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Okki

est avec nous depuis le 11 novembre 2009 ❤️

Bio

Linuxien depuis 1996, actuellement sous Fedora avec l'environnement de bureau GNOME.

I ❤️ systemd, Flatpak, PipeWire, Wayland… et toutes les nouveautés qui font hérisser le poil des grincheux (sauf si ça vient de Canonical 😝)

1318 commentaires

Le 29/11/2016 à 06h 54

Personne ne dit que c’est une mauvaise distribution. Plutôt le fait que tout ce que tu indiques, c’est la base, et à t’entendre, ça ne semble rien proposer de plus que d’autres distributions. Quelle est la véritable plus-value par rapport à Fedora ou CentOS, par exemple ? Et si les différentes existes mais de façon plutôt limitées, ne serait-il pas plus judicieux de contribuer à Fedora plutôt que l’éternelle dispersion des moyens ?

Le 28/11/2016 à 06h 42

mouarf. J’avais hésité entre le vendredi et le lundi, pensant à tord que le vendredi était plus généraliste et que le lundi, spécialisé IT, offrirait des offres plus intéressantes… Quelle déception. En réalité, ce lundi n’a aucun intérêt. Plus la moindre réduction chez LDLC (9% sur le produit le plus cher du panier vendredi, tout juste si les frais de port sont offerts le lundi) ou Materiel.net. Les rares offres de Prix du net qui pouvaient m’intéresser ont également disparues.



Faudra penser à le préciser dans l’article de l’an prochain.



Il n’y a désormais plus qu’à attendre les soldes de janvier prochain, et tant pis pour les fêtes.

Le 22/11/2016 à 18h 49







robin4002 a écrit :



Non, concernant le pilote propriétaire de Nvidia et Wayland la situation est toujours bloqué. (Nvidia refuse d’implémenter GBM et les dev de Wayland ne veulent pas maintenir GL Stream en plus de GBM).







GNOME a inclut EGLStreams dans son compositeur Mutter, pour que le pilote propriétaire nVidia puisse fonctionner avec Wayland. Mais ça ne concerne donc que GNOME.


Le 22/11/2016 à 18h 21

C’est marrant de toujours critiquer GNOME. Mais au moins, chez nous, le gestionnaire d’affichage fonctionne, de même que Wayland <img data-src=" />

Le 20/11/2016 à 18h 09







flamme-demon a écrit :



Pour les débits tu pouvais avoir aussi bien, c’était au début des serveurs dédier. Bittorent n’a jamais été plus rapide en réalité juste que les tracker truffé de pognon ont acheter des serveurs dédiés.







Les trackers n’hébergent généralement aucun fichier eux-mêmes. Le contenu se trouve chez les différents clients. C’est donc eux qui prennent des serveurs dédiés / seedbox s’ils ont envie de partager bien plus que ce que ne leur permet leur pauvre connexion personnelle.


Le 19/11/2016 à 09h 52







fred42 a écrit :



Ils sont financés comment ces trackers ?







Les dons. En début de mois, il y a un appel aux dons pour pouvoir payer les serveurs. Et dès que la somme est atteinte, c’est la fin de la campagne. Ce n’est donc pas un appel aux dons perpétuel dans le but de s’enrichir.


Le 19/11/2016 à 01h 22

Je crois qu’il vaut mieux arrêter là la discussion. J’ai l’impression qu’on ne parle absolument pas du même type de site. Sur les trackers que je fréquente, il y a zéro publicités, pas de liens ddl ou que sais-je encore. T’as du confondre les vrais trackers privés avec des semi privés comme t411 ou cpasbien, pour qui c’est un véritable business, on est d’accord.

Le 19/11/2016 à 01h 01

Sinon, pour répondre à tes questions, il n’y a aucun DRM. Il y a peut être un ou deux trackers complètement élitistes et déconnectés de la notion même de partage qui pourraient interdire dans leur règlement interne le repost de leurs propres releases, mais ça reste exceptionnel. Sur la majorité des trackers privés, t’es libre de télécharger une release puis de la reposter sur un autre tracker. T’as pas idée à quel point c’est commun.



Par contre oui, faut se sortir les doigts du cul, refaire ton .torrent puis l’uploader sur le nouveau tracker, ce qui implique un peu de travail (créer une présentation, remplir un formulaire d’upload…)



Sinon, si les torrents ont le flag privé d’activé, c’est aussi pour protéger les utilisateurs. Sans ça, non seulement l’upload vers des clients externes au tracker ne serait pas comptabilisé dans le ratio du tracker d’origine, mais les adresses IP de toutes les personnes en seed sur te torrent seraient également visibles depuis l’extérieur. D’autant plus con qu’en général, quand on choisi un tracker privé, c’est aussi pour se faire un peu plus discret…

Le 19/11/2016 à 00h 42

T’en a pas marre de raconter des conneries ?



Le prince même du P2P, et plus encore de BitTorrent, c’est qu’il faut à tout prix que des gens restent en partage. Sur un torrent, s’il ne reste plus personne en seed, il meure. C’est aussi simple que ça.



Et dans le monde totalement égoïste dans lequel nous vivons et où tout le monde télécharge sans jamais rien donner en retour, comme si c’était de bêtes sites web de DDL (téléchargement direct, l’opposé du P2P), si tu n’imposes pas quelques contraintes (ratio, seedtime…), les gens se content de prendre, puis de couper aussitôt le téléchargement terminé (faudrait pas non plus gaspiller notre bande passante ou notre espace disque). Avec un tel comportement, tous tes torrents meurent rapidement. Ou dans le meilleur des cas, seuls les blockbusters hyper téléchargés survivent.



