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#LeDebrief de l’été : Blockchain, paiement, science, streaming et autres changements capitalistiques

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#LeDebrief de l'été : Blockchain, paiement, science, streaming et autres changements capitalistiques

Le 21 septembre 2017 à 11h37

Alors que #LeBrief, notre bilan de l'actualité dans le domaine des nouvelles technologies, s'apprête à revenir, nous avons décidé de faire le tour de toutes les petites informations que vous avez pu louper pendant l'été. Le tout regroupé sous forme de thématiques.

Chaque jour, le domaine du numérique est percuté par de nombreuses informations. Et même si nous nous concentrons désormais sur l'essentiel, il n'en reste pas moins de nombreux éléments qui peuvent avoir de l'importance. 

Pour cela, nous avons lancé #LeBrief, qui revient dans une nouvelle formule la semaine prochaine, ouverte à tous. Pour la suivre il vous suffit de suivre nos flux RSS et nos comptes sociaux ou de vous inscrire :

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En attendant, nous avons décidé de faire le point sur les nombreuses informations à côté desquelles vous êtes sans doute passé pendant l'été, notamment du fait de vos vacances. Exceptionnellement, cette rubrique est réservée à nos abonnés pour une période d'une semaine. 


La blockchain sort du carcan de la tech – Cet été, les annonces autour de la blockchain ont été multiples, notamment dans des secteurs plus généralistes. En partenariat avec Microsoft et Viseo, Renault a ainsi annoncé plancher sur un prototype de carnet d’entretien numérique pour ses véhicules, s’appuyant sur cette technologie.

Il serait ainsi possible d’assurer avec un degré de confiance plus élevé la traçabilité de l’entretien d’une voiture, ou des données comme son kilométrage, ce qui pourrait en faciliter ensuite la revente et éviter bien des tracas.

Nestlé s’est de son côté joint à Unilever, Walmart et IBM pour assurer la traçabilité des aliments grâce à la blockchain. L’idée est de pouvoir ainsi retrouver tous les produits qui ont pu être contaminés à un moment de leur production. Une annonce qui tombait (opportunément ?) en plein scandale des œufs contaminés au fipronil.

De leur côté, Intel et Microsoft ont détaillé leur collaboration en vue de favoriser l’adoption de la blockchain au sein des entreprises. Cela passe chez Intel par la mise au point d’un framework commun baptisé Coco, tirant profit de certaines fonctionnalités des puces de la firme de Santa Clara.


Alibaba passe au paiement « content » – Le géant chinois a fait la démonstration d’un nouveau mode d’identification avant paiement : Smile to pay, qui fait penser à la solution par selfie évoquée par Mastercard depuis quelques temps. Comme son nom l’indique, l’utilisateur doit sourire devant une caméra 3D, chargée de reconnaître son visage. Si elle y parvient, la transaction est validée. L’histoire ne dit pas s’il faudra prévenir sa banque à chaque passage chez le coiffeur.


Garmin mise sur le paiement sans contact – Le fabricant d’objets connectés a conclu un accord avec Mastercard visant à permettre le paiement sans contact à partir de certains de ses produits. Le premier à en profiter sera le bracelet Vivoactive 3. De quoi éviter aux adeptes de footing d'avoir leur carte bancaire pour s’acheter une bouteille d’eau.


PayPal dans Skype et Wordpress – Microsoft a intégré une nouvelle fonction à son application mobile de messagerie, permettant l’envoi d’argent via PayPal sans la quitter. Il suffit pour cela de balayer l’écran sur la droite lors d’une conversation. Cette fonction n’est toutefois disponible que dans 22 pays pour le moment, dont la France.

PayPal fait également son entrée sur WordPress. La plateforme permet d’intégrer facilement un bouton pour régler des achats. Côté éditeur, l’intégration de ce bouton ne doit réclamer que quelques secondes, se vante WordPress.


Un été chargé chez N26 – La néobanque, qui compte désormais plus de 500 000 clients dont 100 000 en France, a dégainé une foule d’annonces cet été. À commencer par le lancement en Allemagne de plusieurs services d’assurance, allant de l’habitation à la santé en passant par l’automobile ou l’assistance juridique, avec la possibilité de souscrire à ces polices directement depuis l’application.

Autre étape majeure, la prise en charge de 3D Secure pour les paiements en ligne. Plutôt que de vous envoyer un code par SMS, N26 a choisi une fois encore de tout faire passer par son application. Une notification push est envoyée et il suffit d’y répondre (en moins de 5 minutes) pour valider automatiquement la transaction.

