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Le récap’ des tests : du stockage avec de bons débits

Jusque dans votre appareil photo

Le récap' des tests : du stockage avec de bons débits

Le 23 septembre 2013 à 22h01

Aujourd'hui, le récapitulatif des tests s'intéresse aux solutions de stockage, dont certaines capables de vous suivre partout. En effet, vous retrouverez deux SSD, dont un au format M.2, un NAS ainsi qu'une carte SDXC de 64 Go.

À chaque petit fichier qui s'empile, c'est autant d'espace de stockage qui disparait. Au fil des jours les données s'accumulant, l'espace vient parfois à manquer et il est parfois nécessaire d'avoir un minimum de performance pour accéder à tout cela. Justement, nos confrères se sont mis en quête de solutions offrant de bons débits pour consulter vos fichiers.

Transcend Ultimate 64 Go SDXC : la nouvelle meilleure amie de votre Reflex

Nous entamerons ce récapitulatif en douceur avec une carte SDXC, qui pourra prendre place dans un appareil photo ou un caméscope afin d'immortaliser vos souvenirs : l'Utltimate 64 Go de chez Transcend. Celle-ci se distingue de la concurrence par ses débits relativement élevés. 

 

En effet, toutes les cartes sont loin de se ressembler sur ce terrain-là et celle que nos confrères de TweakTown ont pu tester promet jusqu'à 96 Mo/s en lecture et 63 Mo/s en écriture. Disponible à partir de 54 euros, ce modèle fait-il des miracles ? C'est à découvrir sans plus tarder :

 Transcend Ultimate 64 Go SDXC

OCZ Vertex 450 256 Go : un SSD va-nu-pieds

Chez TechPowerUp c'est un SSD assez commun qui est passé en revue : le Vertex 450 de chez OCZ. Alors que de nombreux modèles concurrents sont basés sur un contrôleur SandForce, celui-ci exploite une puce Barefoot 3 de chez Indilinx (qui appartient à OCZ), associé à de la NAND gravée en 20 nm. 

 

Cela permet à OCZ de promettre des débits de 540 Mo/s en lecture et de 525 Mo/s en écriture tout en gardant un format de 2,5 pouces et une épaisseur de 7 mm, idéale pour une utilisation dans un PC portable. Proposé à partir de 215 euros dans sa version 256 Go, ce SSD est-il une bonne affaire ? Réponse tout de suite :

 OCZ SSD Vertex 450

Samsung XP941 M.2 : un SSD au format très particulier

Du côté de The SSD Review, c'est un SSD très particulier qui est à l'essai puisque celui-ci est au format M.2 (ou NGFF) utilisé dans certains Ultrabooks. Il s'agit du Samsung XP941 de 512 Go, dont une variante équipe le MacBook Air 2013. 

 

Pour tester les performances de ce SSD, nos confrères ont dû utiliser un adaptateur PCI-Express afin d'en tirer la quintessence. Quelles performances peut-on attendre de ce modèle au format inhabituel ? Nous laissons nos confrères vous le faire découvrir :

 Samsung XP941M

Thecus N2560 : un NAS à 2 baies dopé à l'Atom

Enfin, nous terminerons ce tour d'horizon, comme nous l'avons commencé : en compagnie de nos confrères de TweakTown. Ces derniers ont en effet passé en revue un nouveau NAS à deux baies : le N2560 de chez Thecus. 

 

Celui-ci remplace l'ancien N2520 et s'en distingue par l'utilisation d'un Atom CE5335, dont les deux coeurs sont cadencés à 1,6 GHz, en remplacement d'un Atom CE5315 à 1,2 GHz. Côté mémoire vive, on passe de 1 à 2 Go de DDR3. De quoi donner un coup de fouet aux performances ? Réponse tout de suite :

 Thecus NAS

Commentaires (12)

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Merci ! C’est dingue les SSD en PCI-E, dès que j’ai les moyens je m’en chope un ! Les taux de transferts sont impressionnants ! Depuis le temps que j’attends et suis ces bestioles !



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Idem comme toi, ça speed

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matroska a écrit :



Merci ! C’est dingue les SSD en PCI-E, dès que j’ai les moyens je m’en chope un ! Les taux de transferts sont impressionnants ! Depuis le temps que j’attends et suis ces bestioles !

<img data-src=" />







Sauf cas d’usage particulier, où c’est vraiment le SSD qui te ralentit en lecture ou écriture, tu ne verras aucune différence pratique quasiment entre un SSD en SATA récent (~500 M/s) et un SSD en PCI-E, car c’est surtout le temps d’accès qui joue et qui fait qu’un SSD transforme un PC par rapport à un disque magnétique classique.


