La mission chinoise a décollé la semaine dernière à bord d’une fusée Long March 5, direction notre satellite naturel. L'agence de presse officielle Chine nouvelle annonce que l’atterrissage lunaire s’est réalisé « avec succès », comme le rapporte l’AFP.
L'atterrisseur doit maintenant récupérer 2 kg de matériaux, puis décoller afin de rejoindre la partie de la sonde restée en orbite. Elle doit ensuite faire le chemin retour vers la Terre et larguer son précieux chargement, d’ici deux semaines normalement.
Commentaires (7)
#1
Qu’est-ce qui intéresse aussi bien la NASA que son équivalent chinoise dans ces matériaux lunaires ?
#2
Imagine que le minerai soit riche en terres rares, les industriels vont vite calculer la rentabilité de l’extraction …
Et puis l’équipe trumpienne n’aime pas être dépendante des chinois. Et ces derniers serait en content d’avoir une source supplémentaire d’approvisionnement …
Je suppute
Après il reste l’exploration scientifique …
#2.1
Merci, cela est fort possible, d’ailleurs il y avait un reportage arte intéressant sur la nouvelle course à la Lune entre les USA et la Chine.
#3
Ils cherchent surtout de l’eau et de l’oxygène, pour pouvoir installer une base intermédiaire pour aller sur mars.
En tout cas c’était dans les cartons du farfelu Musk.
C’est possible qu’il y ai de l’hélium 3, pour faire du combustible nucléaire, et des terres rares, mais pour ces dernières, je vois pas comment ça serait rentable de les exploiter.
#3.1
T’inquiète qu’à partir du moment où on pourra plus fabriquer de composants électroniques parce qu’on aura épuisé les stocks (on les appelle par rares par hasard), la rentabilité sera pas la première préoccupation. On se foutra sur la gueule pour contrôler le stock, même si ça veut dire déséquilibrer l’interaction terre-lune, donc les marées, donc le climat. On se fera forcément baiser quoi.
#3.2
Elles ne sont pas rares, juste chiant et salissant à extraire.
#4
On les appelle “rares” parce qu’il y a plusieurs siècles on pensait que c’était le cas.
Il y a plusieurs siècles voir millénaires de stocks au niveau de production actuel.