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Okki

est avec nous depuis le 11 novembre 2009 ❤️

Bio

Linuxien depuis 1996, actuellement sous Fedora avec l'environnement de bureau GNOME.

I ❤️ systemd, Flatpak, PipeWire, Wayland… et toutes les nouveautés qui font hérisser le poil des grincheux (sauf si ça vient de Canonical 😝)

1318 commentaires

Le 22/10/2015 à 17h 03

Je parlais du système dans son ensemble, pas uniquement l’interface graphique. Mais si on prend le cas de ces dernières, le peaufinage, on le retrouve également dans les dernières versions de GNOME ou Cinnamon, pour ne citer qu’eux.



Par exemple, dans les innovations attendues (bon, ok, façon de parler, parce que les concurrents y ont déjà droit), on a le sandboxing applicatif (genre XDG App, sur lequel travail GNOME et pour lequel Red Hat a récemment embauché Christian Hergert pour bosser dessus à plein temps).



Ou les mises à jour atomiques et la notion de snapshots qui permettront de facilement revenir en arrière en cas de mises à jour foireuses, par exemple. Red Hat travail également dessus (j’ai vu que Canonical avait développé un truc dans le même genre de son côté pour son OS mobile, mais aucune idée s’ils ont prévu de le transposer sur le desktop).



Après, ça aurait été bien d’avoir également enfin une synthèse vocale de qualité, un assistant personnel, faire de la recherche sur l’IA… Et là, on va me sortir qu’ils sont loin d’avoir le même nombre d’ingénieurs que certains concurrents. Mais c’est sûr que de développer Mir dans son coin plutôt que de contribuer à Wayland, ou de développer Snappy plutôt que de contribuer au projet Atomic, ça aide vachement XD



Oui oui, je sais, je radote XD

Le 22/10/2015 à 16h 26

Les distribs à release fixe, c’est bien quand on vise l’extrême stabilité, genre Debian ou les versions LTS d’Ubuntu. Mais upgrader tous les six mois pour une version non LTS, je trouve ça complètement con. Vaut mieux taper sur des rolling release comme Manjaro.



Au moins on bénéficie d’une distribution continuellement à jour, tout en étant finalement plus simple (pas besoin de s’emmerder avec cinquante PPA, les derniers drivers nVidia dispos en standard pour ceux qui préfèrent…), le choix du kernel (LTS ou le dernier)…



Sans parler du fait que ces dernières années, Ubuntu, c’est vraiment le degré zéro de l’innovation.

Le 22/10/2015 à 15h 16

Pour le premier point, quand on a reçu des notifications durant notre absence, il y a une pastille de couleur qui apparaît et qui permet un rendu visuel de la présence de notifications. Comme ça on sait qu’on peut aller y jeter un oeil. Tout comme on peut également faire en sorte d’être prévenu de la présence de nouvelles notifications sur l’écran de verrouillage.



Sinon, pour voir d’un simple coup d’oeil toutes les applications lancées, il existe des extensions comme TaskBar ou TopIcons, mais aucune idée si ça propose également les fonctionnalités que tu attends.

Le 22/10/2015 à 14h 49

Je ne connais pas Unity, mais du côté de GNOME, puisque il y a désormais un centre de notifications, ça ne serait pas plus intéressant de recevoir les messages directement dans ce dernier ?

Le 01/10/2015 à 20h 35

En même temps, pourquoi de simples utilisateurs ont les droits root ?

Le 29/09/2015 à 16h 41







Faith a écrit :



Et si, au lieu d’être agressif, tu te demandais s’il n’y avait pas de meilleures raison à ces abandons ? 



Et si tu réalisais que “la communauté” n’est pas omnipotente et que, parfois, une entreprise payant des ingénieurs à prix d’or était mieux placée pour réaliser des projets de très haute technicité ?







Je ne pense pas être particulièrement agressif. Je constate simplement l’inutilité de cette entreprise, et le fait qu’elle se contente de prendre sans jamais rien donner en retour. Ce qui s’apparente pour moi à du parasitage.







Faith a écrit :



Et concernant le Cloud, tu ne t’es pas dit que ça coutait tellement cher à Ubuntu qu’ils ne pouvaient pas les maintenir à moins de mettre en péril l’avenir des autres projets ?







C’est bien l’excuse avancée, ça nous coûte trop cher et nous ne pouvons pas lutter contre les géants du secteur. Je le comprends très bien, et le souci n’est pas là. Je remarque juste qu’un client Apple qui achète un Mac, un iPad et un iPhone a une continuité de service. Il peut commencer une activité sur l’un des périphériques, et la reprendre, de façon transparente, sur un autre. Il peut communiquer depuis son Mac sans avoir besoin de toucher son iPhone. Il peut prendre des photos depuis ce dernier, et y avoir accès sur tous les autres…



Maintenant, nous avons Canonical qui se lance dans la téléphonie, nous parle de convergence et tout un baratin marketing, mais sans cloud pour faire le lien, jamais ils ne pourront proposer la même expérience. Et je n’ai jamais dit que ça devait être forcément le leur. Mais est-ce qu’ils ont travaillé sur des options de synchronisation, sur l’intégration de services tiers, sur le fait de pouvoir interagir avec son smartphone depuis le centre de notifications de son environnement de bureau ? Non. GNOME y travail, de même que KDE. Mais comme à leur habitude, on ne voit jamais venir la moindre contribution venant de Canonical. Et c’est bien ça que je reprochais.



Tout comme ils auraient pu nouer un partenariat avec une autre entreprise, et proposer une solution clé en main à leurs utilisateurs. Alors qu’au final, nous avons juste eu droit à « nous fermons notre service, démerdez-vous ».


Le 28/09/2015 à 14h 37

La reconnaissance et la synthèse vocale sont plutôt médiocres sous GNU/Linux en comparaison des offres propriétaires. Canonical avait commencé à développer un projet, mais ils ont dû se dire que pour une fois qu’ils pouvaient faire quelque chose d’utile, ça ne pouvait pas aller, et l’ont donc abandonné en cours de route.



Niveau assistant personnel et intelligence artificielle, on est complètement à la ramasse.



