Valve se sépare de huit employés, aucun projet n’est affecté selon Newell
Ils peuvent peut-être tenter leur chance chez Gas Powered Games ?
Le 15 février 2013 à 10h07
2 min
Économie
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Nos confrères de chez GamesIndustry rapportent qu'une vague de licenciements aurait eu lieu chez Valve ces derniers jours. Seraient concernés une petite dizaine de employés dont Jeri Ellsworth, un ingénieur spécialisé dans le hardware. La SteamBox prend-elle du plomb dans l'aile ? Gabe Newell assure que non.
Yup.Got fired today.Time for new exciting projects.
— Jeri Ellsworth (@jeriellsworth) 13 février 2013
Huit employés seraient touchés par ces licenciements chez Valve, et tous occupaient des postes différents, comme le montre cette page ou Garry Newman, le créateur du Garry's Mod compare l'actuelle page du site de Valve recensant ses employés avec une version précédente.
Outre le licenciement de Jeri Ellsworth, on y découvre également celui de sept autres personnes :
- Jason Holtman - Director of Business Development
- Keith Huggins - Animator
- Tom Leonard - Lead programmer
- Realm Lovejoy - Artist
- Marc Nagel - Lead Tester
- Bay Raitt - Artist
- Mattew Russell - Animator
Seul celui de Jason Holtman a été confirmé par Valve. Interrogé par Engadget Gabe Newell préfère quant à lui éluder la question. « Nous n'avons pas pour habitude de parler de notre gestion du personnel pour de nombreuses raisons. Il semble cependant qu'une spéculation inhabituelle se forme autour de nos récents changements, je pense donc que je vais devoir les commenter. Non, nous n'annulons aucun de nos projets. Non, nous ne changeons aucune de nos priorités concernant nos projets. Non, ce n'est pas en lien avec Steam, Linux, du matériel ou [Inserez un nom de jeu ici]. Nous ne commenterons pas sur les raisons pour lesquelles telle ou telle personne ne travaille plus ici », tranche-t-il.
Tout va donc pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles chez Valve, la Steambox est toujours en travaux, et aucun projet n'est annulé. La coÏncidence avec la disponibilité depuis hier de Steam pour Linux dans sa version définitive serait donc totalement fortuite.
Commentaires (46)
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Abonnez-vousLe 15/02/2013 à 10h11
" /> j’adore le code du travail chez eux, tu arrives et on te dis que tu dégages… super
Le 15/02/2013 à 10h13
Il se murmure qu’on aurait virer les “branleurs” qui profitaient trop de l’absence de management.
Le 15/02/2013 à 10h14
Nofrag (en reprenant Gamasutra) nous dit que ce sont 25 employés qui dégagent. Qu’en est-il vraiment ?
Le 15/02/2013 à 10h14
Le 15/02/2013 à 10h14
La transparence dans le monde du jeuvidéo " />
On en saura certainement plus sur cette affaire dans peu de temps.
Le 15/02/2013 à 10h16
Le 15/02/2013 à 10h21
Le 15/02/2013 à 10h23
Le 15/02/2013 à 10h23
Le 15/02/2013 à 10h25
Le 15/02/2013 à 10h28
un ingénieur bas niveau, un lead-programmer (gameplay?), deux artistes, deux animateurs, un testeur, un responsable business/boss.. c’est moi où on a les ingrédients pour un petit studio indé (voire la base pour un plus gros) dans cette liste?
Le 15/02/2013 à 10h33
Le 15/02/2013 à 10h38
Le 15/02/2013 à 10h38
Multitudes de choses possibles concernant ces départs, peut être que ces derniers n’étaient pas en accord avec les projets de valve, que ce soit sur le développement multi-plateforme de Steam ou du moteur source, de la SteamBox ou même de Linux, peut être que du fait de l’absence de management ils faisaient partie de ce qui glandaient le plus et voulaient bosser moins que les autres, ou alors peut être que Gabe a poussé Valve au cul pour les licencier suite à une mésentente… " />
Allez savoir, tout est possible, si une des personnes licenciées trouve à s’en plaindre, nul doute qu’elle finira par l’exprimer publiquement en ligne ou non. " />
Le 15/02/2013 à 10h39
Le 15/02/2013 à 12h27
Le 15/02/2013 à 12h29
Le 15/02/2013 à 12h34
Le 15/02/2013 à 12h50
Le 15/02/2013 à 13h15
Non, ce n’est pas en lien avec Steam, Linux, du matériel ou [Inserez un nom de jeu ici]. Nous ne commenterons pas sur les raisons pour lesquelles telle ou telle personne ne travaille plus ici », tranche-t-il.