Et ce sont ces mêmes règles qui ont fait qu’en allant sur What.cd, absolument tous les torrents avaient du seed, y compris quand il s’agissait d’albums postés il y a plusieurs années et qui n’intéressaient que trois personnes dans le monde.



À côté de ça, sur les trackers publics, à moins de rechercher un truc bien commercial vendu à des millions d’exemplaires, ou un album sorti assez récemment, la majorité des torrents meurent plus que rapidement (à tel point que les rares fois où j’en ai eu besoin, Google m’a bien trouvé des résultats, mais je n’ai jamais réussi à télécharger quoi que ce soit sur des trackers publics).



Sans parler de la qualité des releases elles-mêmes. Quand on voit la médiocrité des encodages ou des tags sur certains trackers publics, ça fait peur. À côté de ça, tous les trackers privés que j’ai fréquenté jusqu’à présent visaient l’excellence. Et je peux dire que c’est reposant d’avoir confiance dans un site, son staff et le contenu proposé.

Le 18/11/2016 à 14h 37

Les meilleurs sites sont généralement privés et sur invitation…

Le 18/11/2016 à 13h 52

What.cd Death <img data-src=" />



Sinon, l’article a oublié de préciser qu’ils étaient également à l’origine de Gazelle, un framework repris par pas mal de trackers.

Le 18/11/2016 à 09h 47







white_tentacle a écrit :



Reste l’argument du ratio, mais sachant qu’on utilisateur avec une grosse bp peut en alimenter une bonne cinquantaine d’autres, je ne sais pas à quel point l’argument est réel.







On peut dire ce que l’on veut de What.cd, mais il faut leur reconnaître une chose. De par leurs règles, ils ont su fédérer une communauté internationale qui posta plus d’un million d’albums, dont un nombre incroyable de raretés. Mais plus encore, quasiment tous leurs torrents avaient bien du seed, là où sur la plupart des trackers, les torrents meurent plutôt rapidement.



Autre point important, t’étais quasiment sûr de pouvoir obtenir ce que tu recherchais. Exemple tout bête, une connaissance souhaitait pouvoir récupérer un obscur album d’un musicien russe totalement inconnu. La rareté que tu ne trouveras jamais sur les plateformes légales. L’album n’était pas présent sur What.cd, alors il a fait une requête en proposant quelques dizaines de gigas de ratio en échange. Rapidement, un utilisateur (sans doute des pays de l’Est) a pu acheter le CD de son côté, l’a rippé et posté sur le site.



C’est donc bel et bien une perte incroyable et irremplaçable pour tous les fans de musique qui écoutent autre chose que du mainstream.


Le 19/11/2016 à 23h 07

Le pire pour la retransmission, c’est que pour chaque événement auquel est associé le CNES, j’ai l’impression de lire les mêmes commentaires négatifs. À croire qu’ils s’en foutent royalement et n’apprennent pas de leurs erreurs.

Le 09/11/2016 à 19h 01







ouvreboite a écrit :



Peut être que Christian a acheté une licence Office 365 pour sa gamine qui rentre au lycée et l’a aidé à finaliser son exposé sous Word et il a peut être trouvé l’interface plus sympa qu’au bureau.







T’as oublié le plus important. Bizarrement, Christian est d’accord pour filer 100 euros par an à Microsoft pour avoir le droit d’utiliser Office 365. Par contre, il ne filera pas un kopeck à la Document Foundation, dont l’argent aurait pu servir à embaucher développeurs, graphistes ou ergonomes…


Le 08/11/2016 à 22h 20







alain_du_lac a écrit :



Que LibreOffice se mette au niveau d’Office en terme de convivialité et on pourra en reparler !!







T’es conscient que LibreOffice est un logiciel libre, et que le libre est ce que ses utilisateurs veulent bien en faire ? S’il manque des fonctionnalités ou s’il faut revoir l’ergonomie, tous ces ministères pouvaient également se sortir les doigts du cul et mettre des développeurs ou des ergonomes sur le coup, ou faire un chèque à la Document Foundation ou à Collabora pour s’en occuper.



T’as pas idée de tout ce que les libristes auraient pu faire avec deux millions. Puis si on ajoute les dizaines, voir les centaines de millions d’euros gaspillés tous les ans par toutes les administrations européennes, depuis le temps, les distributions GNU/Linux et tout l’écosystème de logiciels libres serait carrément plus sexy que ce que peuvent bien proposer Apple ou Microsoft.



Pour moi, ça représente un énorme gâchis, et ça montre bien la vision court-termiste qu’ils peuvent avoir. D’autant plus triste qu’autant ça peut se concevoir dans une entreprise, autant le rôle de l’État est de préparer la société sur le long terme.



Sinon, rien à voir, mais c’est dingue le nombre de personnes qui parlent encore d’OpenOffice, projet mort depuis bien cinq ans, qui ne fait qu’apporter confusion dans l’esprit des gens et décevoir de potentiels utilisateurs. Vivement que la fondation Apache y mette enfin un terme.


Le 08/11/2016 à 18h 03







dmann a écrit :



La France doit demander l’autorisation à bruxelles!!! On est tombé bien bas.







Il n’y a absolument pas besoin de l’autorisation de Bruxelles pour fibrer le pays. Par contre, ce que ne veut pas Bruxelles, et c’est très bien, c’est que l’État français fausse la concurrence en privilégiant Orange, par exemple. À partir du moment où tout le monde est à la même enseigne et qu’il n’y a pas de favoritisme, il n’y a aucun souci.


Le 04/11/2016 à 17h 48







Furanku a écrit :



Et Linux… c’est une blague ? Hormis le fait que les techno proprio ne sont souvent pas fournies par défaut dans les distrib (question d’idéologie, mais ça reste remédiable facilement), tu comptes me faire croire que macOS est plus ouvert ?







