votre avatar Abonné

Pazns

est avec nous depuis le 28 août 2010 ❤️

878 commentaires

Le 27/11/2014 à 16h 24







ldesnogu a écrit :



Ils ne voulaient probablement pas payer les brevets…







C’est pas probablement, c’est exactement ça <img data-src=" />



Les cartes RFID (les pass Navigo que connaissent bien les parisiens) sont également françaises, de la même entreprise d’ailleurs.


Le 27/11/2014 à 16h 18







Lafisk a écrit :



oui ce n’est pas que grand public maid c’est toujours ce qu’il y a de plus representatif, enfin je trouve. Parce que les trucs comme BULL et tout ca, ca va parler aux specialistes des domaines concernes, mais en rien cela ne parles au commun des mortels … et donc au final question rayonnement francais, bof. Dassault participe beaucoup dans l’industrie de l’armement militaire francais qui a du mal a ce vendre mais ait reconnu pour etre de grande qualite, c’est cool mais c’est du marche de “niche”.



Si on veut meler rayonnement culturel a l’high tech, on va passer plutot par des produits grand public etc …







Dassault ne fait pas que de l’armement. Elle est l’auteur par exemple de l’incontournable logiciel de conception assistée par ordinateur CATIA.





Tiens, on pourra parler de l’inventer de la carte à puce !

Les américains sont restés pendant 40 ans avec leurs cartes magnétiques de Cro-Magnon pendant qu’on avait des cartes à puce dans tous nos porte-feuilles.



Savais-tu également que Free commercialisa la première (enfin, dans les grandes lignes x) ) “box xDSL triple play” de la planète comme on les connait aujourd’hui en France ?


Le 27/11/2014 à 15h 22







Lafisk a écrit :



OVH ils ont tous juste debarques au canada je crois pas plus, ca marche bien en france mais aux USA c’est loin d’etre rackspace par exemple. Mais vu le parcours du gus qui a fait OVH c’est une belle reussite en soit mais c’est aussi tres loin d’un produit grand publique quand meme.



Dassault, oui et non la encore c’est pas non plus tres grand publique.



Si on veut parler de produit pour les pro, on en a qui fonctionne mais globalement ca ce comptepas par centaine non plus. Et surtout les trucs les plus “basiques” restent US, comme j’ai dis, les OS par exemple sont tous US, tout les outils de la high tech sont US, les langages dev les plus utilises aujourd’hui sont US et ainsi de suite.



On a pas un truc francais qui soit de premier ordre a vendre par exemple. On a eu MERISE, qui n’est pas un produit a propre;emt parler mais meme ca ca a finit par degager







OVH, c’est pas non plus un poids plume, faut pas déconner. Ils ont leurs propres câbles transatlantiques et ont leur propre réseau vraiment étendu en Europe. Beaucoup en France, évidemment, mais pas que.





Tiens, sinon, je vais mettre mon déguisement poussiéreux de vieux schnok et parler du temps où on aidait à inventer TCP/IP, ou le temps où on a bien failli remplacer le futur Internet par Cyclades, qui aura quand même fini par servir d’inspiration <img data-src=" />

Ai-je parler de Prolog ?

Sans compter le service parallèle Minitel, qui est resté une exception française bien de chez nous <img data-src=" />


Le 27/11/2014 à 15h 17







Lafisk a écrit :



Je me limite a ce qui ce vend ces dernières annees … et dans le lot rien de Francais en masse, Smartphone y’a des francais avec de gros succes ? Archos etant le plus gros succes du secteur en tant que Fr, ca en dit long.



Il n’y a aucun secteur de la high tech ou on serait leader oumeme simplement bien represente, si il y en a qui ont echappe a ma vigilance, fais toi plaisir et renseignes moi donc. On a un bon technopole dans le sud mais franchement au dela de ca … pas grand chose.







Niveau grosse boite française qui fait dans l’informatique, on a rien à se reprocher.

OVH ça devrait te convenir j’espère ? ou Gandi, peut-être ?

Et pis les séculaires Bull, Thales, et tous ces gentils marioles qui vendent du matos de surveillance de pointe dans le monde, entre autres technologies.

Dassault, même, si tu veux.



Ça se vend peut-être pas à Mme Michu ou Jean Kévin, tout ça, et TF1 en parle peut-être jamais, mais ils sont tous toujours là donc y a du fric qui tourne dans le coin.





Mais bon, c’est hors-sujet, l’article parle plutôt de “ start up”, donc j’imagine que c’est plutôt côté entrepreneurs récents et TPE.

Après, si les prestations de service web à la noix on appelle ça de la “high tech”, bin… , je suis un peu hors-sujet probablement.


Le 27/11/2014 à 14h 46







Crysalide a écrit :



Sauf ce que tu ignores, c’est que ce groupement d’écoles fonctionne comme un campus régional, comme celui du MIT, de Caltech etc… à savoir réunir un ensemble de compétences scientifiques et techniques de renommée mondiale (avec des Prix Nobel par ex).

Le but est que des étudiants intéressés puissent venir y suivre des cours avec parfois la possibilité de passerelle entre les écoles, surtout sur les formations de fin de cursus (mastère, mba, doctorat).



