Google partage ses données d'ensoleillement avec Engie en France

Google partage ses données d’ensoleillement avec Engie en France

 Google partage ses données d'ensoleillement avec Engie en France

Le projet Sunroof s’étend à la France, qui devient ainsi le premier pays à en profiter après les États-Unis. Google s’est associé pour l’occasion à Engie.

Sunroof « évalue l’ensoleillement des toits, en tenant compte des tendances météorologiques historiques, de la position du Soleil selon les saisons, de la forme des toits et de l’ombre induite par les objets situés à proximité, comme les arbres ou les bâtiments adjacents ». Les données proviennent de Google Earth et Maps.

Environ 2 000 villes françaises sont ainsi dans les bases de données du géant. Le partenariat avec Engie assure de la visibilité à ce dernier, puisque l’internaute est orienté vers son site officiel pour y demander un devis d’installation de panneaux solaires.

Par exemple, pour 20m² de toiture utilisée sur le toit d’une résidence bordelaise, Engie estime la production d’électricité à 4 090 kWh par an, ce qui représenterait 542 euros d’économies annuelles. Des estimations rapides que le prestataire propose évidemment de compléter par l’envoi d’un technicien.

D’autres partenariats sont manifestement à venir. Google roule des mécaniques sur le sujet, vantant son passage total aux énergies renouvelables depuis l’année dernière et la disponibilité de ses données d’ensoleillement.

Pour l’instant, 60 % du territoire est couvert, avec une prédilection bien sûr pour les zones urbaines. Le chiffre doit cependant progresser, mais on ne sait pas à quel rythme.

Commentaires (5)


“Désolé, un problème technique est survenu.”



Donc pas encore ça, l’outil engie <img data-src=" />


Ce qui serait intéressant, c’est que google maps utilise ces données pour proposer un cheminement le plus a l’ombre possible l’été (ou au soleil l’hiver) quand on est en mode piéton <img data-src=" />


C’est pourtant plus utile, moins cher et plus “écolo” d’installer des panneaux solaires thermiques, qui aident à produire l’eau chaude et à chauffer.


pas assez cher…



bon, en vrai, plutôt cher en France mais très commun dans les pays un peu moins développés, ou à qui la production d’électricité pose problème (vu à Madère ou dans le centre de la Chine, par exemple).


à Malte en 2012 j’ai vu énormément de toits avec des chauffe-eaux solaires, dont la maison où j’étais. Ils ont plus de soleil que nous, mais pas tellement plus je crois que par exemple à Toulouse.

J’ai d’ailleurs un pote à Toulouse qui a installé (ou fait installer) il y des années plusieurs mètres carrés de panneaux sur son toit, censés faire baisser des 23 sa facture d’eau chaude et chauffage (assurés par une chaudière classique sinon).


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