&D, design, mesures de sécurité, le transport, la paperasse, la création d’un nouveau marché financier et autres, ça coûte combien de milliards juste pour imprimer une nouvelle monnaie, déjà? et je parle même pas du fait qu’on se mettra à dos des entreprises monétaires qui peuvent couler des pays simplement en leur collant une note), on quitte l’europe (tiens, ça me rappelle un autre pays qui a plein de merdes à cause de ça… et eux n’avaient pas à changer de monnaie), et la suite c’est quoi? interdire la technologie car principalement étrangère? foutre le pen(is) au pouvoir? faire comme la grèce et devenir un pays surendetté?
le bruit de bottes est déjà assez assourdissant comme ça, c’est pas la peine de rajouter la chemise brune…
l’indépendance a un prix exorbitant qu’on ne peux plus se permettre de payer depuis longtemps…
Le 06/01/2022 à 13h07
ha c’est vrai que la Grèce peut dire merci à l’Europe de l’avoir sauvé (passer d’un endettement de 120% en 2010 à 205% du pib en 2020, et en ayant vendu toutes ses infrastructures, un service publique massacré, ça a été un sacré plan de sauvegarde
)
Le 04/01/2022 à 02h04
Et pourquoi pas la Gaule tant qu’on y est, histoire de vraiment devenir insignifiant…
Le 04/01/2022 à 09h01
Ces 3 derniers message sont légèrement polarisés. Limite point GodWin.
Quoiqu’il en soit on a toujours les idées plus libres quand on a le ventre plein et qu’on dort au chaud.
Le 04/01/2022 à 10h55
ce qui s’appelle citer ses sources.
Le 04/01/2022 à 15h12
Présent dans l’article, avec un joli lien que je n’ai ni copié, ni consulté, mais ça semble pointer vers un site institutionnel lié à l’Union Européenne (peut-être ajouté après ce commentaire…?)
Ça s’appelle effectivement : “citer ses sources”.