Je ne suis pas d’accord. T’as quelques distributions communautaires et non commerciales qui s’en foutent et qui incluront tout et n’importe quoi par défaut, mais la plupart déplaceront les technologies brevetées (codecs, systèmes de fichiers…) dans des dépôts séparés, non pas par idéologie (tant que le code est libre, pour certaines, ça suffit) mais plus pour éviter d’éventuels problèmes juridiques. C’est d’autant plus vrai sur les distributions commerciales ou affiliées à une entreprise (telle que Fedora, qui est communautaire mais néanmoins sponsorisée par l’entreprise Red Hat).


Le 03/11/2016 à 20h 17

Je me demande si nous aurons droit à une version Linux native, ou s’il s’agira toujours d’une version Windows empaquetée avec wine, très mal intégrée aux environnements de bureau.

Le 19/10/2016 à 14h 27







bobbyto a écrit :



Par exemple, il n’existe pas que VMWare et HyperV dans le monde de la virtu, mais est-ce que je prends le risque de déployer l’infra d’un ministère sur une solution de virtualisation libre ?







Apple ayant récemment abandonné VMware au profit de KVM, la solution libre de Linux, j’imagine que c’est prêt pour la prod :p


Le 14/10/2016 à 07h 19

Faut également penser à ceux qui sont sous Windows et qui découvrent Linux seulement maintenant. Si on les effraies d’entrée de jeu, c’est pas top.

Le 14/10/2016 à 06h 57







plop97 a écrit :



Unetbootin est obsolète depuis plusieurs années







Qui plus est, ils voulaient une ergonomie qui corresponde à ce que propose GNOME, histoire de rester cohérent de l’installation jusqu’au bureau.


Le 13/10/2016 à 21h 49







lockidor a écrit :



Ensuite, tu as conscience que Mint, ce n’est qu’une Ubuntu avec un nouveau thème et quelque paquets en plus ?







Clément va te tomber dessus <img data-src=" />



« I don’t expect everybody to be an expert, but when you read “Mint = Ubuntu + codecs”, “Mint = Ubuntu + green background”, “Mint = Ubuntu + Cinnamon”, it’s time to think about getting better news elsewhere… »


Le 10/10/2016 à 04h 07







Le Matou a écrit :



Mauvais souvenirs avec Fedora y a longtemps <img data-src=" />

Et pis installé steam n’a pas l’air d’être une mince affaire







La qualité de la distribution s’est grandement améliorée ces dernières années. Quant à Steam, ce dernier est dispo dans le dépôt RPM Fusion. Une fois ce dernier configuré, il n’y a plus qu’à faire un dnf install steam et c’est bon.


Le 08/10/2016 à 01h 39







Le Matou a écrit :



Si seulement Gnome pouvait en faire autant y a toujours une mouture de retard chez ubuntu







Pourquoi ne pas utiliser Fedora ? La version 25 qui sortira le mois prochain proposera le dernier GNOME et Wayland par défaut. Même si ce n’est pas la distribution officielle du projet GNOME, nombre de développeurs de l’environnement utilisent cette dernière.


Le 26/09/2016 à 09h 54

Ce n’est que la 12ème version, et le renommage de masse existait déjà sous forme d’un plugin tiers depuis une bonne dizaine d’années. Là c’est en standard et nettement mieux foutu.

Le 25/09/2016 à 15h 48

Et alors ? Tu voudrais une fausse révolution à chaque nouvelle version ? Avec une nouvelle sortie tous les six mois, ils ne vont pas se réinventer à chaque fois, et c’est tant mieux. Ce qu’on demande, c’est un environnement fonctionnel, qui prend en charge les dernières technologies (c’est le cas ici avec Wayland et Flatpack), et qui accorde de l’importance à tous ces petits détails qui font gagner du temps au quotidien et qui font qu’on prend plaisir à utiliser cet environnement.



Pour ne parler que du gestionnaire de fichiers, je trouve que c’est une très bonne chose d’avoir enfin une interface graphique simple d’utilisation pour le renommage de masse. Tout comme je suis content de voir qu’ils ont enfin corrigé le bug de la barre flottante ou d’avoir fusionné les deux menus qui n’apportaient que confusion.



Toujours plus simple et fonctionnel, c’est ce qu’on attend.

Le 23/09/2016 à 18h 52







odoc a écrit :



franchement, c’était presque parfait, mais toujours pas de lecture aléatoire :s







Faut ouvrir un rapport de bug. Ça ne doit pas être bien compliqué à implémenter, puisque mpv dispose déjà d’une option –shuffle pour la lecture aléatoire.


Le 23/09/2016 à 08h 14







Xanatos a écrit :



Marrant ces commentaires, vous êtes beaucoup attachés à l’apparence.







J’utilise Nautilus à longueur de journée, et je pense en avoir une utilisation avancée : continuellement plusieurs onglets, des connexions sur des serveurs distants (pratique pour manipuler des fichiers sur mes différents serveurs), tout en effectuant tout ce qu’on peut faire avec des fichiers. Et bien évidemment, sans ressentir la moindre restriction.



À chaque fois qu’on demande « alors, qu’est-ce qu’il vous manque réellement ? », on a toujours droit à cette histoire de panel, que je trouve pourtant clairement inférieur aux onglets.



Donc, honnêtement, par rapport à cette version 3.22 et non de vagues souvenirs d’une vieille version, il manquerai quoi ?


Le 23/09/2016 à 07h 50

Tu fais référence à certains points en particulier ?



