Apple renforce une nouvelle fois les versions web de ses outils Pages, Numbers et Keynote. Bien qu’ils possèdent toujours l’étiquette « bêta », les éléments de la suite iWork bénéficient maintenant d’un nombre plus important de fonctionnalités. Pourtant, certains manques sont toujours présents, à l’instar de la traduction française.
Apple a lancé en juin de l’année dernière la première version bêta de sa suite iWork en ligne. Depuis, la firme prend son temps et ajoute régulièrement des fonctionnalités. Il ne s’agit clairement pas d’une priorité pour elle, mais ces moutures en ligne sont en fait alignées avec les versions pour OS X et iPad, le moteur de traitement des documents étant strictement le même. Alors que certains soucis, comme l’absence d’une version française, sont notés depuis bientôt un an, Apple zappe encore une fois le caractère international de son outil, mais ajoute quand même des fonctionnalités supplémentaires.
Les apports commencent avec une plus grande liberté dans les ajouts des images et la gestion du poids des documents. Les utilisateurs peuvent ainsi ajouter désormais des images dont le poids peut aller jusqu’à 10 Mo. Les documents eux-mêmes pourront peser jusqu’à 1 Go. Cette augmentation des chiffres se retrouve même sur l’aspect collaboratif puisque la limite de 50 personnes sur un même document passe à 100. Il n’est pas certain toutefois que ce dernier point soit utile à un grand nombre d’utilisateurs.
Pour le reste, on notera en particulier la plus grande liberté de choix pour les graphiques dans Numbers, notamment pour les couleurs. Le tableur reçoit également la capacité d’exporter au format CSV. Pages reçoit de son côté la capacité d’insérer puis de modifier directement des tableaux, ce qui était une absence marquante. De même, les objets peuvent être superposés et l’export au format ePub est présent. Dans les trois applications web, l’utilisateur pourra en outre créer des graphiques 2D interactifs.
Tous ces ajouts sont disponibles depuis le compte iCloud.
Commentaires (5)
j’espère qu’ils ont réglé ce bug qui rend indisponible pendant un temps certains fichiers collaboratifs.
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Un bug qui intervenait lors de l’utilisation d’un client lourd d’un coté et d’un client web de l’autre.
Dans un usage semi-pro … c’est ce qui ma poussé vers la suite microsoft en ligne, qui est tt de même plus aboutie alors que plus jeune. Dommage, je préfère pourtant keynote à powerpoint.