Malheureusement, après cette mésaventure avec reader, je suis pas prêt d’en adopter un autre qui fermera un jour ou l’autre lui aussi.
Il va falloir à un moment ou à un autre comprendre que, sur l’Internet, à moins d’héberger ton propre contenu (site, blogue oou que sais-je d’autre) ou services (Tiny RSS pour l’agrégateur de flux RSS, en ce qui nous concerne là) sur ton serveur (avec le risque que celui-ci flanche, même si tu l’entretiens comme il faut), qui t’appartient, dont tu as l’entier contrôle, il y aura toujours un risque que ce site en qui tu as confiance pour tes relations sociales (réseau social quelconque, sur lequel tu as passé des journées entières à maquiller ton mur, à écrire des statuts qui déchirent et à poster des tweets satiriques qui ont été retweeté par le monde entier qui, de fait, reconnaissait ton talent humoristique, mais qui, à la fermeture de ce service, n’en retiendra plus grand chose), pour ton courriel (Gmail, Outlook et les autres), pour t’informer (Le Monde, PCINpact et les autres) et donner ton avis en postant un commentaire (même si tu prends soin à écrire le plus beau commentaire, celui-ci a de toute façon une durée de vie limitée), pour écouter de la musique (Spotify, Deezer, Youtube et les autres) ou des vidéos en ligne (Youtube, Dailymotion, Vimeo et les autres), pour héberger des vidéos que tu as réalisé en espérant la reconnaissance (Youtube, Dailymotion, etc.), pour jouer en ligne (les heures passées sur un jeu en ligne à entretenir ta planète (OGame), ton animal alors que ceux-ci n’existeront plus), pour retrouver tes documents quelque soit le support que tu utilises (Dropbox, Google Drive, Microsoft SkyDrive et les autres) et pour tout ce qui tu veux d’autre, se mette hors service et dépose le bilan. Donc, à moins d’être un visionnaire qui sait à l’avance quelle sera la durée d’existence d’un service - gratuit ou payant - sur l’Internet, tu as pour obligation de faire confiance à une entreprise pour stocker les informations (outre le contenu que tu peux stocker en local) dont tu as le plus besoin.
Google, contrairement à certains, a au moins le mérite de te proposer une solution pour récupérer tes informations personnelles à la fermeture d’un service via Google Takeout. C’était le cas avec Google Buzz. C’est également le cas avec leur agrégateur de flux RSS.
Rien d’étonnant. Les signes ne trompent pas : Tim Cook invité par Michelle Obama à assister au discours de l’état de l’union en début d’année. Et Barack Obama avait, dans sa déclaration, félicité Apple pour tout ce qu’il a réalisé et sa contribution à l’économie nationale/fédérale.
L’Administration Obama préfère soutenir un acteur local plutôt qu’une société de l’État voisin, même s’ils sont en très bons termes avec eux.
Fermer un service alors que l’autre n’est pas prêt, grossière erreur de Google.
L’hypothétique nouveau service sera sans doute prêt avant la fermeture de Reader en juillet. Probablement un ou deux mois avant, pour que tous ceux qui utilisaient Reader puisse récupérer leurs fils RSS favoris via Google Takeout à temps. C’est l’annonce de la fermeture de ce service avant l’arrivée du prochain qui pose problème puisque cela laisse le temps à la concurrence de s’adapter et remplacer le service en passe d’être éteint avant que celui que Google souhaite voir en substitut n’arrive. Une telle annonce suscite la crainte des internautes qui ont souscrit à Reader. L’incertitude les ronge. Ils préfèrent se préparer au changement dès maintenant, avant qu’il ne soit réellement trop tard, et cela même si les rumeurs indiquent qu’un nouveau service est en préparation. Si Google les avait rassuré en leur avouant directement qu’un remplaçant arrive (ce qui semble être le cas) et à quelles seraient ses fonctions (s’il y a des bouleversement, s’ils retrouveront la simplicité du service et la perfection de l’interface), il n’y aurait pas eu ce mouvement de panique et finalement, le nombre de départ chez la concurrence aurait été moindre.
Enfin, il n’est pas exclu qu’il y ait des retours en arrière. Google proposera peut-être un service qui s’imposera de lui-même, faisant tout naturellement revenir les utilisateurs vers sa nouvelle plateforme.