C’est bien pour ça qu’une grande partie de ces écoles ont ajouté “ParisTech” dans leur nom.

Par ex., l’ENSCP (Chimie Paris) s’appelle désormais Chimie ParisTech.







Euh, je vois pas en quoi ça fait de “ParisTech” une appellation d’inspiration anglaise nécessairement. <img data-src=" />



“Paris Technologie” pourrait très bien être français.



À la base, dans “French Tech”, j’ai surtout tiqué sur le “french”, en fait x)


Le 27/11/2014 à 14h 44







Lafisk a écrit :



Jamais dit qu’on etait nul sauf qu’on est casi inexistant dans les domaines qui ont vu le jour depuis des annees, les plus grand services actuellement de la high tech proviennent tous des USA:





  • OS, USA majoritairement, y’a des distro linux FR mais bon deja que dans lensemble les distro linux ca doit pas faire plus de 23% de pdm alors les distro FR …….



  • Reseau sociaux, ben la c’est le grand vide



  • Service internet, grand vide aussi, a part dailymotion j’ai pas d’exemple de truc francais hyper connu etc…



  • Autre, pas d’exemple non plus de quoique ce soit high que tout le monde connait et utilise dans e monde entier.



    Et franchement c’est pas en y mettant un nom FR ou anglais que ca va y changer quoique ce soit, la renommee vient avant tout avec la qualitee et l’exposition des produits. Que tu y mette un nom FR ne changerai rien du tout. l’high tech ne s’encombre pas vraiment du nationalisme … les gens ce foutent de savoir si le produit/service est francais, americin ou autre, ils veulent un truc qui fonctionne et qui fait le boulot







    Tu te limites énormément à des services très connus, qui sont bien plus de la prestation de service web que de la high tech à proprement parler.



    Par ailleurs, linux est à considérer apatride.


Le 27/11/2014 à 14h 19







teddyalbina a écrit :



ça sonne faux car c’est un terme créé artificiellement ! Il n’a pas été créé naturellement par la population francophone ^^



L’état s’arroge le droit de dire ce qui est bon ou pas, il cherche à tout controller même la façon dont nous parlons. Alors que ce n’est ps son rôle.







Bin en fait non <img data-src=" />



fr.wikipedia.org Wikipedia

fr.wikipedia.org Wikipedia


Le 27/11/2014 à 14h 17







hycday a écrit :



ah mais je suis très clairement d’accord, c’est totalement subjectif et les habitudes n’ont pas aidé. Ca “sonne faux”, mais c’est parce qu’on a été habitué ainsi. Après, je reste d’avis que l’on ne perd pas sa culture parce qu’on adopte des mots anglais.







Je n’ai rien contre lorsqu’il n’y a vraiment pas d’alternative potable, hein !

L’idée est d’adapter, évidemment pas de faire un exercice de style en bannissant tout terme étranger, ce serait idiot.



Mais si on commence à utiliser des termes anglophones à tort et à travers alors que des mots ou constructions de mots français sont parfaitement possibles et loin d’être si ridicule que ça, bin… je trouve ça dommage.


Le 27/11/2014 à 14h 14

Qu’est-ce que c’est que cette crise absurde ??



Non, tous les mots sont par définition artificiels. Même l’argot. Même les termes techniques plein de grecs.

Même les mots de latin o ude grec ancien en leur temps l’étaient…



Non, le français n’est pas une langue morte.



Oui, je parle de “business” moi aussi !

Rayonnement culture = terrain propice au commerce.

C’est pourtant du bon sens de base en matière de commerce international de service et de technologie.



Enfin, téléverser est ironiquement un trop bon opposé de télécharger, en fait :l

Ce n’est pas une traduction littérale de “upload”, pas plus que “télécharger” ne l’est de “download”.

C’est en fait un mot extrêmement bien adapté à son utilisation.





Je te l’accorde, on a aussi des exemples de mots complètement foirés, comme “mot-dièse” qui est un total affront au bon sens et à la linguistique.

Les crétins de la commission qui a pondu ce terme complètement vide de sens devraient être tous virés.





Sinon pour ton pavé incompréhensible à la fin, j’avoue que j’ai abandonné. J’ai essayé plusieurs variantes de cryptographies au hasard mais rien ne marche.

Je n’ comprends rien, désolé =/













Lafisk a écrit :



mouai, bof … pour le tourisme je veux bien, pour l’high tech, je pense pas.





Et pourquoi pas ?

Les français sont très bons en high-tech, quoi qu’en disent les journaux à grand tirages ou les cours d’histoire.


Le 27/11/2014 à 13h 55







Lafisk a écrit :



Il me semble beaucoup plus important de ce faire comprendre que de protege une culture national, on parle business ici pas philanthropie







Aha !



Le truc drôle, c’est qu’un rayonnement culturel prépare au commerce.


Le 27/11/2014 à 13h 52







Crysalide a écrit :



Pour être reconnu à l’international. Pourquoi crois-tu que les grandes écoles d’IDF se sont rassemblées depuis presque 25 ans sous le label ParisTech ?