La néobanque a également confirmé l’arrivée d’ici fin 2017 d’Apple Pay pour ses clients français et d'une carte « Black Metal ». Sa seule vraie différence ? Elle est plus chère (10,90 euros par mois). Sinon, l'équipe met en avant le fait qu'il s'agisse de « la première carte en métal offrant le paiement sans contact en Europe » et qu'elle « pèse trois fois le poids d’une carte traditionnelle ». Tout un programme.

On notera enfin (en Allemagne) l’intégration à l’offre de crédits d’Auxmoney. Celui-ci permet à N26 de proposer des financements aux travailleurs indépendants, ainsi qu’aux étudiants, ce que la néobanque ne permettait pas jusqu’ici.


Fin du brevet 1-click d’Amazon – Le brevet déposé en 1997 est tombé dans le domaine public le 12 septembre dernier. Désormais, tout un chacun peut proposer un service équivalent sans risquer de poursuites de la part du géant américain, qui le défendait férocement.

Celui-ci avait attaqué en 1999 la chaîne de librairies Barnes and Noble qui avait tenté de reproduire un système s’appuyant sur le même principe. C’est également un soulagement pour Apple, qui paye une redevance à Amazon depuis l’an 2000 pour utiliser cette technique sur iTunes.


Total Eclipse of the heart – Le 21 août, un événement exceptionnel s’est déroulé aux États-Unis : une éclipse totale du Soleil a traversé le pays d’ouest en est (voir cette actualité). Comme prévu, de très nombreuses photos se sont retrouvées sur le groupe Flickr dédié.

De son côté, Google propose une vidéo Megamovie conçue à partir de nombreuses photos de bénévoles placés tout le long de la zone d’ombre. Elles sont assemblées automatiquement en fonction du lieu de prise de vue. Il s’agit pour le moment de la version 0.6. Un site dédié est aussi disponible par ici.


Venµs en orbite – Début août, le CNES envoyait en orbite le satellite Venµs (Vegetation and Environment monitoring on a New Micro-Satellite) qui n’a rien à voir avec la planète. Pendant deux ans, il passera tous les deux jours au-dessus d’une centaine de sites sur l’ensemble de la planète, toujours les mêmes. Il les photographiera inlassablement avec une haute résolution spatiale (entre 5 et 10 m au sol).


Ariane 5 : un lancement avorté… après la fin du décompte ! – Reporter un lancement quelques heures avant le décompte final, cela arrive régulièrement (condition météo, problème technique…). Le faire durant les dernières secondes, est déjà plus rare. Arianespace vient de franchir un cap avec un « tir avorté » après la fin du compte à rebours.

En l’espace de quelques secondes, nous sommes passés de « allumage Vulcain » à « extinction Vulcain ». Arianespace explique que la cause est une anomalie au sein d’un équipement électrique dans l’un des deux EAP (Étage d’Accélération à Poudre). La mission VA239 est décalée à fin septembre.


La mission Rosetta fait encore parler d’elle – Deux chercheurs français ont publié un article fin août où ils expliquent que la matière organique découverte dans le noyau de la comète 67P n'aurait pas été fabriquée au moment de la formation du système solaire, mais avant dans le milieu interstellaire.

Le CNRS explique en quoi cela pourrait être important -« Si la matière organique des comètes a bel et bien été fabriquée dans le milieu interstellaire, et si elle a pu jouer un rôle dans l'émergence de la vie sur la Terre comme les scientifiques l'imaginent aujourd'hui, alors elle a pu également atteindre un grand nombre d'autres planètes de notre galaxie… et y engendrer également la vie ? ».


Le saviez-vous ? Le cœur du Soleil tourne en une semaine – Début août, des chercheurs du laboratoire du CNRS Lagrange (Observatoire de la Côte d'Azur/Université Nice Sophia Antipolis) expliquaient avoir mesuré avec précision la vitesse de rotation du cœur de notre étoile : il tourne sur lui-même en une semaine. Ils ont utilisé les données de l’instrument Golf de la sonde Soho pour arriver à cette conclusion.


« La Terre, un scénario original ? » – Depuis le 18 septembre, le CEA et ExplorNova proposent une expérience accessible sur cette page Facebook : écrire un récit de fiction avec des d’astrophysiciens, des philosophes, des auteurs de science-fiction, des médiateurs scientifiques, etc. La Terre est le premier sujet, suivi par Mars, le Soleil, les exoplanètes, etc.


