Le Monde révèle que le siège de l'Union africaine, offert par les Chinois en 2012 à Addis-Abeba (capitale de l'Éthiopie), serait au cœur de larges indiscrétions. Selon plusieurs sources, l'ensemble des données des serveurs qui y sont hébergés serait transféré à Shanghai.
L'équipe informatique se serait aperçue de saturations du réseau entre minuit et 2 heures du matin, en janvier 2017. Selon le quotidien, outre le bâtiment, le système informatique aurait lui aussi été offert directement par la Chine. Il aurait été remplacé par l'Union africaine et les techniciens chinois présents remerciés.
Des micros auraient aussi été trouvés dans certaines pièces, dans ce qui serait une tradition d'espionnage de l'organisation par les puissances étrangères. La Chine répond que ces accusations d'espionnage sont « absurdes », par son ambassadeur à l'Union africaine, Kuang Weilin, sans plus de précisions.
Commentaires (6)
#1
Hum, naaaaan c’est pas nous
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Bon après il est vrai qu’en cherchant bien il doit y avoir les micros Chinois, Français, Israéliens, les failles de la NSA, …. et sûrement les services de renseignement des Pays Bas mais ils savent pas encore qu’ils sont dans le bâtiment
#2
#3
Et ils faisaient leur télétransmissions aux mêmes heures , d où la saturation du reseau :p
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#5
5 ans pour s’en rendre compte, ils devraient recruter plus de complotistes
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#6
Ce que certains peuvent être médisants…
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La Chine construit et offre le siège de l’Union africaine (entièrement équipé par les Chinois_ les systèmes informatiques ont été livrés clé en main) et on soupçonne la Chine d’espionner l’Union Africaine…
Mais non, c’est par pure bonté d’âme et par pure générosité…