J’ignorais que “Technologie” n’est pas un mot français.


Le 27/11/2014 à 13h 50

Je vois pas pourquoi “anglais” et “international” sont nécessairement liés.

Sachant qu’une langue véhicule une culture, protéger sa langue, c’est protéger sa culture.

C’est important pour un peuple de garder son identité et sa diversité propre, même si en acceptant certains héritages étrangers, selon moi.

D’où mon avis de prudence :)



Pour le point des traductions de titres de films par les québecois, bin, peut-être que leurs traductions sont pourries, à la base x) ?

C’est souvent littéral, pourtant une bonne traduction peut avoir besoin d’être une adaptation relativement large.



Et pis quand on y réfléchit à deux fois, c’est ringard parce qu’on s’est habitué à des mots anglophones !

Pourtant des mots comme “téléviseur” ou “porte-monnaie” sont assez crétins de construction.



Autre exemple : On peut trouver le verbe “téléverser”, comme opposé montant de “télécharger”, ringard. Ce n’est pas mon cas.

La ringardise est assez subjective.



Autre exemple enfin, dans un tout autre thème que l’article par contre : je parle régulièrement du jeu “Elite<img data-src=" />angerous” (actuellement disponible qu’en anglais à ma connaissance) avec un compatriote français. Il n’a jamais hésité à traduire tous les noms des vaisseaux (même si on pourrait penser que ce sont des noms propres en tant que noms de modèles de véhicules, je sais), ainsi que les équipements et armements.

Ainsi, on a un Crotale au lieu d’un Sidewinder, ou une Vipère, un Aigle, et ainsi de suite. Les armements sont équipés de suspensions à cardan, tandis que l’original est l’adjectif “gimballed”.

Cette traduction est vraiment très loin d’être gênante, au contraire ; même si les toutes premières fois ça faisait bizarre.





Ma conclusion est que la ringardise, c’est surtout une question d’habitude et de point de vue.

Peut-être que ces techos en costume cravate parlaient plus souvent de “touche française numérique” ou que-sais-je, la ringardise si décriée disparaitrait.







Enfin bref. Sinon à part ça, je remercie quand même NXI d’avoir affablement chapardé des noms de domaines en attendant que les ahuris qui en auraient sans doute besoin réagissent <img data-src=" />

Le 27/11/2014 à 11h 34







Nyquist a écrit :



Parce que le hashtag #LaTechnologieFrançoiseMonBonMonsieur est un peu trop long à taper :/





On doit bien pouvoir trouver un juste milieu x)









hycday a écrit :



et pour faire un jeu de mot avec la French Touch ?





J’avais saisi, mais j’en pense la même chose.

La “Touche Française”, c’est si horrible que ça ?

Concrètement, qu’est-ce que ça veut dire d’autre, “french touch”, en fait ?

C’est pas plus con, et surtout c’est pas moins con.









gaboo a écrit :



Parce que le but du truc, c’est de rayonner à l’international :)





C’est vrai qu’on ne pourrait pas du tout rayonner à l’international avec quelques mots français, où avais-je la tête…

En plus, c’est complètement idiot. Si on veut faire rayonner de la “french tech”, “french touch” ou je ne sais quoi, autant utiliser des mots franchouillards, non ?





J’ai surtout l’impression que ce sont des mots qui font “rayonnement à l’international” uniquement dans la tête des français qui se croient vachement malins en sortant ces termes là ! Tout ça pour des mots qui ont un sens très commun (box, triple play, free, etc…) et souvent prononcé n’importe comment. Salut, Frit et Triple plaie.

Parlons donc des Boites qu’on a tous près de nos télés.

Personne n’oserait appeler ça une “Boite” et pourtant tout le monde le fait, mais comme c’est une langue étrangère ça passe ??





Puisqu’à l’international tout le monde “rayonne” en anglais, alors en fait plus personne ne rayonne tant que ça.

Ça fait juste un gros tas de rayons qui croient tous être originaux.



Soit dit en passant, l’anglais ne sert de “rayon à l’international” que parce que tout le monde pense que c’est le cas, que ça le soit réellement ou non.

Suffirait qu’on s’en serve plus pour rayonner pour retrouver nos rayons individuels beaucoup plus personnalisés.



“Quand on pense qu’il suffirait que les gens n’achètent pas pour que ça ne se vende plus.”, ou un truc du genre, comme disait l’autre.





PS: Évidemment ici “anglais” et “français” prennent leur sens généraux de “anglophone” et “francophone”.


Le 27/11/2014 à 10h 40

“French Tech”.

C’est en France, le sujet est français, alors pourquoi un terme anglais ? <img data-src=" />

Le 25/11/2014 à 14h 47







JD a écrit :



Voici le message que j’avais posté dans la dernière news à ce sujet et qui est toujours d’actualité.




 Ce nième plan numérique n'est rien d'autre qu'une nouvelle propagande  politique et un moyen de déverser des centaines de millions d'euros par  an (!) aux industriels (constructeurs ou développeurs de contenus pédagogiques).           






