Aujourd'hui le récapitulatif des tests se consacre à la mobilité et plus particulièrement aux ordinateurs portables. S'il y a encore quelques années leur format n'avait rien de très original, les temps ont changé et désormais les constructeurs rivalisent de créativité comme vous pourrez le constater à travers les tests de nos confrères.
Si l'on revient ne serait-ce que trois ans en arrière, les ordinateurs portables se ressemblaient tous ou presque. Souvent épais et parfois lourds, rien ne les distinguait les uns des autres à part quelques choix esthétiques. Aujourd'hui, la donne a changé et les derniers tests faits par nos confrères le montrent assez clairement.
Gigabyte U2442F : un Ultrabook presque taillé pour le jeu
Prenons par exemple le cas de l'U2442F de Gigabyte, récemment passé entre les mains de nos confrères de XSReviews. Comme la plupart des Ultrabooks, il embarque un processeur Core i7-3517U, 8 Go de mémoire vive et un SSD au format mSATA d'une capacité de 128 Go. Son écran de 14 pouces affiche quant à lui une définition de 1600 x 900 pixels.
Ce qui distingue cet Ultrabook de la masse, c'est l'utilisation d'une carte graphique GeForce GT 650M dotée de 2 Go de mémoire, alors qu'une grande partie de ses concurrents ne se contente que de l'IGP intégré au processeur. Est-ce suffisant pour justifier son tarif qui culmine au-dessus des 1100 euros ? Réponse tout de suite :
- Lire l'article. (en anglais).
Lenovo IdeaPad Yoga 11 : Windows RT, une fausse bonne idée ?
Si vos besoins et votre budget sont plus limités, des machines originales adaptées à votre cas existent aussi, comme l'IdeaPad Yoga 11 de Lenovo. Ce dernier se situe à mi-chemin entre le netbook et la tablette tactile s'articule autour d'un processeur à architecture ARM : le Tegra 3 de chez NVIDIA et fonctionne donc sous Windows RT.
Côté affichage, il faudra composer avec un écran tactile brillant de 11,6 pouces affichant 1366 x 768 pixels, tandis que 64 Go de mémoire flash sont de la partie pour le stockage. La connectique est quant à elle minimale, avec deux ports USB 2.0, une sortie HDMI, un lecteur de cartes SDHC et l'inévitable Jack de 3,5 mm. Que faut-il attendre de cette machine hybride disponible à partir de 449 euros ? Laissons nos confrères de chez Think Computers vous en parler :
- Lire l'article. (en anglais).
ASUS Transformer BookTX300 : un Ultrabook à l'écran détachable
Certains constructeurs proposent même des machines plutôt minces dont la particularité est d'avoir un écran détachable, comme cet ASUS Transformer Book TX300 que nos confrères d'Engadget ont passé en revue. Cette machine est plutôt musclée puisqu'elle s'articule autour d'un processeur Core i7-3517U, mais contrairement au Gigabyte U2442F il n'embarque pas de carte graphique supplémentaire.
Son point fort se situe au niveau de son écran tactile de 13,3 pouces, exploitant une dalle IPS et affichant une définition de 1920 x 1080 pixels. Mais surtout ce dernier peut se détacher du clavier, faisant ainsi du TX300 une tablette tactile plutôt musclée. Comptez tout de même 1270 euros pour vous l'offrir dans une version dotée d'un SSD de 128 Go et d'un disque dur de 500 Go. Est-ce un tarif raisonnable ? Réponse tout de suite :
- Lire l'article. (en anglais).
Acer Aspire R7 : vous pensiez avoir tout vu ?
Enfin, terminons ce récapitulatif avec un ordinateur portable très original : l'Acer Aspire R7. Ce dernier dispose d'un système d'articulation très particulier pour son écran, ce qui lui permet soit de le déplier normalement, de le tourner vers l'extérieur, ou encore de l'incliner au-dessus du clavier.
Côté configuration, le modèle testé par nos confrères de The Verge se contente d'un Core i5-3317U, accompagné de 6 Go de RAM et d'un disque dur de 500 Go épaulé par un SSD de 20 Go faisant office de cache. Seules ombres au tableau, son poids de 2,4 kg, un peu élevé pour un portable de 15,6 pouces et son tarif annoncé à 999 euros, bien au-delà de celui d'Ultrabooks équivalents. Faut-il craquer pour lui ? Laissons nos confrères vous aider à trancher :
- Lire l'article. (en anglais).
Commentaires (4)
#1
Tous les nouveaux form factors que l’on voit depuis un an on les doit essentiellement à Windows 8… Si Microsoft n’avait pas effectué cette audacieuse évolution de Windows vers Metro et le tactile, si Microsoft n’avait pas entrepris une optimisation du code de Windows il y a plusieurs années (on imagine l’ampleur de la tâche), on n’aurait encore que des laptops classiques et le marché PC ce serait encore plus effondré face aux tablettes.
Attribuer la baisse du marché PC à Windows 8 est une grossière erreur à mon sens : si le marché PC baisse ce n’est pas parce que les entreprises et professionnels n’achètent plus de PC du fait de l’orientation prise par Windows 8, c’est parce que les consommateurs se détournent du marché PC au profit des smartphones et tablettes… Supprimer Metro, faire revenir le bouton démarrer et le menu démarrer, c’est pas ça qui aurait empêché le grand public de quitter le marché PC au profit des tablettes, bien au contraire ça n’aurait probablement fait que catalyser le mouvement…
Les constructeurs étaient quand même pas au point au lancement de Windows 8 (on n’a eu quasiment que des PC classiques au lancement, les form factors originaux et les écrans tactiles sont arrivés avec 2 à 4 mois de retard), mais la situation s’améliore progressivement.
#2
#3
La yoga 11 " />" />" />" />" />" />" />
#4