Parce que je doute que tu connaisses parfaitement tous les environnements de bureau. Moi-même, qui suis pourtant un utilisateur avancé, je ne connais absolument pas KDE (pour ne citer que lui). Ou du moins, guère plus que les quelques articles que je vois passer de temps à autre. Je n’ai donc aucune idée de ses réelles possibilités, de tout ce qu’il a à offrir.



Maintenant, j’ai envie de dire que l’informatique ne sera de toute façon jamais finie. Il y a continuellement de nouveaux projets, de nouvelles idées, de nouvelles avancées, qui font que ça donnera toujours l’impression d’être un chantier perpétuel. Sous Linux, de par sa nature complètement anarchique, on le ressent sans doute un peu plus qu’ailleurs.



Ce qui ne nous empêche pas, au final, de pouvoir utiliser nos environnements sans problème, et sans ressentir la moindre restriction.

Le 22/09/2016 à 19h 27







CNek a écrit :



En fait le gros soucis dans cette profusion d’options GUI dispo sur Linux - et au risque de passer pour captain obvious - c’est l’absence de guidelines forte et durable pour harmoniser les logiciels tiers.



C’est ce que je retiens des précédentes interventions  : on néglige l’éco-système d’appli cohérent qui va bien avec la GUI, mais aussi le côté identitaire : le bureau c’est le visage d’un OS pour le commun des mortels.

Exemple frappant : comparez la qualité des icônes sur les différents OS, macOS reste bien plus agréable, les devs se payent des bons graphistes pour sortir du lot ça se voit, et ça fait 15 ans que ça dure, ça date pas de l’App store.







Sous Linux, il y a deux principaux toolkits : Qt, qui est utilisé par KDE, et GTK+, qui est utilisé par GNOME, elementaryOS, Unity, MATE, Cinnamon…



Il existe un projet pour que les applications Qt s’intègrent mieux dans les environnements GTK+.



Au niveau des thèmes et des icônes (qui utilisent, là encore, l’un ou l’autre), toutes les applications en bénéficient. Le thème par défaut de GNOME (Adwaita) ne me convenant pas, j’ai installé Arc à la place, que je trouve bien plus classe.



Maintenant, si tu préfères quelque chose de bien coloré, t’as également Paper, qui rencontre son petit succès (vidéo de démonstration). Voir également Numix, même si là, pour le coup, je trouve que c’est un peu trop coloré :p



En ce qui concerne les recommandations quant à la conception d’interfaces, ces dernières existes, il s’agit des GNOME Human Interface Guidelines. Maintenant, il ne saut pas se leurrer, que ce soit GNOME ou Apple, on ne pourra jamais obliger les développeurs à s’y tenir. Pour consulter de temps à autre le site mag generation, on voit bien dans les actualités concernant les applications, que nombre d’éditeurs ne les suivent pas, ou s’y mettent après plusieurs années (tout comme il leur faudra autant de temps pour s’adapter aux prochaines recommandations).


Le 22/09/2016 à 18h 58







fred42 a écrit :



Euh, il y a beaucoup d’applications gnome qui nécessitaient un redémarrage de l’ordinateur avant ?



Les seuls cas où j’ai une proposition de redémarrer suite à une mise à jour, c’est quand le kernel est mis à jour.







À mon avis, ça fait plus référence à la distribution Fedora, qui a tendance à demander un reboot systématique pour éviter les problèmes potentiels. Par exemple, si tu utilises Firefox et que tu mets à jour ce dernier, non pas une simple révision mais une nouvelle version, mais que tu continues d’utiliser l’ancienne sans le redémarrer, il arrive qu’il y ai quelques soucis de compatibilité. J’imagine qu’il en va de même si tu mets à jour certaines bibliothèques. Alors plutôt que de demander de redémarrer manuellement telle ou telle application, tu demandes de rebooter, c’est plus simple.







DahoodG4 a écrit :



Fallait te prendre un mac avec Filebuddy pour traiter tes fichiers en masse^^







L’un est libre et gratuit, l’autre est propriétaire et coûte 38 euros. Pour le nettoyage, tu peux installer BleachBit.







tiret a écrit :



Je ne suis vraiment pas fan du concept de Flatpack. D’autres ont essayé avant et se sont tous cassés la gueule car on se retrouve avec deux bases de packages. La seule exception qui marche est Steam…







Ça ne remplacera pas les systèmes de paquets traditionnels et les dépôts des distributions. Il faut plutôt voir ça comme une possibilité supplémentaire, pratique pour les éditeurs d’applications propriétaires qui ne feront de toute façon pas parti des dépôts. Ça peut également servir pour proposer des bêtas et autres versions de développement, installables en parallèle des versions stables et sans incidence sur le système. De pouvoir plus facilement tester des versions de développement facilitera la découverte et la correction de bugs. Dernier cas de figure, pouvoir proposer des versions stables utilisables sur des distributions qui ont un cycle long (Debian, Ubuntu LTS…). L’utilisateur ne cherchera sans doute pas à mettre à jour toutes ces applications (sinon, autant changer de distribution). Mais pour quelques rares cas particuliers, ça peut être intéressant.







seb2411 a écrit :



L’idée c’est de remplacer justement les systèmes de paquets classiques. Et ce genre de solution devient nécessaire aujourd’hui.