Fut un temps, ils avaient également proposé un service cloud (Ubuntu One). Pratique pour synchroniser ses paramètres, sa personnalisation, ses fichiers persos ou whatever. Comme d’hab, ça a été abandonné. On pourrait se dire qu’il existe pléthore d’offres concurrentes, et qu’il suffit donc d’être compatible avec ces dernières. Mais voilà, encore une fois GNOME avait développé les comptes en ligne (GOA), et Ubuntu a voulu réinventer la roue (UOA ), qui ne sont bien évidemment pas compatibles, et des applications tierces comme le client mail Geary ne sont donc compatibles avec aucune des deux solutions à cause de ça.



Tout comme c’est également GNOME qui s’occupe d’apporter la prise en charge de Google Drive, ownCloud et compagnie, puisque Canonical ne sert à rien, comme à son habitude.



On pourrait également parler de la prise en charge des capteurs que l’on trouve sur certains portables, comme celui de la lumière ambiante, qui permet d’adapter automatiquement la luminosité de l’écran. Ah ben tiens, c’est ballot, c’est encore GNOME qui s’en est occupé.



Puis même l’existant, on peut sans cesse l’améliorer. Ubuntu avait par exemple démocratisé le principe des dépôts auprès des Michus avec une logithèque graphique qui permettait d’installer une application en deux cliques de souris. Leur application n’a pas évolué pendant des années, est lourdingue, mal pensée par rapport aux canons actuels, et on trouve franchement mieux sur les environnements concurrents.



* Reasons Why Users Don’t Like Ubuntu Software Center

* Ubuntu Software Center: proprietary and free software mixed in a confusing UI



Il y aura toujours un paquet de nouvelles idées à développer. Ne rien faire, ne plus évoluer, c’est vivre dans le passé et être amené à disparaître (evolve or die) <img data-src=" />

Le 28/09/2015 à 13h 21

Linux Mint n’étant qu’une Ubuntu LTS avec Cinnamon comme interface par défaut, les mises à jour ne sont pas censées poser plus de problèmes qu’une Ubuntu LTS avec Unity.



Après, entre deux Ubuntu non LTS, c’est sans doute une autre histoire, puisque elles ne bénéficient clairement pas de la même assurance qualité. En ce qui me concerne, si l’utilisateur souhaite à tout prix de la nouveauté et bénéficier des dernières technologies, j’aurais plus tendance à le rediriger vers une distribution de type rolling release comme Manjaro. Le seul intérêt d’Ubuntu, c’est vraiment son support long, pour ceux qui n’ont pas envie de mettre à jour tous les quatre matins.

Le 28/09/2015 à 13h 13







Faith a écrit :



Il y gagne parce qu’il n’a pas à attendre des années parce que les ressources sont dispersées à 360° au lieu de concentrées dans une direction globale. Dès qu’on a un projet d’ampleur, il est nécessaire d’avoir une prise de décision centralisée dans un petit comité.







Ça me fait penser à Ubuntu qui part dans toutes les directions (mobiles, tablettes…) et dont la partie poste de travail est délaissée depuis des années <img data-src=" />



Ou Ubuntu qui part réinventer la roue à chaque fois (dont l’exemple le plus récent est Mir vs Wayland). Heureusement que GNOME et le libre sont là pour que Canonical puisse venir y piller à l’envie sans rien contribuer d’utile en retour.


Le 27/09/2015 à 11h 46







SebGF a écrit :



Par contre il fallait changer l’explorateur de fichiers parce que maintenant il ne sait plus rien faire et il est devenu inutilisable… A moins que ça n’ait changé depuis, mais voir qu’il n’y avait plus l’affichage de l’arborescence était très handicapant pour moi.







Je ne sais pas si tu fais référence à la même chose, mais dans les préférences, onglet Affichage, t’as une option Naviguer parmi les dossiers dans un arbre. Exemple.


Le 26/09/2015 à 20h 57

Tout en étant basé sur Ubuntu LTS <img data-src=" />



Pas testé, mais c’est vrai que l’interface est plutôt plaisante.

Le 26/09/2015 à 19h 42

Et sous GNOME avec Dash to Dock (petite vidéo de démonstration) ou Cairo-Dock ?

Le 26/09/2015 à 19h 18







Bylon a écrit :



… et visiblement ça continue, comme si Nautilus n’était pas encore assez simpliste, la 3.18 de Gnome enlève encore des fonctions… on se demande ce qu’il va rester à la fin !..







Il n’y a eu aucune suppression de fonctionnalité dans cette nouvelle version. Au contraire, depuis deux versions, et après que le projet ai été délaissé un certain temps, le développement est redevenu actif.


Le 28/09/2015 à 15h 58

Tout le monde n’a pas forcément envie de bidouiller ou de configurer son environnement à outrance. Je me suis personnellement contenté de changer de thème et 2-3 conneries, sans ressentir le besoin d’aller au-delà.



Ou du moins, le peu que j’ai eu envie de faire, comme de lancer quelques applications au démarrage sur des bureaux virtuels en particulier, j’ai pu le faire sans problème.

Le 28/09/2015 à 15h 35

Je me considère comme un power user, j’adore la ligne de commande, j’écris mes propres scripts… et ça ne m’empêche pas d’être heureux sous GNOME 3.



Encore une fois, merci de ne pas généraliser.

Le 26/09/2015 à 20h 11

Le problème, c’est que tu tentes de faire passer ton expérience pour une vérité universelle.



J’utilise GNOME au quotidien et j’en suis pleinement satisfait. Et nombreux sont ceux qui continuent d’utiliser GNOME. Maintenant, je conçois parfaitement qu’il ne soit pas adapté à certaines personnes. Ça aurait pu être problématique si, comme sous Windows ou OSX, l’environnement était imposé. Ce qui n’est pas le cas sous GNU/Linux, qui dispose de nombreux environnements de bureau et autres gestionnaires de fenêtres, laissant ainsi le choix aux utilisateurs d’opter pour la solution la plus adaptée à leurs besoins.



Et non, les choix de GNOME ne sont pas stupides. Maintenant, il est normal de tester certaines choses, et de constater après coup que l’idée n’était finalement pas si bonne. Cela arrive. Le principal, c’est qu’ils acceptent leurs erreurs et qu’ils corrigent le tir, tout en restant fidèle à leur vision des choses.



