#14h42 : Guy Birenbaum, de l’hyper-connexion à la reconnexion
Histoire d'une dépression française... connectée
Le 01 avril 2015 à 12h42
2 min
Internet
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Les internautes adeptes de Twitter connaissent bien Guy Birenbaum. Journaliste et chroniqueur radio, il est aussi très présent sur le service de micro-blogging (entre autres). Mais dans son livre Vous m'avez manqué, histoire d'une dépression française, il revient sur la façon dont cette bulle en ligne a aggravé sa maladie. Nous avons décidé de chercher à comprendre ce qui lui était arrivé.
Pour ce nouveau numéro de la seconde saison de 14h42, notre émission conjointe avec Arrêt sur images, animée par Jean-Marc Manach, nous avons donc décidé de nous entretenir avec Guy Birenbaum, ancien chroniqueur chez nos confrères. Il vient de publier un livre sur sa dépression, non pas causée, mais amplifiée par son hyper-connexion : Vous m'avez manqué, histoire d'une dépression française.
Une histoire qui nous parle forcément à tous, mais qu'il ne voit pas comme un hymne à la déconnexion. Plutôt une manière de comprendre comment se reconnecter. Pour l'occasion, un dispositif inhabituel a été mis en place puisque Daniel Schneidermann était présent en plateau.
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Bonne émission !
Commentaires (14)
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Abonnez-vousLe 01/04/2015 à 12h42
C’est parti
Le 01/04/2015 à 12h59
C’est nouveau ce coté promotion des livres? #Apostrophes 
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Le 01/04/2015 à 13h16
Sinon, il y a le projet de loi sur le renseignement qui me semble un tout petit peu plus important 
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Le 01/04/2015 à 13h23
On en parle déjà ici non ? Pour le reste, on attend en général que ça avant un peu au niveau legislatif pour pousser ce genre de sujet, donc ce sera sans doute pour une prochaine ;)
Le 01/04/2015 à 13h25
C’est quoi ?
Le 01/04/2015 à 13h26
Pas mal la vidéo (bon j’arrive à me faire au béret)… c’est psychologique
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Mais il manque un intervenant pour mettre un peu de rigolade : Michel Cymes
Le 01/04/2015 à 13h34
Sur le coup il manque michel Cymes pour contrecarrer Daniel S. Je l’aime bien dans les émissions de @si, mais là il a pourri l’émission je trouve.
Le 01/04/2015 à 14h11
+1
Sa présence m’a dérange là pour le coup….
Le 01/04/2015 à 14h19
Par contre, l’option Youtube Auto-Darude ..
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Le 01/04/2015 à 19h49
bon, bah du coup, je crois que c’est la première fois que je vais pas au bout d’un 14h42.
Le 02/04/2015 à 09h00
@IsaDupré : certes, le livre vient de sortir, mais l’objectif était surtout de causer de ce pourquoi l’hyperconnexion n’était pas, contrairement à ce que relaie pas mal d’autres médias, à l’origine de sa dépression, mais bien un symptome d’icelle
@poshu : pour le coup, si Guy a effectivement commencé à parler de sa dépression, c’est après que l’on aborde plus à fond le net, désolé…
Le 02/04/2015 à 09h59
@manhack: Guy Birenbaum l’a bien dit : le problème était la dépression et non pas Internet. Donc pourquoi en faire une émission du 14h42? Je ne comprends pas la ligne édito.
Je suis une fidèle de cette émission mais là, je suis déroutée par cet angle médico-psycho-social avec comme prétexte Internet pour en parler.
Vivement la prochaine émission!
Le 04/04/2015 à 10h28
Pourquoi les journalistes et les professionnels de l’audiovisuel sont-ils autant férus de Twitter au point de refuser de parler de ses inconvénients ou de ses effets négatifs ?
A ma connaissance, seuls Daniel Schneidermann et Audrey Pulvar n’en disent pas que du bien.
Le 04/04/2015 à 10h59
Personnellement, j’ai quitté Twitter quand Laure Manaudou s’est fait littéralement incendiée de bêtises après son tweet qui faisait la relation entre les jeux vidéos et le passage à l’acte d’un tireur fou (en Finlande ou en Norvège). Je me souviens avoir eu du dégou et de l’effroi devant ce phénomène semblable à un mouvement de foule / une vindicte populaire.
En revanche sur Facebook, tout le monde “s’aime” (ce n’est pas forcément plus réjouissant), à part dernièrement où je me suis énervé sur un gars qui cherchait à me faire admettre que je racontais des âneries dans la rubrique “Avis” de la page d’une marque commerciale. Je souhaitais mettre un terme à la discussion et il continuais à me solliciter. Finalement, je l’ai bloqué.
Les réseaux sociaux sont utiles et ludiques pour discuter avec d’autres quidam ou avec des personnalités médiatisées, mais parfois, seuls derrière notre écran, nous ne sommes pas toujours très “net” (jeu de mot) ou très conscient de la portée de nos paroles (des paroles parfois dangereuses/blessantes pour nous-même ou pour autrui). Avoir le temps de prendre conscience de ces dangers, c’est peut-être le seul avantages qu’auront les “digital natives”.