Facebook dévoile les six premiers cas étudiés par son Conseil de surveillance
Le 02 décembre 2020 à 08h53
2 min
Internet
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« Plus de 20 000 cas ont été soumis […] lors du lancement des appels d’utilisateurs en octobre 2020 », explique le réseau social.
Le Conseil explique ne pas pouvoir tous les traiter et a donc donné « la priorité aux cas pouvant potentiellement toucher de nombreuses personnes à travers le monde, ayant une importance cruciale pour le débat public ou soulevant des questions majeures ».
Six ont été sélectionnés par le Conseil, dont cinq soumis par des utilisateurs et un par Facebook lui-même. Trois concernent la question des discours haineux : les déclarations de l’ancien Premier ministre malaisien, la photo d’un enfant décédé, des églises à Bakou en Azerbaïdjan.
Il y a aussi la nudité avec des « photographies comprenant des tétons féminins visibles » dans le cadre de la campagne nationale « Octobre rose », ainsi que les personnes et organisations dangereuses (à cause d’une citation censée être de Goebbels). Enfin la dernière sur fond de Covid-19, à la demande de Facebook.
Le Conseil de surveillance lance un appel à commentaires publics pendant sept jours. Le jury devra ensuite délibérer. Cinq nouveaux fiduciaires sont nommés au passage.
Le 02 décembre 2020 à 08h53
Commentaires (4)
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Abonnez-vousLe 02/12/2020 à 11h48
Des cas de quoi ? Conseil de surveillance de quoi ?
L’absence de contexte nuit à la qualité de l’information fournie.
On finit par deviner qu’il doit s’agir d’un “contre-contrôle” de la modération interne par une entité plus ou moins indépendante, avec requête d’avis du public pour s’aiguiller…
Mais ce serait nettement mieux d’avoir juste une phrase qui clarifie ça immédiatement.
Le 02/12/2020 à 13h10
Complètement d’accord. On ne comprend rien à ce qu’est censé faire ce Conseil.
Le 02/12/2020 à 13h42
Malheureusement, j’ai l’impression que ca devient courant sur les articles du brief depuis qq temps
Le 02/12/2020 à 13h55
C’est pour démontrer ce qu’ils disent depuis longtemps : une information gratuite ne vaut pas grand chose.