Un premier contrat pour Ariane 6 – Le futur lanceur européen lancera quatre satellites de la constellation Galileo. Pour rappel, il s’agit d’un système de positionnement par satellites (concurrent du GPS et GLONASS). Deux fusées Ariane 62 seront utilisées entre fin 2020 et mi-2021.


Tesla présentera son camion électrique le 26 octobre – C’est une nouvelle fois par le compte Twitter d’Elon Musk que l’on apprend la nouvelle. Le PDG ne donne pas beaucoup d’information, si ce n’est qu’un tour d’essai devrait avoir lieu.


Comment il ne faut pas faire atterrir un premier étage – Avant d’arriver à récupérer le premier étage de ses fusées Falcon 9, SpaceX a subi de nombreux échecs, que ce soit sur des prototypes ou des lanceurs en service (bien que cela n’empêche pas la mission principale de se dérouler correctement). La société a publié une rétrospective de ses échecs dans une vidéo d’un peu plus de deux minutes.


Comment l’information est-elle stockée dans le cerveau ? – À défaut d’apporter une réponse, deux scientifiques du CNRS ont publié dans la revue Nature le fruit de leurs travaux. Ils ont en effet découvert un mécanisme permettant de stocker de l’information dans les synapses (de toutes petites structures reliant les neurones) et de la contrôler.


Un nano-neurone artificiel pour l’IA – Une unité de recherche mixte du CNRS/Thales annonce avoir développé « le premier nano-neurone artificiel capable de reconnaître des chiffres prononcés par différents locuteurs ». Après l’annonce d’un modèle physique permettant d'anticiper le fonctionnement d'une synapse artificielle, c’est une nouvelle brique du cerveau artificiel qui se met en place.


M6 finalise le rachat des radios de RTL – Le 1er septembre le groupe audiovisuel a confirmé avoir signé le contrat d’acquisition du pôle radio français de RTL, centré autour de RTL, RTLE et FUN, après avoir obtenu le feu vert du CSA et des instances représentatives du personnel.

Aucun plan de départ n’est prévu, mais Nicolas de Tavernost admet devant Le Figaro que « des départs naturels pourront ne pas être remplacés, aussi bien chez RTL que chez M6 ». L’intégration financière de la transaction aura lieu à compter du 1er octobre. Simultanément, le groupe M6 précise avoir souscrit à plusieurs tranches de « financement extérieur », c’est à dire de dette, pour un total de 170 millions d’euros.


Nokia pourrait licencier en France – Du côté de chez Nokia, l’ambiance est plus terne sur le front de l’emploi. L’entreprise finlandaise a annoncé qu’elle pourrait supprimer 597 emplois en France d’ici fin 2019, sur un total de 4 200 postes dans le pays. L’opération devrait se dérouler dans le cadre d’un plan d’économies de 1,2 milliard d’euros.

Les postes liés à la recherche et au développement devraient être préservés, la manœuvre visant plutôt les fonctions transversales, faisant l’objet de doublons depuis la fusion entre Alcatel-Lucent et Nokia. Les syndicats sont vent debout contre cette mesure, que le PDG français estime nécessaire.


AMD veut oublier le fiasco de Llano – En 2014, des actionnaires AMD ont entamé une class-action, accusant l’entreprise d’avoir trompé ses investisseurs entre avril 2011 et octobre 2012 sur la commercialisation et les performances de ses puces Llano. Pour mettre fin aux poursuites, AMD propose de verser un total de 29,5 millions de dollars aux personnes lésées. La somme serait versée par les assureurs de l’entreprise, qui persiste à dire qu’elle n’a rien fait de répréhensible.


Yogosha lève 1,2 M€ – La plateforme française de bug bounty Yogosha a bouclé un tour de table de 1,2 million d’euros, auprès de plusieurs fonds : Axeleo Capital, Starquest Capital et ZTP. Le pensionnaire de Station F compte employer ce fonds d’amorçage pour recruter des commerciaux et compléter son équipe de 6 personnes.