Quoi qu’il en soit, niveau communication, Google n’a très franchement pas assuré, sur ce coup-là.
@Superambre et AirTé : Relativisez. Comme indiqué dans la conclusion de Nil Sanyas, il ne s’agit que d’un concept. Google n’a a priori pas l’intention de commercialiser ce produit. C’est à coup sûr une expérimentation de l’un de leurs employés. Saluez plutôt la prouesse technique, même si l’intérêt est limité et que les fonctions principales sont quelque peu inutiles.
Ces chaussures sont le simple constat que l’on avance vers le tout connecté, à tout instant, de jour comme de nuit; mais aussi de l’objet inanimé, qui s’exprime enfin, pour le meilleur et pour le pire : que ce soit les puces dans les raquettes de tennis, qui diffusent en direct les statistiques du match et twittent en ligne les performances des joueurs, ou que ce soit ces chaussures, qui coachent en ligne celui qui les porte en pratiquant la course à pied.
(ce qui implique qu’il y avait déjà eu une cour d’appel auparavant)
Pas nécessairement. Lorsque le montant du litige est égal ou inférieur à 4000 euros, il n’est pas possible de faire appel. La seule voie de recours existante, c’est le pourvoi en cassation. Mais dans ce cas précis, oui, à en croire l’arrêt rendu par la Cour de cassation, il y a bien eu appel.
L’article du Monde (dont le service juridique et commercial était assis à la table des négociations) sur le sujet, qui est un peu plus précis que celui-ci, précise : “L’accord prévoit également un important volet de partenariat commercial, passant notamment par l’utilisation des solutions et outils publicitaires de Google ou le magasin en ligne Play.”
Cet accord va permettre le portage de la presse française, du papier au numérique, vers le prochain Google Play Magazines (qu’on sait imminent). C’est à mon avis ce qui intéressait le plus Google, dans cet accord. (en plus d’échapper à une taxe qui le visait directement).
Il a pris “chair”, c’est le moins que l’on puisse dire. Je crois que la seule chose qu’ils ont su saisir chez Steve Wozniak, c’est qu’il était de forte corpulence, et encore, on ne peut pas dire qu’il l’était vraiment, à l’époque :http://ww1.hdnux.com/photos/12/23/67/2702800/6/628x471.jpg
En même temps on utiliserait leur bande passante pour récupérer l’image et on n’afficherai aucune pub, difficile pour eux de s’en sortir du coup.
La réponse est toujours la même, dans ce genre de cas : il est possible de bloquer les robots Google (que ce soit Googlebot, Googlebot-Image, ou Googlebot-News) en créant s’il n’est pas déjà créé ou en éditant le fichier robots.txt. Que ceux qui se plaignent d’être indexés, refusent que Google met leur article à la une, donne un aperçu du contenu de leur article aux usagers, soient tout simplement référencés par le moteur de recherche ou estiment qu’être référencé ne leur est d’aucune utilité, que Google profite impunément de leur contenu; que toutes ces personnes procèdent aux modifications nécessaires au blocage des robots de moteurs de recherche. C’est aussi simple que cela.
Le principal point noir de YouTube pour le moment est son contenu en direct. C’est de façon évidente le point fort des chaînes de télévision. Mais non seulement YouTube pourrait bien un jour proposer une somme suffisante pour acheter certains droits, notamment sportifs (ce qui est en fait déjà le cas depuis quelques années pour certains sports), mais surtout, le contenu de ces chaînes de télévision est aussi disponible illégalement sur Internet. Et les télévisions connectées sont capables de visualiser un tel contenu, tout du moins celles autorisant les technologies adéquates (les Google TV par exemple).
Le direct ? Youtube s’y est mis depuis un bon moment maintenant On y retrouve également les chaînes d’amateurs (http://www.youtube.com/live/all ), et les directs proposés via Google+ Hangout, diffusés sur Youtube.
On a également certaines grandes chaînes comme Public Sénat/LCP, Euronews ou Al Jazeera qui sont disponibles en direct.
Sans parler enfin de la plateforme de partage vidéo Dailymotion, que certaines radios utilisent pour diffuser leur direct, pour leur émission du matin, afin de mettre une image sur le son.
Youtube, c’est aussi des chaînes originales, qu’ils financent eux-mêmes PC INpact Leurs objectifs sont clair, dans ce domaine.
