Banques en ligne pour ados : notre comparatif des offres disponibles, laquelle choisir ?
Ici aussi, gare aux petites lignes
Le 19 novembre 2020 à 08h30
16 min
Société numérique
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Si les banques sont des habituées des offres visant les jeunes, l'arrivée de nouveau acteur fait bouger le marché. Si le français Vybe vient de se lancer, d'autres changent de modèle ou renforcent leur service. Mais au final, qui propose le meilleur compromis pour les 7 à 18 ans... petites lignes comprises ?
Vos enfants grandissent et vous voulez leur apprendre à mieux gérer leur argent en leur donnant accès à un compte et une carte bancaire ? C'est désormais possible dès l'âge de 7 ans chez certains. Cela peut aussi être une manière différente de leur donner de l'argent de poche, sous la forme de versements automatiques.
Mineurs et comptes bancaires : quelques rappels
Sur le sujet, le site Service Public rappelle que « dès la naissance de votre enfant, vous pouvez demander l'ouverture, à son nom, d'un compte bancaire et d'un livret A ».
Bien évidemment, « vous pouvez utiliser vous-mêmes les sommes déposées sur le compte ou le livret », mais « l'utilisation de ces fonds est limitée aux dépenses qui concernent directement l'enfant (éducation, entretien) ». Dès 12 ans, un enfant peut faire lui-même la demande d’ouverture, l’autorisation des parents restant nécessaire.
Dès 16 ans, il peut « dans la plupart des banques et avec l'autorisation de ses parents, ouvrir un compte bancaire avec une carte bancaire et un chéquier ». Autre changement important à cet âge : si vous pouvez toujours utiliser les fonds disponibles, « vous devez rendre des comptes à votre enfant sur l'usage que vous faites de cet argent ».
Dans la pratique, obtenir une carte bancaire ou un chéquier est possible avant 16 ans, mais la mécanique est inversée : ce sont les parents qui en font la demande, pas l’enfant. Dans tous les cas et jusqu’à ses 18 ans, « vous êtes responsables des fonds et des mouvements sur les comptes de votre enfant ». Afin de limiter les risques, les cartes proposées sont toutes à autorisations systématiques afin d’éviter les découverts, interdits.
Une banque et une carte bancaire pour ado, qu’est-ce que c’est ?
Certains établissements proposent ainsi leurs services à des enfants dès 7, 10 ou 12 ans suivant les cas. Mais toutes ne le permettent pas : chez BforBank, Orange Bank et N26 par exemple, il faut obligatoirement être majeur.
Lorsque c'est le cas, il vous est en général proposé des moyens pour suivre les dépenses, soit via une application dédiée, soit dans celle de votre banque s’il a la même, ou encore via des alertes par SMS/emails. Vous pouvez modifier les plafonds de la carte de paiement, autoriser ou non le sans contact, faire une déclaration de perte, lancer une procédure de blocage, etc. Vous avez le plus souvent accès à l’ensemble des paramètres du compte.
L'adolescent se voit de son côté proposer des fonctionnalités d'aide à la gestion de son argent. D'autres services visent plutôt à attirer les jeunes dans une banque plutôt qu'une autre comme le cashback (une petite partie des dépenses sont recréditées sur leur compte), le transfert d’argent par SMS, la gestion de cagnottes, etc.
De plus en plus d'acteurs misent sur la création de communautés, cherchant à inciter leurs utilisateurs à parainer leurs amis, leur proposant des services qui ne sont utilisables que de client à client de leur établissement. Attention à ce que cela ne soit pas le critère de choix premier, car toutes ne sont pas sans frais (cachés), loin de là !
Il y a par contre un point commun à tous ces services : le découvert n'est pas autorisé et les cartes de paiement sont à autorisation systématique. Une manière de rendre votre enfant autonome en limitant les risques.
Les points à surveiller avant de sauter le pas
Certains services ne sont accessibles aux enfants que si l'un de leurs parents est déjà client. C’est le cas chez Boursorama, Hello Bank et Revolut. Le niveau de service et les éventuels frais (à l’étranger, pour les retraits, les virements…) varient parfois fortement, pensez à vérifier ce qu‘il en est en fonction de vos usages.