Ça, j’en doute sincèrement. Je n’imagine pas une distribution se construire uniquement à l’aide de paquets Flatpak. Surtout si on privilégie le libre. Peut être pour leur version mobile, à la rigueur. Mais pour la version desktop, ils dépendent bien trop du travail de Debian. Sans Debian, il n’y a pas d’Ubuntu. À chaque nouvelle version d’Ubuntu, ils se synchronise sur Debian, qui n’abandonnera jamais ses paquets.







odoc a écrit :



Mouais …

Affichage de la place dispo dans nautilus -&gt; supprimé (obliger de faire clic droit&gt;paramètre)



Interface de connexion à distance de nautilus -&gt; remplacer par un truc où il faut tout taper (protocole, port, adresse), pas top pour un néophyte



Totem n’est plus que l’ombre de lui-même (plus possible d’éditer la liste de lecture, de lire en aléatoire, …).



le fait que les bureaux soit dynamique me gène aussi (meme s’il existe une extension pour l’éviter)







Je ne saurais dire pourquoi ils ont supprimé la barre d’état (et la flemme d’aller farfouiller Bugzilla). Néanmoins, à moins d’être tendu du slip question place, je ne pense pas que ce soit particulièrement utile d’avoir continuellement cette information visible. Tu peux te rendre dans Autres emplacements et voir la place occupée / restante pour l’ensemble de tes disques / partitions. Pour les infos sur un dossier en particulier, une fois sélectionné, il suffit d’appuyer sur la barre espace pour que Sushi (le prévisualiseur de GNOME) t’affiche toutes les infos utiles.



Pour l’interface de connexion, soit l’appareil est sur le réseau local et l’utilisateur ne devrait rien avoir à taper, juste à le sélectionner dans la liste (chez moi, ça trouve automatiquement le NAS, la Freebox…), soit il s’agit d’une machine distante, et en général, t’as bien les infos utiles pour pouvoir t’y connecter. Une fois que c’est fait, pour la prochaine fois, tu peux soit utiliser la liste des connexions récentes, soit ajouter un signet pour pouvoir t’y reconnecter d’un simple clique.



Pour la vidéo, tu peux tester GNOME MPV, qui reprend l’ergonomie des applications GNOME, tout en proposant plus d’options (pour le moteur, ça passe par MPV, qui utilise lui-même ffmpeg, plutôt que GStreamer).



Et pour finir sur les bureaux dynamiques, tu peux lancer l’outil de personnalisation (gnome-tweak-tool), te rendre dans Espaces de travail, puis sélectionner le mode statique.







mezcalbert a écrit :



Ce n’est pas tout à fait vrai. Nautilus notamment a perdu un certain nombre de fonctionnalités, dont la plus criante étant le dual panel qui était d’une pratique sans nom. Les onglets ne remplacent pas du tout la fonctionnalité, seul le window snapping (gauche et droite) de 2 fenêtres sur un même écran s’en rapproche.







On y pense pas toujours, mais on peut faire des copies ou des déplacements en glissant-déposant du contenu sur n’importe quel onglet. Juste un glisser-déposer pour un déplacement, et la même chose en maintenant Ctrl enfoncé pour effectuer une copie.


Le 21/09/2016 à 16h 03







Cedrix a écrit :



C’est dommage de parler de constructif quand:




  • Tu cites un commentaire quo déclare que le système NTFS c’est exotique.







    Le terme était sans doute mal choisi, je te l’accorde. Maintenant, que ce soit NTFS ou exFAT, ils sont l’un et l’autre bardés de brevets, ce qui explique sans doute leur non inclusion dans le noyau Linux. Ensuite, même si ce sont les systèmes de fichiers par défaut sous Windows, ça n’implique pas que tous les linuxiens en ont forcément besoin.







    sr17 a écrit :



    De s’habituer d’abord à utiliser les logiciels libres (Libre Office, Gimp, etc…) sous Windows.







    Je suis d’accord que la transition est grandement simplifiée quand l’utilisateur utilisait déjà nombre de logiciels libres multi-plateformes. Par contre, il ne faut pas oublier que bien souvent, les versions Windows sont des clients de seconde classe, avec moins de développeurs actifs sur ces versions, qui subissent donc bien plus de bugs.



    La version Windows de GTK+ n’a bénéficié que très récemment d’un ravalement de façade avec un nouveau thème clairement plus sympa, l’utilisation du sélecteur de fichiers (ouvrir / sauvegarder sous) de Windows… Et en ce qui concerne les applications Qt, j’ai par exemple entendu bien plus de soucis de plantages concernant les versions Windows d’OpenShot ou Krita, quand les versions Linux ne semblaient en avoir aucun.



    Il faut donc faire attention à ce que ça ne renvoi pas une mauvaise image du libre.


Le 20/09/2016 à 20h 13

En ce qui me concerne, je préfère les distributions en rolling release, histoire de pouvoir toujours bénéficier rapidement des dernières versions de mes applications. Le souci, bien que mon environnement soit particulièrement stable, on est plus susceptible de rencontrer des problèmes lors d’une mise à jour, puisque beaucoup moins testé. Je ne pense donc pas que ce soit compatible avec ce que recherchent les débutants, qui préfèrent un système et des applications incroyablement stables, et surtout, de ne pas avoir à bidouiller en cas de problème.



Un autre point important des distributions comme Arch ou Gentoo, c’est que c’est généralement à l’utilisateur d’installer et configurer lui-même ce dont il a besoin (le système installé par défaut étant particulièrement minimaliste). Par exemple, il n’y a aucune environnement de bureau, rien pour l’impression, le Bluetooth, la prise en charge de certains systèmes de fichiers exotiques (NTFS, exFAT…), les codecs audio/vidéos non libres, Flash… et j’en passe et des meilleures.



Tu as donc par défaut un environnement particulièrement léger et véloce, et c’est à toi de l’alourdir selon tes besoins. À l’opposé, les distributions orientées débutants vont tout installer par défaut, histoire d’être certain que peu importe le cas de figure, ce soit toujours ok et que l’utilisateur n’ait rien besoin d’installer ou configurer lui-même.



