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CanalGuada

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113 commentaires

Le 12/09/2012 à 15h 26







count0 a écrit :



pour éviter l’évasion fiscale des entreprises, il ne faut plus taxer les bénéfices, mais au CA, toute proportion gardée évidemment. Ainsi fini ce qu’on appelle les prix de transfert qui représentent une évasion fiscale de 70 milliards d’euros par an. De plus même les entreprises ne réalisant pas de bénéfice paieraient cet impot…







+1 La seule vraie bonne idée, puisque cela garantit que les richesses soient réinvesties dans le pays qui les a produites.


Le 12/09/2012 à 15h 05







Tim-timmy a écrit :



euh .. ben si le plugin est disponible pour tous sans restriction technique abusive, si.. le contractuel ne veut pas dire que ça doit être gratuit, juste qu’il ne doit pas y avoir de clause de type “pas toi, je ne t’aime pas”







Qu’est-ce que tu ne comprends pas dans “sans préjudice”, “sans restriction d’accès ou de mise en œuvre”, “par tout autre programme d’une autre nature” et “sans obstacle contractuel ni obstacle technique” ?



Si le plugin n’est pas gratuit, il y a vente. Et la vente est un contrat passé entre l’acheteur et le vendeur, fût-il consensuel et instantané.



L’obligation d’interopérabilité vise dès le départ à ce que l’utilisateur ne soit pas lésé parce qu’il utilise un système informatique plutôt qu’un autre.



Le 12/09/2012 à 14h 39



L’interopérabilité ou interfonctionnement en informatique est la capacité que possède un système informatique à fonctionner avec d’autres produits ou systèmes informatiques, existants ou futurs, sans restriction d’accès ou de mise en œuvre. Les deux termes sont normalisés par la CSA et la Commission électrotechnique internationale (ISO/IEC 2382-18:1999).







L’interopérabilité en informatique est une capacité juridique offerte au citoyen d’utiliser l’informatique sans se soucier d’aspects techniques.



Cette capacité doit permettre à tout citoyen, sans préjudice, d’obliger par les ordres, qu’il donne à un ordinateur, par l’intermédiaire d’un programme, de toute nature, de se coordonner, de coopérer et d’être piloté par tout autre programme d’une autre nature quel que soit le lieu, le matériel et le langage utilisé. Il doit le faire si le service attendu l’exige. Le service rendu doit être de même valeur satisfaisante qu’il eut été fait par l’un ou l’autre des programmes, dès lors que le service correspond, sans obstacle contractuel ni obstacle technique.





Source



Avoir un plugin propriétaire qui ne puisse pas être distribué librement, qui plus est que l’utilisateur devrait acheter lui-même (obstacle contractuel et technique) ne rentre clairement pas dans le cadre de l’interopérabilité.

Le 08/09/2012 à 16h 30







CanalGuada a écrit :



Merci pour le lien, mais faute de réelle transparence sur le sujet, les informations sont très incomplètes pour citer le moindre chiffre…







Et si tu n’en est pas encore convaincu, tu peux consulter ceci aussi.


Le 08/09/2012 à 16h 07







Ph11 a écrit :



L’UE n’a pas la même structure qu’un état, ce n’est pas pertinent. Il est certain que relativement parlant, les entreprises privées auront plus de poids.



http://www.regardscitoyens.org/transparence-france/etude-lobbying/





Merci pour le lien, mais faute de réelle transparence sur la sujet, les informations sont très incomplètes pour citer le moindre chiffre…



Néanmoins, des listes d’auditions n’ont pu être trouvées que dans 38% des rapports produits en trois ans. Cette étude, malgré ses aspects inédits, ne révèle encore qu’une partie émergée de l’iceberg des nombreuses formes et voies que prend le lobbying à l’Assemblée nationale.







