Enquête en Irlande sur les liens raccourcis de Twitter
Le 15 octobre 2018 à 09h16
1 min
Droit
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Michael Vale, un professeur britannique s'est intéressé aux liens raccourcis t.co, générés par Twitter. Selon lui, il s'agirait d'un moyen de collecter des données, mêmes rudimentaires, sur l'activité de ses utilisateurs. Un point que l'entreprise dément formellement.
Cela n'a pas empêché Michael Vale de déposer une requête auprès de la Commission de protection des données (DPC), l'équivalent irlandais de la CNIL, comme l'explique The Verge. Une enquête est désormais en cours et doit déterminer si le service de raccourcissement d'URL de Twitter est bien en conformité avec le RGPD.
Le 15 octobre 2018 à 09h16
Commentaires (6)
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Abonnez-vousModifié le 09/12/2024 à 21h43
Le 15/10/2018 à 13h14
mais non voyons, c’est évidemment pour raccourcir ce que la matière première les utilisateurs ont à taper (parce que, comprenez, c’est bin de l’embêtement sur ces petits appareils mobiles de taper 4 voire 5 (!) caractères en plus)
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une boite ne peut pas opposer le secret des affaires à une enquête de ce type d’une CNIL, si ?
Le 15/10/2018 à 13h23
Non, le but initial était que le lien de bouffe pas les 140 caractères dans un message sur Twitter.
Le 15/10/2018 à 13h24
Le 15/10/2018 à 16h30
Il suffit de ne pas décompter les liens " /> Comme c’est le cas pour les images.
Le 17/10/2018 à 22h37
non seulement les utilisateurs sont trackés et en plus au niveau sécurité il ne sait même pas vers quel site il va être redirigé…
Nouvelle tendance identique sur les clients de mail : l’adresse email est remplacée par un “joli” badge et parfois on ne peut pas non plus consulter/visualiser l’adresse email source….