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OlivierJ a écrit :



Sauf cas d’usage particulier, où c’est vraiment le SSD qui te ralentit en lecture ou écriture, tu ne verras aucune différence pratique quasiment entre un SSD en SATA récent (~500 M/s) et un SSD en PCI-E, car c’est surtout le temps d’accès qui joue et qui fait qu’un SSD transforme un PC par rapport à un disque magnétique classique.





+1



En plus, méfiance avec les cartes PCIE.

Il faut vérifier plusieurs choses:




  • installation moins simple (vérifier notamment la disponibilité de bus PCI Express qui ne fait pas baisser la vitesse du celui de la carte vidéo (limitation du chipset))

  • est-elle bootable ?

  • n’augmente t-elle pas la durée du boot ? (phase de reconnaissance)

  • driver spécifique ?

  • qualité du contrôleur embarqué. Notamment certaines ont un Marvell qui ne fait pas vraiment mieux que ceux déjà intégrés aux cartes mères avec ses qualités très moyennes.

  • le débit max annoncé par les contructeurs de SSD en PCIe est souvent bien inférieur à la réalité car débit annoncé pour des gros fichiers (or c’est rarement le cas en moyenne).

  • la latence n’est-elle pas plus élevée ?

  • il est souvent aussi possible d’obtenir de tel débit, voire plus, avec des SSD qui livre un logiciel spécifique (type RAMDisk). Ex le dernier Samsung Evo avec le mode RAPID.



    Bref, un SSD en PCIe n’est pas forcément l’eldorado.

    Surtout si vous ne faites confiance qu’aux données constructeur.


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OlivierJ a écrit :



Sauf cas d’usage particulier, où c’est vraiment le SSD qui te ralentit en lecture ou écriture, tu ne verras aucune différence pratique quasiment entre un SSD en SATA récent (~500 M/s) et un SSD en PCI-E, car c’est surtout le temps d’accès qui joue et qui fait qu’un SSD transforme un PC par rapport à un disque magnétique classique.



<img data-src=" /> J’avais pris un 128 Gigas de crucial pour mon système sur PC desktop et j’ai pu voir la différence, puis je me suis dit que j’allais l’essayer sur mon portable et là la différence, démarrage en 5-6 sec sous windows 7 x64 bits au lieu de 35-40 sec avec le HDD d’origine, du coup je l’ai laissé dans le portable et j’ai acheté un Sandisk ultra plus 256 Gigas pour le desktop, maintenant c’est le TGV dans le système. <img data-src=" /><img data-src=" />


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Avec un Samsung 840 pro 256go. Je fais du 554MB/s en lecture séquentiel et du 527MB/s en ecriture séquentiel sans PCI-express (sur un laptop msi gt70). C’est suffisant pour un usage normal. Le temps d’accès d’un ssd, c’est ça qui est interessant.. le reste ..

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wgromit a écrit :



Il faut vérifier plusieurs choses:

[ .. ]




  • est-elle bootable ?

  • n’augmente t-elle pas la durée du boot ? (phase de reconnaissance)

  • le débit max annoncé par les contructeurs de SSD en PCIe est souvent bien inférieur à la réalité car débit annoncé pour des gros fichiers (or c’est rarement le cas en moyenne).

  • la latence n’est-elle pas plus élevée ?

  • il est souvent aussi possible d’obtenir de tel débit, voire plus, avec des SSD qui livre un logiciel spécifique (type RAMDisk). Ex le dernier Samsung Evo avec le mode RAPID.







    Pour l’aspect bootable c’est généralement indiqué, je ne pense pas que ça augmente la durée du boot, ça serait plutôt l’inverse a priori, la carte PCI est sous tension en même temps que le CPU, pas de délai de “disque prêt” (existe pour les disques magnétiques qui doivent tourner) comme en SATA.



    La latence est plus faible qu’en SATA à ma connaissance, car il n’y a pas le surcoût de la communication SATA, le nombre d’IOPS que permettent les SSD PCI est souvent beaucoup plus élevé.



    Je n’ai pas compris ton histoire de RAMDisk. Tu es toujours limité par la rapidité du SSD SATA à fournir les données, tu ne peux pas dépasser les 500-550 Mo/s à l’heure actuelle. Je pense que tu parles d’un cache disque. Selon ton OS, ça n’a pas d’intérêt, par exemple sous Linux (comme pour tous les Unix) la RAM libre est utilisée comme cache disque.