Ph11 a écrit :



Pourquoi ? Parce que ces entreprises ont un statut public, elles ne fonctionnent plus de la même façon, ne cherchent pas à avoir des faveurs ? Ce ne sont plus des hommes font fonctionner ces entreprises ou les hommes perdent leur caractère corruptible et deviennent des anges dès lors qu’ils travaillent dans le public ?? C’est vision beaucoup trop édulcorée de la société et de l’état.



Tu ne peux pas décréter arbitrairement qu’un est un lobby et l’autre pas.





Qui te dit que c’est arbitraire ?



Un lobby est une structure organisée pour représenter et défendre exclusivement les intérêts communs d’un groupe auprès du pouvoir exécutif et/ou législatif en les influençant.



Les entreprises qui ont un statut public, n’ont pas spécialement besoin de s’organiser dans ce but puisque, par définition, rendant déjà des comptes à leur actionnaire, l’État… quand ce dernier ne pilote pas lui-même ces entreprises en nommant ceux qui les dirigent.



En d’autres termes, être consulté par le pouvoir exécutif/législatif ne suffit pas pour être catalogué comme un lobby/groupe de pression : il doit y avoir une démarche très volontaire dans l’autre sens pour influencer/orienter directement les débats, prises de décision ou modifications des lois/normes/règlements.



Bref, c’est la nature de l’interaction qui est déterminante, pas uniquement celle des interlocuteurs ou encore le simple fait qu’il y ait interaction.



Ou alors il faut revoir les fondements de ce qu’on appelle démocratie.





Bien sûr, tu as raison de souligner qu’il y a toujours des zones grises dues au caractère corruptible et intéressé des hommes, même dans les entreprises publiques… mais cela ne suffit pas.



Car défendre ses propres intérêts, ou ceux des personnes que l’on est censé représenté, est tout à fait naturel et prévisible quelle que soit la situation lorsque l’on est consulté. Et à moins d’être pour le coup vraiment naïf, les interlocuteurs en face s’y attendent déjà dès le départ.



Il n’y a qu’en cas de conflit d’intérêts, l’interlocuteur ne représentant plus réellement les intérêts qu’il prétend représenter, que la situation est contestable.


Le 08/09/2012 à 03h 44







Ph11 a écrit :



Le privé ne représente que 17% du lobbyisme. La majorité du lobbyisme provient avant tout de la fonction publique et des services publiques. Puis viennent ensuite les syndicats.





Suis-je censé te croire sur parole parce que tu as une bonne tête ?



Par exemple, pour l’UE :



It has been estimated that some 40% of all interest representation at the Commission and the European Parliament would now appear to

be individual actors (Firms (24%), Think Tanks (4%), Government/Regional authorities (11%), law firms, public relations companies etc) rather than interest group organisations (CONECCS and EP 2007, Berkhout & Lowery 2008).



Source Lobbying in the European Union



De plus, il ne me paraît pas pertinent d’inclure fonction publique et services publics dans la liste des lobbys…



Ou alors il faut m’expliquer quelle est la structure organisée pour représenter et défendre exclusivement leurs intérêts auprès du pouvoir exécutif et législatif… en plus des centrales syndicales mentionnées elles aussi.





Ph11 a écrit :



MAis que viens faire la transparence dans le débat ?<img data-src=" />





Si tu ne vois pas ce que la transparence vient faire dans le débat sur le lobbying,

comptes le nombre d’occurrences du mot dans la page Wikipédia consacrée au lobbying. Cela suffira à te donner une idée de l’importance accordée à cette dernière, par les personnes s’intéressant à la question.

Ou par n’importe quel citoyen soucieux du fonctionnement de la démocratie dans laquelle il vit.





Ph11 a écrit :



Je ne parle pas de la Loi de Pareto, mais de l’Optimum de Pareto. Autre terme, autre principe…





Oui et cet équilibre général, optimum de Pareto, théorique, est celui visé par les économistes néoclassiques/néolibéraux.



Sauf que, sans même rentrer dans le débat idéologie ou science s’agissant d’économie, il est généralement oublié, très opportunément lorsqu’il s’agit de mettre en pratique, que cet équilibre suppose une concurrence pure, nécessitant entre autres la transparence du marché, via une information parfaite des agents, ou encore une réelle atomicité de ce dernier.