Et ce dernier point est important. Encore une fois, le but de GNOME, c’est d’être simple, tout en étant efficace. Alors quand un utilisateur parle de rajouter un million d’options, ou de faire plutôt comme ci ou comme ça, c’est sa vision, et non celle du projet. Et de faire plaisir à cet utilisateur, pourrait éloigner le projet de son objectif, et ainsi poser problème à tous ceux qui l’auraient choisi pour cette raison.



Personnellement je trouve ça bien qu’on ait le choix des environnements, et que certains aient des objectifs bien définis (être simple, léger, beau, extrêmement bidouillable ou personnalisable…), histoire de contenter tous les publics.

Le 26/09/2015 à 10h 01







yl a écrit :



Le nb d’extensions? Si on ne trouve plus un moniteur système à coller dans une panneau qui fonctionne (et ne me parle pas du truc ou il faut glisser avec insistance la souris vers le bas pour avoir un truc moche et trop gros invisible en permanence, geste si naturel que j’avais dû mettre un mois à tomber dessus par hasard!)… Ou une autre (besoin d’une extension piur ça: Débile!) pour auto-masquer un panneau. Franchement!







Si tu fais référence au tiroir de messagerie, c’était effectivement merdique, et dieu merci, depuis GNOME 3.16 on bénéficie désormais d’un excellent centre de notifications, et je ne me sert plus de ce machin, que j’ai donc désactivé.







yl a écrit :



C’est pas moins d’extensions proposées… C’est en essayer 10, par ordre de préf décroissante, pour espérer en trouver une qui marche et qui généralement fait moins bien le job. Aucune ne fonctionne pour auto-masquer un panneau bas en mode gnome3 classic 2 panneaux (ala gnome2) par exemple: Actuellement ce truc simple et indispensable sur de petits écrans pour gagner les pixels qui font parfois la différence et qui se faisait d’un clic droit, tu t’apercoit que ce n’est tout simplement pas possible a moins de te mettre à JS et de la coder toi-même: De qui se fout-on?







Si tu fais référence à un panel au bas de l’écran, Dash to Dock permet de s’auto-cacher intelligemment.







yl a écrit :



Ne pas pouvoir envoyer ses fenêtres d’un bureau à l’autre d’un clic droit, cela affecte grandement l’usage… Pas de bol, les bureaux virtuels c’est LE truc dont je ne peux me passer.







Clique droit sur la barre d’en-tête, Déplacer vers l’espace de travail supérieur / inférieur…







yl a écrit :



Voire nautilus-gnome3 vs nemo-cinnamon.







Peut être que t’as effectivement des besoins bien particuliers non couverts par ce logiciel, et pour lesquels il n’existe pas non plus d’extension. De mon côté, j’en suis pleinement satisfait. Qui plus est, depuis quelques versions le développement est redevenu très actif, ce qui est une bonne chose.







yl a écrit :



Plus de systray dans gnome 3, that’s not a bug it’s a feature (il parait!), ce qui est cassant pour des applis comme skype/transmission que l’on peine à ramener en avant plan.







Le tiroir de messagerie, qui est toujours présent, sert justement à ça. Sinon, il existe également l’extension TopIcons pour les avoir dans la barre supérieure.







yl a écrit :



Gnome 3.16, j’avoue qu’après 14 sous versions dont j’ai essayé 3 ou 4 exemplaires et qui ne donnaient pas satisfaction, je me suis lassé. De toutes manières sans à minima revoir le système d’extensions par le vide pour tout ce qui était autrefois inclus et mettre au propre une API stable, cela restera un environnement qui pose plus de problèmes qu’il n’en résoud et te fait perdre des heures pour ne même pas retrouver le niveau d’un Gnome 2 (hors présentation, il est vrai plus flatteuse en 3, faut bien un point positif).







Clairement, tu n’es pas le public cible. GNOME se veut simple et efficace. Et pour que ce soit simple, il ne faut pas noyer l’utilisateur sous un trillion d’options. Pour ça, il existe bien d’autres environnements, comme KDE. Ça n’en fait pas un mauvais environnement pour autant. Bien on contraire. L’écrasante majorité des gens n’ont que faire de personnaliser leur environnement et de configurer tout ça dans les moindres détails.







yl a écrit :



Sur Cinnamon, le seul truc qui manque encore à l’usage c’est une bonne intégration de la gestion bluetooth qui peut poser problème sur des laptops. Pour le reste j’ai retrouvé un workflow tout à fait convenable.







Remercions les développeurs GNOME d’avoir développé toutes les technologies utilisées par Cinnamon et consorts ;)


Le 25/09/2015 à 10h 50

Ils ont discuté des différents soucis posés par les extensions lors du dernier GUADEC. API stable, mises à jour, prise en charge de Chrome, documentation… On peut donc espérer que la situation s’améliore prochainement.

Le 25/09/2015 à 00h 19

Marrant, les performances semblaient pourtant kif kif voir meilleures sous GNOME ;)

Le 24/09/2015 à 17h 13

L’idée, c’est d’avoir le choix du service, et de pouvoir synchroniser tout ça sur ton propre cloud personnel au besoin. Mais pour ça, faudrait déjà que la fonctionnalité soit proposée.

Le 24/09/2015 à 16h 41

À voir. Ils ont fait de nombreux changements que je trouvais perturbants au départ, parce que ça changeait mes petites habitudes, mais passé quelques temps, finalement je m’y suis fait et j’en viens à penser que c’était de bonnes idées.

Le 24/09/2015 à 16h 00

Tout à fait. Il n’y a absolument pas besoin d’utiliser Evolution ou de faire quoi que ce soit avec ce dernier pour pouvoir utiliser l’Agenda, par exemple.

Le 24/09/2015 à 15h 26

Agenda et Tâches se basent tous deux sur evolution-data-server pour les enregistrements locaux. Agenda peut également utiliser les comptes en ligne (GOA) pour accéder à des calendriers stockés chez Google ou ownCloud. Pour Tâches, il faudra donc attendre la prochaine version.



Sinon oui, Machines est bien basé sur QEMU.

Le 24/09/2015 à 15h 00

Tu peux faire en sorte qu’elle soit présente par défaut.

Le 24/09/2015 à 14h 57

Sinon, histoire de recentrer un peu la discussion sur GNOME, la prochaine version, prévue pour le mois de mars 2016, devrait enfin avoir droit à une compatibilité Wayland pleinement fonctionnelle (et qui sera le choix par défaut de Fedora 24).