     Les élèves ont besoin avant  tout de maîtriser tous les aspects de la lecture et de l'écriture. D'ailleurs on s'en  rend compte lorsque l'on veut apprendre une autre discipline et en  particulier la programmation.           






     Ensuite on  pourrait introduire des notions d'informatique, mais cela ne sera  intéressant que si cela est enseigné par des professeurs d'informatique.      






     Or l'EN ne souhaite pas créer un CAPES et une Agrégation d'informatique contrairement àla recommandation du CNNum (pdf). Et même en supposant que des informaticiens soient recrutés via de tels concours, comment peut-on imaginer que ces personnes acceptent d'être  payés 1600€ net en début de carrière après un BAC+5 (Master) et un  concours sélectif...? :reflechis:  






     Nous allons donc nous retrouver dans la situation suivante :           

 

1) Simulacre de concertation en janvier-février; rien de nouveau sous le soleil, les professeurs connaissent bien la tactique de l'EN pour imposer sa politique.

 

2) Communication nationale du PR pour annoncer son merveilleux plan numérique.



 



     3.1) Des centaines de millions d'euros par an prélevés sur le  budget de l'EN (c'était pas prévu ça...) pour financer l'achat de  tablettes, etc... et le développement de contenus. Ah tous ces outils  ont un tel potentiel pour faire progresser les élèves... mais quid des  effets néfastes? Même pas une heure par jour devant un écran diminue les capacités cognitives d'un élève! Voici une vidéo que tout le monde  devrait regarder en particulier les parents et notre PR :           





https://www.youtube.com/watch?v=3vlILu2qPvM




     3.2) Tous ses "outils" utiliseront-ils des logiciels libres et formats ouverts? Réponse : Non. Merci à Peillon qui avait plié face aux industriels en 2013.           






     4) Une fois les tablettes & Co livrées, on se rendra compte que la gestion de ce parc de tablettes, en particulier le bridage et le bon fonctionnement des logiciels pédagogiques, sera un échec car les moyens de gestion ne seront pas suffisants (comme d'hab dans l'EN) et que dans ces conditions cette gestion relèvera de la quadrature du cercle.           






     Par exemple, le Conseil Général de Corrèze qui a distribué des  dizaines de milliers de tablettes depuis environ 15 ans. Et bien voici  les résultats d'après un rapport de l’Inspection générale (pdf) : treize ans après les progrès scolaires se font     toujours attendre dans le département.           






     5) Dans 5 ans ou 10 ans, on constatera l'échec de ce plan et les  boucs émissaires seront les enseignants pas ou peu formés. Il sera alors temps de lancer un nouveau plan numérique pour le plus grand plaisir  des industriels.           






     Et pendant ce temps :           

 

a) des élèves ne savent toujours pas lire et écrire correctement en fin de 3ème (et avant on disait cela pour la fin de la primaire...) ;

 

b) certains établissements ne possède toujours qu'une salle informatique composés de 20-25 PC obslètes tournant sous un OS dépassé avec des logiciels pas mis à jour depuis 3 ou 5 ans;






     c) tout le parc informatique d'un  établissement (réseau, pc de l'administration, de toutes les salles de  cours, de la/les salles(s) info) est géré par un professeur qui possède  1 à 3 heures de décharges par semaine pour tout ce taffe...           






     d) last but not least la formation continue des enseignants est quasi nulle d'un point de vue quantitatif mais aussi qualitatif...           






     And this my dear is why things will never change.











Ça donne envie de crier.


Le 25/11/2014 à 12h 14

Non, ce n’est pas un vrai projet…

C’est juste comme tu le dis une nouvelle lubie d’un élu haut-fonctionnaire en quête d’électorat façon “on ratisse large”, et ça n’est vraiment rien de plus <img data-src=" />

Le 25/11/2014 à 11h 23

Sauf que jamais avant plus de 30 ans au bas mot la tablette tactile ne remplacera les “bouquins, autres supports papiers et je ne parle pas des photocopies”.

Trop de régression pour un remplacement total.

Si le remplacement n’est pas total, alors la tablette n’est qu’un outil de plus au lieu d’un moyen de rassemblement !

http://xkcd.com/927/





Si elle les remplace un jour tout court, ce dont je doute. Ils sont bien trop pratiques.

Le 25/11/2014 à 11h 01







athlon64 a écrit :



Le prix peut etre moins cher en numerique, simplement des fichiers a stocker







C’est pas comme ça que les éditeurs de manuels aiment faire…

C’est plutôt du genre “prix à l’exemplaire”, même si ça n’a aucun sens avec un fichier informatique.


Le 25/11/2014 à 10h 16

Ça semble improbable tellement c’est ridicule.



Mais non, c’est véridique… <img data-src=" />

Le 25/11/2014 à 10h 08







Poppu78 a écrit :



Après la couleur oui c’est une marche arrière, on est d’accord. Mais bon le président a décidé de faire son coup médiatique maintenant plutôt que d’attendre que les technos soient adpatées… Quant on voit qu’il avait choisi des iPad pour distribuer dans sa circonscription….





