CanalGuada
est avec nous depuis le 12 janvier 2011 ❤️
Oups.
On dirait que quelqu'un ici aime garder ses petits secrets, comme si de par hasard il y avait quelque chose à cacher...
Désolé, ô lectrice de passage, cher lecteur égaré, pas de révélation sensationnelle pour le moment sur ce profil.
Repassez plus tard ?
113 commentaires
En 2011, Google a versé 5 millions d’euros d’impôts en France
Le 12/09/2012Le 12/09/2012 à 15h 26
VLC et la Hadopi : 40 jours d’audition, un rapport annuel dans 30 jours
Le 12/09/2012Le 12/09/2012 à 15h 05
Le 12/09/2012 à 14h 39
L’interopérabilité ou interfonctionnement en informatique est la capacité que possède un système informatique à fonctionner avec d’autres produits ou systèmes informatiques, existants ou futurs, sans restriction d’accès ou de mise en œuvre. Les deux termes sont normalisés par la CSA et la Commission électrotechnique internationale (ISO/IEC 2382-18:1999).
L’interopérabilité en informatique est une capacité juridique offerte au citoyen d’utiliser l’informatique sans se soucier d’aspects techniques.
Cette capacité doit permettre à tout citoyen, sans préjudice, d’obliger par les ordres, qu’il donne à un ordinateur, par l’intermédiaire d’un programme, de toute nature, de se coordonner, de coopérer et d’être piloté par tout autre programme d’une autre nature quel que soit le lieu, le matériel et le langage utilisé. Il doit le faire si le service attendu l’exige. Le service rendu doit être de même valeur satisfaisante qu’il eut été fait par l’un ou l’autre des programmes, dès lors que le service correspond, sans obstacle contractuel ni obstacle technique.
Source
Avoir un plugin propriétaire qui ne puisse pas être distribué librement, qui plus est que l’utilisateur devrait acheter lui-même (obstacle contractuel et technique) ne rentre clairement pas dans le cadre de l’interopérabilité.
[MàJ] Taxation des liens et des objets connectés : la colère des industriels
Le 10/09/2012Le 08/09/2012 à 16h 30
Le 08/09/2012 à 16h 07
Le 08/09/2012 à 03h 44
Le 07/09/2012 à 17h 36
Le 07/09/2012 à 16h 59
Les journaux français rêvent d’une taxe sur les PC, tablettes et liens indexés
Le 04/09/2012Le 04/09/2012 à 17h 24
Le premier, signalent nos confrères, « prévoit la création d’un “droit voisin” sur les portails agrégateurs d’information afin de défendre la propriété intellectuelle sur les contenus de presse ».
Le SPQN marche sur la tête si désormais il estime qu’il n’est même plus possible de citer un court extrait (les deux premières lignes d’un article) pour, soi-disant, défendre la propriété intellectuelle.
Autant dire directement que même le titre de l’article ne peut pas être librement référencé et donc cité dans n’importe quel moteur de recherche… vu que la stupidité ne semble pas avoir de limite en ce moment.
Quand il se rendront compte que la plupart d’entre nous n’a pas de temps à perdre en étant contraint de parcourir le site d’un journal en particulier pour avoir un aperçu des articles disponibles potentiellement intéressants et dédaignera alors de le consulter, ils auront peut-être compris.
Apple rêve de désactiver à distance les appareils sans fil
Le 01/09/2012Le 01/09/2012 à 16h 30
Le terme privateur prend tout son sens avec Apple.
C’est effrayant de voir à quel point certains sont capables de vouloir et/ou accepter restreindre les libertés de tous, sous prétexte de pouvoir apporter même pas plus de sécurité mais tout juste plus de confort à une minorité.
Regards Citoyens répond aux « contre-vérités » du ministre Vidalies
Le 31/08/2012Le 31/08/2012 à 18h 21
La classe politique prend généralement les citoyens pour une masse de demeurés…
Dès le départ, ce député met en exergue la mauvaise influence du site au prétexte que des députés, qui du coup ne seraient plus seuls responsables de leurs pratiques et de leurs actes, nuisent à la qualité des débats.
Ce n’est pas le site qu’il faut blâmer mais les députés cherchant à fabriquer une opinion favorable en trompant, volontairement ou pas, le citoyen sur le réel travail effectué.
Et si des questions écrites par les collaborateurs ne sont pas à mettre au crédit des députés, car sans grand intérêt en terme qualitatif, ma première réaction n’est pas d’essayer de corriger un quelconque paramètre de notation des députés pour leur rendre service globalement, mais de demander des comptes sur leur utilité en définitive sachant que ces collaborateurs sont aussi rémunérés avec de l’argent public.
Tout à fait incroyable sur le fond qu’un outil de contrôle du travail parlementaire à l’usage du citoyen puisse être considéré à l’Assemblée de facto comme un outil destiné à apporter du crédit aux députés… alors qu’ils ne se sont même pas préoccupés eux-mêmes jusqu’à présent de fournir en toute transparence des données fiables qualitativement.
Ou peut-être s’imaginent-ils que le citoyen est censé se creuser lui-même les méninges pour fabriquer son propre contentement et finir par donner son consentement en toutes circonstances.
[MàJ] Debian revient finalement à GNOME pour son environnement par défaut
Le 12/11/2012Le 11/08/2012 à 06h 50
Le 10/08/2012 à 18h 29
Comprends pas cette hargne contre Gnome 3 et son shell " />
Je l’utilise tous les jours (concrètement depuis son apparition dans Fedora 15) sans me sentir limité ou même dépaysé, puisque je pourrais globalement les fonctionnalités de la version précédente, depuis un bon moment maintenant, avec les extensions existantes.
Sans parler du fait qu’il est aisé d’en créer ou de modifier les thèmes de l’interface avec quelques connaissances en programmation même basiques.
Mais il est certain que si l’on oublie que :
il y a effectivement des raisons d’être déçu…
Je me demande parfois comment l’esprit DIY du libre a pu générer autant d’inspecteurs des travaux (pas tout à fait) finis " />