Un utilisateur avancé préférera toujours installer uniquement ce dont il a besoin, plutôt que d’effectuer l’opération inverse, chercher ce qui peut être désinstallé pour tenter d’alléger son système.

Le 20/09/2016 à 01h 39

Tu nous a écrit tout un roman, alors que la solution à ce problème a déjà été trouvée, Flatpak (site officiel / Wikipédia).



Je rejoins donc Konrad pour dire que ce qu’il manque désormais réellement, ce serait un constructeur prêt à sérieusement investir là-dessus : machines avec Linux pré-installé, contrats avec la grande distribution, assistance, marketing…



Ensuite, il faudrait sérieusement améliorer les outils de développement pour les rendre bien plus simples et efficaces. Même chose pour la documentation, qui aurait sérieusement besoin d’être améliorée et complétée. On peut avoir la meilleure plateforme qui soit, le plus important, ce sont les applications. Et ça, Apple, Google et Microsoft l’ont bien compris.

Le 19/09/2016 à 22h 36







fred_gaou a écrit :



Au départ, il faudrait donc un brainstroming de dev mettant en place leurs besoins et le meilleurs moyen de créer un environnement à la fois léger, souple et standardisé pour simplifier au mieux leur boulot.







Les rassemblements de développeurs, ça existe déjà. Dans le cas de GNOME, tous les ans il y a le GUADEC dans un pays européen différent (ainsi que GNOME.Asia en Asie et le GNOME Summit en Amérique du Nord). Il y a plein de conférences et de hackathons pour parler des avancées, voir ce qui ne va pas, bosser ensemble…



Depuis hier a également lieue la première édition du Libre Application Summit, avec là encore des conférences et des ateliers pour améliorer les distributions, le support matériel, les applications (libres ou non), leur distribution, l’utilisabilité… À voir ce que ça donnera.



Et il y a bien évidemment des conférences plus spécialisées, comme le Libre Graphics Meeting. À ce sujet, pour l’édition 2016, ils avaient espéré récolter 10 000 dollars de dons pour pouvoir rembourser les frais de certains participants, mais n’en ont finalement récolté que 1300. Comme toujours, personne ne donne, et après ça râle sur le retard de Gimp ou tel ou tel autre projet…


Le 19/09/2016 à 19h 11







wanou2 a écrit :



Ce que j’aime avec linux (nouvel utilisateur sur machine principal depuis un mois avec linux seulement)







Bienvenue parmi nous ^_^



Sinon, pour le mail, perso j’utilise Geary (qui n’a malheureusement pas droit à un beau site web). Les développeurs de l’application se posaient d’ailleurs récemment la question de la recherche instantanée.



Geary, qui était d’ailleurs développé au départ par la fondation Yorba, qui ferma finalement les portes faute de moyens (le projet étant libre, il fut par la suite repris par des développeurs bénévoles). C’est le reproche que je faisais justement un peu plus tôt. Avec plus de moyens, on avancerai bien plus vite.



Suffit de voir les incroyables progrès effectués depuis un an ou deux par le gestionnaire de fichiers Nautilus, depuis que Red Hat paie un développeur à plein temps pour bosser dessus. La prochaine version s’annonce d’ailleurs particulièrement prometteuse.


Le 19/09/2016 à 18h 44







wanou2 a écrit :



Il manque juste une barre de recherche accessible en permanence pour trouver rapidement un morceau.







Comme la plupart des applications GNOME, tu peux taper du texte n’importe où sans te préoccuper d’une barre de recherche, et ça déclenche la recherche de ce que tu tapes.


Le 19/09/2016 à 17h 51







wanou2 a écrit :



gestion discothèque : banshee







Lollypop est bien mieux foutu (tout en étant développé par un français) <img data-src=" />







sr17 a écrit :



Par exemple, faire en sorte qu’un éditeur ne soit pas obligé d’attendre des mois le bon vouloir d’un volontaire pour publier une application ou une mise à jour dans les dépôts.







Red Hat t’a écouté, et ils peuvent désormais utiliser Flatpak <img data-src=" />


Le 19/09/2016 à 17h 44







Konrad a écrit :



Oui, c’est vrai aussi. Si les applications les plus utilisées (jeux vidéos, MS-Office, Photoshop, etc.) étaient disponibles en version Linux, ça aiderait beaucoup.



Mais il faut bien comprendre que cet aspect là n’est pas du tout dans les mains de la communauté Linux.







En ce qui concerne les applications propriétaires, nous sommes d’accord. Par contre, je trouve vraiment dommage qu’il n’existe pas une fondation pour le soutien et le financement d’applications libres à destination des utilisateurs finaux. Tout comme je trouve bien dommage que les utilisateurs de logiciels libres soient finalement si peu à donner.



GNOME, KDE, LibreOffice ont bien des fondations derrière eux, mais avec trop peu de moyens, ce qui ne permet pas d’embaucher de nouveaux développeurs, graphistes, ergonomes… à temps plein. Et derrière de nombreux autres projets, il n’y a personne pour soutenir. On aurait par exemple pu imaginer une fondation qui soutiendrait les applications libres dédiées au graphisme, à la musique, au monde de l’entreprise…



Entre le fait qu’il y ai trop peu de monde à donner (ça manque également de spécialistes pour organiser des levées de fonds, des campagnes de financement participatif réussies…) et le fait que parfois, selon les projets, il n’y a aucun moyen de donner, on se retrouve avec nombre d’applications qui avancent bien trop lentement et dont l’écart se creuse avec certains équivalents propriétaires.


Le 14/09/2016 à 12h 16







cygnusx a écrit :



premièrement ce n’est que prendre la moitié du problème en considération on a certe une réduction de la main d’oeuvre mais aussi un certains nombre de création de postes dans d’autres branches exemple le numérique.