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OlivierJ a écrit :



Je n’ai pas compris ton histoire de RAMDisk. Tu es toujours limité par la rapidité du SSD SATA à fournir les données, tu ne peux pas dépasser les 500-550 Mo/s à l’heure actuelle. Je pense que tu parles d’un cache disque. Selon ton OS, ça n’a pas d’intérêt, par exemple sous Linux (comme pour tous les Unix) la RAM libre est utilisée comme cache disque.







ça a l’air un peu plus intelligent que le cache linux, qui est un simple cache, et qui ne fait pas de pré-chargement au boot.

Avec le cache linux il faut lire les fichiers une première fois pour qu’ils soient dans le cache car le cache va se vider à chaque démarrage. Avec la solution de Samsung il va apparemment se recharger tout seul en fond de tache avec les données les plus lues.





Samsung says RAPID mode is used primarily to accelerate read performance. Data is speculatively loaded into the cache based on user access patterns. The caching intelligence considers several factors, including how frequently and recently the data has been accessed. It also discriminates against large media files to avoid polluting the cache with data that may not benefit from quicker access times.



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OlivierJ a écrit :





La latence est plus faible qu’en SATA à ma connaissance, car il n’y a pas le surcoût de la communication SATA, le nombre d’IOPS que permettent les SSD PCI est souvent beaucoup plus élevé.





Vraiment ?

Quand je vois les IOPS annoncés par Samsung Evo à 98000 et celui de la carte PCIe SSD Asus ROG à 100 000…

Ok c’est plus élevé mais pas non plus “beaucoup plus élevé”.

Et surtout est-ce vraiment visible en pratique ?





Je n’ai pas compris ton histoire de RAMDisk. Tu es toujours limité par la rapidité du SSD SATA à fournir les données, tu ne peux pas dépasser les 500-550 Mo/s à l’heure actuelle. Je pense que tu parles d’un cache disque. Selon ton OS, ça n’a pas d’intérêt, par exemple sous Linux (comme pour tous les Unix) la RAM libre est utilisée comme cache disque.



Non, il s’agit bien d’un cache RAM.

il y a quelques explications sur le fonctionnement du mode “RAPID” des SSD Samsung Evo:

http://www.thessdreview.com/our-reviews/samsung-840-evo-ssd-review-samsung-cache…

Mais il s’agit d’une solution logicielle toutefois avec quelques contraintes.



Après je ne dis pas que TOUTES les cartes PCIe SSD sont à éviter.

Mais il s’agit souvent d’une solution dédiée pour les PRO, avec les prix qui vont avec.



Celle orientée ‘grand-public’ sont quand même très moyennes (voir le cas de l’Asus ROG par ex), et n’apportent pas vraiment un gros + par rapport à un SSD en sata.


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sylvere a écrit :



ça a l’air un peu plus intelligent que le cache linux, qui est un simple cache, et qui ne fait pas de pré-chargement au boot.

Avec le cache linux il faut lire les fichiers une première fois pour qu’ils soient dans le cache car le cache va se vider à chaque démarrage. Avec la solution de Samsung il va apparemment se recharger tout seul en fond de tache avec les données les plus lues.







Ça n’a pas l’air de changer la vitesse de démarrage en tous cas (qui est déjà rapide sous Linux d’ailleurs), vu qu’il faut quand même charger ce cache + perfectionné au démarrage. Et en fonctionnement normal, voit-on une différence ?

Pour ma part, j’éteins rarement mes machines, je les laisse tourner parfois ou sinon les mets en veille, avec les applications toujours ouvertes.







wgromit a écrit :



Quand je vois les IOPS annoncés par Samsung Evo à 98000 et celui de la carte PCIe SSD Asus ROG à 100 000…

Ok c’est plus élevé mais pas non plus “beaucoup plus élevé”.

Et surtout est-ce vraiment visible en pratique ?



il y a quelques explications sur le fonctionnement du mode “RAPID” des SSD Samsung Evo:

http://www.thessdreview.com/our-reviews/samsung-840-evo-ssd-review-samsung-cache…

Mais il s’agit d’une solution logicielle toutefois avec quelques contraintes.







En effet, il y a des SSD PCI qui ne font pas beaucoup mieux que les meilleurs SSD SATA ; je pensais à d’autres modèles où le nombre d’IOPS s’envole vraiment (150 000 et plus). Cela dit la différence doit être invisible, sauf à faire tourner une application de base de données intense.

PS (suite à ton édition) : Oui, il faut taper dans les modèles “pro” avec le budget associé.