Au niveau de Fichiers, il devrait y avoir la prévisualisation des documents, une meilleure gestion des favoris, une interface de recherche retravaillée. GTK+ permettra également d’afficher l’espace disque occupé / disponible pour les disques locaux.



Il devrait également y avoir une bien meilleure intégration d’ownCloud (gestionnaire de fichiers, mais également applications). Et puisque ils travaillent sur une API standardisée, ça devrait également être plus simple d’ajouter d’autres services de stockage en ligne.



Au niveau de l’Agenda, le thème devrait être amélioré, et on devrait voir arriver la prise en charge du drag n drop, la vue en semaine, ainsi qu’une nouvelle vue surprise.



L’application Tâches devrait quant à elle avoir droit à une prise en charge des comptes en ligne, l’arrivée des sous-tâches, ainsi qu’une vue en grille.



Sinon, durant le dernier programme Outreachy, une étudiante a conduit de nombreux tests d’utilisabilité auprès d’une douzaine de personnes. J’imagine que les différents problèmes soulevés seront corrigés.

Le 24/09/2015 à 14h 23

« Tester, c’est douter » <img data-src=" />

Le 24/09/2015 à 13h 11

Les développeurs de GNOME et d’ownCloud en ont discuté, et il devrait y avoir une bien meilleure intégration de ce dernier dans la prochaine version de GNOME. Aussi bien dans le gestionnaire de fichiers, que dans les applications comme Musique.

Le 23/09/2015 à 16h 21







TheKillerOfComputer a écrit :



J’aimerai bien passer sous une Debian mais voilà, AMD Radeon…







En même temps, vouloir faire du desktop sous Debian… <img data-src=" />



Si tu veux une distro à jour, histoire de pouvoir bénéficier des dernières technologies, de pouvoir facilement et automatiquement mettre à jour ton driver graphique et j’en passe, vaut mieux opter pour Manjaro.


Le 23/09/2015 à 07h 51







Konoe a écrit :



Mais sincèrement vouloir jouer sur un Linux avec toute la prise de tête qu’il en coule pour simplement faire fonctionner le moindre truc. Bitch please. Surtout encore une fois… avec la gestion absolument dégueulasse des pilotes graphiques.







N’étant pas gamer mais un simple linuxien curieux chez qui tout fonctionne bien sans prise de tête (et pourtant, je suis sous Arch), peux tu m’expliquer en quoi la gestion des pilotes graphiques est absolument dégueulasse, sachant que la plupart des joueurs semblent avoir opté pour des cartes nVidia, et que le pilote propriétaire de cette compagnie est identique sous Windows et Linux, proposant de ce fait les mêmes performances ?


Le 22/09/2015 à 18h 50







Arimane a écrit :



Tant qu’il n’y aura pas un consensus général autour de 2-3 distribs avec le full support qui va avec ça ne changera jamais. Ubuntu allait dans ce sens mais les changements de stratégie au niveau technologique tous les 4 matins ont des effets négatifs sur la fédération d’une communauté autour de la distrib.







C’est toujours le cas. Ubuntu reste de loin la distribution la plus utilisée. Quant aux autres distributions populaires, Linux Mint ou elementaryOS, elles sont basées sur Ubuntu LTS. Ça reste donc de l’Ubuntu.



Les utilisateurs d’Arch, par exemple, ne représentent absolument pas le grand public (et c’est tant mieux). Donc, même s’il existe bien d’autres distributions, ça reste plutôt minoritaire en terme de parts de marché, au niveau du grand public.







Arimane a écrit :



Donc pour le grand public, c’est pas gagné et toujours pas… Mature. Ce n’est pas qu’une histoire de technologie mais de visibilité: A-t-on vu des pubs sur Ubuntu dans les médias? Non.







Il est clair qu’en Occident, ce n’est pas encore ça. Mais dans bien d’autres régions du monde, les machines Dell ou HP avec Ubuntu pré-installé se vendent plutôt bien :



* HP releases Ubuntu loaded machines in 1,500 stores in China

* Canonical and Dell announce today that Dell laptops pre-loaded with Ubuntu will be sold in 850 retail outlets in India

* Dell launches Ubuntu loaded machines across 500 stores in Latin America



Et en ce qui concerne les ventes : Dell Reportedly Shipping Ubuntu-Based Linux on 40%+ of PCs in China.


Le 22/09/2015 à 10h 06







Winston67 a écrit :



En même temps les 23% c’est pour la plupart des jeux ne demandant pas vraiment un gros effort du gpu et quand on voit la qualité des drivers gfx sous linux ben le jeu c’est pas trop ça donc forcement ça donne pas envie

Je ne dis pas qu’un jeu n’utilisant pas le GPU à fond sont mauvais mais je trouve que ça limite beaucoup la percée de linux dans le jeu.







Gaming on Linux a récemment publié une vidéo comparative des performances du jeu Arma 3 sous Windows et Linux.



Et le plus marrant, c’est qu’il ne s’agit même pas d’un portage natif, et qu’on peut donc faire encore bien mieux.


Le 07/09/2015 à 22h 45







KiaN a écrit :



Hmm. Ca fait 60k€/an/hopital si je suis l’article. Faut arrêter 5 minutes de tergiverser sans compter, c’est une somme dérisoire.







Tu peux également descendre encore plus bas en sortant que ça ne fait finalement que quelques centimes par patient.



Il n’en demeure pas moins que c’est 120 millions à sortir tous les quatre ans, soit 600 millions sur vingt ans. Comme quoi, moi aussi je peux aller dans l’autre sens.







ike a écrit :



Par ailleurs, je tiens à rappeler que OpenSource, ne veut pas dire Gratuit. Le cout du support pour des produits OpenSource n’est parfois pas donnée. Et en fonction des stratégies des différentes solutions OpenSource, le produit “Gratuit” n’est pas forcément avantageux (Présence de Bug, Correctif tardif, …).







Déjà, on ne prône pas l’open source mais le libre (les sources d’un logiciel peuvent très bien être disponibles sans que cela soit libre pour autant). Ensuite, comme le disait si bien François Elie, « un logiciel libre est gratuit une fois qu’il a été payé ». Tout le monde est donc d’accord pour dire qu’il a un coût.



