#Le brief du 13 septembre 2021

KeePass 2.49 améliore son Auto-Type

KeePass 2.49 améliore son Auto-Type

Le 13 septembre 2021 à 08h19

Nouvelle mouture pour le gestionnaire de mots de passe, qui revoit certains aspects de son interface ou encore de son ergonomie. Auto-Type reçoit notamment plusieurs améliorations pour en simplifier l’usage.

Cette fonction permet de définir des séquences d’actions à exécuter dans la fenêtre active. Elle permet notamment le remplissage des champs d’authentification dans une page web. Les étapes sont alors : séquence de caractères, Tab, séquence de caractères et Entrée.

Un nouveau menu contextuel fait ainsi son apparition pour les associations, avec de nouvelles commandes à la clé : Copy Target Window(s), Copy Sequence(s), Copy Item(s), Paste Item(s), Duplicate Item(s) et Select All. Un bouton « Plus » apparaît d’ailleurs à droite des associations pour renvoyer vers ces éléments.

On note aussi deux nouvelles colonnes, baptisées Enabled et Sequences, permettant de classer les éléments par activation ou séquence.

Améliorations également pour l’accessibilité. Par exemple, KeePass 2.49 permet aux lecteurs d’écrans de prendre en charge les textes dans les bannières. Quelques nouveautés générales enfin, dont le support des fichiers JSON de Keeper 16.0.0 pour l’importation, et des améliorations pour l’export HTML.

Le 13 septembre 2021 à 08h19

KeePass 2.49 améliore son Auto-Type

JetBrains se lance à l’assaut des scientifiques avec son nouvel IDE DataSpell

JetBrains se lance à l’assaut des scientifiques avec son nouvel IDE DataSpell

Le 13 septembre 2021 à 08h19

Disponible au sein d’un EAP (Early access program), DataSpell est un environnement de développement intégré à destination des scientifiques (data scientists) et des personnes manipulant de très grandes quantités de données.

Une attaque en règle contre Visual Studio Code et son extension Python ? JetBrains ne compte pas remplacer les notebooks Jupyter, avec lesquels DataSpell est compatible. Le nouvel environnement veut surtout éviter autant que possible d’avoir à écrire du code en permettant une exploration plus simple des données.

« Quand on parle d’écosystème Python, il n’y a jamais eu d’IDE conçu spécifiquement pour la science des données. […] D’un côté, DataSpell apporte une grande variété d’outils pour la science des données, dont les notebooks, REPL interactifs, lots de données, explorateur de visualisation et support de Conda.

De l’autre, il offre une assistance intelligente de développement pour Python et des tonnes d’autres outils, le tout intégré sans heurts dans une interface utilisateur unifiée ».

Pour l’instant, les développeurs intéressés doivent être invités pour participer à cet accès anticipé. Cependant, JetBrains envoie des invitations à toutes les personnes en faisant la demande. Une vidéo a été publiée pour montrer un peu plus les capacités de DataSpell.

Le 13 septembre 2021 à 08h19

JetBrains se lance à l’assaut des scientifiques avec son nouvel IDE DataSpell

Pour connaître les modifications contractuelles de vos offres FAI ou mobiles, consultez vos mails

Pour connaître les modifications contractuelles de vos offres FAI ou mobiles, consultez vos mails

Le 13 septembre 2021 à 08h19

Un député souhaite que les modifications contractuelles des offres des FAI et des opérateurs mobiles soient soumises à un accord explicite du consommateur.

L’idée n’a pas vraiment convaincu le gouvernement qui rappelle l’état de la législation, chapeautée par la directive du 11 décembre 2018 établissant le code des communications électroniques européen.

Ainsi, selon l'article L. 224 - 33 du code de la consommation, « tout projet de modification des conditions contractuelles est notifié par le fournisseur de services de communications électroniques au consommateur, de manière claire et compréhensible, sur support durable au moins un mois avant son entrée en vigueur ».

En retour, le consommateur peut, « s'il n'accepte pas ces nouvelles conditions, résilier le contrat sans aucun frais et sans droit à dédommagement dans un délai de quatre mois suivant la notification du projet de modification (…) ».