Personnellement, concernant les chaines de télévision nationales, je n’ai toujours pas compris pourquoi est-ce qu’elles ne se sont toujours pas rendues disponibles sur l’Internet. Notamment le groupe M6, qui y est très clairement opposé. Elles augmentent leur audience, leur espaces publicitaires sont par conséquent plus valorisés et coûtent donc plus cher, ce qui les amènent à générer des revenus plus importants.
Lorsque la publicité est diffusée à l’écran, l’utilisateur réagit face à la publicité de la même façon, qu’il soit devant son écran d’ordinateur, assis sur une chaise, ou devant son écran de télévision, sur un canapé. Soit il la visionne parce que ce qu’il voit à l’écran l’intrigue ou l’intéresse, soit il se dépêche de faire autre chose, et cet autre chose, ce peut être soit consulter les derniers courriels reçus sur son mobile, envoyer un texto, ouvrir le guide télé ou aller uriner quand il est dans son salon, soit changer d’onglet et se divertir autrement lorsqu’il est devant son ordinateur. Qui plus est, dans les deux cas, le son n’est généralement pas coupé, sauf à retirer ses écouteurs ou couper le son, ou changer de chaîne. La publicité que la personne continue d’entendre peut inconsciemment faire son effet sur le consommateur.
Le principal point noir de YouTube pour le moment est son contenu en direct. C’est de façon évidente le point fort des chaînes de télévision.
Quel contenu ? Les seuls programmes en direct qui comptent vraiment sont : l’information en image et les représentations sportives. À la rigueur, l’information en image, l’Internet peut y pallier sans grande difficulté. Comme mentionné dans l’article, aujourd’hui, tous les grands sites d’actualité accompagnent leurs articles de contenu multimédia : images, vidéos, sons; sans que cela ne les rende moins intéressants par rapport à la télévision. L’Internet n’a rien à envier à la télévision. Ce n’est plus l’Internet qui s’inspire de la télévision ou prend ce que la télévision diffuse; c’est la télévision qui en vient à citer l’Internet, en mentionnant tel tweet, tel commentaire posté ou les photos choc de telle personne, diffusées en exclusivité sur TMZ, parce qu’il est plus intéressant de les diffuser sur Internet que d’attendre que les photos soient publiées dans le magazine people de la semaine. Reste les représentations sportives et, sauf à être dans l’illégalité comme indiqué dans l’article, il est très difficile de retrouver ce type de contenu en direct. Mais on a les highlights, les résumés du match de la veille qui nous contentent en attendant que Google achète les droits de diffusion de la NBA (sauf à limiter l’accès, l’Internet étant international ou supranational, Google devra tout de même débourser l’équivalent de tous les droits de diffusion cédés dans tout le globe s’ils souhaitent que la NBA, par exemple, les leur cède à eux, parce que, à n’en pas douter, s’ils devaient se partager les droits de diffusion avec les chaînes de télévisions, ces dernières feraient pâle figure, étant moins accessibles qu’un site Internet).
Pour ce qui est des films, séries, leur direct, c’est justement à la déconvenance de l’usager, qui ne souhaite pas qu’on lui impose un horaire, et qui préfère regarder ce programme quand cela lui plaît, quand il en as le temps ou quand il est disposé à le faire.
60 millions de licences Windows 8 vendues, c’est un très bon chiffre.
Il faut aussi dire que Windows 7 est un bon système d’exploitation. Les personnes sont moins enclin à passer à Windows 8 (d’autant que celui-ci propose une nouvelle expérience utilisateur qui peut dérouter et inspirer au client certaines réticences tout à fait compréhensibles), contrairement au passage de Windows Vista à 7, qui était vital pour les néophytes comme pour les experts (d’où le nombre important de licences Windows 7 vendues durant les semaines qui ont suivi sa sortie). Donc, si on contextualise bien les scores enregistrés par ces trois versions du système d’exploitation Windows, Windows 8 n’a pas à rougir de ceux qu’ils présentent.
On s’y habitue très vite, et on l’apprécie au fur et à mesure qu’on l’utilise. La seule chose qui me dérange c’est de ne plus retrouver aussi aisément la partie « ordinateur » (partie disque de stockage et périphériques de stockage), autrefois disponible en lien direct sur le menu démarrer. Là, à moins d’avoir l’icône sur le bureau ou de l’avoir épinglé sur la barre des tâches, il faut ouvrir l’explorateur Windows puis, dans le menu latéral à gauche, cliquer sur « ordinateur » pour enfin y accéder. Même nombre de clic, certes, mais un peu déroutant quand on avait pris l’habitude d’y accéder autrement.
