Députés et sénateurs sont parvenus à un accord, jeudi 13 juin, au sujet du projet de loi « pour une école de la confiance ».
Le compromis intègre notamment un amendement adopté au Sénat, fin mai, dans l’optique d’inscrire « la maîtrise des outils et ressources numériques », ou bien encore « la compréhension des enjeux liés à l’écosystème numérique » au programme des écoles supérieures du professorat (voir nos explications).
Commentaires (8)
#1
Bien sûr, tout ça se fera sans moyen concret.
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Du coup les futurs profs apprendront avec la méthode R.A.C.H.E.
#2
“Pour une école de confiance”
Ah, avant elle n’était pas de “confiance” l’ecole ?
#3
Il était temps qu’on les forme. Charrue, boeuf, tout ça….
#4
« école de la confiance »
Je m’y fais toujours pas à ce nom tout moisi. Ça veut tellement rien dire… mais tellement rien… Ils auraient pu réformer la taxation de l’industrie de la betterave dans ce projet de loi que ç’aurait pas été hors-sujet.
Ça fait plus flipper qu’autre chose, ce nom. J’ai de plus en plus l’impression de vivre dans une satire du régime politique de l’URSS, où les symboles étaient plus importants que la rationalité, et même la réalité.
M’enfin, pour une fois que la charrue rattrape les bœufs, comme dit wanou… J’applaudie des trois mains !
#5
Ben ça c’est une bonne nouvelle !!! Il ne restera plus qu’à installer des postes informatiques dans les écoles
#6
Il y en a déjà dans pas mal d’écoles. Dans ma ville, c’est des postes sous linux avec que du libre. Les profs n’en veulent pas car c’est pas compatible avec les contraintes du ministère.
#7
Sinon, y’a des développeurs impliqués qui prennent le relai de l’éducation nationale défaillante :https://twitter.com/UnFroMage/status/1140530971474837505?s=19
#8
…projet de loi « pour une école de la confiance ».
On dirait le slogan d’une multinationale qui tente désespérément de se racheter une image