Cet “oubli” conduit à ce que tout accroissement non uniforme du bien-être ne se fasse qu’au profit de ceux, peu nombreux, contrôlant l’information disponible et/ou accessible.



Menant donc toujours vers un des états d’équilibre “optimum” peut-être, mais socialement injuste, ce qui s’illustre au final par… une distribution de Pareto.



Bien sûr, cela n’a rien à voir avec le débat sur le lobbying, là non plus… <img data-src=" />







Ph11 a écrit :



On est limite dans la théorie du complot…





Mon premier commentaire mentionnait à dessein ACTA comme exemple, pour éviter ce type de remarque où celui qui se croit plus malin traite l’autre d’illuminé.



Rien qu’au regard des critiques émanant des parlementaires européens sur le manque de transparence alors que s’agissant d’un traité ils auraient dû être pleinement informés, parler de théorie est d’une réelle naïveté.



Le 07/09/2012 à 17h 36







Ph11 a écrit :



Revendiquer est un caractère humain et tu ne changeras pas cela.

Interdire le lobbyisme ne le supprimera pas plus que la prohibition n’a supprimé la consommation d’alcool.





Où as-tu lu que je revendiquais que les lobbys devraient être interdits ??

Bien au contraire, je souhaiterais que d’autres entités que les groupes multinationaux puissent avoir leurs entrées et être entendus eux aussi.





Ph11 a écrit :



Mais c’est ça la politique !

Il ne sera jamais possible de vérifier les raisons qui font qu’on adopte une loi ou non.

Le parlement n’est rien d’autre que l’arène ou se confrontent divers groupes de pressions appelés communément partis politiques.



Il faut sortir de la vision naïve du législateur platonicien désintéressé, bien intentionné, qui sait mieux que les autres ce qui est bon.





Candide lui aussi disait que tout était pour le mieux dans le meilleur des mondes…



Demander plus de transparence n’a rien d’utopique ou de naïf. C’est une question de volonté, là aussi politique, de la part de citoyens qui ont bien compris depuis longtemps que leurs intérêts n’étaient pas ceux qui étaient défendus.



Cf la “loi” de Pareto que tu mets en avant, presque comme une nécessité, et qui semble te satisfaire, ce qui n’est pas mon cas.



Bien évidemment il ne sera jamais possible de connaître les raisons qui font que telle ou telle loi est adoptée dans l’absolu… à moins de pouvoir lire dans les pensées des uns ou des autres.



Mais rien, à part la recherche d’un statu quo confortable pour une minorité, n’empêche non plus de tout mettre en oeuvre pour y parvenir, en nourrissant le débat publiquement pour que les nombreuses zones d’ombre disparaissent.


Le 07/09/2012 à 16h 59







Ph11 a écrit :



Cependant, le lobbyisme en lui-même n’est pas mauvais, car il permet de faire valoir son opinion au politique afin que ce dernier puisse comprendre que sa politique est mauvaise.

Le problème vient des faveurs que peuvent accorder les politiques aux lobbies, les connivences, qui sont nuisibles.







Le problème du lobbyisme est surtout la façon dont il se pratique, le summum étant ce qui a été fait avec ACTA.



À partir du moment où il n’y a pas transparence, c’est-à-dire que le citoyen ne dispose pas de la même information que le politique, car non rendue publique, il s’agit clairement d’un abus de pouvoir puisqu’il est dès lors impossible de vérifier les réelles raisons pour lesquelles les décisions sont prises, ou même de nourrir le moindre débat contradictoire.


Le 04/09/2012 à 17h 24



Le premier, signalent nos confrères, « prévoit la création d’un “droit voisin” sur les portails agrégateurs d’information afin de défendre la propriété intellectuelle sur les contenus de presse ».