Le consommateur n’a qu’une alternative : « soit il refuse la modification, dans ce cas il n'a pas d'autre option que de résilier son contrat (…). Soit il accepte la modification, dans ce cas, l'acceptation peut être tacite (si le consommateur ne fait aucune action dans le délai de quatre mois suivant la notification) ou expresse (si le consommateur communique à l'opérateur sa volonté d'accepter la modification) ».

De plus, prévient le gouvernement, « le courriel constituant un support durable, il reste de la responsabilité du consommateur de vérifier régulièrement les courriels reçus à l'adresse de contact qu'il a communiquée à son fournisseur ».

Le 13 septembre 2021 à 08h19

Pour connaître les modifications contractuelles de vos offres FAI ou mobiles, consultez vos mails

Démarchage téléphonique : 4,3 millions d’euros d’amende en 2020

Démarchage téléphonique : 4,3 millions d’euros d’amende en 2020

Le 13 septembre 2021 à 08h19

En 2020, indique le gouvernement, « 1 503 établissements ont été contrôlés, conduisant à la sanction de 108 démarcheurs ne respectant pas le dispositif d'opposition au démarchage téléphonique ».

Le montant total des amendes infligées est de 4,3 millions d’euros. Un montant « doublé par rapport à l'année 2019 ».

Selon l’exécutif, « les appels téléphoniques non désirés et répétés, effectués à tout moment de la journée, dans le but de leur vendre un produit ou de leur fournir un service qu'ils ne souhaitent pas, constituent une véritable nuisance ».

Il rappelle que « le Code de la consommation interdit le démarchage téléphonique des consommateurs inscrits sur la liste d'opposition Bloctel et punit d'une amende de 75 000 euros pour une personne physique et de 375 000 euros pour une personne morale la violation de cette interdiction ». Bloctel compte à ce jour 4 millions d'inscrits.

Le 13 septembre 2021 à 08h19

Démarchage téléphonique : 4,3 millions d’euros d’amende en 2020

Twitter va identifier les bots grâce à des étiquettes

Twitter va identifier les bots grâce à des étiquettes

Le 13 septembre 2021 à 08h19

L’éditeur travaille actuellement sur la labellisation des bots, afin que les usagers de son service sachent à qui ils parlent. Une information importante. Cependant, elle ne fera pas la différence entre les « bons » et les « mauvais ».

La fonction, en cours de test, va être diffusée auprès de 500 comptes développeurs. Ce groupe testera le mécanisme et fera des retours à Twitter. Par la suite, le marquage sera élargi à l’ensemble des développeurs.

Il n’est pas prévu pour l’instant d’indiquer quoi que ce soit sur la qualité du bot. Le mécanisme n’est pas là pour épingler notamment les bots se faisant passer pour des personnes physiques, dans un objectif de désinformation le plus souvent.

La procédure de déclaration est volontaire, l’étiquette obtenue affichant « Automated by… », suivi par le nom de l'auteur(e) du bot. Twitter se réserve le droit cependant de rendre cette déclaration obligatoire par la suite, notamment en fonction des retours pendant la phase de test.

Le 13 septembre 2021 à 08h19

Twitter va identifier les bots grâce à des étiquettes

Facebook a partagé des données partielles et biaisées à des chercheurs en désinformation

Facebook a partagé des données partielles et biaisées à des chercheurs en désinformation

Le 13 septembre 2021 à 08h19

Facebook vient de reconnaître son erreur et de s'excuser auprès de la centaine de chercheurs universitaires. Ce groupe travaille depuis le scandale de Cambridge Analytica en 2018 sur l'impact des réseaux sociaux sur les élections et la démocratie au sein du consortium Social Science One, rappelle le Washington Post.

Facebook a en effet accidentellement exclu les données d'utilisateurs américains qui n'avaient aucune tendance politique détectable – un groupe qui représentait environ la moitié de tous les utilisateurs de Facebook aux États-Unis.