Meg Whitman rejoint le conseil d’administration de Dropbox – Le spécialiste du stockage en ligne peut désormais compter sur un nouvel atout. Meg Withman est une dirigeante confirmée passée notamment par Disney, eBay, Hasbro ou encore HPe. Elle rejoindra au conseil d’administration d’autres grands noms, comme Paul Jacobs, ex PDG de Qualcomm ou encore Condoleeza Rice, ex secrétaire d’État aux Affaires étrangères sous la présidence de Georges W. Bush.


Le billet virtuel pour la BlizzCon est disponible – Comme chaque année, Blizzard a ouvert les préventes pour le billet virtuel de la BlizzCon, dont l’édition 2017 se tiendra à Anaheim les 3 et 4 novembre prochains.

Le billet (vendu pour 29,99 euros) permet d’accéder à l’intégralité des conférences et tournois en streaming et en replay. Il comprend également une remise de 10 dollars sur le fameux « Goody bag » et un lot de bonus en jeu qui n’ont pas tous été détaillés pour le moment. Parmi eux, il est déjà question d’une mascotte pour World of Warcraft.


Mediamétrie tient compte de Molotov – À partir du mois d’octobre, le spécialiste des mesures d’audience intégrera le visionnage des 14 chaines des groupes TF1, France Télévisions, M6, Arte et Gulli sur la plateforme OTT. Le visionnage en direct et le replay sont pris en compte, dans le cadre du service Focus Emission 4 écrans.


Free entre au capital de Canalplay – L’Express a rapporté fin août l’acquisition en toute discrétion par Free de 20 % du capital de Canalplay. L’opérateur disposait de cette option depuis 2011 et la cession de son service Free Home Vidéo au groupe Canal. Une deuxième tranche pourrait être cédée dès l’an prochain, même si « rien n’est tranché » pour le moment.


Les contenus Canalplay débarquent dans myCANAL – Depuis fin août, les contenus de la plateforme de SVOD Canalplay sont fournis directement au sein de l’application myCANAL, sur Android, iOS, Windows et le web. Pour en disposer, il faut avoir souscrit à un pack Ciné-Séries, à une offre Intégrale ou à l’option Canalplay.


Outre-Atlantique, Netflix offert chez T-Mobile – Le 6 septembre, le troisième opérateur mobile américain annonçait qu’un abonnement au service de SVOD sera offert aux clients de son offre familiale illimitée T-Mobile One (40 dollars mensuels par ligne). L’entreprise affirme ne pas avoir eu de rabais important de la part de Netflix, et ne revoit pas ses prévisions financières. Une prochaine idée pour SFR ?


Lancement d’e-cinema.com le 20 octobre – Comme d’autres, le service ambitionne de révolutionner la distribution de films en numérique, avec 52 films exclusifs par an. L’idée est de proposer des e-billets à 5,90 euros, valables cinq jours, et un Pass Liberté mensuel illimité à 9,99 euros. La société affirme ne pas afficher de publicité avant ou après la diffusion des films, même si elle ne s’interdit pas d’en placer par la suite.


Netflix se moque d'Hadopi et renforce son accord avec Orange – Pour promouvoir la troisième saison de la série Narcos, les parrains du cartel de Cali s’adressent aux pirates français dans une publicité. Ils y promettent aux un châtiment bien plus grave qu’une simple lettre de la (moquée) Hadopi.

Le service de SVOD pourra être proposé dans les offres des filiales d'Orange, en Europe, en Afrique et au Moyen-Orient. Une première intégration est prévue dans l’offre TV en Pologne dans les prochains mois, avant une extension à d’autres pays courant 2018.

Commentaires (14)

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La pub pour Narcos m’a bien fait rire :)

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Dis donc, c’est la rentrée au CNRS…

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gwado a écrit :



Dis donc, c’est la rentrée au CNRS…





Si c’est par rapport à la date de publication, presque un an après la fin de la mission: l’article a été publié dans un journal avec un comité de lecture. Dans ces cas-là, il n’est pas rare qu’il y ait une bonne année entre la soumission de l’article par les auteurs et la publication (ça doit être marqué dans l’article, mais je n’y ai pas accès sans payer…).



Bien sûr, il y a aussi le temps de rédaction (souvent quelques mois) à prendre aussi en compte…


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syvlo a écrit :



Si c’est par rapport à la date de publication, presque un an après la fin de la mission: l’article a été publié dans un journal avec un comité de lecture. Dans ces cas-là, il n’est pas rare qu’il y ait une bonne année entre la soumission de l’article par les auteurs et la publication (ça doit être marqué dans l’article, mais je n’y ai pas accès sans payer…).



