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cGuille

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10 commentaires

Le 08/08/2014 à 08h 00







cyrilleberger a écrit :



À moins que tu ai voulu dire qu’on pouvait trouver du contenu équivalent, légale et gratuit ?





C’est exactement ce que j’ai voulu dire.


Le 06/08/2014 à 08h 28



Dans sa plainte, le magazine de charme fait valoir que suite au développement d’Internet et du piratage, ses revenus annuels ont grandement chuté, passant de 2 millions de dollars en 2002 à 70 000 dollars actuellement.





No shit, Sherlock. Évidemment qu’ils ont chuté depuis que sur le web n’importe qui peut trouver sans payer ce que tu mets dans ton magazine payant. Le piratage a-t-il vraiment quelque chose à voir là-dedans ?

Le 29/07/2014 à 15h 47







Jed08 a écrit :



Le piège vient du fait que si un seul acteur te demande d’investir dans ton infra parce qu’il en a une trop grosse (je parle de sa capacité de BP), et bien tu as pas trop le choix :

Tu dis non et ça risque de pourrir le trafic entier !

Tu dis oui, donc tu vas dépenser des millions juste pour les besoins d’un seul site web

Tu dis oui mais pour financer ça il va falloir du budget. Donc soit tu fais payer tout tes abonnés, soit uniquement ceux qui vont s’abonner à Netflix, soit tu trouve un arrangement avec Netflix car après tout, c’est à eux que ça va bénéficier ce truc (avant eux, le réseau marchait très bien)





La question pour moi c’est : tu veux que tes abonnés aient un accès potable à ce service, oui ou non ?

Si c’est oui, alors tu te démerdes pour investir suffisamment. Je leur demande pas de sortir l’argent du cul d’une poule hein, il peut se dire que ça se répercute sur l’abonnement parce qu’après tout, c’est les abonnés qui utilisent ça en masse. Il peut demander à Netflix de participer si il pense que commercialement, Netflix a intéret à le faire (sans doute que oui).

Ce qui me gêne, c’est qu’il présente ça d’un angle très généraliste, comme si il souhaitait “normaliser” le fait que le fournisseur de contenu doive payer pour être desservi. Et ça c’est juste non. Il doit se débrouiller, c’est son job. Si il trouve un accord commercial avec Netflix, tant mieux pour lui. Sinon c’est son problème.



(Je pense que ce que je viens de dire s’applique aussi aux deux citations suivantes .)







tiny_naxos a écrit :



Le principe est que le prix actuel est basé sur un dimensionnement qui tient compte des usages actuels.

Si l’usage fait augmente à fond car Youtube, Netflix, services très consommateurs de débit sur la durée, ça change.



C’est si compliqué à comprendre ? <img data-src=" />



Tout est dimensionné comme ça : le réseau téléphonique classique, les autoroutes, les appros en eau, le réseau électrique, le réseau des FAI, les caisses dans les supermarchés, etc etc.



Aucun n’est fait pour absorber un trafic/une charge maximale de chacun des abonnés/usagers en simultané.











Mearwen a écrit :



Dans le point d’interconnexion comme chaque fois, Orange (Ou n’importe quel FAI) a son réseau propre qui s’interconnecte au auxtres en plusieurs points. netflix arrive et dit j’installe 1tb/s en un point A. Qui paye la liaison entre le point A et les différents points d’entrée du réseaux Orange ?



Quand le trafic est équilibré ca se passe bien puisque les 2 opérateurs ont intérêts à collaborer pour améliorer le service mais dans le cas comme ici ou le trafic sera totalement déséquilibré il y aura clash et netflix payera l’interconnexion( Comme c’est déjà le cas au US)











Niktareum a écrit :



Tu crois vraiment que l’investissement est leger ?





Je n’ai jamais dit ça.


Le 29/07/2014 à 09h 21







Niktareum a écrit :



La BP ca coute des sous, il est compréhensible qu’un FAI n’ait pas forcement envie d’investir des millions d’€ en infra.





C’est en effet très compréhensible. Moi non plus je n’aime pas dépenser des sous.

Mais ils offrent un service d’accès à Internet, ça demande des investissements pour mettre en place une infrastructure réseau. Il est où le piège ?


Le 29/07/2014 à 08h 55

Je ne comprends pas ce que ça veut dire “pas de Netflix sur les Livebox” : ça veut dire qu’ils vont bloquer les connexions vers Netflix ou juste qu’il n’y aura pas d’intégration de Netflix dans le service TV d’Orange ?



Sinon, « Netflix ça pose pour nous quand même pas mal de questions. La première question c’est la façon dont Netflix va participer au financement des infrastructures qu’il utilise pour proposer ses contenus. […] Ça pose le problème des relations économiques entre les telcos et puis les fournisseurs de contenus ».



Ben c’est facile : t’es un fournisseur d’accès, tu fournis un accès. Si tes utilisateurs veulent des contenus lourds, tu mets en place un réseau costaud ou alors tu acceptes que tes utilisateurs aient une connexion pourrie. Pourquoi les fournisseurs de contenus devraient-ils payer ? Et si je décide de publier des vidéos sur mon site web, tu veux me faire payer de l’infra pour que mon site soit accessible depuis ton réseau parce que je distribue des contenus plus lourds que Tartempion qui ne distribue que quelques pages web textuelles ?

Le 11/06/2014 à 20h 12







NiCr a écrit :



Oui enfin la faille elle est pas vraiment au niveau de Tweetdeck mais au niveau de Twitter qui ne fait pas de contrôle sur le contenu des tweets.



Elle touche Tweetdeck car elle est adaptée au code de l’application, mais le vrai problème c’est que Twitter retourne des tweets contenant du code.



Dans ce cas, c’est n’importe qu’elle application faite avec du HTML/JS qui peut devenir victime de la faille.







Non mais qu’est-ce qu’il ne faut pas lire. Ce n’est pas du tout le rôle de l’API de Twitter de traiter le contenu pour l’affichage. L’API n’a pas à pré-supposer du traitement qui sera fait des informations qu’elle fournit, et ne doit donc pas les altérer. C’est le travail de la brique logicielle chargée de l’affichage (ici, elle se trouve chez TweetDeck) de se dire “ah tiens, si il y a du HTML dans le contenu, il peut être interprété, je peux même me faire exécuter du JS dans la gueule”.



Ce que je me demande, c’est dans quel cas particulier cette XSS se produisait : c’est quand-même pas juste en mettant une balise de script dans un tweet, ça se serait vu depuis un bail. Ou alors c’est une régression récente ?


Le 25/03/2013 à 12h 14

Je n’ai rien remarqué avec le mien.

Le 25/03/2013 à 12h 14

Je n’ai rien remarqué avec le mien.

Le 12/12/2012 à 19h 12

Quelqu’un pourrait expliquer cette phrase ?

« Un attaquant, s’il souhaite utiliser la faille, doit payer un emplacement publicitaire sur une page visitée par la victime.  »

Je ne vois pas le rapport avec la vulnérabilité et n’ai trouvé nulle mention de ce sujet sur la source donnée par l’article.

Le 30/10/2012 à 13h 20







carbier a écrit :



Encore une fois demande à Microsoft qui a “oublié” le ballot screen sur certains Win 7…





Microsoft utilise sa position dominante sur le marché des OS pour pousser un autre produit (navigateur), troublant ainsi la libre concurrence sur le marché des navigateurs.



Google n’a pas de produit sur le marché des sites d’information en ligne, et ne trouble pas la concurrence sur ce marché. Je ne pense donc pas que la situation de Microsoft et celle de Google soit comparable sur ce point précis (pour les navigateurs, ça se discute).