Gary King, professeur à Harvard et coprésident de Social Science One, a déclaré que des dizaines d'articles de chercheurs affiliés à Social Science One s'étaient appuyés sur les données depuis que Facebook avait partagé l'ensemble défectueux en février 2020, mais que l'impact ne pourrait être déterminé qu'après que Facebook aura fourni les données corrigées pouvant être réanalysées. Il estime que certaines des erreurs pourraient causer peu ou pas de problèmes, mais que d'autres pourraient être graves.

L'ancien coprésident du groupe, le professeur de droit de Stanford, Nathaniel Persily, a déclaré à propos de l'incident : « C'est un scandale et une violation fondamentale des promesses faites par Facebook à la communauté des chercheurs. Cela démontre également pourquoi nous avons besoin d'une réglementation gouvernementale pour obliger les sociétés de médias sociaux à développer des programmes de partage de données sécurisés avec des chercheurs indépendants externes. »

Le 13 septembre 2021 à 08h19

Facebook a partagé des données partielles et biaisées à des chercheurs en désinformation

WhatsApp va permettre le chiffrement des sauvegardes dans Google Drive et iCloud

WhatsApp va permettre le chiffrement des sauvegardes dans Google Drive et iCloud

Le 13 septembre 2021 à 08h19

Sur les smartphones, WhatsApp permet depuis longtemps de réaliser des archives de ses conversations, sauvegardées alors dans l’environnement cloud attaché au système d’exploitation : Google Drive pour Android, iCloud pour iOS. Ces archives n’ont jamais été chiffrées.

La situation va changer « au cours des prochaines semaines ». Via une nouvelle version de l’application, une option permettra d’activer le chiffrement de bout en bout. Pour protéger le fichier, deux possibilités.

On pourra d’abord créer une clé de 64 caractères qu’il faudra alors protéger en la stockant quelque part, par exemple un gestionnaire de mots de passe. Cette clé chiffrant la sauvegarde, sa perte entraînera celle de l’historique.

Si la taille de la séquence effraie, on peut choisir à la place un mot de passe plus classique, qui va servir à chiffrer la clé, alors stockée dans une zone sécurisée, que WhatsApp nomme « backup key vault ». La clé ne peut donc pas déchiffrer la sauvegarde sans le mot de passe. En cas d’oubli, il sera possible de passer par une procédure de changement depuis l’appareil d’origine.

Point important, confirmé à TechCrunch notamment, la première sauvegarde chiffrée faite depuis un appareil effacera toutes les anciennes. Un comportement attendu dans ce type de configuration.

Si l’on en croit l’annonce de WhatsApp et Mark Zuckerberg, la réalisation technique fut très complexe. L’éditeur aurait ce projet dans ses cartons depuis des années, mais il évoque de nombreuses barrières à faire tomber et la création « d’un tout nouveau framework pour le stockage des clés et dans le cloud », utilisable sur toutes les plateformes.

Au-delà de l’aspect utilisateur, la question se pose : comment cette fonctionnalité va-t-elle être reçue par les gouvernements et les forces de l’ordre ? Le chiffrement de bout en bout est déjà un problème dans les enquêtes et de nombreux pays poussent pour une législation qui reviendrait, dans les grandes lignes, à installer des portes dérobées.

Or, les forces de l’ordre pouvaient jusqu’ici compter sur Google Drive et iCloud pour obtenir des informations, en cas de mandat dûment délivré par un juge : les données n’y sont pas stockées, en tout cas par défaut.

Plus étonnant, l’entreprise compte – en tout cas pour l’instant – diffuser la nouvelle fonction dans l’ensemble des marchés où WhatsApp est déjà actif. Il est probable que le chiffrement des sauvegardes coince dans plusieurs d’entre eux.

Sur la thématique du chiffrement de bout en bout, rappelons que WhatsApp a dû s'expliquer récemment sur la possibilité pour l'équipe de modérateurs de lire certains messages.

Le 13 septembre 2021 à 08h19

WhatsApp va permettre le chiffrement des sauvegardes dans Google Drive et iCloud

Le site FranceSoir démonétisé par Google

Le site FranceSoir démonétisé par Google

Le 13 septembre 2021 à 08h19

La dernière émission de Complément d'enquête dédié aux « fakes news » n’a pas été sans conséquence pour FranceSoir, visiblement. Confirmant l’annonce d’Aude Favre sur Twitter, l’une des réalisatrices de l’émission, Google a décidé de démonétiser le site non sans s’expliquer dans les colonnes de nos confrères de BFM TV.