Un relevé d'identité bancaire (RIB) est en général fourni, permettant de recevoir des virements, mais ce n’est pas obligatoire. Prisés de certains jeunes, Apple et Google Pay ne sont également pas toujours supportés. Dans le cas d’une famille recomposée et/ou séparée, il faut vérifier si le service correspond bien à vos besoins en laissant le ou les autres représentants légaux avoir accès au compte, leur permettant de le superviser.
La première chose à faire est donc de définir vos besoins et les règles que vous voulez instaurer. Cela dépendra du degré d'autonomie de votre enfant, de la relation de confiance que vous avez, notamment lorsqu'il s'agit d'activer plus ou moins de fonctionnalités de contrôle parental. Mais soyez prudent avec les promesses de type « pas de mauvaise surprise » ou « Tout est inclus dans votre abonnement mensuel » ; elles cachent parfois de mauvaises surprises. Et ce n’est pas parce qu’un service est gratuit qu’il le restera toujours (nous y reviendrons).
Orange Bank Premium : jusqu’à cinq enfants, 12,99 euros par mois
Orange Bank est la banque en ligne lancée par l’opérateur de téléphonie mobile il y a maintenant trois ans. À l’occasion de son passage chez Mastercard (plutôt que VISA), elle s'ouvre à la famille (mais pas aux comptes joints).
L’offre comprend une carte Premium pour vous – proposée seule à 7,99 euros par mois – et jusqu’à cinq cartes Plus pour vos enfants dès 10 ans. Ils ont une application dédiée pour gérer leur compte et peuvent mettre en place des tirelires. De votre côté, vous pouvez contrôler les dépenses et gérer les fonctionnalités de la carte.
Il y a « 0 euro de frais de tenue de compte », tous les détails sont donnés dans ce document, à partir de la page 45. On y apprend notamment que la carte Plus est à débit immédiat et « fonctionne selon les mêmes règles de fonctionnement que la carte Standard » d’Orange Bank. Elle est à « autorisation quasi-systématique […] La vérification du solde n’est pas systématique », précise bien Orange.
Prudence donc, d’autant que le compte enfant n’a « pas de découvert autorisé ». Enfin, « les assurances Perte et Vol des Moyens de Paiement (si vous l’avez souscrite) et Protection des Achats sont étendues à chaque enfant mineur qui utilise un compte ouvert dans le cadre du Service Pack Premium ».
Le Pack Premium est à 9,99 euros par mois pendant six mois, puis à 12,99 euros par mois.
Kador de Boursorama : complet et gratuit, sous conditions
Boursorama est l'un des plus gros acteurs français de la banque en ligne. Depuis quelques années, il propose une offre dédiée aux 12 à 17 ans : Kador (brochure tarifaire). Elle donne gratuitement accès à une carte Visa Classic à autorisation systématique, avec paiement sans contact et prise en charge du trio Apple/Google/Samsung Pay.
« Les paiements à l'international sont gratuits », mais ce n’est pas le cas des retraits de devises autres que l’euro où la banque prélève 1,94 %. L’enfant dispose de son application dédiée, tandis que les parents surveillent leurs comptes depuis l'application Boursorama. Le jeune dispose d’un RIB pour recevoir des virements.
Si Kador est gratuite pour un ou plusieurs enfants, c'est une offre réservée aux parents clients de Boursorama : il n’est pas possible d’ouvrir uniquement un tel compte.
Revolut Junior : dès 7 ans, entre un et cinq comptes gratuits
Chez Revolut, les enfants ne peuvent être clients que si leurs parents le sont déjà. Le nombre de comptes ouvrable varie d'ailleurs en fonction de leur niveau d’abonnement : un seul compte Junior avec l’offre Standard gratuite, deux avec Premium à 7,99 euros par mois et cinq avec Metal à 13,99 euros par mois.
Par conséquent, « si vous commandez une carte Revolut Junior, les mêmes frais que ceux appliqués au niveau de votre compte personnel Revolut s’appliquent ». Sur le site, on peut lire qu’un « compte Revolut Junior est un sous-compte de votre compte personnel Revolut auquel vous autorisez l’utilisation à un Junior ».