Le SPQN marche sur la tête si désormais il estime qu’il n’est même plus possible de citer un court extrait (les deux premières lignes d’un article) pour, soi-disant, défendre la propriété intellectuelle.



Autant dire directement que même le titre de l’article ne peut pas être librement référencé et donc cité dans n’importe quel moteur de recherche… vu que la stupidité ne semble pas avoir de limite en ce moment.



Quand il se rendront compte que la plupart d’entre nous n’a pas de temps à perdre en étant contraint de parcourir le site d’un journal en particulier pour avoir un aperçu des articles disponibles potentiellement intéressants et dédaignera alors de le consulter, ils auront peut-être compris.

Le 01/09/2012 à 16h 30

Le terme privateur prend tout son sens avec Apple.



C’est effrayant de voir à quel point certains sont capables de vouloir et/ou accepter restreindre les libertés de tous, sous prétexte de pouvoir apporter même pas plus de sécurité mais tout juste plus de confort à une minorité.

Le 31/08/2012 à 18h 21

La classe politique prend généralement les citoyens pour une masse de demeurés…



Dès le départ, ce député met en exergue la mauvaise influence du site au prétexte que des députés, qui du coup ne seraient plus seuls responsables de leurs pratiques et de leurs actes, nuisent à la qualité des débats.



Ce n’est pas le site qu’il faut blâmer mais les députés cherchant à fabriquer une opinion favorable en trompant, volontairement ou pas, le citoyen sur le réel travail effectué.



Et si des questions écrites par les collaborateurs ne sont pas à mettre au crédit des députés, car sans grand intérêt en terme qualitatif, ma première réaction n’est pas d’essayer de corriger un quelconque paramètre de notation des députés pour leur rendre service globalement, mais de demander des comptes sur leur utilité en définitive sachant que ces collaborateurs sont aussi rémunérés avec de l’argent public.



Tout à fait incroyable sur le fond qu’un outil de contrôle du travail parlementaire à l’usage du citoyen puisse être considéré à l’Assemblée de facto comme un outil destiné à apporter du crédit aux députés… alors qu’ils ne se sont même pas préoccupés eux-mêmes jusqu’à présent de fournir en toute transparence des données fiables qualitativement.



Ou peut-être s’imaginent-ils que le citoyen est censé se creuser lui-même les méninges pour fabriquer son propre contentement et finir par donner son consentement en toutes circonstances.

Le 11/08/2012 à 06h 50







J-Phil a écrit :



Sommes nous d’accord que c’est une régression de devoir installer une nouvelle version et tout un tas d’extensions pour obtenir ce que l’on avait avant tout simplement ?





Devoir installer ? À quel titre ?

Le projet GNOME propose un environnement disposant de deux versions de bureau en plus de la mise à jour de ses API, le code source de la série 2.x étant toujours disponible.

Une distribution intègre, ou pas, tout ou partie de GNOME 2.x ou de GNOME 3.

L’utilisateur est libre d’installer ce qu’il veut comme distribution, comme version de distribution ou comme environnement de bureau.

Parler de contrainte et de logiciel libre en même temps… c’est à coup sûr démarrer un troll <img data-src=" />



Concernant le fond de la question, le projet GNOME se consacre avant tout au développement de son shell… évidemment pas à mettre en avant un panel vieillissant et peu adapté aux besoins à venir, même s’il n’a pas (pour le moment) disparu.



Gnome-Shell est totalement différent (c’était le but) mais si cela pose autant de problèmes d’installer quelques extensions, rien n’empêche de réfléchir un peu… et, dans un éclair de génie, d’utiliser le Panel de GNOME 3 sans le shell.



Ou plus simplement encore de ne pas passer à GNOME 3, avec une distribution qui aura fait elle le choix de continuer à proposer GNOME 2.x



Donc non, proposer une deuxième interface elle aussi fonctionnelle, quand bien même elle ne serait pas encore suffisamment complète pour répondre par défaut à toutes les exigences de tous les utilisateurs, n’est pas une régression… c’est offrir une alternative pour le moment du moins.



