Au tour de Carrefour de lancer son service de paiement mobile
Le 23 mars 2018 à 09h21
1 min
Société numérique
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Simplement baptisé Carrefour Pay, cette solution est déjà disponible dans 3 000 magasins pour les clients disposant d'une carte PASS ou C-Zam, mais va s'ouvrir de manière bien plus large.
« Elle s’élargira courant 2018 à l’ensemble des cartes bancaires ainsi qu’aux sites de e-commerce de Carrefour en France » explique en effet le groupe.
Carrefour a donc décidé de lancer sa propre solution alors qu'il était pourtant partenaire de Lyf Pay à son lancement, aux côtés d'Auchan, Total, BNP Paribas et Crédit Mutuel.
Carrefour Pay prend place dans l'application Carrefour&Moi et intègre la carte de fidélité maison. Il faut évidemment disposer d'un smartphone Android avec NFC pour en profiter.
Le 23 mars 2018 à 09h21
Commentaires (5)
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Abonnez-vousLe 23/03/2018 à 10h12
Ça commence à être pénible cette saturation d’applications, chacun passant chez un commerçant mais pas chez l’autre… Je viens de regarder Lyf Pay, proposé par ma banque Crédit Mutuel, le truc ne marche que dans un seul centre commercial de Lyon, car Auchan est certes partenaire, mais c’est disponible à celui de Caluire mais pas à Limonest ni à St Priest, quelle grosse blague.
C’est vraiment comme ça qu’ils espèrent lutter contre Apple Pay et Google Pay (enfin, s’il arrive un jour) ?
Le 23/03/2018 à 11h52
Non mais franchement, il y a un intérêt ? Quoi de plus par rapport aux multiples (!) solutions qui existent ? Utiliser sa carte, Apple Pay, Playlib, Lyf Pay, bientôt Google Pay… Si chacun développe sont truc-machin propriétaire pour les téléphones, ça va être quand même le boxon.
Le 23/03/2018 à 13h06
Le 24/03/2018 à 11h37
Le 25/03/2018 à 20h43
ça donnerait presque envie d’acheter un iPhone. Ces appli qui pompent des données comme des Shadoks… ça me fait penser à l’opérateur de transport en commun de mon agglomération qui a inventé le e-ticket de bus : on achète un ticket sur son smartphone et on valide son ticket en scannant un Code3D à côté du chauffeur… La rigolade, ces systèmes centralisés sur le smartphone et qui sont “pratiques, sécurisés, rapides” comme le système Monéo en son temps. C’est surtout un bénéfice pour ces prestataires qui se gavent de frais de gestion et/ou de données personnelles pour faire du Big Data à foison (qui a parlé de Linky?). Navrant, ce marketing qui rate sa cible.