Ça fait rêver… <img data-src=" />









Poppu78 a écrit :



Concernant l’électronique polluante, il faudrait faire un comparatif avec les bouquins (parce que bon faut quand même couper des arbres, blanchir les pages etc.) sachant que là on est dans un cycle de vie contrôlé qui devrait permettre d’avoir la quasi-intégralité des liseuses recyclées.





Eeeeeh, oui, tout à fait !

C’est exactement le genre d’étude que devraient faire/commanditer nos gentils serviteurs de la fonction publique (enfin, il parait qu’à la base ils sont là pour servir le peuple, mais à des moments on se demande).

Si l’impact écologique est réellement moindre pour des liseuses que pour des bouquins (mais en incluant vraiment tous les impacts directs et indirects, que ça soit production, maintenance, recharge électrique, recyclage et destruction finale), ça mériterait d’être établi.

Encore faut-il qu’ils se mettent au boulot.









Jean_Peuplus a écrit :



ça reste un luxe de toute façon, c’est pas un laptop qui va transformer un cancre en génie.





+1 !


Le 25/11/2014 à 09h 59

Sérieusement… T’as fini de faire ton caprice ? <img data-src=" />



Toi qui veut tant de choses sur ta tablette, tu as plein de développements raisonnés et censés (et opposés, vive la diversité) dans les commentaires de cet article, alors va les lire.

Le 25/11/2014 à 09h 56







athlon64 a écrit :



certains les attendent pour les BD







Dont moi, avec impatience <img data-src=" />







Pour l’argument écolo, ah, évidemment que le papier c’est pas complètement propre, mais i lest net que je ne sais combien de millions de tablettes auront un impact plus important.

Ça ne se recycle pas vraiment, ce genre de trucs.

Pour les soucis de mises à jour de programme, ça sent surtout la grosse entourloupe de la part des éditeurs qui veulent vendre et des élus de l’EN qui veulent exister, m’est avis.

Liseuse ou bouquin, même problème.

Faut racheter les bouquins, faut racheter les manuels numériques.









En passant, sur un autre sujet, on peut rajouter que c’est complètement fantasmé d’imaginer que l’intégralité du pays aura les mêmes tablettes ou liseuses partout en même temps.

Les manuels ne sont même pas unifiés au niveau national, chaque académie se démerde plus ou moins comme elle peut ou veut, au gré des choix des équipes pédagogiques et des budgets…

Le plan “Tablette/liseuse pour tous”, c’est un plan “Régression pour tous”.


Le 25/11/2014 à 09h 42

Je suis bien d’accord pour le coût total d’un cartable, mais est-ce qu’en l’état, aujourd’hui, on peut remplacer l’intégralité du sac à dos d’un collégien avec une tablette ?

J’en doute. surtout avec une tablette peu polyvalente toute merdique à 200€.

Et une tablette ne fait pas tout, il faut aussi les logiciels… Dans le vrai monde, celui habité par des professionnels, ce genre de choses se planifient des années à l’avance.

Pour quelque chose comme l’éducatif, qui demande une lourde analyse de fond avant la mise en pratique, même des dizaines d’années !

Et voilà qu’on veut nous mettre dans les pattes des objets qui seront inadéquats et/ou inutilisés, c’est complètement absurde sur le plan éducatif.





Et pis très sérieusement, je trouve que ça apprend pas mal de choses indirectement, ces papiers, cahiers, classeurs, crayons, stylos et compagnie.

Soin, organisation, méthode, discipline. il ne faut pas oublier ses cahiers en fonction de son emploi du temps, ne pas égarer ses stylos tous les 4 matins, prendre soin de bouquins, ne pas écrire de façon dégueulasse, prendre des notes rapides pour les classes plus avancées comme au lycée, etc…

Avec une tablette, tout ça est énormément gommé.

Le 25/11/2014 à 09h 35

La couleur est trop importante pédagogiquement, ça serait une énorme régression de s’en séparer, même pour des matières que tu juges noire-et-blanche.



La taille ne pose plus problème ? Ma remarque sur l’A5 était sarcastique x)

Une liseuse est en pratique hors-course sur ce point, à moins qu’on accepte de se ruiner les yeux sur des mouchoirs de poche. Le moindre schéma prendra une page entière, certains gros schémas en histoire, géo, maths, ne rentreraient même pas sans être réduits à des peaux de chagrin !



Très honnêtement, pour vraiment remplacer les manuels scolaires avec une liseuse, il faudrait en fait une liseuse couleur A4. Dans l’idéal, même deux panneaux A4 pour une liseuse pliable !

Là au moins on a de la place pour bosser sérieusement, et la régression pour la taille disparait.



Si c’est pour faire autant de régressions, c’est pas la peine. Surtout avec du matériel relativement fragile.

On y perd plus qu’on y gagne, c’est idiot.

Tout ça pour quelques kilos qui n’ont tués personne. Faut pas exagérer, les sacs à dos des écoliers ne pèsent pas 30 kilos en permanence, quand même ?!





On pourra rajouter que les bouquins ne sont pas plein d’électronique polluante et fabriquée à l’autre bout de la terre (donc une fuite de capitaux dans la balance économique française ; je ne rigole pas, c’est un argument à prendre en compte quand il s’agit potentiellement de plusieurs milliards d’euros sur plusieurs années, milliards qu’on aurait pu réinjecter indirectement dans l’économie française, donc en fait ne pas perdre).