« Google a un règlement pour les éditeurs clair qui est conçu pour garantir à nos utilisateurs une expérience positive, tout en protégeant les marques contre la diffusion de leurs publicités à côté de contenus dangereux et trompeurs. Nous avons prévenu France Soir avant de prendre des mesures, leur demandant de remédier aux violations persistantes de nos règles. Nous ne diffuserons pas de publicités Google sur leur site tant qu'ils ne respecteront pas nos règles »

Xavier Azalbert, directeur de la publication de FranceSoir, évoque auprès de l’AFP une « atteinte à la liberté d’expression » et à la « viabilité d’un organe de presse ». Est envisagée « une citation directe au tribunal correctionnel pour discrimination consistant à refuser la fourniture d'un bien ou d'un service».

Le 13 septembre 2021 à 08h19

Le site FranceSoir démonétisé par Google

La Commission Copie Privée en quête d’un nouveau président

La Commission Copie Privée en quête d’un nouveau président

Le 13 septembre 2021 à 08h19

Le 6 août 2018, le ministère de la Culture et celui de l'Économie désignaient Jean Musitelli comme président de la Commission copie privée. Sa date d’entrée en fonction ? Le 18 septembre 2018. Trois ans plus tard, son mandat arrive désormais à son terme.

Seul hic, aucun nom n’a encore circulé pour le remplacer, laissant craindre une coupure dans l’organisation des travaux. Ce contretemps n’a pas empêché la SACD d’organiser la semaine dernière une fête en l’honneur de ce président indépendant.

Sa ou son successeur aura du pain sur la planche ces prochains mois, avec déjà la question de l’assujettissement des disques durs nus et des ordinateurs, futurs supports sur la planche. Et un beau retour de la taxe Tasca.

Autre problématique, le choix des représentants dans le collège des associations. La moitié ont déserté la Commission depuis plusieurs mois, estimant qu'elles ne servaient grosso modo à rien au regard de l'organisation des sièges : 12 sièges pour les ayants droit, 6 pour les consommateurs, 6 pour les industriels.

S'y ajoutent les multiples contentieux sur l’assujettissement des biens reconditionnés, consacrés par une décision administrative de la commission..

Des reconditionneurs et l’UFC Que Choisir ont en effet contesté devant le Conseil d’État le barème voté sur insistance de Jean Musitelli. Une dîme perçue par les industries culturelles, dont la SACD, frappant une économie balbutiante, plutôt protectrice de l’écologie et du porte-monnaie des consommateurs.

Adoptée par les députés, la proposition de loi du sénateur Chaize est censée en l’état apporter une assise légale à cette ponction.

Elle devrait être débattue et votée en novembre prochain, en seconde lecture au Sénat.

Le 13 septembre 2021 à 08h19

La Commission Copie Privée en quête d’un nouveau président

Stéphane Richard veut rester président d’Orange, en laissant la direction générale

Stéphane Richard veut rester président d’Orange, en laissant la direction générale

Le 13 septembre 2021 à 08h19

En tant que PDG, il cumule actuellement les deux casquettes, mais son mandat arrive à terme mi-2022. La question d’un éventuel remplaçant arrive donc sur la table.

Lors d’un entretien au Journal du Dimanche, il fait le souhait de conserver la présidence du conseil, une fonction qui lui prend « de plus en plus de temps ».

« J'observe parallèlement que les évolutions récentes dans la gouvernance des sociétés du CAC 40 ont conduit à scinder les fonctions de président du conseil d'administration et de directeur général. Je pense que c'est une bonne chose, si le tandem fonctionne », explique-t-il.

Dans tous les cas, « ce sera bien sûr au conseil d'administration d'en décider », mais cette séparation des pouvoirs serait un souhait de l’État, qui détient 23 % de l’opérateur.