Par contre, le coup de la présence de bugs et des correctifs tardifs, c’est du FUD. Depuis le début on explique qu’il existe du support commercial pour les logiciels libres. Alors si tu rencontres des problèmes de compatibilité, des bugs ou tout autre souci, tout comme pour l’accord entre la CAIH et Microsoft, tu peux ouvrir un incident sur le site de ton prestataire de service, le contacter pour du support, demander des développements personnalisés.



À aucun moment tu n’es livré à toi-même.


Le 07/09/2015 à 20h 08







carbier a écrit :



<img data-src=" /> Même si tu étales, tu ne pourras pas t’éviter une énorme démarche pédagogique en amont pour les utilisateurs…



Ici vous réfléchissez tous en termes de “power user”… mais les utilisateurs finaux s’en fichent de savoir si la licence de leurs outils est propriétaire ou “libre”… la seule chose qu’ils veulent c’est un “outil” qui fonctionne et surtout éviter de changer ses habitudes…



Regarde ce qui se passe à Munich







J’avais déjà cité la conférence sur la migration de la ville de Nantes, où l’on apprend que tout s’est bien passé et que les utilisations vont bien, qu’ils n’ont pas été maltraités



Pour Munich, le FUD a fait son office, mais comme ça a été rappelé à de nombreuses reprises, il ne s’agissait que de deux élus de l’opposition, et que là encore, la ville de Munich se porte bien et qu’ils ne comptent pas revenir en arrière. Il y a eu une conférence (en anglais) à ce sujet lors de la dernière DebConf15, ainsi qu’un PDF pour accompagner tout ça.







sepas a écrit :



J’ajoute que passer sur un OS libre est quasi impossible pour la plupart des hôpitaux, les applis utilisées datant de plus de 10 ans, la plupart n’étant même compatible que sous XP. Il est parfois possible de les migrer sous Windows 7 mais parfois avec des pertes fonctionnelles.







Et tu ne te dis pas que le problème est justement là, et que l’Histoire est un éternel recommencement ? D’opter pour des solutions propriétaires sur lesquelles le client et l’utilisateur n’ont strictement aucun contrôle, leur fera fatalement revivre la même expérience demain avec d’autres logiciels, sur un autre système de Microsoft.



Le seul moyen d’en sortir, c’est d’opter pour des solutions libres, interopérables, des formats ouverts… Et si un acteur seul n’a aucun pouvoir sur son fournisseur, en s’associant, il est tout de suite plus simple d’inverser le rapport de force et de faire valoir vos exigences.







darth21 a écrit :



D’ailleurs, concrètement, des boites sont en capacité de répondre à un tel appel d’offre à base de solutions libres ? En terme de temps, de personnels, de compétences, de suivi, ya réellement des boites capables d’assurer ?







Faut arrêter de penser que le libre se limite à 2-3 associations et quelques bénévoles. Un acteur comme Red Hat, qui ne fait que du libre, c’est 7300 employés et 1.5 milliards de chiffre d’affaire.



De plus, ça fait longtemps que Linux et le logiciel libre sont considérés comme des solutions particulièrement crédibles, auxquels contribuent de gros acteurs tels qu’Intel, Google, Facebook, Samsung… Il est donc évident que nombre d’entreprises proposent du support autour de ces solutions. Et l’avantage du libre, c’est qu’il n’y a pas d’acteur monopolistique par lequel on serait obligé de passer. De nombreuses SSLL locales peuvent très bien proposer un service personnalisé et plus adapté à tel ou tel marché (éducation, médical…)







bingo.crepuscule a écrit :



Et après, on vient nous causer d’austérité… Avec ce genre d’équipe, on aurait même les moyens de développer pour bien d’autre chose que les hôpitaux…







Une autre erreur commune, c’est de baser les calculs uniquement sur ce qui se passe en France, alors que le logiciel libre est mondial. Rien qu’en se limitant à l’Europe, dont l’austérité touche la plupart des pays, on trouve également des hôpitaux publics en Espagne, en Grèce, en Italie… qui auront exactement les mêmes besoins.



Bien évidemment, ça serait déjà génial de commencer par une agence française du logiciel libre, qui développerai et contribuerai au libre. Mais au-delà, ça serait encore mieux de mutualiser tout ça au niveau européen, dont le budget global serait bien plus conséquent, et qui permettrai de faire des choses incroyables.







darth21 a écrit :



y a-t-il des structures/boites capables de faire ce qu’on nous vend sur parole avec des étoiles dans les yeux ?



parce que là tu dis qu’il y a une alternative, que ça serait génial, et tout, et tout, mais QUI est capable de le faire maintenant (et pas dans des années si…) ?







Pour le système d’exploitation, t’as Red Hat, Canonical ou SUSE. Le premier proposant plus de dix ans de support pour RHEL (ils ont des systèmes serveur et poste de travail). Pour LibreOffice, t’as Collabora, qui est l’un des principaux contributeur avec Red Hat, et qui vend une offre de support, aide au déploiement, développements personnalisés…



En SSLL locales, t’as Linagora, qui a déjà travaillé avec le gouvernement français.



À côté de ça, de nombreux logiciels libres proposent justement un support commercial pour se financer. Par exemple, pour les ERP / CRM, t’as Odoo et Dolibarr. Et à n’en pas douter, on doit sûrement trouver la même chose sur les logiciels médiaux, éducatifs ou autre.



D’ailleurs, personne n’en a encore parlé, mais pour le logiciel libre médical, il existe FreeMedForms (gestionnaire de dossiers médicaux), Mediboard (système d’information hospitalier) et Orthanc (imagerie médicale).



Tout comme j’aimerai également citer l’avis d’un fonctionnaire décisionnaire, qui travail justement en milieu hospitalier.



Maintenant, encore une fois, tu penses trop comme une entreprise, alors que le rôle d’un État, c’est plutôt d’avoir un projet de société, de voir à plus long terme, de privilégier le bien commun, et d’aller dans l’intérêt de la population. Malheureusement, avec nos politiques courtermistes et le démantèlement du service public, ce n’est plus vraiment ça.


Le 07/09/2015 à 17h 52







yvan a écrit :



En l’état microsoft c’est cher et c’est proprio etc. mais passer sur du libre c’est cher aussi et tu retombes rapidement captif d’un éditeur (red hat etc.) pour ta maintenance donc le rapport désagrément/cout est généralement en faveur des solutions Microsoft in fine.