Le 25/11/2014 à 09h 23

Non, pédagogiquement parlant c’est une fausse bonne idée.

Il vaut bien mieux leur apprendre à chercher dans un lexique, dans un dictionnaire.



Par ailleurs, les manuels bien faits ont tous des définitions très facilement accessibles pour la partie étudiée correspondante… Marges, fin de chapitre, encarts réguliers, etc…



Des liens hyper-textes, tout ça pour gagner quoi, quelques minutes à peine.

Si on en est à gratter 5 minutes par soirée, c’est qu’il y a un problème de temps bien plus important à la base et que ces devoirs devraient être ré-évalués en terme de charge…











scaillea a écrit :



Dans le cas de l’éducation nationale, les élèves sont en full papier/crayon pendant les cours sauf rares exceptions. Il serait temps à mon sens de faire évoluer ça. La tablette n’est pas le meilleur moyen mais c’est une idée.





Tu persistes à dire qu’il faut faire évoluer ça mais je ne vois toujours pas pourquoi.

Qu’est-ce qu’une tablette apporte face à un cahier au moins autant polyvalent, également plus pratique, pour un coût affreusement plus faible ?


Le 25/11/2014 à 09h 12

Ça ne règle pas tout.

Une liseuse doit être rechargée, même au moins un peu, donc un chargeur existe.

Même avec un chargement par usb, admettons, suffit de paumer le câble ou d’avoir “oublier” de recharger sa liseuse la veille pour avoir l’air fin.



Enfin, et là par contre je vois vraiment pas comment faire :/, une liseuse c’est tout étriqué…

Comment le format A3 / double A4 d’un manuel scolaire avec une liseuse en format A5, ce qui est déjà bien grand pour une tablette d’ailleurs ?











carbier a écrit :



Il parait qu’au moment où les premiers ordinateurs sont sortis, les grands penseurs de l’époque voyaient cela comme un jouet pour “chercheurs qui ne trouvent jamais”…







C’est pas un “il parait”, c’était effectivement une idée commune.

Mais ce n’est pas parce que cette idée absurde de l’inconscient collectif s’est révélée maladroite, que toute idée lui ressemblant vaguement l’est…


Le 25/11/2014 à 09h 07







carbier a écrit :



Quel est le rapport avec la news ?

La tablette étant un moyen (peut être pas le plus pertinent) nomade pour aussi pouvoir travailler chez soi.







Je répondais à un commentaire, pour ce point-là.

Et je te réponds la même chose x) : la pertinence de tablettes pour cette application que tu évoques est vraiment faible.

Suffit pas de dire “on peut travailler en nomade chez soi” pour que ça soit prouvé.



Un peu de bons sens et de pratique avec ce genre de matériel suffit à voir que c’est pas du tout pertinent pour remplacer quelques manuels et des cahiers.









scaillea a écrit :



Perso, quand je vois de profs qui utilisent des tableaux électroniques et qu’à côté de ça on voit encore les élèves avec le bouquin et le bloc-note ouvert, ça me dérange.





Mais pourquoi ?

Penses-tu que, par exemple un informaticien, ne prend jamais de notes sur du papier avec un crayon x) ?



C’est totalement pertinent de mélanger ainsi informatique et papier-crayon.

Ce ne sont pas des opposés, ce sont des outils complémentaires.


Le 25/11/2014 à 09h 00

Et comme ça quand la quantité d’élèves changent faut racheter de toutes petites quantités de bouquins, ce qui augmente le coût pour ces commandes-là. Sans compter les pertes d’exemplaires qui demandent d’avoir un stock de sécurité.



Même souci pour les tablettes que pour les bouquins en fait.

Le 25/11/2014 à 08h 44

Non, c’est pas plus réfléchi.

Tu ne résous aucun des problèmes de base, que beaucoup exposent dans les commentaires ici-même, d’un plan “tablette pour tous” =/

Le 25/11/2014 à 08h 43







scaillea a écrit :



Et je pense que c’est l’état qui devrait se charger de gérer l’achat et la mise en conformité de l’appareil aux conditions d’utilisations.

Les parents paieraient l’achat ou la location à l’état.





N’oublie pas que l’État, c’est toi, c’est nous.

Ça te dérange pas de devoir payer 150€ par élève pour une utilisation qui reste à démontrer ?







scaillea a écrit :



Enfin, je donne juste mon avis mais je pense qu’il serait temps de moderniser un peu notre éducation nationale que ce soit par le biais de tablettes ou de PC.





Moderniser l’éducation nationale ? Mais pour quoi faire ?

Elle n’a pas déjà plein de PC inutilisés ?



Des rétro-projecteurs partout ? Des projecteurs de plus en plus ?

Voire même des tableaux blancs interactifs qu’on n’utilise même pas encore à 100% et qui ne sont même pas démocratisés encore parfaitement ?

On assure pas déjà une formation peu à peu des professeurs pour ces ordinateurs, ces tableaux électroniques ?