Traduction, vous ne saurez pas la vraie raison.
Le 15/02/2013 à 13h33
Le 15/02/2013 à 14h22
Attendons juste que les premiers concernés s’expriment (ça devrait pas tarder… à moins qu’ils n’aient un devoir de réserve ?) " />
Le 15/02/2013 à 14h54
Le 15/02/2013 à 14h57
Le 15/02/2013 à 15h25
Le 15/02/2013 à 15h53
Le 15/02/2013 à 15h56
Le 15/02/2013 à 15h57
Le 15/02/2013 à 15h58
Le 15/02/2013 à 16h01
Le 15/02/2013 à 18h03
Un de leur gars s’est fait virer car il refusait qu’on installe des roulettes sur son bureau (flexibilité toussa).
Ou les mecs glandaient comme il est écrit plus haut, ou ils veulent changer d’air.
Le 15/02/2013 à 10h39
Le 15/02/2013 à 10h45
aucun projet n’est affecté selon Newell
Ca et dire que ces gars ne foutaient rien " />
Le 15/02/2013 à 10h47
Le 15/02/2013 à 10h49
Ouais enfin faut pas croire que c’est la corée du nord non plus. En fait là ou chez nous les modalités de sortie d’un emploi sont le plus souvent la démission ou la rupture conventionnelle et loin derriere les licenciements eco et pour faute, aux USA tout est question d’accord sur le montant de l’indemnité transactionnelle.
Pour autant les clause de rupture d’un contrat de travail sont écrites et on peut tout a faire attaquer le motif d’un licenciement du fait de l’employeur s’il n’ya pas eu d’accord.
Enfin il faut savoir que la flexibilté du travail aux USA a aussi créé un monde de l’entreprise ou il est souvent plus simple et moins cher d’avoir 10 employés qui travaillent sur un outil simple que 2 sur un outil complexe (très vrai en finance ou nous avons des ERP qui font tout même pour de petites boites en France, alors qu’il faut arriver dans les empires financiers pour voir ce genre d’outils outre atlantique)
Du coup le marché est plus facile à vivre et un employé ne va pas s’accrocher à un poste ou on ne veut plus de lui et l’entreprise préfère faire un gros chèque pour qu’un type dont on ne veut plus parte vite et sans faire de bruit.
En contrepoint chez nous les places sont chères et les boites ont cette sale mentalité de “monter des dossiers” et de pousser vers la démission.
Evidement je ne parle que du positif du marché US, les inconvénients sont légions : 1er poste de réduction de coûts quand ça va mal, aucune protection dans les secteurs ou trouver un emploi n’est pas facile etc…
Un peu comme tout aux USA être au bon endroit au bon moment et c’est le pays du bonheur et des possibles, par exemple un comptable à New york en bonne santé, mais quand ça va pas, ça va pas : un ouvrier du bâtiment dans l’oregon avec un mauvais dos.
Le 15/02/2013 à 10h50
Je trouve le sous-titre de cette news terriblement mesquin.
Le 15/02/2013 à 10h52
Excusez-moi mais j’ai du mal à comprendre.
Valve est une boite de 300 personnes qui vient de virer huit mecs. En quoi c’est une info ?
Quand EA, Ubisoft, Activision, Blizzard ou BioWare décide de virer 10 mecs, on n’en parle pas, non ?
Le 15/02/2013 à 10h58
Le 15/02/2013 à 11h00
Tout va donc pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles chez Valve, la Steambox est toujours en travaux, et aucun projet n’est annulé. La coÏncidence avec la disponibilité depuis hier de Steam pour Linux dans sa version définitive serait donc totalement fortuite.
La fin de l’article me laisse perplexe… grosso modo, on s’en fout des licenciements du moment que tous les projets valve continuent
Le 15/02/2013 à 11h02
Le 15/02/2013 à 11h04
Le 15/02/2013 à 11h19
Quoi ?
il existe un turn over dans des entreprises ?
vague de licenciement… je dirais raz de marée aussi…
surtout que spéculer alors qu’on ne connait pas les raisons (qui n’ont pas l’air économique)…
Le 15/02/2013 à 11h27
Le 15/02/2013 à 11h29
Le 15/02/2013 à 11h47
aucun projet n’est affecté selon Newell
Ce sont juste des mecs qui ont refusé de lui faire un sandwich une fois.
Le 15/02/2013 à 12h00