Bien sûr, il y a aussi le temps de rédaction (souvent quelques mois) à prendre aussi en compte…





Comment ? Qu’est-ce que j’apprends ? Les articles du CNRS payés par nos impôts sont payants ?

Mais comment se faisse donc ?


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Une anecdote que j’ai vécue hier, par rapport à Amazon. Je voulais commander quatre mangas via leur plateforme ; arrivé sur la page de confirmation de l’achat, je vois le montant demandé pour la livraison : entre 11 et 12 euros ; pour 31 euros de livres. Alors que tout venait du même vendeur !



Je me suis dit “Oulà, non non, sans façon” et je suis allé chez un concurrent et pas de frais de port, juste à marcher quelques minutes pour les retirer chez un marchand de tabac, chose impossible de surcroît pour cette commande chez Amazon&nbsp;<img data-src=" />

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Tifeing a écrit :



Une anecdote que j’ai vécue hier, par rapport à Amazon. Je voulais commander quatre mangas via leur plateforme ; arrivé sur la page de confirmation de l’achat, je vois le montant demandé pour la livraison : entre 11 et 12 euros ; pour 31 euros de livres. Alors que tout venait du même vendeur !



Je me suis dit “Oulà, non non, sans façon” et je suis allé chez un concurrent et pas de frais de port, juste à marcher quelques minutes pour les retirer chez un marchand de tabac, chose impossible de surcroît pour cette commande chez Amazon&nbsp;<img data-src=" />





Faire la recherche sur des sites telshttps://www.leslibraires.fr/ est toujours une bonne solution&nbsp; ;-)


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Je suis justement passé par ce site, je ne connaissais pas jusqu’à hier <img data-src=" />

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Le brevet 1-click d’Amazon, c’était déjà il y a 20 ans…



Pour les petits jeunes, ça avait fait beaucoup de bruit à l’époque. Beaucoup de gens militaient déjà contre les brevets logiciels à l’époque, et ce brevet était l’exemple même de la débilité du truc.



On pourrait faire tout un article sur ce qu’Amazon à fait de ce brevet après coup… Protéger son investissement en R&D, ou bien attaquer des concurrents et récupérer une rente sur un concept bateau ? J’ignorais qu’Apple leur filait de la thune pour ça.

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David a été emporté par son enthousiasme, j’ai déjà signalé l’erreur :





les photographiera inlassablement avec une haute résolution spatiale (entre 5 et 10 cm au sol).



J’étais très étonné, ce serait digne des satellites espions ; en fait il s’agit de 5 à 10 m au sol (indiqué dans l’article lié du CNES).

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Ricard a écrit :



Comment ? Qu’est-ce que j’apprends ? Les articles du CNRS payés par nos impôts sont payants ?

Mais comment se faisse donc ?





C’est rhétorique ? Sinon tout est expliqué ici par exemple :http://david.monniaux.free.fr/dotclear/index.php/post/2011/10/15/Le-racket-de-l-…



Pour les particuliers, c’est possible de récupérer les articles via SciHub (mais c’est pas très légal)


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C’est pire que ça même car le cnrs paye pour publier :-)

Mais l’auteur à la possibilité de publier son article sur HAL. Dernièrement les éditeurs demandent à ne pas publier en open access avec leur mise en page. Pour d’autre il faut que le contenu soit aussi un peu différent.

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Fabz31 a écrit :



C’est pire que ça même car le cnrs paye pour publier :-)

Mais l’auteur à la possibilité de publier son article sur HAL. Dernièrement les éditeurs demandent à ne pas publier en open access avec leur mise en page. Pour d’autre il faut que le contenu soit aussi un peu différent.





Le bien commun est bien loin…<img data-src=" />


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Ca s’améliore grâce à des archives comme HAL. Le problème actuellement c’est les reviews par les pairs ce qui n’existe pas dans HAL (à ma connaissance). Pas de review =&gt; pas de valeur de la publi =&gt; pas de reconnaissance du chercheur.

D’autres archives proposent les reviews mais ne sont pas connues et n’ont pas encore de bon facteur d’impact.

C’est un peu comme faire passer les gens de facebook à google+ ou diaspora :-)

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Condoleeza Rice chez Dropbox? Holy crap, ça fout les jetons. Je fais bien de ne pas l’utiliser…

#LeDebrief de l’été : Blockchain, paiement, science, streaming et autres changements capitalistiques

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