Le 13 septembre 2021 à 08h19

Stéphane Richard veut rester président d’Orange, en laissant la direction générale

Google One : nouveau palier 5 To à 24,99 euros par mois (249,99 euros par an)

Google One : nouveau palier 5 To à 24,99 euros par mois (249,99 euros par an)

Le 13 septembre 2021 à 08h19

La société propose depuis longtemps du stockage en ligne, à partir de 100 Go à 1,99 euro par mois, puis 200 Go à 2,99 euros et 2 To à 9,99 euros. Le bond était ensuite important : 10 To pour 49,99 euros par mois.

Comme repéré par 9to5Google, un nouveau palier intermédiaire est disponible : 5 To pour 24,99 euros par mois, ou 249,99 euros par an pour un paiement en une seule fois. Ce forfait arrive alors que la société ne propose plus de stockage illimité gratuit avec Google Photos.

Les offres avec 20 et 30 To sont toujours disponibles, pour respectivement 99,99 et 149,99 euros par mois.

Le 13 septembre 2021 à 08h19

Google One : nouveau palier 5 To à 24,99 euros par mois (249,99 euros par an)

Procès Apple vs Epic : victoires et pertes des deux côtés

Procès Apple vs Epic : victoires et pertes des deux côtés

Le 13 septembre 2021 à 08h19

Vendredi, la juge Yvonne Gonzalez Rogers a rendu son verdict dans la bataille judiciaire opposant les deux entreprises.

Elle conclut tout d’abord qu’Apple n’a pas de position de monopole illégale avec sa boutique d’applications, une victoire importante pour la Pomme. Elle ordonne même à Epic « de payer des dommages-intérêts pour avoir violé son accord de développeur avec Fortnite », explique The Verge dans son compte rendu.

Dans le même temps, elle ordonne aussi à Apple de supprimer ses règles « interdisant aux développeurs d'informer les utilisateurs des alternatives au système d'achat intégré d'Apple », une victoire pour Epic cette fois. En clair, l’éditeur de Fortnite peut proposer à ses joueurs de passer par un autre système pour ses achats, évitant ainsi la commission de 30 % au passage.

Pour rappel, et indépendamment de ce jugement, Apple autorisera à partir de l’année prochaine les applications de type lecteur (musiques, vidéos, livres…) à intégrer un lien vers leur propre boutique en ligne.

Tim Sweeney, fondateur et CEO d‘Epic Game n’est pas content de ce jugement et le fait savoir sur Twitter : « La décision d'aujourd'hui n'est pas une victoire pour les développeurs ou pour les consommateurs. Epic se bat pour une concurrence loyale entre les méthodes de paiement in-app et les app stores pour un milliard de consommateurs ».

« Fortnite reviendra sur l'App Store d'iOS quand Epic pourra proposer le paiement via l'application en concurrence loyale avec le système d’Apple, en répercutant les économies réalisées sur les consommateurs […] Nous continuerons à nous battre », ajoute-t-il.

Epic a annoncé son intention de faire appel de cette décision.

Le 13 septembre 2021 à 08h19

Procès Apple vs Epic : victoires et pertes des deux côtés

Microsoft se paie TakeLessons

Microsoft se paie TakeLessons

Le 13 septembre 2021 à 08h19

La start-up met en relation des étudiants (ou n’importe qui en faisant la demande) et des professeurs sur un sujet défini par avance. Elle explique que, suite à ce rachat, « les activités hebdomadaires de choix d’un instructeur, de cours et d’apprentissage devraient rester relativement les mêmes »… du moins dans un premier temps.

« Nous nous attendons à ce que la grande majorité des instructeurs restent sur la plateforme. Les instructeurs conserveront le contrôle total comme aujourd’hui pour fixer le prix horaire de leurs services », ajoute-t-elle.

Une foire aux questions est disponible par ici. Les détails financiers de l’accord n’ont pas été dévoilés.

Le 13 septembre 2021 à 08h19

Microsoft se paie TakeLessons

Microsoft explique comment activer TPM 2.0 sur un PC

Microsoft explique comment activer TPM 2.0 sur un PC

Le 13 septembre 2021 à 08h19

Dans un tweet publié il y a quelques jours, l'entreprise diffuse quatre images censées aider les utilisateurs peu aux faits des détails techniques à effectuer cette manipulation, qui nécessite un accès au BIOS/UEFI. Un guide, disponible en français, l'accompagne.