À partir du moment où tu utilises un système libre, des logiciels libres, des formats ouverts et interopérables… je ne vois pas comment tu pourrais être captif de Red Hat ou de tout autre éditeur. Si demain tu préfères signer chez Micro Focus International (SUSE), Canonical (Ubuntu), ou une quelconque SSLL locale, je ne vois pas ce qui t’en empêcherai.







Cara62 a écrit :



Bah sans troll, en ce qui concerne la suite Office, elle reste largement mieux pour l’instant que les équivalents libres….



Quant à Windows, bas comme ça été dit, la populace est habitué à Windows, donc aucun intérêt de dev sur du linux…







Sans doute. Maintenant, faut imaginer ce que pourrait devenir LibreOffice s’ils avaient accès à tous ces contrats de centaines de millions d’euros. Parce qu’en général, quand une entreprise ou une collectivité fait le choix du libre, malheureusement, ils ne faut pas se leurrer, c’est principalement pour faire des économies. Ils vont donc accepter de payer du support (auprès d’une entreprise tierce), qu’ils considèrent obligatoire, mais ne fileront pas le moindre centime pour le développement des produits qu’ils utilisent.



Dans le cas d’une entreprise, ça peut se concevoir. Maintenant, dans le cas de l’État et des collectivités, ils devraient réinvestir un pourcentage des économies réalisées dans l’amélioration des outils libres qu’ils utilisent.



Quant au système, que ce soit Windows ou Linux, c’est franchement kif kif. Suffirait d’une très courte formation pour leur expliquer que cette icône, située trois pixels plus à droite qu’elle ne l’était sous Windows, et qui a un look légèrement différent, est en réalité la même fonctionnalité. Il n’y aurait guère besoin de plus. Faut vraiment être de mauvaise foi pour penser qu’on ne peut pas faire la même chose sous Linux ou tout autre système. Pour la majorité des gens, ce ne sont que des terminaux qui permettent de lancer telle ou telle application (qu’on peut de toute façon lancer automatiquement au besoin). Voir, pire encore, de simples supports pour l’utilisation d’un navigateur web. Et pour le coup, que tu utilises Firefox sous Windows ou Linux, c’est exactement la même chose.







darth21 a écrit :



Juste pour comprendre, la situation aurait été inverse : Contrat renouvelle de plusieurs dizaines de millions d’euros avec un prestataire de logiciels libres, est-ce qu’on aurait eu droit a ces mêmes tirades geignardes sur la transparence, ou au contraire a une séance d’autocongratulation de la part de ces associations ?







Une entreprise peut bien choisir ce qu’elle veut, ça ne regarde qu’elle. Par contre, quand on parle de l’État et des collectivités, et donc de l’argent public, là c’est différent. Que mon argent parte dans les caisses d’une entreprise qui fait de l’optimisation fiscale (bon, pour le coup, tu me diras, c’est de la faute de la France et de l’Europe) avant de partir dans un paradis fiscale, dans le but d’enrichir une entreprise étrangère et de créer de l’emploi dans un autre pays, je l’ai un peu mauvaise.



Si encore il n’y avait aucune alternative. Mais elle existe, et si on s’en donnait les moyens, non seulement elle pourrait être incroyablement plus simple et efficace, mais surtout, et c’est la beauté du libre, toutes ces améliorations me profiteraient directement au final. Et c’est aussi pour ça que je l’ai mauvaise.



J’utilise un système GNU/Linux et LibreOffice au quotidien. Donc, si demain l’argent public servait à améliorer le libre, ça améliorerai donc les logiciels que j’utilise. Et il en irait de même pour l’ensemble de l’Humanité, peu importe l’âge, la couleur, le sexe ou la classe sociale, tout le monde n’ayant pas le droit (embargo des États-Unis sur tel ou tel pays) ou les moyens de s’offrir des licences pour les logiciels courants.


Le 07/09/2015 à 16h 51







Keizo a écrit :



Il manque désormais le support pour les outils de tout les jours… (libreOffice gratuit mais un abo de 50 balle par ans pour un support ? ca serait pas dégueu) etc.







Ça existe déjà. Pour information, Collabora est l’un des principaux contributeurs à LibreOffice.







HCoverd a écrit :



Je vais encore me faire des copains je le sens ^^ Moi ça ne me choque pas. C’est bien beau le logiciel libre mais il faudrait former les gens dessus. Et clairement les hôpitaux, ils ont pas le temps ni les moyens. Du Windows tu en as chez 95% des particuliers donc tu es à peu près certain qu’une bonne partie de ton personnel connait déjà.







Tout comme il ne faut pas croire que puisque ils utilisent un logiciel chez eux, ils vont également le maîtriser dans le cadre de leur travail, il ne faut pas non plus penser qu’ils auront un mal fou sur d’autres solutions.



Éric Ficheux, l’une des personnes en charge de la migration vers LibreOffice pour Nantes Métropole / Ville de Nantes, avait récemment donné une conférence à ce sujet dans le cadre des RMLL, où l’on y apprend que la migration s’est bien passée, qu’ils ont rencontré moins de problèmes que prévu, qu’ils ont fait de grosses économies, que la montée en version sur du MS Office aurait également nécessité des formations…



À mon avis, il s’agit donc surtout d’une question de volonté.







yvan a écrit :



Développer un environnement de travail complet, fiable et en assurer la rétrocompatibilité sur 20ans minimum c’est d’une autre trempe et seul Microsoft y parvient pour l’instant.







Red Hat Enterprise Linux propose un support qui tourne entre 10 et 13 ans.



Je vois que pour Windows Vista, sorti le 30 janvier 2007, le support étendu se termine le 11 avril 2017. Quand à Windows Seven, ça sera du 2 octobre 2009 au 14 janvier 2020. C’est dont légèrement plus de dix ans, come RHLE, et on est donc loin des vingt ans. On peut donc avoir le même support sous GNU/Linux.



Par contre, je te l’accorde, bien que Collabora propose du support pour LibreOffice, les durées sont clairement inférieures à celles proposées pour MS Office. Maintenant, comme toujours, tout dépend de l’offre et de la demande, et si t’es capable de signer un gros chèque. À mon avis, ils ne demandent que ça.







megadub a écrit :



Lorsque tu crées un service info, en effet, ça ne change rien. Mais migrer tous les utilisateurs d’Office et Windows à des solutions libre ça veut dire renvoyer tout le monde en formation et assumer une grosse perte de rendement le temps qu’ils trouvent leurs marques… ça a un réel coût.