Maintenant si le commentaire concerne plus précisément la-non inclusion par défaut d’extensions permettant de retrouver ses vieilles habitudes malgré tout avec Gnome-Shell, en plus des éléments de réponse dans le message précédent, j’ajouterais que chaque distribution fournit les fonctionnalités qu’elle souhaite en accord avec sa communauté : l’équipe GNOME ne décide pas de ce que fournira exactement la distribution X ou Y à un instant donné.



Il y a plus de 180 extensions validées par GNOME et mises à disposition pour la version stable de Gnome-Shell : elles permettent de personnaliser l’interface bien plus qu’il ne l’a été possible précédemment et sont notamment installables via le sitehttps://extensions.gnome.org/ en un clic… aussi aisément que s’il fallait activer une option dans une application dédiée.



Par contre, je cherche encore les applets pour le Panel de GNOME 3… tant la communauté a exprimé de l’intérêt pour lui depuis que Gnome-Shell existe.



Darwin a encore frappé.



Et on en revient à ce qui rebute tout le monde de Linux : “il faut taper des lignes de commandes” qui se transforme en “mais tout est modifiable en programmant” … Super ! Quelle évolution !



L’utilisateur lambda peut se contenter de cliquer 99% du temps, avec les applications mises à disposition dans une distribution Linux moderne.



Pas besoin de taper des lignes de commandes… si l’on ne cherche pas à mériter les droits d’administration sur sa machine ou à en exploiter toutes les subtilités.



Et puis c’est tellement plus marrant d’être contraint de fournir des captures d’interface graphique ou des vidéos juste pour expliquer une manip ce qui pourrait se faire bien plus efficacement en ligne de commande… <img data-src=" />



Le nombre d’utilisateurs non informaticiens peut être ? Quand des utilisateurs viennent d’un OS non libre ils n’ont pas envie de tomber sur quelque chose de pas fini ou qu’ils doivent finir eux même …



La bonne blague… <img data-src=" />

La communauté du logiciel libre n’est pas à leur service. Si le travail fourni et mis à disposition de tous ne satisfait pas les envies de ces utilisateurs, personne ne les retient. Bon vent !


Le 10/08/2012 à 18h 29

Comprends pas cette hargne contre Gnome 3 et son shell <img data-src=" />



Je l’utilise tous les jours (concrètement depuis son apparition dans Fedora 15) sans me sentir limité ou même dépaysé, puisque je pourrais globalement les fonctionnalités de la version précédente, depuis un bon moment maintenant, avec les extensions existantes.



Sans parler du fait qu’il est aisé d’en créer ou de modifier les thèmes de l’interface avec quelques connaissances en programmation même basiques.



Mais il est certain que si l’on oublie que :





  • Gnome 2.x était le résultat de la contribution d’une kyrielle de développeurs ayant agrémenté l’interface au fur et à mesure;

  • les extensions n’ont pas pu être livrées par défaut avec le bureau puisque quasi inexistantes à la sortie de Gnome 3 (sans parler du fait qu’il fallait attendre que la nouvelle API soit stabilisée dans une version plus ou moins définitive);

  • fournir un environnement totalement mature, et entièrement personnalisable d’un clic, dès le départ, était peu réaliste sans disposer des mêmes ressources, l’évolution de l’ergonomie et des API utilisées n’étant pas cosmétiques… quand même une grande partie des applications tierces non Gnome, n’en demandant donc pas autant, n’ont elles-même pas migré vers GTK3 ou Gnome-Shell;

  • une grande partie des contributeurs qui auraient pu être disponibles, se sont orientés dans le même temps vers d’autres environnements (exploitant toujours la base de travail fournie par le projet, mais le concurrençant aussi au lieu de l’améliorer);



    il y a effectivement des raisons d’être déçu…



    Je me demande parfois comment l’esprit DIY du libre a pu générer autant d’inspecteurs des travaux (pas tout à fait) finis <img data-src=" />