Sur le court terme, la destruction d’emplois est déjà plus importante, mais on peut effectivement en créer encore un peu. Sur le long terme (dix ou vingt ans grand max), quand les IA seront réellement au point, ça sera littéralement l’hécatombe sur le marché de l’emploi. Pourquoi embaucher un banquier, un avocat, un traducteur, un médecin… quand les IA, avec des bases de connaissance, seront infiniment plus compétentes, avec une maîtrise totale de leur sujet, en étant continuellement à jour ?



On aura sans doute encore besoin de créatifs, mais une tétra-chiée de métiers deviendront obsolètes.



Tout comme il arrivera un moment où les IA / les machines pourront s’améliorer d’elles-mêmes ou se réparer sans la moindre intervention humaine. L’argument de la nécessités d’hommes pour concevoir et entretenir les machines ne tiendra plus non plus.









sr17 a écrit :



Comme je te l’ai déjà dit, tes idées sur l’économie datent d’un autre temps parce qu’elles ne prennent pas en compte le fait qu’aujourd’hui, c’est la machine qui travaille et non plus l’homme. Et les progrès des machines vont encore accentuer cela.







C’est clair. Pour le moment, ce ne sont que des automates, programmés et entretenus par des êtres humains, totalement dénués d’intelligence, qui ne font généralement qu’une tâche bien précise et répétitive. Mais ils seront un jour équipés d’IA, pourront s’adapter à de nouvelles situations, de nouveaux problèmes, et pourront donc faire infiniment plus de choses qu’aujourd’hui.



Je trouve franchement impressionnante l’incapacité des gens à ne serait-ce que concevoir ce qui est en train de se mettre en place en ce moment même (les IA comme Watson, d’IBM, c’est déjà du concret), et ce que les prochaines années vont nous réserver. Ce n’est clairement plus de la science-fiction et on ne parle pas de temps lointains. Non, ça ne représente même pas une génération.


Le 14/09/2016 à 10h 07







fred42 a écrit :



Ok, mais a-t-on une idée du solde d’emploi : perdus moins créés ?







À mon avis, c’est impossible à savoir. Par contre, bien qu’encore balbutiante, l’intelligence artificielle permet déjà de grandes choses. Watson, l’IA d’IBM, offre d’ores et déjà d’excellents résultats en médecine ou dans… les centre d’appels. L’Associated Press et le Washington Post ont également des robots logiciels capables d’écrire des articles de presse. Ce ne sont encore que des articles sans grand intérêt (annonces de séismes, résultats sportifs avec description de la rencontre…), mais c’est déjà un début. Au Japon et en Corée du Sud, ils ont également des robots hôtesses d’accueil capables de répondre et guider les visiteurs, en plusieurs langues, toujours avec le sourire, et 247.



Et des exemples comme ça, on va en voir de plus en plus. L’IA va toucher a tous les domaines de la société, pas uniquement les emplois sous-qualifiés comme on pouvait le penser au début.



Pour le moment, toutes ces IA ne sont encore comparables qu’à de très jeunes enfants et il y a encore de gros progrès à faire sur de nombreux points, mais la singularité, ce moment où l’IA devrait surpasser l’Humanité, arrive à grands pas. Certains spécialistes pensent qu’elle devrait survenir durant la troisième décennie du XXIe siècle. On y est quasiment. On sera sans doute encore là pour le vivre, et les jeunes d’aujourd’hui se la prendront de plein fouet.



Et c’est ça le pire. C’est inévitable, et d’y faire face sereinement nécessite de gros changements de société qui ne se feront pas du jour au lendemain. Tout comme l’écologie, la préservation de la biodiversité, les énergies renouvelables… toutes ces problématiques qu’on aurait pourtant déjà du prendre à bras le corps et pour lesquelles on ne fait rien, ou si peu, trop lentement.



Donc, pour en revenir au chiffrement de la perte d’emplois, qui a déjà lieu depuis longtemps, l’automatisation de la production ne datant pas d’hier, tout dépend sur quelle durée on se projette. Déjà que d’ici cinq ans, on devrait déjà voir de gros changements, alors dans dix ou vingt ans, quand les IA auront fait des progrès faramineux, le monde sera radicalement différent de ce que l’on connaît aujourd’hui.


Le 11/09/2016 à 08h 12

Sous GNOME c’est pris en charge par défaut et c’est automatiquement activé quand la hauteur de l’écran est d’au moins 1200 pixels.

Le 01/09/2016 à 11h 19

Pitivi, dont l’interface est également en Python, a écrit quelques lignes à ce sujet sur leur wiki.



Pour résumer, ça permet un développement rapide, ce n’est clairement pas si lent que ça, les parties qui nécessitent de réelles performances ne font pas parti de l’application (GStreamer et GES) et sont écrites en C…

Le 26/08/2016 à 21h 18







Bhou a écrit :



Vas expliquer à un sysadmin qui ne peut pas lire un fichier de log (normalement en texte) d’un systeme à un autre s’il n’a pas le binaire qui va bien pour le decoder car sous systemd les logs sont binaire.











Carpette a écrit :



Cependant il y a toujours plusieurs points qui genent, comme les fameux logs binaires. En cas de crash du systeme, tu te marres bien a les parser.







systemd peut utiliser le traditionnel syslog et des journaux au format texte si on le souhaite.







Citan666 a écrit :



Et rien que les logs en binaire, je serais vraiment curieux de connaître la justification technique d’une aberration aussi monstrueuse. Rien ne saurait le justifier à mes yeux en tout cas, et certainement pas une pseudo-question de performances (et pourtant je suis sûr que c’est ce qu’on va me dire).