Par contre, les « Juniors ne peuvent pas procéder ni recevoir des transferts à l’aide de l’application Junior » et ne disposent pas de RIB, une limitation qui pourrait en refroidir plus d'un. De plus, Apple/Google Pay ne sont pas supportés pour le moment, mais ces fonctionnalités devraient arriver prochainement, selon Revolut.
La limite d’âge est plus basse qu'ailleurs : 7 ans seulement.
Pixpay : 2,99 euros par mois mais du cashback, dès 10 ans
Pixpay vise spécifiquement les enfants et adolescents, à partir de 10 ans. Pour 2,99 euros par mois, ils disposent d’une carte Mastercard et d’un RIB. Aucun frais n’est demandé en zone euro.
En dehors il faudra par contre payer 2 % du montant pour les achats et 2 euros par retrait. Lors de la clôture du compte, vous pourrez faire un virement SEPA qui vous sera facturé 1 euro. Pour les parents, Pixpay permet de bloquer des revendeurs ou des catégories de marchands, ce que certains apprécieront.
Un système de cashback est proposé chez des partenaires : Undiz, les cinémas Pathé Gaumont, Citadium, Back Market, etc. Une fonctionnalité baptisée Pix&love. La carte de paiement est compatible Apple/Google Pay.
Kard : 4,99 euros par mois par famille, avec assurance casse
Comme Pixpay, Kard est une offre pensée pour la famille et plus particulièrement les adolescents à partir de 12 ans. Gratuite à ses débuts, elle est devenue payante le 22 septembre. Cela ne concerne que les nouveaux clients
Désormais, il faut débourser 49,90 euros par an, ou 4,99 euros par mois, quel que soit le nombre d’adolescents qui en profitent. Intéressant si vous avez plusieurs enfants en âge d’avoir une carte de paiement. Pour les plus pressés, une carte virtuelle est disponible en attendant de recevoir la carte bancaire physique.
Kard permet de « payer partout dans le monde sans frais » et il en est de même pour les retraits. Un IBAN est proposé pour recevoir des virements. Par contre, dans la case « opérations spéciales non incluses ». Point étonnant : « jusqu’à 30 euros » de frais par an en cas d’inactivité sur une période de 12 mois (brochure tarifaire).
Une protection contre la casse de l’écran du smartphone est incluse pour les abonnés avec une offre payante, dans la limite de 100 euros et avec une franchise de 20 euros (conditions générales d’utilisation). Le dépôt d’espèces, les cagnottes à plusieurs et le paiement mobile avec Apple/Google Pay arriveront dans les prochaines semaines.
Vybe : gratuit et sans frais, avec des marques « partenaires »
Dernière venue dans le monde des néobanques pour les jeunes, Vybe mise sur la gratuité pour se démarquer… rien ne dit par contre qu’elle ne finira pas un jour par faire comme Kard.
L'équipe met aussi en avant la gratuité des « virements classiques (via IBAN) depuis/vers une autre banque » et des « transactions sont toujours sans frais, que ce soit en termes de paiements en ligne, paiements en magasin ou retraits », y compris à l’étranger. Par contre, la FAQ nous apprend que seuls les « trois premiers retraits en distributeur sont gratuits », ils sont ensuite facturés 1 euro. Par mois ? Ce n’est pas précisé.
Enfin, Vybe « donne accès à des avantages sur les fast-foods, restaurants et marques qui te correspondent ». La société explique d’ailleurs qu’elle se rémunère grâce à ces partenariats. Une manière pour ces marques de toucher directement des enfants, puisque c’est le principe même de l’application.
Xaalys : 2,99 euros par mois, des cagnottes, jeux et quizz
Xaalys est aussi pensée pour les enfants de 12 à 17 ans. Les tarifs dépendent du nombre de jeunes qui en profitent : 2,99 euros par mois pour un, puis 2 euros de plus par mois et par enfant supplémentaire.
