Analyse des échantillons de l’astéroïde Ryugu : la France est le seul partenaire étranger du Japon

Analyse des échantillons de l’astéroïde Ryugu : la France est le seul partenaire étranger du Japon

Analyse des échantillons de l’astéroïde Ryugu : la France est le seul partenaire étranger du Japon

Il y a quelques mois, se déroulait un moment historique : « Dans la nuit du 5 au 6 décembre 2020, les échantillons de l’astéroïde Ryugu collectés par la sonde Hayabusa2, opérée par la JAXA (Japon), ont atterri sur Terre, après un voyage retour d’environ un an ».

Le CNRS se réjouit de sa collaboration avec le Japon : « La France, seul partenaire étranger à participer à ces premières analyses, est présente via l’instrument MicrOmega, microscope infrarouge hyperspectral développé par l’Institut d’astrophysique spatiale et livré par le CNES ».

Commentaires (7)


Arf le CNES. Certes mais l’Institut de Planétologie et d’Astrophysique de Grenoble via la collaboration avec le Japon sera un important partenaire puisque qu’il va aider et fournir les méthodes d’analyse physico-chimiques ainsi qu’une base de données sur des équivalents organiques pour pouvoir des comparaisons.


Vu le budget qu’ils ont à Grenoble ils envoient plutôt un barreau de chaise pour gage de bon emploi des ressources financières non ?
D’ailleurs ces échantillons de la dote sont tout aussi primitifs que ceux rapportés… :windu: :transpi:



Le pire c’est je ne dois pas être loin de la réalité… :dors:


GRENOBLE se préoccupe plus que de tartiner plus de béton pour des tonnes de racailles que de recherches scientifiques : y’a longtemps qu’ils profitent d’une réputation complétement usurpée…


Et en français, ça donne quoi ?


Tu peux étayer ?
Encore un propos politique alors que parle d’implication scientifique sur cette mission



(reply:1873404:Idiogène)




Je ne vois pas ce que la politique local vient faire dans de la science.



Après sur ce terrain une mairie qui investit dans les écoles et l’éducation je trouve rien à redire….


Je ne parlais pas de politique locale mais bien du financement de la recherche au “global”.


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