Édition : ne pas oublier qu’avec les nouveaux raccourcis, on s’en sort mieux.
63 commentaires
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@Superambre et AirTé : Relativisez. Comme indiqué dans la conclusion de Nil Sanyas, il ne s’agit que d’un concept. Google n’a a priori pas l’intention de commercialiser ce produit. C’est à coup sûr une expérimentation de l’un de leurs employés. Saluez plutôt la prouesse technique, même si l’intérêt est limité et que les fonctions principales sont quelque peu inutiles.
Ces chaussures sont le simple constat que l’on avance vers le tout connecté, à tout instant, de jour comme de nuit; mais aussi de l’objet inanimé, qui s’exprime enfin, pour le meilleur et pour le pire : que ce soit les puces dans les raquettes de tennis, qui diffusent en direct les statistiques du match et twittent en ligne les performances des joueurs, ou que ce soit ces chaussures, qui coachent en ligne celui qui les porte en pratiquant la course à pied.
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05/03/2013
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08/02/2013
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Google et la presse française trouvent un accord : 60 millions d’euros en jeu
01/02/2013
Le 01/02/2013 à 18h 39
L’article du Monde (dont le service juridique et commercial était assis à la table des négociations) sur le sujet, qui est un peu plus précis que celui-ci, précise : “L’accord prévoit également un important volet de partenariat commercial, passant notamment par l’utilisation des solutions et outils publicitaires de Google ou le magasin en ligne Play.”
Cet accord va permettre le portage de la presse française, du papier au numérique, vers le prochain Google Play Magazines (qu’on sait imminent). C’est à mon avis ce qui intéressait le plus Google, dans cet accord. (en plus d’échapper à une taxe qui le visait directement).
jOBS : premier extrait du film avant son arrivée le 19 avril aux USA
25/01/2013
Le 25/01/2013 à 13h 37
Il a pris “chair”, c’est le moins que l’on puisse dire. Je crois que la seule chose qu’ils ont su saisir chez Steve Wozniak, c’est qu’il était de forte corpulence, et encore, on ne peut pas dire qu’il l’était vraiment, à l’époque :http://ww1.hdnux.com/photos/12/23/67/2702800/6/628x471.jpg
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24/01/2013
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19/01/2013
Le 19/01/2013 à 10h 15
Le principal point noir de YouTube pour le moment est son contenu en direct. C’est de façon évidente le point fort des chaînes de télévision. Mais non seulement YouTube pourrait bien un jour proposer une somme suffisante pour acheter certains droits, notamment sportifs (ce qui est en fait déjà le cas depuis quelques années pour certains sports), mais surtout, le contenu de ces chaînes de télévision est aussi disponible illégalement sur Internet. Et les télévisions connectées sont capables de visualiser un tel contenu, tout du moins celles autorisant les technologies adéquates (les Google TV par exemple).
Le direct ? Youtube s’y est mis depuis un bon moment maintenant On y retrouve également les chaînes d’amateurs (http://www.youtube.com/live/all ), et les directs proposés via Google+ Hangout, diffusés sur Youtube.
On a également certaines grandes chaînes comme Public Sénat/LCP, Euronews ou Al Jazeera qui sont disponibles en direct.
Sans parler enfin de la plateforme de partage vidéo Dailymotion, que certaines radios utilisent pour diffuser leur direct, pour leur émission du matin, afin de mettre une image sur le son.
Youtube, c’est aussi des chaînes originales, qu’ils financent eux-mêmes PC INpact Leurs objectifs sont clair, dans ce domaine.
Personnellement, concernant les chaines de télévision nationales, je n’ai toujours pas compris pourquoi est-ce qu’elles ne se sont toujours pas rendues disponibles sur l’Internet. Notamment le groupe M6, qui y est très clairement opposé. Elles augmentent leur audience, leur espaces publicitaires sont par conséquent plus valorisés et coûtent donc plus cher, ce qui les amènent à générer des revenus plus importants.