Chacun dispose d’une carte Mastercard internationale et d’un RIB. Mais attention, Xaalys manie avec « brio » les astuces et autres subtilités. Ainsi, la formulation « Avec Xaalys, pas de mauvaise surprise ! Tout est inclus dans votre abonnement mensuel, et c’est sans engagement » peut cacher un « néanmoins, certaines interventions exceptionnelles ou services additionnels peuvent vous être facturés ».
C’est le cas de l’option internationale (en dehors de la zone euro), à 15 euros pour un mois tandis que l’alimentation du compte de votre enfant par CB est à 1 euro (brochure tarifaire). Comme chez Pixpay, vous pouvez autoriser les achats par univers de consommation (Mode, Restauration, Hi-Tech, Numérique, Voyages, Loisirs, etc.).
Ceux de « tabac, débit de boissons, paris en ligne… » sont bloqués par défaut. Des cagnottes peuvent être mises en place et partagées avec les proches. Enfin, Xaalys propose « des jeux et quiz » pour se familiariser avec les notions de la finance et ainsi préparer sa « future vie d’adulte ».
Compte nickel : 20 euros par an, gare aux frais
Le Compte Nickel propose son compte aux jeune à partir de 12 ans. Il vous donne accès à une Mastercard internationale. « Hors zone SEPA, votre enfant bénéficie du taux de change Mastercard, sans frais supplémentaires », précise le service. Il faut par contre ajouter 1 euro par paiement et 2 euros pour les retraits.
Il est possible de recharger le compte de votre enfant par carte et par dépôt de cash chez un buraliste partenaire (ils sont plus de 5 700 en France), ce qui vous coutera 2 % du montant dans les deux cas. Le retrait de cash est facturé 0,50 euro chez un buraliste et 1 euro dans un distributeur (brochure tarifaire). Un RIB est disponible.
Monabanq : 1,5 euro par mois, de 16 à 18 ans seulement
Si un dépôt de quelques euros est parfois demandé à l’ouverture, Monabanq n’y va pas avec le dos de la cuillère dans le cas d’une carte de paiement : « 150 euros par chèque vous est demandé pour l'ouverture de votre Compte Jeune ». Ce dernier est facturé 1,5 euro par mois et votre enfant dispose d’une Visa classique.
Un RIB est de la partie et, contrairement à la plupart des autres services, le jeune de 16 à 18 ans peut aussi bénéficier d’un chéquier. La banque en ligne précise que « toutes vos opérations (retraits, paiements, virements) dans l'Espace économique européen sont gratuites », mais ce n’est pas le cas en dehors : 2 % pour les achats et 2 % aussi pour les retraits, mais chaque année vous avez droit à trois retraits gratuits (brochure tarifaire).
Si vous le souhaitez, « vous pouvez bénéficier d'un coaching budgétaire ». Enfin, une fonction pratique pour certains : le dépôt de chèques et d’espèces est possible dans les distributeurs CIC.
Hello Bank : une inscription… par téléphone ou écrite
Chez Hello Bank, comme chez Boursorama, les enfants à partir de 12 ans peuvent profiter gratuitement d’une carte Visa Electron, mais… « à condition que le représentant légal en fasse la demande écrite ». Un conseiller confirme sur le forum de la banque : « il n'est pas possible de passer par le formulaire du site pour un mineur ».
Sur une autre page, il est indiqué que « si l'un de vos parents est déjà client Hello bank, vous pouvez ouvrir un compte en faisant la demande auprès de la Hello Team au numéro gratuit suivant : 01 43 63 15 15 ». Bref, une banque en ligne qui propose un bien étrange parcours d’abonnement pour les mineurs.
Nous n’avons du coup pas les conditions précises d’utilisation de la carte bancaire pour le jeune, dommage. Si vous êtes chez Hello Bank, il faudra donc se renseigner auprès d’un conseiller.
Société Générale V Pay, la Banque Postale, HSBC…
Chez les banques « classiques » aussi les jeunes ne sont pas oubliés. La Société Générale permet d’ouvrir un compte en ligne aux enfants à partir de 12 avec une carte bancaire V Play gratuite. Dès 16 ans, ils peuvent profiter d’une Visa internationale, également offerte. Dès 18 ans, les cartes sont payantes avec un tarif progressif jusqu’à 30 ans.
