IA : Zuckerberg écrit à des data scientists de Google pour tenter de les débaucher
Le 28 mars à 06h44
1 min
IA et algorithmes
IA
Ça n’est pas tous les jours que le patron de l’une des entreprises tech les plus puissantes du monde prend la casquette de recruteur.
Mais selon the Information, Mark Zuckerberg a personnellement envoyé des e-mails à au moins deux data scientists de DeepMind, chez Google, pour tenter de les persuader de venir travailler chez Meta.
L’entreprise fait tout pour développer ses efforts en matière d’intelligence artificielle, au point d’avoir proposé des emplois sans même passer par la case entretien de recrutement, ou augmenter les salaires des employés qui menacent de quitter le navire pour une autre société du secteur, pratique jusqu’ici refusée par Meta.
Une frénésie qui fait écho à celle des sociétés qui misent sur l’IA : en décembre, Fortune racontait par exemple que la conférence spécialisée NeurIPS s’était transformée en terrain de recrutement tous azimuts.
Le 28 mars à 06h44
Commentaires (5)
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Abonnez-vousLe 28/03/2024 à 08h52
- recruter des talents ;
- freiner la concurrence.
Le 28/03/2024 à 09h23
Panique !
Acheter, Recruter. Vite. Vite.
Et dans quelques temps, on aura des news sur des licenciements. Encore.
Qui se souvient de la frénésie autour des "prompt engineers" ?
Le 28/03/2024 à 18h29
Le 28/03/2024 à 20h03
Mais une bulle autour des "jobs" de l'IA, d'après la news c'est une réalité.
Je rappelle que les GAFAM qui embauchent à tour de bras sont les mêmes GAFAM qui licenciaient à tour de bras y a même pas 2 mois.
¯\_(ツ)_/¯
Le 28/03/2024 à 22h32
Les licenciement de la tech font suite à 10 ans de recrutement massifs. Malgré tout les articles alarmistes, la tech US n'est de toute façon pas encore redescendu à son niveau de masse salariale pre covid.
Les embauches dans l'IA sont sans communes mesures inférieure. C'est un secteur en forte croissance et c'est normal que les grandes entreprises s'arrachent les meilleurs talents. Et même si les embauches étaient au même niveau ça n'en ferait pas une bulle... Tout au plus si on est incapable d'imaginer que ce sont des personnes différentes qui sont embauchées après les licenciements on pourrait pointer le revirement dans la stratégie.