Certains constructeurs ont publié de nouvelles versions avec une activation par défaut de TPM 2.0, nécessaire à l'installation de Windows 11. Mais il est un peu tard pour s'en préoccuper, d'autant que la majorité des utilisateurs ne pensera pas à faire la mise à jour.

Si Microsoft opte pour un ton décalé, on sent le malaise alors que la date de lancement de son nouvel OS approche. L'éditeur semble prendre conscience de la situation dans laquelle il va mettre ses utilisateurs avec son approche rigide.

Une mise en place trop abrupte, qui ne laisse pas le temps à l'information de se diffuser, aux utilisateurs de s'adapter. Espérons au moins que les fenêtres d'informations et autres procédures de mise à jour seront améliorées pour être plus didactiques. Au risque sinon de générer bien des situations problématiques.

Le 13 septembre 2021 à 08h19

Microsoft explique comment activer TPM 2.0 sur un PC

Atos passera du CAC 40 au CAC Next 20 le 17 septembre

Atos passera du CAC 40 au CAC Next 20 le 17 septembre

Le 13 septembre 2021 à 08h19

L’annonce a été faite par Euronext. Reuters rappelle que « le groupe était considéré comme un candidat probable à une sortie de l'indice en raison des multiples difficultés rencontrées ces derniers mois, à commencer par l'impact de la crise liée au Covid-19 et les problèmes de comptabilité dans deux de ses filiales aux États-Unis ».

Après être montée à plus de 100 euros mi-2017, l’action descendait à 51 euros fin 2018 puis passait sous les 50 euros en mars 2020. Cet été , elle plongeait de 20 % pour arriver à 41 euros seulement. Elle est désormais aux alentours de 45 euros.

Atos sera remplacé par Eurofins Scientific à partir du 17 septembre. Le groupe de laboratoires d’analyses médicales était déjà dans le CAC Next 20 et connaît pour sa part une belle progression depuis le début de la crise sanitaire.

Le 13 septembre 2021 à 08h19

Atos passera du CAC 40 au CAC Next 20 le 17 septembre

Framasoft ferme son instance Diaspora

Framasoft ferme son instance Diaspora

Le 13 septembre 2021 à 08h19

Sept ans après sa création, elle sera stoppée le 7 octobre prochain. Une initiative qui va dans le sens des déclarations de l'association, qui a décidé de proposer moins de services en son nom propre.

Elle s'en explique dans une publication par une perte de passion pour le projet, qui « tourne au ralenti » et peine à proposer des outils de modération suffisants.

Dans un billet de blog, Fla, qui avait initié le projet, évoque pour sa part la relance des inscriptions sur un autre pod : diaspora-fr.org. Des outils de migration sont en cours de test.

Le 13 septembre 2021 à 08h19

Framasoft ferme son instance Diaspora

Unity 23 : Virgin Galactic reporte son vol avec l’Air Force italienne

Unity 23 : Virgin Galactic reporte son vol avec l’Air Force italienne

Le 13 septembre 2021 à 08h19

Après avoir envoyé avec succès son patron Richard Branson dans l’espace, la société enchaîne les petits désagréments. Elle est sous le coup d’une enquête de la FAA à cause de sa trajectoire de vol et voilà qu’elle reporte le lancement de sa mission commerciale Unity 23.

« Lors de la préparation du vol d'essai, un fournisseur tiers a récemment signalé un défaut de fabrication potentiel dans un composant du système d'actionnement des commandes […] À ce stade, on ne sait pas encore si le défaut est présent dans les véhicules de la Société et, le cas échéant, quels travaux pourraient être nécessaires ». Une enquête est ouverte.

Ce problème est indépendant de celui sur lequel la FAA enquête. La fenêtre de lancement pour Unity 23 est désormais fixée à mi-octobre au plus tôt.

Le 13 septembre 2021 à 08h19

Unity 23 : Virgin Galactic reporte son vol avec l’Air Force italienne

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