L’Éducation Nationale se modernise déjà parfaitement :|



Par ailleurs, en termes de coût, mettons quelque chose comme 1000€ pièce au minimum pour un tableau blanc interactif et son équipement.

Et tous les cours n’ont pas besoin de ça, souvent un rétroprojecteur et un ordinateur suffiront pour ça,e t l’ordinateur ne servira pas qu’à ça.

On a un coût pour des tablettes, de, à la louche, 30*200€, soit 6000€. Par classe. Et pour du matériel bien moins pratique et bien moins pérenne qu’un TBI.


Le 25/11/2014 à 08h 23

Franchement, je ne pense pas du tout qu’une liseuse soit adaptée pour un manuel scolaire.

Les couleurs sont obligatoires (peu disponibles sur liseuse bas-de-gamme aujourd’hui), les grandes pages aussi (les liseuses sont riquiquis, format poche ; comparées à une double-page A4, une page A3 quoi), et enfin la maniabilité d’un livre est indéniable (une liseuse, c’est un unique écran à la fois).

Or, cette maniabilité est vitale pour un bouquin qu’on va consulter à tort et à travers pendant toute nue année.



Et encore, pour un seul bouquin. Faut pas oublier qu’il y en a une petite dizaine par niveau.

Faut être marteau pour vouloir s’infliger une liseuse pour ce genre de tâches x)



Sans compter qu’une liseuse, oui, ça se recharge.

Le 25/11/2014 à 08h 16

Ça changera le poids ? Pas non plus énormément.

Avec un minimum de logique, un élève n’emmène pas l’intégralité de ses manuels/cahiers avec lui chaque jour.



Pour les problèmes de prix exorbitants de la part des éditeurs, bin, faut résoudre le problème à la source.

Je doute que si le gouvernement voulait vraiment s’y opposer les éditeurs pourraient résister.



Et pour cette histoire de stockage des manuels l’été, wow, quel problème !

C’est pas comme si pendant l’été les établissements scolaires étaient vides.

Le 25/11/2014 à 08h 09

Sinon, pourquoi ne pas simplement continuer d’allouer des fonds public pour un appareil comme suit :





  • autonomie perpétuelle ;

  • peut soutenir le poids de plusieurs dizaines de personnes sans broncher ni se fissurer ;

  • résistant à la poussière, aux pliures, à l’humidité ;

  • coque plastique souple résistante à l’eau ;

  • écran couleur haute définition ;

  • support logiciel à durée infinie ;

  • multipliable à l’infini sans autre artifice qu’une photo-copieuse ;

  • écologique ;

  • recyclable ;

  • peu coûteux par rapport à une tablette ;

  • fabriqué en France.

  • peut être confié à un enfant/adolescent sans crainte.





    Mais, quel est donc cet incroyable objet ?

    Serait-ce de la haute technologie ???







    -&gt;[- ]

Le 25/11/2014 à 07h 54

Bien sûr, donnons des appareils électroniques fragiles coutants facilement 150€ pièce (et encore, pour du matos moisi) aux parents. Pour eux ça serait gratuit, donc aussi précieux qu’un quignon de pain.

Ça serait encore pire, les tablettes seraient rapidement vandalisées logiciellement parlant, seraient cassées (“mdame, je l a fait tombé dans l escalier !!!”/“Mon chien l’a mangée !”) voire disparaitraient tout simplement (“msieur, je l a perdue !!!”).

On peut rajouter le coût de réparation et remplacement.



N’oublions pas le coût de formation du personnel de maintenance consacré, + de très nombreuses heures de formation des profs, + des heures de cours cannibalisées par les premières prises en main…

Et on oublie sans doute encore beaucoup de frais secondaires ou cachés.



Et on ne parle que du matériel !

Au niveau logiciel, y a-t-il seulement des offres pertinentes ? Sont-elles gratuites ? Sont-elles libres ?

S’il faut les développer, qui le fera ?







Cette idée est tout simplement abominable.

C’est honteux que Hollande outrepasse les circuits normaux de décision et de concertation de l’État. Il y a un Ministère de l’Éducation Nationale, que je sache. C’est pas un peu lui qui devrait réfléchir à l’idée ?



Encore plus honteux qu’il propose quelque chose d’aussi spécifique.

Et enfin ça l’est une troisième fois parce que c’est vraiment, mais vraiment, une idée pourrie x)

Le 25/11/2014 à 07h 42

La vraie question c’est : À qui profiterait le crime ?



… Pardon, je voulais dire : À qui achèterait-on les tablettes ?

Le 25/11/2014 à 12h 21







Pyb a écrit :



Des contributeurs ont déjà fait des photos de fromages. Mais la qualité n’est pas terrible. La photo culinaire n’est pas facile. Faut généralement un éclairage de studio photo, un objectif macro, un trépied, etc. Sans parler du coût de plusieurs centaines de fromages. Voilà pourquoi j’ai monté ce projet pour permettre à des contributeurs de faire de la photo de fromages dans de bonnes conditions.







Et pis ça donnera un peu d’uniformité, ça fera pas de mal.





Vive nos fromages <img data-src=" /> !