Il faut voir toutes les possibilités offertes par journald / journalctl. Et ce, par défaut et simplement, sans avoir à s’embêter avec grep, awk…



Par exemple, on peut facilement voir les logs d’un service en particulier avec journalctl -u service, d’un PID donné avec journalctl _PID=ton_pid, d’un exécutable donné avec journalctl /usr/sbin/exécutable…



On peut également facilement filtrer par date avec –since et –until : journalctl –since “2016-02-10 21:00:00”. Et bien évidemment, on peut combiner les deux, journalctl –since “2016-02-10 21:00:00” –until “2016-02-10 22:00:00”. Il y a bien évidemment des raccourcis, genre journalctl –since yesterday ou journalctl –since “10 minutes ago”



Ou depuis le dernier boot, journalctl -b voir l’avant dernier, journalctl -b -1



Il est également simple d’afficher les messages d’erreur du noyau sur le dernier boot, journalctl -p err -b



On peut également sortir tout ça dans différents formats. Par exemple, pour une sortie JSON, suffit d’utiliser -o json



Tout comme on peut nettoyer plus facilement les vieux logs sur une taille donnée. Par exemple, si on ne souhaite garder que le dernier giga de logs, on utilisera journalctl –vacuum-size=1G ou si on souhaite garder uniquement la dernière année, journalctl –vacuum-time=1years



Alors oui, en sortant de longues commandes avec grep, sed, awk et compagnie on pouvait éventuellement obtenir des résultats similaires, mais là, tout est grandement simplifié et donc à la portée du plus grand nombre. Puis que ce soit ainsi standardisé et aussi simple d’utilisation offre bien plus de possibilités aux applications graphiques fournies par les différents environnements de bureau. Par exemple, dans l’outil GNOME, il est bien plus simple de proposer graphiquement l’accès aux logs des cinq ou dix derniers boot système, ou de pouvoir afficher les logs d’un processus donné depuis le moniteur système.


Le 26/08/2016 à 11h 51

Ils sont tous incapables de dire pourquoi. C’est juste à la mode d’en dire du mal. Et non, de ce que j’ai lu jusqu’à présent, au vu de la simplicité de créer des units, tous les développeurs / admins qui devaient eux-même écrire leurs services semblaient plutôt chanter les louanges de systemd.



Je pense que c’est un peu comme les débuts de PulseAudio, dont tout le monde disait du mal, alors qu’en réalité, les pilotes audio mal écrits étaient pour beaucoup dans les problèmes rencontrés. Là, j’ai l’impression que c’est un peu la même chose. Pendant des années c’était de la bidouille dans tous les sens, certains composants tenaient sans qu’on sache trop comment, et l’arrivée de systemd a remis pas mal de choses à plat, obligeant à refaire certaines choses proprement, ce qui demande plus de travail durant cette phase de transition.



Mais je pense qu’à l’arrivée, on y sera gagnants.



* The Biggest Myths (anglais)

* systemd : l’init martyrisé, l’init bafoué, mais l’init libéré ! (français)

Le 25/08/2016 à 21h 25

Pareil. J’ai également débuté sur une Kheops Linux avec noyau Linux 1.2.1 si je me souviens bien. Je découvre seulement maintenant que c’était apparemment une dérivée de Slackware, éditée par une entreprise française du sud de la France, à Cagnes-sur-Mer.



Ils se sont ensuite fait racheter par Red Hat, dont la version 5.2 fut ma deuxième distribution (et là, pour le coup, c’était un noyau 2.0.36 si je me souviens bien).



Ensuite, mêmes souvenirs que chriscombs, avec les wm tout moches, l’horrible curseur, le matos non pris en charge, les heures de bidouille pour tenter de faire fonctionner le moindre truc. Maintenant que tout fonctionne bien tout seul sans rien faire, limite on s’ennuie profondément. Pire encore, on a l’impression de ne plus rien apprendre, voir même, de régresser.

Le 08/08/2016 à 03h 27

Comme d’hab avec le libre, c’est avant tout une question de moyens. Il n’y a malheureusement aucun graphiste payé à temps plein pour maintenir un thème. Alors plusieurs thèmes simultanément, faut pas rêver.

Le 05/08/2016 à 18h 14

Pour le thème d’icônes, il faut aller dans Outils, Options, Affichage, Style d’icône, puis tu choisis Sifr.



Et pour les fenêtres, tu choisis ça au niveau de ton environnement de bureau.

Le 05/08/2016 à 08h 16

Aucune idée, mais c’est dispo sous Arch <img data-src=" />

Le 14/07/2016 à 15h 10







Cedrix a écrit :



Moi je n’ai pas de problème à ce qu’une société diffuse un outil sur une plateforme ou pas selon son audience (cf. les jeux vidéos sur Linux, les app sur le store WP, …).











Mr.Nox a écrit :



Ils auraient largement pu laisser Skype crever sur les distrib.







Le souci, c’est qu’on parle ici d’une catégorie bien particulière d’applications, où l’aspect multi-plateforme est particulièrement important. Que ce soit pour de la communication (Skype, Viber…) ou de la télémaintenance (TeamViewer), on s’attend à pouvoir communiquer avec absolument tout le monde, que les utilisateurs soient sous Windows, macOS, Linux, Android ou iOS. À partir du moment où l’on doit se poser la question de savoir si oui ou non on pourra communiquer (dans de bonnes conditions) avec nos interlocuteurs (clients, collègues…), je pense que c’est un sérieux problème en soit.



D’avoir une version Linux pleinement fonctionnelle, c’est donc aussi important pour les linuxiens que pour n’importe quel autre interlocuteur qui utiliserait d’autres systèmes, mais qui aurait besoin de communiquer avec nous.