L’idée, ce n’est pas non plus d’envoyer tout ton personnel en formation le même jour. Pour reprendre l’exemple de la ville de Nantes cité un peu plus haut, ils y sont allés petit à petit, en commençant tout d’abord par des groupes de volontaires pour qu’ils ne se braquent pas sur le changement et qu’ils puissent plus facilement aider à voir ce qui coince. Faire des questionnaires, avoir une personne référente dans les différents services pour répondre aux questions / aider les utilisateurs, envoyer des petits groupes en formation… pour qu’au final tout se passe bien et qu’il n’y ai justement pas de perte d’efficacité ou des utilisateurs mécontents.







yvan a écrit :



Heu… pas exactement. Juste déjà renommer tous les logiciels libres pour que le nom reflète la fonction. Microsoft est moins bon que apple là dessus mais c’est bien moins le bordel que dans le libre quand même.







C’est déjà le cas sous GNOME, où les logiciels s’appellent Agenda, Cartes, Contacts, Documents, Fichiers, Horloges, Météo, Notes, Terminal, Vidéos, Visionneur d’images, Web…



Ce n’est qu’un avis personnel, mais pour moi, l’environnement GNOME est infiniment plus simple que Windows. Tout y est pensé pour être simple et efficace.


Le 31/08/2015 à 15h 41



L’élu affirme que certains transporteurs avaient « peur du pillage [de leurs données] par des moteurs de recherche aussi puissants que Google ». « On ne voulait pas être naïfs et faire en sorte que l’Open Data dans les transports se termine par une dépendance complète de notre pays à un certain nombre de services gérés par Google… »





Je pense que c’est l’excuse la plus ridicule qui soit. Quelles soient libres et gratuites, ou propriétaires et soumises à redevance, dans tous les cas, Google a les moyens de se les offrir s’il en a besoin pour ses services.



Au final, ça ne gênera que les startups et autres petites entreprises. Celles-là même qui auraient pu proposer une diversité de services innovants à même d’affaiblir Google.



Pour moi, ça a l’effet inverse escompté. Des deux côtés, ça ne protège que les puissants.

Le 28/08/2015 à 03h 05

Il existe bien le projet Sirius, mais à mon grand regret, au vu du nombre de contributions sur GitHub, on ne peut pas dire que le projet soit particulièrement actif, et encore moins que la communauté s’en soit emparée.



D’autant plus dommage que les gros acteurs s’y mettent de plus en plus, et que le libre va finir par accumuler un certain retard technologique.

Le 20/08/2015 à 02h 28

Étonnant qu’ils aient opté pour Gentoo. Ce n’est clairement pas la solution que j’aurai choisi pour cet usage, préférant des distributions telles que Snappy Ubuntu Core, prévues pour les objets connectés, avec mises à jour transactionnelles (aucun souci en cas d’échec ou d’annulation de l’utilisateur), conteneurs, empaquetage simplifié, meilleure sécurité…

Le 19/08/2015 à 21h 01

Ce n’est pas une innovation technologique à proprement parler, mais Intel est désormais le plus gros contributeur au noyau Linux, ainsi qu’à la pile graphique. Et tous ses développements se font sous licence libre. Ajoutons à cela qu’ils fournissent désormais leur propre solution graphique qui, même si elle est inférieure en terme de performance par rapports à ses concurrents, permet aux systèmes GNU/Linux d’avoir enfin une solution graphique entièrement libre.



Et ça, c’est bien <img data-src=" />



Donc oui, pour moi, le fait de faire preuve de plus d’ouverture est une innovation <img data-src=" />

Le 19/08/2015 à 15h 25







Citan666 a écrit :



Ah ? Il me semblait au contraire que tu pouvais personnaliser un minimum ton interface depuis Windows 8, sans passer par des outils tiers ou de la manip crasseuse…



Mais tout de même, malheureusement pour Linux qui a manqué la meilleure fenêtre de tir (Vista) pour essayer de se creuser une place sur le desktop, depuis quelques années Windows s’améliore à vue d’oeil au fil des versions et sur tous les plans







À partir du moment où tu ne peux même pas changer d’environnement de bureau pour quelque chose qui te convienne vraiment (public visé, débutants ou power users, paradigmes…), ça reste de la simple personnalisation, et non une vraie configuration.



Ensuite, Linux ne percera jamais tant qu’un gros constructeur ne commercialisera pas des machines avec Linux pré-installé, tout en en faisant la promotion.



Et pour finir, les philosophies sont radicalement opposées. Les fonctionnalités, c’est une chose (arrive un moment où l’on propose de toute façon tous plus ou moins la même chose). La liberté, le respect de l’utilisateur, la bidouillabilité, le respect des standards, le choix, l’indépendance… c’est encore autre chose. Et de par leur nature propriétaire et commerciale, Apple, Google ou Microsoft ne pourront jamais le proposer.



Linux aura donc toujours une carte à jouer pour un certain public. Alors oui, il ne conquerra pas le monde, mais ce n’est peut être pas plus mal.


Le 19/08/2015 à 13h 16







bingo.crepuscule a écrit :



Par contre, OpenGL n’a rien de comparable avec DirectX, ça n’est pas une API prévue pour englober un tout, pour l’audio par exemple, il y a des librairies spécifiques sous Linux, les plus connues, du plus ancien au plus récent, étant OSS, AlSA, et Pulseaudio.







PulseAudio étant un serveur de sons, ce n’est pas vraiment comparable. Ce qui se rapproche le plus d’un DirectSound, ça serait plutôt OpenAL.



Sinon, pour les équivalents à Direct2D, DirectDraw, DirectInput, DirectWrite… il y a SDL.


Le 19/08/2015 à 10h 26

Nantes a récemment migré vers LibreOffice. Le responsable en charge de la migration a donné une conférence aux RMLL, où l’on y apprend qu’ils ont fait de grosses économies, et que pour avoir étudié d’autres solutions, telles que la montée en version de MS Office, c’était loin d’être gratuit, qu’il fallait également former, faire valider la compatibilité de certaines solutions…



Quant à OpenGL, non seulement il continue d’évoluer, la version 4.5 étant d’ailleurs sortie en août 2014. Mais en parallèle, le Khronos Group et le reste de l’industrie ne restent pas non plus inactifs quant aux nouvelles tendances et les nouveautés apportées par Apple (Metal) ou Microsoft (DirectX 12), et travaillent actuellement sur Vulkan, qui doit apporter les mêmes avantages.