Lorsque la publicité est diffusée à l’écran, l’utilisateur réagit face à la publicité de la même façon, qu’il soit devant son écran d’ordinateur, assis sur une chaise, ou devant son écran de télévision, sur un canapé. Soit il la visionne parce que ce qu’il voit à l’écran l’intrigue ou l’intéresse, soit il se dépêche de faire autre chose, et cet autre chose, ce peut être soit consulter les derniers courriels reçus sur son mobile, envoyer un texto, ouvrir le guide télé ou aller uriner quand il est dans son salon, soit changer d’onglet et se divertir autrement lorsqu’il est devant son ordinateur. Qui plus est, dans les deux cas, le son n’est généralement pas coupé, sauf à retirer ses écouteurs ou couper le son, ou changer de chaîne. La publicité que la personne continue d’entendre peut inconsciemment faire son effet sur le consommateur.
Le principal point noir de YouTube pour le moment est son contenu en direct. C’est de façon évidente le point fort des chaînes de télévision.
Quel contenu ? Les seuls programmes en direct qui comptent vraiment sont : l’information en image et les représentations sportives. À la rigueur, l’information en image, l’Internet peut y pallier sans grande difficulté. Comme mentionné dans l’article, aujourd’hui, tous les grands sites d’actualité accompagnent leurs articles de contenu multimédia : images, vidéos, sons; sans que cela ne les rende moins intéressants par rapport à la télévision. L’Internet n’a rien à envier à la télévision. Ce n’est plus l’Internet qui s’inspire de la télévision ou prend ce que la télévision diffuse; c’est la télévision qui en vient à citer l’Internet, en mentionnant tel tweet, tel commentaire posté ou les photos choc de telle personne, diffusées en exclusivité sur TMZ, parce qu’il est plus intéressant de les diffuser sur Internet que d’attendre que les photos soient publiées dans le magazine people de la semaine. Reste les représentations sportives et, sauf à être dans l’illégalité comme indiqué dans l’article, il est très difficile de retrouver ce type de contenu en direct. Mais on a les highlights, les résumés du match de la veille qui nous contentent en attendant que Google achète les droits de diffusion de la NBA (sauf à limiter l’accès, l’Internet étant international ou supranational, Google devra tout de même débourser l’équivalent de tous les droits de diffusion cédés dans tout le globe s’ils souhaitent que la NBA, par exemple, les leur cède à eux, parce que, à n’en pas douter, s’ils devaient se partager les droits de diffusion avec les chaînes de télévisions, ces dernières feraient pâle figure, étant moins accessibles qu’un site Internet).
Pour ce qui est des films, séries, leur direct, c’est justement à la déconvenance de l’usager, qui ne souhaite pas qu’on lui impose un horaire, et qui préfère regarder ce programme quand cela lui plaît, quand il en as le temps ou quand il est disposé à le faire.
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09/01/2013
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Il faut aussi dire que Windows 7 est un bon système d’exploitation. Les personnes sont moins enclin à passer à Windows 8 (d’autant que celui-ci propose une nouvelle expérience utilisateur qui peut dérouter et inspirer au client certaines réticences tout à fait compréhensibles), contrairement au passage de Windows Vista à 7, qui était vital pour les néophytes comme pour les experts (d’où le nombre important de licences Windows 7 vendues durant les semaines qui ont suivi sa sortie). Donc, si on contextualise bien les scores enregistrés par ces trois versions du système d’exploitation Windows, Windows 8 n’a pas à rougir de ceux qu’ils présentent.
[Dossier PCi] L’interface, le mauvais carreau de Windows 8
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Le 29/08/2012 à 16h 11
On s’y habitue très vite, et on l’apprécie au fur et à mesure qu’on l’utilise. La seule chose qui me dérange c’est de ne plus retrouver aussi aisément la partie « ordinateur » (partie disque de stockage et périphériques de stockage), autrefois disponible en lien direct sur le menu démarrer. Là, à moins d’avoir l’icône sur le bureau ou de l’avoir épinglé sur la barre des tâches, il faut ouvrir l’explorateur Windows puis, dans le menu latéral à gauche, cliquer sur « ordinateur » pour enfin y accéder. Même nombre de clic, certes, mais un peu déroutant quand on avait pris l’habitude d’y accéder autrement.
Édition : ne pas oublier qu’avec les nouveaux raccourcis, on s’en sort mieux.