La Banque Postale propose le compte bancaire Jeune Talent Booster, à partir de 16 ans. Vous pouvez ouvrir un compte en ligne ou en bureau de poste et profiter d’une Visa Classic gratuitement jusqu’à vos 18 ans. HSBC propose une Visa Electron de 16 à 18 ans pour... 35 euros par an, une des offres les plus chères de ce dossier.
Quelle offre choisir ?
Comme souvent, le choix dépendra de vos besoins, il n’y a pas de formule magique. Si vous êtes chez Boursorama ou Revolut, les offres proposées feront certainement le job, sans que vous ayez besoin de dépenser de l’argent en plus. Pour des offres spécialement pensées pour les jeunes, Pixpay et Xaalys vous tendent les bras.
Kard est plus chère, mais couvre l’ensemble de vos ados, l’offre peut donc devenir la moins onéreuse pour les familles nombreuses. Dans tous les cas, il ne faut pas hésiter à tester et faire jouer la concurrence et changer de service s’il ne vous convient pas ; il en est d’ailleurs de même pour les adultes qui peuvent économiser pas mal de frais sur une année en fonction de leurs usages (lire notre comparatif de 16 banques en ligne de fin 2017).
Faites aussi attention à la gestion de la vie privée, nous avons passé les applications Android des différentes banques pour adolescents dans la moulinette d’Exodus. Kador est l’une des plus « respectueuses » avec 2 pisteurs (ATInternet et Google CrashLytics) et 8 permissions, suivi de très près par Revolut avec 3 pisteurs (Google AdMob, CrashLytics et Firebase Analytics) et de nouveau 8 permissions. Pixpay, Compte Nickel et Xaalys sont entre 5 et 8 pisteurs pour 15 à 24 permissions, tandis que Vybe demande pas moins de... 50 permissions pour 8 pisteurs.
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Commentaires (8)
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Abonnez-vousLe 01/10/2020 à 12h44
Le suivi pour les parents est toujours cité “depuis l’application”. Personne ne le propose depuis le site web, ou c’est sous-entendu ?
Le 01/10/2020 à 13h20
Ou alors le suivi par les parents passent par le suivi des parents par la banque. Je ne sais pas si c’est très clair dit comme ça :)
Le 01/10/2020 à 21h29
Concernant le compte Kador, on peut le suivre en ligne également il apparaît avec les autres comptes.
Le 02/10/2020 à 07h50
kabot ou kador ?
La laisse parentale est un nouveau mode coercitif : à l’époque les banques pouvaient envoyer des lettres de relevé nominatives, au moins on apprenait à lire.
Le 02/10/2020 à 08h07
C’est nouveau l’interdiction de découvert pour les mineurs ?
A 16ans, j’ai ouvert un compte classique à la caisse d’épargne (carte visa normale, pas à autorisation systématique donc ! ) à -50% du tarif adulte (tarif valable jusqu’au 25 ou 30ans chez eux, je sais plus)
Par contre, étant mineur, ma mère était effectivement responsable en cas de soucis.
Bien sur, zéro contrôle parentale à l’époque !
Le 02/10/2020 à 08h48
Les Caisses d’Epargne n’ont à ma connaissance jamais autorisé le découvert pour les mineurs, les opérations en situation négative (grâce à une CB ou bien un chèque) étant souvent couvertes par une clause de compensation depuis les comptes des parents (de toutes façons jusqu’à 18 ans c’est toujours les parents qui paient).
Sinon il y a forcément un contrôle parental car le parent est destinataire des relevés de comptes, il peut y accéder depuis internet (à l’époque par minitel ou par serveur vocal), sur les relevés flash distribués dans les DAB.
En fait, rien de bien nouveau.
Le 06/10/2020 à 10h57
De la pub à la con. Surtout ne regardez pas le taux de solvabilité de ces “banques”. Y’a plus d’âge pour se faire intuber.
Le 19/11/2020 à 09h11
Par exemple ?
Parce que souvent les “comptes” des émetteurs de monnaies sont portés par des établissements bancaires classique.