Le 24/11/2014 à 17h 36

Pour être franc, je ne suis même pas certain de ce que ce “Store” désigne.

Le terme n’est peut-être pas si générique que ça <img data-src=" />

Le 22/11/2014 à 13h 36

Pourquoi l’article parle de “Stores” en tant qu’exemple de mise à jour incrémentale, et pas tout simplement des dépôts de paquets de linux, bsd et cousins qui possèdent depuis une éternité des fonctionnalités de calcul de delta des paquets de mise à jour incrémentale “parfaite” ?



Et pis je parle même pas du fait que j’ignorais que le français ne possédait pas de terme ou expression traduisant ce “Store”.

Le 22/11/2014 à 12h 49

Évidemment, rien n’est éternel.

Mais au contraire, je pense que le bitcoin marquera l’histoire !



Toute proportion gardée, un peu comme les tulipes ont marqué l’histoire de l’Économie <img data-src=" />

La fr.wikipedia.org Wikipedia, un cas d’école assez spectaculaire, qu’on peut considérer comme la première “bulle spéculative” de l’histoire.

Le 22/11/2014 à 11h 41

Une vraie monnaie d’échange, ça serait une monnaie de troc, donc pas de monnaie en fait.

La spéculation est plus flagrante avec le bitcoin, mais c’est pas tellement différent de monnaies d’État.



Celles-ci ont vaguement plus de stabilité grâce notamment à la surveillance (ou contrôle…. c’est une histoire de point de vue) de nombreux organismes, mais sinon, le fonctionnement global reste le même : celui d’une monnaie.

Le 22/11/2014 à 11h 38

Je ne comprends pas non plus pourquoi tu es si sûr que tout s’arrêtera.



Et, non, une loi n’arrêtera pas le bitcoin, justement, il est indépendant de tout organisme de contrôle.

Comment l’interdire ? Les transactions sont anonymes et décentralisées.

Et on sait par l’usage que sur Internet les choses interdites ne sont que cachées, jamais arrêtées.



Enfin, il ne faut pas y voir un miracle : le bitcoin est de l’argent comme les autres. On attribue une valeur de confiance au bitcoin, ensuite on peut procéder à de l’échange en fonction de cette valeur qui varie au cours du temps en fonction de la confiance.

Exactement comme pour l’euro (ou le dollar, ou le yen, ou…). Lui aussi a une valeur plus grande que sa valeur réelle, et cette valeur de confiance varie au cours du temps.

Le 20/11/2014 à 20h 36

Des dossiers automatiques, mais, woaw, c’est une révolution ! <img data-src=" />



Bon, sinon, ils font quoi pour les soucis de vie privée de GoogleBrother ?

Toujours rien ? Ah, bon.



Donc rien de nouveau quoi.





On remarquera la ressemblance frappante de l’interface du “bookmark manager” avec celle de Youtube.

Le 19/11/2014 à 13h 36

Ça m’a fait rire, mais en tant que fanatique de Free je me sens blessé <img data-src=" />

Le 15/11/2014 à 18h 10

Et bien tu n’as qu’à utiliser un VPN “français” ??



L’Hadopi ne peut chasser que des particuliers. Avoir un point de sortie en France est parfaitement possible du moment que c’est chez un hébergeur (donc, un professionnel).



En prime le pognon ira dans les poches de français, avec un peu d’attention <img data-src=" />

Le 15/11/2014 à 18h 08

J’ai vraiment hâte qu’un jour ils annoncent :

“L’Hadopi déclarée inutile, les ayant-droits doivent rembourser à l’État ce qu’ils ont perçu et les frais engagés pour la faire fonctionner.”





Comment ça, je peux rêver ? <img data-src=" />

Le 14/11/2014 à 19h 56

Bah ouais mais attends, Numéricable, t’as la fibre super haut débit et tout <img data-src=" />

Enfin, c’est que que la pub dit, donc doit pas y avoir d’entourloupe, non <img data-src=" /> ?

Le 13/11/2014 à 17h 43

C’est ironique x) ?

Le 12/11/2014 à 23h 26







matroska a écrit :



“Ji sé pas pourquoi ti parles di sirvice client , vi divez jiste ribouter li bourrico box Missieur !”



<img data-src=" />

 

\o/



<img data-src=" />







Ceci est twés twés waciste ! <img data-src=" />


Le 12/11/2014 à 21h 38

FranceTelecom m’a fait le coup à plusieurs reprises : on se plaint à Free d’un débit tout moisi (la fosse téléphonique prenait l’eau lors des pluies, sans compter qu’Orange nous avait mis un câble merdique pour pouvoir refiler le notre à leur nouveau client Livebox en face), débit moisi constaté par un technicien Free. Lorsque le technicien FT vient, il constate un débit correct ; il repart, le débit s’écroule à nouveau le lendemain.



Coïncidence <img data-src=" /> ?

Le 12/11/2014 à 21h 47







jb07 a écrit :



A part le fait que les artistes ont les oreilles des politiques plus que les ingénieurs, je ne vois pas pourquoi c’est différent.







Nous resterait-il donc à choisir entre une technocratie et une, euh… artistocratie <img data-src=" /> ?