Vulkan qui, tout comme OpenGL, aura l’avantage d’être multi-plateforme, et dont Google a d’ors et déjà annoncé l’adopter pour les prochaines versions d’Android.

Le 18/08/2015 à 23h 07

Tutorial : Comment utiliser ARC pour lancer des apps Android sur Windows, Linux, OS X et Chrome OS ?



Sinon, t’as également un connecteur Exchange avec Evolution.

Le 18/08/2015 à 17h 56

En même temps, quand tu lis « Source: Microsoft Italy via ZDNet », tu te dis que ça doit être vachement neutre comme histoire. Puis bon, ça serait pas mal que les gens arrêtent de conseiller OpenOffice, qui est un projet mort.



Il y a d’ailleurs récemment eu une lettre ouverte pour demander à la fondation Apache d’inviter les visiteurs du site web d’OpenOffice à télécharger plutôt LibreOffice…

Le 18/08/2015 à 17h 44

Nouveau a toujours parfaitement géré la 3D. Son souci est tout autre, et concerne le reclocking. En gros, pour certaines cartes (pour d’autres c’est ok), le GPU va être initialisé à sa fréquence la plus basse, et restera bloqué sur cette dernière. À partir de là, il est évident que la carte ne pourra pas être exploitée au mieux de ses capacités.



* Nouveau Re-Clocking Is Way Faster, Shows Much Progress for Open-Source NVIDIA

* GeForce GTX 750 Series: Nouveau vs. NVIDIA Linux Driver Performance

* Is The Open-Source NVIDIA Driver Fast Enough for Steam Linux Gaming?

* Are Open-Source GPU Drivers Sufficient for 4K Linux Gaming?

Le 18/08/2015 à 16h 50

Il faut voir qu’il y a deux sortes de portages. Les portages natifs, où l’on va réellement utiliser les technologies disponibles sur le système que l’on vise (appels système, bibliothèques…). C’est la solution la plus propre et qui proposera les meilleures performances.



Ensuite, et c’est ce que fait l’entreprise Virtual Programming, qui s’est occupé du portage de Dirt: Showdown (ainsi que ceux de Bioshock Infinite, The Witcher 2: Assassins of Kings ou Spec Ops: The Line), qui ne va pas faire un portage natif, mais va se baser sur Wine (au travers de leur technologie eON), qui est un projet de réimplémentation sous licence libre des API Windows / DirectX.



Ça sera donc forcément plus lent, puisque Wine va devoir, par exemple, interpréter les appels Direct3D et les convertir à la volée en OpenGL.



Sinon, parmi les entreprises qui font de vrais portages, on a Feral Interactive et Aspyr.

Le 18/08/2015 à 16h 04

C’est surtout que pour le moment, au delà du fait que les SteamBox ne sont toujours pas sorties, très peu de jeux ont été portés, et quand c’est le cas, il est loin de s’agir de sorties simultanées, qu’il y a eu très peu de portages de titres AAA, et que Linux ne dispose d’aucune exclusivité.



Comme dit plus haut, maintenant que les principaux moteurs de jeu sont nativement compatibles Linux, il faudra voir comment les éditeurs vont réagir. Si demain les titres sortent simultanément sur toutes les plateformes, et que ça concerne aussi bien les jeux indés que les blockbusters, alors les joueurs seront plus à même de s’offrir un Mac ou de passer sous Linux si ça leur convient mieux.

Le 18/08/2015 à 15h 56

Je pense que nous sommes dans une période de transition. Pour le moment, pour qu’un jeu sorte sous Linux, il faut le plus souvent passer par un portage, qui demande du temps et de l’argent. Mais maintenant que tous les principaux moteurs de jeu supportent nativement Linux, il sera à l’avenir bien plus simple de proposer des jeux réellement multi-plateformes, avec des sorties simultanées.



À ce moment-là, les joueurs seront plus à même d’utiliser le système qui leur convient le mieux.

Le 14/08/2015 à 19h 22







mtaapc a écrit :



Et les satellites photo, on crédite qui ???







Après quelques recherches, il semblerai que par défaut, les images satellites soient inexploitables (mais libres), et que c’est tout le travail qu’il y a autour (corrections géométriques, ajout de couleurs aux différents éléments…) qui permettrai de les protéger.



Notons tout de même que la NASA publie directement toutes ses images dans le domaine public ;)



Et je t’invite également à lire l’article Photomaton : l’automatauteur ?, de l’excellent blog :: S.I.Lex ::


Le 14/08/2015 à 17h 50



Dans sa décision Bridgeman Art Library v. Corel Corp. (1999), la Cour de district des États-Unis pour le District Sud de New York arrête qu’« une photographie qui n’est que la simple copie d’une œuvre tierce, aussi fidèle que la science et la technologie le permettent, est dénuée d’originalité. Il ne s’ensuit pas que cette tâche soit aisée ; néanmoins, elle n’est pas originale. » Malgré les efforts et la somme de travail que nécessite la création de diapositives de qualité professionnelle à partir d’œuvres d’art originales, la Cour ne reconnaît pas ces dernières comme devant être protégées, parce qu’elles ne sont que les copies serviles des œuvres d’art reproduites.



Cet arrêt exclut donc du champ du droit d’auteur les photographies destinées à n’être que les reproductions fidèles d’œuvres d’art en deux dimensions, comme les tableaux. Du moment que seule une expertise technique est requise – dans le cadre d’une prise de vue fidèle, ne laissant pas de place à l’interprétation ou à la subjectivité –, la photographie ne donne pas lieu au droit d’auteur sui generis. Cette jurisprudence étend aux reproductions fidèles créées aux États-Unis par le biais de la photographie le principe suivant lequel les documents scannés et les photocopies d’originaux bidimensionnels ne sont pas protégeables.





Personne ne dit qu’il s’agit d’un travail facile à la portée du premier venu. Mais ça ne reste qu’une expertise technique. Pour que ce soit considéré comme une œuvre à part entière, il faut à tout prix que ce soit un travail original qui reflète la personnalité de son auteur. Originalité qui est forcément absente quand il s’agit d’une reproduction fidèle.