Merci pour le lien sur le “RAPID”, mais les chiffres en écriture sont fallacieux, car les données ne sont évidemment pas écrites sur disque (pas tout de suite) quand on dépasse la vitesse du bus SATA. Le testeur a l’air dubitatif également. Pour avoir les mêmes perfs, il suffit de configurer son Linux qu’il cache “agressivement” en gardant beaucoup en cache (sur portable, c’est configurable, histoire de pouvoir arrêter le disque magnétique) ; avec beaucoup de mémoire, ça revient à écrire en RAM pendant un bout de temps.

Au fait, un cache est forcément logiciel (il y a une logique et un algo), tu penses à quoi sinon ?


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OlivierJ a écrit :





Merci pour le lien sur le “RAPID”, mais les chiffres en écriture sont fallacieux, car les données ne sont évidemment pas écrites sur disque (pas tout de suite) quand on dépasse la vitesse du bus SATA. Le testeur a l’air dubitatif également. Pour avoir les mêmes perfs, il suffit de configurer son Linux qu’il cache “agressivement” en gardant beaucoup en cache (sur portable, c’est configurable, histoire de pouvoir arrêter le disque magnétique) ; avec beaucoup de mémoire, ça revient à écrire en RAM pendant un bout de temps.

Au fait, un cache est forcément logiciel (il y a une logique et un algo), tu penses à quoi sinon ?





Non, un cache n’est pas forcément logiciel.

Tu as par exemple des cartes contrôleurs RAID qui intégrent de la RAM pour mettre en cache les données avant de les écrire. Et cette RAM, du moins sur un contrôleur de bon niveau est souvent secourue par une batterie en cas de coupure de courant (pour être sur que les données seront bien écrites), contrairement à un cache RAM logiciel.





…mais les chiffres en écriture sont fallacieux…



C’est pourquoi je précisais plus haut qu’il y avait des contraintes.



En plus, en regardant en détail, on a un très haut débit que sur une période de temps d’écriture. Quand le volume de données à écrire est supérieur au cache, ben forcément les perfs ne sont plus les mêmes (explique les résultats très instables surement du test ATTO).



En plus, cette solution a quand même quelques inconvénients, notamment au niveau sécurité des données car si l’OS vient à crasher et que les données sont toujours en RAM… à cause du cache RAM, ben elles sont perdues.



Evidemment, je ne faisais pas référence à Linux.

C’était juste pour dire qu’il faut faire quand même attention aux résultats remontés par les benchmarks ou les données constructeurs. Et ne pas s’emballer non plus.



Lire le test du SSD PCie Asus ROG RAIDR par ex:

http://www.pcworld.fr/stockage/tests,test-asus-raidr-express-240-go-ssd-pci-expr…



Rien de transcendant pourtant Asus annonce des débits supérieurs à 800Mo/s.

Et son prix est pourtant bien plus élévé que celui des SSD (à capacité égale).

Bref, pour l’instant, un peu dubitatif sur ce type de produit, du moins pour le grand-public.


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wgromit a écrit :



Non, un cache n’est pas forcément logiciel.

Tu as par exemple des cartes contrôleurs RAID qui intégrent de la RAM pour mettre en cache les données avant de les écrire. Et cette RAM, du moins sur un contrôleur de bon niveau est souvent secourue par une batterie en cas de coupure de courant (pour être sur que les données seront bien écrites), contrairement à un cache RAM logiciel.







Oui je connais, mais on joue sur les mots, la carte contrôleur possède un logiciel pour ça :) . On est d’accord sur la supériorité de ce cache “hardware” du fait de la batterie. Cela dit, les serveurs pros sont sur onduleurs, et vu la fiabilité d’un Linux (en particulier), on n’utilise pas souvent ce genre de carte (de toutes façon, quand un système crashe, il y a souvent des choses qui se perdent en route, ça dépend si le système est transactionnel, pour l’intégrité). J’ai un ami qui est hébergeur. Il utilise aussi OpenSolaris pour son système de fichiers ZFS, très avancé.







wgromit a écrit :



C’était juste pour dire qu’il faut faire quand même attention aux résultats remontés par les benchmarks ou les données constructeurs. Et ne pas s’emballer non plus.

[..]

Bref, pour l’instant, un peu dubitatif sur ce type de produit, du moins pour le grand-public.







D’accord avec tout ça.


Le récap’ des tests : du stockage avec de bons débits

  • Transcend Ultimate 64 Go SDXC : la nouvelle meilleure amie de votre Reflex

  • OCZ Vertex 450 256 Go : un SSD va-nu-pieds

  • Samsung XP941 M.2 : un SSD au format très particulier

  • Thecus N2560 : un NAS à 2 baies dopé à l'Atom

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