Arm pourrait licencier jusqu’à 15 % de ses effectifs

Arm pourrait licencier jusqu’à 15 % de ses effectifs

Arm pourrait licencier jusqu’à 15 % de ses effectifs

« René Haas, le nouveau directeur général d’Arm, a déclaré lundi au personnel que les licenciements affecteraient 12 à 15 % de ses effectifs mondiaux », indique le Telegraph. Cette annonce fait suite à la fusion avortée avec NVIDIA.

Toujours selon nos confrères, la majorité des suppressions d’emplois se feraient au Royaume-Uni et aux États-Unis. Dans un email envoyé aux employés et consulté par Telegraph, il explique : « Cela va être une période difficile pour tout le monde ».

À l’AFP, Arm explique que, « comme toutes les entreprises, Arm examine continuellement son plan d'activités pour s'assurer que l'entreprise a le bon équilibre entre opportunités et discipline financière », ce qui inclut notamment « des suppressions d'emploi ».

Commentaires (6)


ARM licencie, Intel crée un gros centre de R&D avec 1000 recrutements. Bon bah ceux qui vont se faire lourder de chez ARM savent où aller postuler !


A cause de la fusion avortée. Et si il y avait eu fusion ? Combien il y en aurait eu ?



Ricard a dit:


A cause de la fusion avortée. Et si il y avait eu fusion ? Combien il y en aurait eu ?




0, puisque c’est nVidia qui aurait licencié, pas ARM


Joli. Belle langue de bois. Tu devrais faire de la politique. :D


En fait si il y avait eu une fusion, il aurait fallu liciencier pour “éviter les redonances de postes” , notamment dans l’administratif.
Et quand il n’y a pas de fusion, il faut aussi liciencier …. Alors qu’il me semble pas que ARM soit dans une situation critique.
=> Pour moi ça ressemble à une annonce “punitive” envers les états qui ont refusé la fusion…
A voir si ça sera suivi d’effets.



Il serait dommage qu’ils se fassent une “drahi” ,cad de faire un plan de départ volontaire lors de l’achat de SFR , avec de gros gros chèques à la clé : Du coup les meilleurs de chez SFR sont partie en façe chez bouygues , SFR, Orange & autres, amenant à la catastrophe industrielle actuelle…


Ah. Ça devait donc leur coûter un bras !


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